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Jean 1.51

Et il lui dit : En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l'homme.
He said to him, "Most certainly, I tell you, hereafter you will see heaven opened, and the angels of God ascending and descending on the Son of Man."
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      Genèse 28

      Ezéchiel 1

      1

      Ézéchiel était un sacrificateur ; il fut déporté en captivité, en Chaldée, avec Jéhoïakin. Toutes ses prophéties semblent lui avoir été révélées dans ce pays, en un lieu situé au nord de Babylone.

      Le but principal du livre semble être le soulagement de ses frères en captivité. Ézéchiel doit avertir ces derniers, des calamités redoutables qui risquent de s’abattre sur la Judée, à cause des faux prophètes et des nations environnantes.

      Mais le prophète doit annoncer également la future restauration d'Israël et de Juda, alors dans la dispersion, ainsi que le sort merveilleux qui leur est réservé aux derniers jours, à l’avènement du Messie.

      On trouvera également dans ce livre de nombreuses informations relatives à Christ, en particulier dans la conclusion.

      * Ézéchiel, dans sa vision, discerne Dieu et Ses anges. (Ezéchiel 1:1-14) L’action de la Providence divine. (Ezéchiel 1:15-25) Révélation du Fils de l’homme, sur Son trône céleste. (Ezéchiel 1:26-28)

      Ezéchiel 1:1-14 Quand nous sommes dans l'affliction, c'est une grâce d’avoir la Parole de Dieu à disposition ; il nous est même recommandé de La lire diligemment ! La « voix » de Dieu est venue ici-bas, dans la plénitude de Sa Lumière et de Sa Puissance, par le Saint-Esprit.

      Ces visions semblent avoir été révélées au prophète pour qu’il puisse contempler les aspects grandioses et élevés de l’Éternel. Leur but était aussi de terroriser les pécheurs, tout en réconfortant ceux qui craignent Dieu, en toute humilité.

      Les versets Ezéchiel 1:4-14, décrivent la première partie de la vision, représentant Dieu, assisté et servi par une multitude d’anges, qui sont en fait, tous Ses messagers et Ses ministres, accomplissant Ses commandements. Cette vision était impressionnante : elle représentait la révérence et la crainte solennelles du mécontentement de l’Éternel, ressenties par les pécheurs, en même temps que l’espoir du bénéfice de Ses bénédictions. Le feu était entouré de gloire. Bien que nous ne puissions pas, par notre recherche personnelle, découvrir l’ensemble des perfections de Dieu, Il permet cependant, de nous en révéler tout l'éclat.

      L’ensemble des créatures vivantes émanait du milieu du feu ; la puissance et l’existence des anges proviennent de Dieu. Ces derniers possèdent le pouvoir de compréhension de l’homme, et même davantage.

      Le lion caractérise la force et la hardiesse. Le bœuf représente la diligence et la patience, ainsi que l’inlassable persévérance au travail qu'il doit effectuer. L’aigle est remarquable pour sa vue perçante et redoutable, même quand il est très haut dans le ciel. Les anges, qui surpassent les hommes sur tous ces points, possèdent ces qualités. Ils ont des ailes ; quelle que soit la mission que Dieu leur assigne, ils ne perdent pas une minute pour l’accomplir. Ils se tiennent bien droits, fermes et sereins. Ils possèdent des ailes pour se mouvoir, mais aussi des mains pour agir.

      Beaucoup de personnes donnent l’impression d’être rapides, mais en fait, ne sont pas très actives ; elles courent çà et là, mais ne font rien de concret : elles ont des « ailes », mais pas de « mains ». Quand les anges sont portés par leurs ailes, leurs mains accomplissent le devoir qui leur est assigné. Quel que soit le lieu où elles doivent accomplir leur service, elles s’y rendent sans détour.

      Quand nous nous dirigeons directement vers un but, nous allons de l’avant ; quand nous servons Dieu avec tout notre cœur, nous sommes plus efficaces dans notre tâche.

      Quand les animaux se déplaçaient, ils ne se tournaient pas çà et là. Ils ne commettaient aucune erreur, leur travail n’avait pas besoin d’être revu. Ils se dirigeaient directement, là où l'Esprit de Dieu leur avait commandé d’aller.

      Le prophète pouvait discerner cette vision, par la lumière qui émanait directement des créatures vivantes : leur aspect était comme les charbons ardents ; c’était des séraphins, ou des « flambeaux » : cela dénotait l'ardeur de leur amour envers Dieu, et leur zèle pour accomplir Son service.

