Raymond Houle - Sommes-nous sous la loi et peut-on manger du porc ? (2)
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Chrétiens émotionnels (2/2) - Joyce Meyer - Gérer mes émotions
Témoignage de Raynald Labrecque
L'Heure de la Bonne Nouvelle Saison 2013 Ămission No.02 Animatrice: ValĂ©rie Bouillon Avec Gaston Jolin, Jean-Pierre Cloutier et François FrĂ©chette âŠ
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Typologie (2/6)
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
La premiĂšre Alliance, parce qu'elle Ă©tait une alliance, a Ă©tĂ© violĂ©e par ceux avec qui elle avait Ă©tĂ© contractĂ©e ; (HĂ©breux 8.9) la seconde l'aurait infailliblement Ă©tĂ© de mĂȘme, si elle n'eĂ»t revĂȘtu tous les caractĂšres d'un testament qui lĂšgue l'hĂ©ritage sans conditions.
L'image sur laquelle l'auteur insiste ici, en développant la signification du mot, a donc sa profonde vérité. Parmi les hommes, un testament ne devient exécutoire que par la mort du testateur, qui transmet aux héritiers tous ses droits.
OĂč il y a testament, il est nĂ©cessaire que la mort du testateur soit annoncĂ©e (grec apportĂ©e) Ă l'autoritĂ© judiciaire qui constate le dĂ©cĂšs et prĂ©side Ă la transmission de l'hĂ©ritage, car un testament est (grec) valide sur des morts, puisqu'il n'a jamais de force lorsque vit le testateur. Ici le testateur, c'est JĂ©sus-Christ, l'Homme-Dieu, Ă qui toutes choses appartiennent, car "le PĂšre a remis toutes choses entre ses mains." (Jean 3.35)
L'hĂ©ritage lui serait restĂ© Ă lui seul, si, par sa mort, il ne l'avait lĂ©guĂ© Ă ses frĂšres, Ă qui il voulait communiquer tous ses droits. Il s'est donc abaissĂ©, rendu obĂ©issant jusqu'Ă la mort de la croix, dĂ©pouillĂ© de tout, (Philippiens 2.6-8) et par cette mort, dont la nĂ©cessitĂ© morale a dĂ©jĂ Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e, (HĂ©breux 9.14) il a transmis Ă ses rachetĂ©s, avec ses droits, sa gloire Ă©ternelle, qui est leur hĂ©ritage. (Comparer Luc 22.29, oĂč JĂ©sus lui-mĂȘme emploie le verbe duquel est dĂ©rivĂ© le mot testament.)
- Ce serait forcer et fausser la comparaison employĂ©e que d'objecter : le Sauveur, mort pour les siens, n'en est pas moins vivant aux siĂšcles des siĂšcles, et c'est mĂȘme par sa vie, plus encore que par sa mort, qu'il communique Ă ses membres ? unis Ă lui comme le sarment au cep, les biens cĂ©lestes de l'hĂ©ritage. Sans doute la possession de la vie dĂ©pend de nos rapports avec le Sauveur ressuscitĂ© et vivant. Toutefois le Sauveur ne peut nous communiquer la vie divine que parce qu'il est mort pour nous. Et maintenant sa vie ne fait plus que rĂ©aliser en nous ce qu'il nous a virtuellement acquis sur la croix.
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