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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
La première Alliance, parce qu'elle était une alliance, a été violée par ceux avec qui elle avait été contractée ; (Hébreux 8.9) la seconde l'aurait infailliblement été de même, si elle n'eût revêtu tous les caractères d'un testament qui lègue l'héritage sans conditions.
L'image sur laquelle l'auteur insiste ici, en développant la signification du mot, a donc sa profonde vérité. Parmi les hommes, un testament ne devient exécutoire que par la mort du testateur, qui transmet aux héritiers tous ses droits.
Où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit annoncée (grec apportée) à l'autorité judiciaire qui constate le décès et préside à la transmission de l'héritage, car un testament est (grec) valide sur des morts, puisqu'il n'a jamais de force lorsque vit le testateur. Ici le testateur, c'est Jésus-Christ, l'Homme-Dieu, à qui toutes choses appartiennent, car "le Père a remis toutes choses entre ses mains." (Jean 3.35)
L'héritage lui serait resté à lui seul, si, par sa mort, il ne l'avait légué à ses frères, à qui il voulait communiquer tous ses droits. Il s'est donc abaissé, rendu obéissant jusqu'à la mort de la croix, dépouillé de tout, (Philippiens 2.6-8) et par cette mort, dont la nécessité morale a déjà été démontrée, (Hébreux 9.14) il a transmis à ses rachetés, avec ses droits, sa gloire éternelle, qui est leur héritage. (Comparer Luc 22.29, où Jésus lui-même emploie le verbe duquel est dérivé le mot testament.)
- Ce serait forcer et fausser la comparaison employée que d'objecter : le Sauveur, mort pour les siens, n'en est pas moins vivant aux siècles des siècles, et c'est même par sa vie, plus encore que par sa mort, qu'il communique à ses membres ? unis à lui comme le sarment au cep, les biens célestes de l'héritage. Sans doute la possession de la vie dépend de nos rapports avec le Sauveur ressuscité et vivant. Toutefois le Sauveur ne peut nous communiquer la vie divine que parce qu'il est mort pour nous. Et maintenant sa vie ne fait plus que réaliser en nous ce qu'il nous a virtuellement acquis sur la croix.
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