      Nous pouvons tirer des leçons profitables de la description de tels sujets, même si nous nous ne pouvons pas en comprendre la totalité du sens. Sachons nous occuper des tâches qui se rapportent à notre devoir et à notre paix, laissons les choses « cachées » au Seigneur, à qui elles appartiennent.

      Daniel 7

      9 Ces versets sont destinés à réconforter et à soutenir le peuple de Dieu, dans les persécutions qu'il doit subir dans le futur. Beaucoup de prophéties citées dans le Nouveau Testament sont mentionnées dans cette vision ; en particulier celle dans l'Apocalypse Apocalypse 20:11,12. Le Messie est appelé ici « le Fils de l'homme » ; il a été créé dans un corps de chair similaire au nôtre, et bien qu'Il soit Fils de Dieu, Il est descendu parmi les hommes. Le grand événement prévu dans ce passage, est la venue glorieuse de Christ, destinée à détruire toute puissance hostile à la chrétienté et à établir Son propre Royaume universel sur la terre.

      Mais avant que cet instant solennel n'arrive, prévu pour manifester la Gloire de Dieu à tous les royaumes terrestres, nous devons savoir que notre sort sera déterminé à l'heure de notre mort ; avant que cette issue finale n'arrive, le Père a donné à Son Fils incarné ici-bas comme notre Médiateur et notre Juge, l'héritage des nations, selon Sa volonté.

      Zacharie 13

      7 Nous voyons dans ce texte une prophétie relative aux souffrances de Christ : au verset sept, nous voyons Dieu le Père donner des ordres « à l'épée de Sa Justice », afin qu’elle se dresse contre Son Fils, qui allait, de plein gré, se donner en offrande à la croix, pour le péché de l’humanité.

      Christ, Dieu en personne, est appelé « mon compagnon. ». En fait, Christ et le Père ne sont « qu’une seule Personne ». Jésus est le Berger qui allait donner Sa vie pour Ses brebis. Il devait subir ce sacrifice, car « sans effusion du sang, il ne peut y avoir de rémission des péchés, » (Heb 9:22)*.

      L’épée mentionnée au début de ce texte allait se lever contre Christ, malgré le fait qu’Il n’ait aucun péché à se faire pardonner. C’est peut-être une allusion à toutes les souffrances du Seigneur, en particulier lors de la terrible agonie qu'Il a connue dans le jardin de Gethsémané et surtout au supplice de la croix, jusqu'à ce que la justice divine soit complètement satisfaite.

      « Frappe le Berger, et les brebis seront dispersées. » Cette prédiction s’est accomplie quand notre Seigneur Jésus fut abandonné par tous Ses disciples, la nuit où il fut trahi : en effet, tous s’enfuirent. Nous pouvons également faire de cette phrase un parallèle avec la dispersion d’une partie de l'église, corrompue et hypocrite...

      Les Juifs ayant rejeté et crucifié Christ, en s’opposant à Son Évangile, furent persécutés par les Romains, qui détruisirent une grande partie du peuple. Toutefois, un « reste » sera sauvé (verset huit). Si nous faisons partie de Son peuple, nous serons alors « affinés spirituellement, comme l'or ; » Il restera éternellement notre Dieu ! Lors de l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ, nous connaîtrons la fin de toutes nos épreuves et de nos souffrances ici-bas, et cela se traduira par des louanges, à Sa gloire !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 8

      Matthieu 9

      Matthieu 16

      13 Pierre et ses frères, dirent au Seigneur qu'ils étaient certains qu’Il était bien le Messie promis, le Fils du Dieu vivant. Cette parole montrait qu'ils croyaient que Jésus était bien plus qu'un homme ! Notre Seigneur déclara alors à Pierre qu’il était béni : l'enseignement divin le rendait différent de ses concitoyens incrédules.

      Christ ajouta qu'Il le nommait Pierre, faisant ainsi allusion à sa constance et sa fermeté, à professer la Vérité. Le terme traduit par « roc » (ou pierre dans certaines traductions*), n'est pas le même mot que Pierre, mais il a une signification semblable. Il est complètement faux de supposer que Christ signifiait par là, que la personne de Pierre était « le » roc. Sans aucun doute, Christ Lui-même est ce Roc, le seul, le véritable Fondement de l'église ; et malheur à celui qui tente d'en imposer un autre ! La confession de Pierre est ce roc, en tant que doctrine. Si certains prétendent que Jésus n'est pas le Christ, ils tentent d’affirmer par là, que celui qui Le possède n’est alors aucunement participant de la véritable Église : ils ne cherchent qu’à fourvoyer les autres.

      Notre Seigneur annonça ensuite l'autorité dont Pierre allait être investi. Jésus indiqua que l’apôtre allait être le premier « élément » qui allait constituer l’église, avec toute la fraternité qui allait ensuite en découler, parmi ses membres. Il manquait encore aux disciples une certaine aptitude à discerner le « fond » du cœur humain, risquant de ce fait, par leur attitude, de commettre toujours des erreurs, voire certains péchés ; ils furent cependant gardés de tout égarement dans l’annonce de la voie qui mène au salut, à l’obéissance, au comportement du croyant, et celle de la ruine finale qui attend les impies et les hypocrites. Leurs connaissances et leur compétence sur de tels sujets étaient correctes, en accord avec l’enseignement céleste.

      Toutes les « solutions personnelles » auxquelles peut prétendre un homme, quel qu'il soit, pour absoudre ou pour prévenir les péchés des hommes, ne sont que blasphèmes et absurdités. Nul autre que Dieu ne peut pardonner l’iniquité.

      Les verbes « lier et délier », (verset Matthieu 16:19*) dans le langage commun des Juifs, signifiaient interdire, permettre, ou enseigner ce qui était légal ou illicite.

      * Parenthèses ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 25

      31 Nous trouvons dans ce texte une description du Jugement dernier : c'est en fait la suite des explications relatives aux paraboles précédentes.

      Plus tard, aura lieu le Jugement dernier, où chacun recevra la juste rétribution de sa vie ici-bas : la félicité éternelle, ou les tourments. Christ viendra, non seulement dans la Gloire de Son Père, mais aussi dans Sa propre Gloire, en tant que Médiateur. Le méchant, comme l’homme pieux cohabitent sur cette terre, dans les mêmes villes, les mêmes églises, les mêmes familles, sans se connaître vraiment l’un l’autre ; tel est le résultat de la faiblesse du témoignage des saints, face aux hypocrisies des pécheurs : la mort surprendra les uns comme les autres... En ce jour du Jugement, ils seront alors séparés pour toujours.

      Jésus-Christ est le grand Berger ; Il sait distinguer immédiatement les âmes qui Lui appartiennent, de celles qui Lui sont étrangères. Il n’y a aucune autre distinction possible, seule sera visible la différence entre le racheté et le pécheur, entre le sanctifié et l'impie et cela, de manière irréversible. Dans le ciel, la félicité éternelle des saints sera merveilleuse. Ce sera le Royaume du Seigneur ; la plus grande des possessions ici-bas ne sera que bien modeste, face à cette bénédiction des saints dans les cieux.

      Ce Royaume est préparé : le Père l'a conçu pour les Siens, dans la grandeur de Sa Sagesse et de Sa Puissance ; le Fils l'a « acquis » pour eux ; et l'Esprit béni, en préparant les âmes des rachetés pour ce Royaume, prépare en fait le ciel pour elles : il est en tous points adapté à la nouvelle nature de ceux qui sont sanctifiés. Ce Royaume est préparé depuis la fondation du monde. La félicité en ce lieu a été prévue pour les saints, de toute éternité. Ils viendront, et en hériteront.

      Nous n’avons pas acquis notre héritage spirituel : c'est Dieu qui nous fait héritiers du ciel. Nous ne devons pas supposer que les actes de générosité que nous pourrions accomplir ici-bas, puissent donner droit au bonheur éternel. Les bonnes œuvres opérées pour Dieu, par le biais de Jésus-Christ, sont mentionnées dans ce texte, comme étant le « fruit spirituel » des croyants, rendus saints par l'Esprit de Christ ; ce fruit est le résultat de la Grâce, conférée à ceux qui accomplissent ces œuvres.

      Les méchants de ce monde ont souvent été appelés à venir à Christ, pour bénéficier de la vie et du repos éternels, mais ils se sont détournés de ces appels : de ce fait, il est juste qu’ils soient séparés de Christ. Les pécheurs condamnés, lors du Jugement, présenteront en vain des excuses. Le châtiment des méchants sera éternel ; leur culpabilité ne peut pas être révoquée.

      Ainsi la vie et la mort, le bien et le mal, la bénédiction et la malédiction, sont placés devant nous, pour que nous puissions choisir notre chemin : tel il sera, telle sera notre destin !

      Matthieu 26

      Marc 1

      Marc 14

      Luc 2

      Luc 3

      21 Christ n'a pas confessé de péché, comme le peuple le faisait : Il n'en avait en effet aucun à confesser ; mais Il a prié et est resté en communion avec son Père.

      On peut remarquer qu’à chaque fois que des voix sont descendues du ciel, (trois fois au temps de l’Évangile) alors que le Père portait témoignage au Fils, elles ont été prononcées pendant que Jésus priait, ou aussitôt après Luc 9:35, Jean 12:28.

      Le Saint-Esprit est descendu sur Jésus, sous une forme corporelle, comme une colombe, puis une voix est venue du ciel, Celle de Dieu le Père, exprimant Sa Gloire extraordinaire. C'était ainsi une preuve de l’existence de la Sainte Trinité, trois Personnes dans la Divinité, manifestées lors du baptême de Christ.

      Luc 22

      Luc 24

      Jean 3

      14 Jésus-Christ est venu ici-bas pour nous sauver ; Il nous a « guéris » (du péché), comme l’étaient les enfants d'Israël, lorsqu’ils étaient piqués par des serpents venimeux : ils furent guéris en levant les yeux vers le serpent d'airain, Nombres 21:6-9.

      Nous pouvons remarquer à ce propos, la nature mortelle et destructrice du péché. Demandez aux consciences repentantes, interrogez des pécheurs condamnés, ils vous diront combien peuvent être séduisants les attraits du péché, mais qu'à la fin, ce dernier « mord » comme un serpent. Il y a cependant un remède puissant contre cette maladie fatale : dans l'évangile, Christ est clairement mis en évidence, Il est Celui qui offre le salut. Celui que nous avons offensé est en réalité notre Paix, le seul moyen d'obtenir la guérison c'est de croire en Lui.

      Pour certains, aussi léger que puisse être leur mal, leur péché, ou quelle que soit la méthode de guérison offerte par Christ, s'ils ne veulent pas Le recevoir en leur cœur, ils courent à la ruine.

      Jésus dit : « regarde et sois sauvé, regarde et vis » ! Levez les « yeux de votre foi » vers Christ crucifié. Tant que nous n’aurons pas franchi ce pas, nous ne serons pas guéris, mais nous serons toujours agressés par les flèches de Satan, donc dans un état de mort.

      Jésus-Christ est venu pour nous sauver, en endossant nos péchés, afin que nous ne tombions pas sous la sentence de la loi divine. Tel est le message de l'Évangile, la véritable bonne nouvelle ! C’est cela l'Amour de Dieu, donnant son Fils pour le monde. Dieu a véritablement aimé le monde, d’un Amour incomparable. Contemplez, et soyez émerveillés de voir que ce grand Dieu ait pu aimer un tel monde indigne ! Notre grand devoir, en entendant l'Évangile, consiste à croire en Jésus-Christ. Dieu l'ayant donné pour être notre Prophète, notre Sacrificateur, et notre Roi, nous devons nous soumettre à Lui, afin d’être sauvés, tout en gardant Ses enseignements. Voici l’aspect merveilleux de l'Évangile : quiconque croit en Christ, ne périra pas, mais aura la vie éternelle ! Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même, le sauvant ainsi. Le monde ne peut être sauvé que par Christ ; il n'y a de salut en aucun autre.

      Tout ce texte nous révèle le bonheur spirituel des véritables croyants. Celui qui croit en Christ n'est pas condamné : bien qu'il ait été peut-être auparavant un grand pécheur, il n'est cependant pas traité par Dieu selon ses fautes !

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      Jean 6

      47 L'avantage de la manne était en quelque sorte limité : elle ne se rapportait qu’à cette vie terrestre ; « le pain de vie », quant à lui, est excellent : l'homme qui s'en nourrit ne mourra jamais !

      Ce pain est la nature humaine de Christ, nature qu’Il revêtit pour l'offrir au Père, en tant que sacrifice pour les péchés du monde ; consommer ce pain, c’est acquérir tout ce qui appartient à la vie et à la piété ; cela concerne les pécheurs de toutes nations, qui se repentent et croient en Jésus !

      Jean 8

      Jean 10

      1

      La parabole du bon berger. (Jean 10:1-5)
      Christ la Porte. (Jean 10:6-9)
      Christ le bon Berger. (Jean 10:10-18)
      L'opinion des Juifs à propos de Jésus. (Jean 10:19-21)
      Son sermon à la fête de la dédicace. (Jean 10:22-30)
      Les Juifs tentent de lapider Jésus. (Jean 10:31-38)
      Il quitte Jérusalem. (Jean 10:39-42)

      Nous trouvons dans ce texte une parabole, (ou une similitude), tirée des coutumes orientales relatives à la garde des brebis. Les hommes, en tant que créatures dépendant de leur Créateur, sont appelés ici « les brebis » de Son pâturage.

      L'église, en ce monde, est similaire à une bergerie, exposée aux dangers des trompeurs et des persécuteurs. Le grand Berger des brebis connaît toutes celles qui Lui appartiennent, Il les garde par Sa Providence, les guide par Son Esprit et Sa Parole, et marche devant eux, comme le faisaient les bergers orientaux, qui précédaient leurs brebis, afin qu'elles suivent l'empreinte de leurs pas.

      Les serviteurs de Dieu doivent assister leurs « brebis », dans leurs inquiétudes spirituelles. L'Esprit de Christ disposera alors devant eux une « porte ouverte ». Les brebis de Christ observeront leur Berger, seront prudentes et s'écarteront des étrangers qui voudraient les éloigner de la foi en leur Seigneur et les entraîner dans diverses déviations spirituelles.

      Jean 12

      Jean 13

      Jean 14

      12 Christ nous accordera tout ce que nous pouvons Lui demander en Son Nom, pour notre bien. Lorsqu’on fait une requête au Nom de Christ, nous sommes en pleine dépendance de Son mérite et de Son intercession auprès du Père.

      Le don de l'Esprit est le fruit de la médiation de Christ, obtenu par Son mérite, et reçu par Son intercession. Le terme original grec, « paraclet », traduit ici par « consolateur », signifie avocat, conseiller, conducteur. L’Esprit doit demeurer avec les enfants de Dieu jusqu'à la fin des temps ; Ses dons et Ses grâces doivent encourager le cœur de chacun.

      Les expressions concernant l’Esprit, utilisées dans ce texte comme ailleurs, dénotent clairement qu’il s’agit d’une Personne, qui porte les attributs des perfections divines. Le don du Saint-Esprit n’est accordé qu’aux disciples de Christ, mais pas au monde. C'est une faveur que Dieu accorde à Ses élus. En tant que source de sainteté et de bonheur spirituel, le Saint-Esprit demeurera avec chaque croyant, pour toujours !

      Jean 16

      23 Quand on adresse une requête au Père, cela démontre nos besoins, en termes de bénédictions et de demandes spirituelles, étant convaincus que seul le Père peut y répondre.

      Prier au Nom de Christ, c'est reconnaître notre indignité à recevoir la moindre faveur divine ; cela montre aussi une totale dépendance de Sa Personne : Il est le Seigneur de notre Justice !

      Notre Seigneur avait parlé jusqu'ici sous forme de courtes déclarations, lourdes de sens, ou au moyen de paraboles, pas toujours bien comprises par les disciples ; mais après Sa résurrection Jésus s'exerça à leur enseigner tout ce qui était apparenté au Père : le chemin pour Le connaître, grâce à l’intercession de Son Fils.

      La fréquence avec laquelle notre Seigneur nous recommande de présenter nos prières, en Son nom, montre que la grande finalité de la « médiation » qu’Il opère avec le Père, consiste à nous sensibiliser profondément quant à notre culpabilité ; cela souligne également le mérite et la puissance de Sa mort, grâce à laquelle, nous avons accès à Dieu.

      Souvenons-nous toujours de nous adresser au Père, « au Nom de Christ », ou de nous adresser au Fils, en tant que Dieu demeurant dans la nature humaine, réconciliant le monde avec Lui-même ; ces prières, adressées à deux personnes qui semblent différentes sont en fait la même chose : le Père et le Fils ne font qu’un !

      Jean 21

      Actes 1

      Actes 7

      Actes 10

      2 Thessaloniciens 1

      1 Timothée 3

      Hébreux 1

      Jude 1

      Apocalypse 4

      1

      Une vision de Dieu, sur Son trône glorieux, entouré de vingt-quatre anciens et quatre êtres vivants. (Apocalypse 4:1-8)
      Les actions de grâce des saints anges, entendues par l’apôtre. (Apocalypse 4:9-11)

      Après que le Seigneur Jésus eut demandé à l'apôtre Jean d'écrire aux églises « les choses qui sont », ce dernier eut une autre vision : il vit un trône dressé dans le ciel, emblème de l'autorité universelle de l'Éternel. Il vit, assis sur ce trône, « quelqu'un » ne possédant pas des traits humains, comme si l’on voulait le décrire suivant une ressemblance ou une image, mais se caractérisant par une luminosité incomparable. Il semble que nous ayons ici, les emblèmes de l'Excellence de la nature de Dieu, et de Sa Justice redoutable.

      Autour du trône, l'arc-en-ciel est un symbole qui représente bien l’alliance de la promesse que Dieu a faite avec Christ, en tant que « Tête de l'église », avec tout Son peuple « en » Lui. La couleur dominante de cet arc était d’un agréable vert, représentant la nature rafraîchissante de la nouvelle alliance. Vingt-quatre sièges se trouvaient autour du trône, occupés par vingt-quatre anciens, représentant, probablement, toute l'église de Dieu.

      Leur position assise dénote l'honneur, le repos, et la satisfaction ; leur emplacement, proche du trône, signifie la proximité de Dieu, la vue et le plaisir qu'ils avaient d’être près de Sa Personne. Ils étaient vêtus de vêtements blancs : la justice imputée aux saints ; ils avaient sur leurs têtes des couronnes d'or, représentant la gloire qu'ils partagent avec Dieu.

      Des éclairs et des voix sortaient du trône : ils représentent les déclarations solennelles que Dieu fait à son église, selon Sa Volonté et Son bon Plaisir.

      Sept lampes ardentes brûlaient devant le trône : ce sont les dons, les grâces, et les opérations de l'Esprit de Dieu, dans les églises de Christ, dispensés selon la volonté et le plaisir de Celui qui est assis sur le trône.

      Ici-bas, au temps de l'évangile, le « bassin pour la purification » est le sang du Seigneur Jésus-Christ, qui purifie de tout péché. Dans ce bassin, tout doit être lavé, pour être admis dans la présence, pleine de Grâce, de Dieu sur terre, et dans Sa présence glorieuse dans les cieux.

      L'apôtre voyait quatre êtres vivants, entre le trône et le cercle que formaient les anciens : ils se tenaient entre Dieu et le peuple ; ces être semblent représenter les véritables « ministres » de l'évangile, par leur place, entre Dieu et le peuple. Cela se révèle également par leur description, dénotant la sagesse, le courage, l'assiduité, la discrétion, et les louanges qu’ils font monter vers le ciel.

      Apocalypse 19

      11 Christ, la « Tête » glorieuse de l'église, est décrit dans ce texte, monté sur un cheval blanc, emblème de la justice et de la sainteté. Sur Sa tête se trouvent plusieurs diadèmes : Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Il est revêtu d'un vêtement qui a été trempé dans son propre sang, ce qui lui permet d’être le Médiateur et de prévaloir sur Ses ennemis, qu’Il domine toujours.

      Son nom est « La Parole de Dieu », un nom que personne ne connaît complètement, excepté Lui-même ; le seul fait que nous connaissions vraiment, est que cette Parole était Dieu, et qu’Elle a été manifestée dans la chair ; toutefois, Ses perfections ne peuvent pas être encore complètement comprises par les simples créatures que nous sommes. Les anges et les saints Le suivent, et sont, comme Christ, revêtus d’une armure de pureté et de justice.

      Les menaces proférées sur ses ennemis sont écrites dans Sa Parole, elles s'exécuteront inexorablement. Ce qui caractérise Sa puissance est contenu dans Son nom : Son autorité et Son pouvoir sont affirmés, avertissant les princes le plus puissants d'avoir à se soumettre, et de devoir tomber à Ses pieds. Les puissances de la terre et de l'enfer tentent de faire d’ultimes efforts pour contrecarrer ce plan...

      Ces versets annoncent des événements importants, prédits par les prophètes. Les personnes mentionnées ici n'ont pas d’excuses quant à leur conduite : elles exécutaient ce que leurs dirigeants leur ordonnaient de faire. Combien sera vaine l’autodéfense de nombreux pécheurs au grand jour du Jugement : « nous avons suivi nos guides ; nous faisions comme nous avons vu faire les autres » !

      Dieu, dans Sa Parole, a donné une règle à suivre ; ni l'exemple de la majorité, ni nos dirigeants, ne doivent nous influencer pour déroger à cette règle ; si nous faisons « comme tout le monde », nous devrons aller là où va le plus grand nombre, dans l'étang de feu...

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