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Les rois de la terre se préparent au combat, les princes se concertent contre le Seigneur et contre le roi qu’il a consacré.
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« Rompons les liens qu’ils nous imposent, disent-ils, rejetons leur domination ! »
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Mais le Seigneur se met à rire, celui qui siège au ciel se moque d’eux.
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Eh bien, moi je vous déclare : tout homme qui se met en colère contre son frère mérite de comparaître devant le juge ; celui qui dit à son frère : “Imbécile !” mérite d’être jugé par le Conseil supérieur ; celui qui lui dit : “Idiot !” mérite d’être jeté dans le feu de l’enfer.
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Alors les chefs des prêtres et les anciens du peuple juif se réunirent dans le palais de Caïphe, le grand-prêtre ;
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Tôt le matin, tous les chefs des prêtres et les anciens du peuple juif prirent ensemble la décision de faire mourir Jésus.
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Ils le firent ligoter, l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate, le gouverneur romain.
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On était à deux jours de la fête de la Pâque et des pains sans levain. Les chefs des prêtres et les maîtres de la loi cherchaient un moyen d’arrêter Jésus en cachette et de le mettre à mort.
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Les chefs des prêtres et les maîtres de la loi cherchaient un moyen de mettre à mort Jésus, mais ils avaient peur du peuple.
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Voilà comment Jésus fit le premier de ses signes miraculeux, à Cana en Galilée ; il manifesta ainsi sa gloire, et ses disciples crurent en lui.
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Les chefs des prêtres et les Pharisiens réunirent alors le Conseil supérieur et dirent : « Qu’allons-nous faire ? Car cet homme réalise beaucoup de signes miraculeux !
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Les chefs des prêtres et les Pharisiens avaient ordonné que si quelqu’un savait où était Jésus, il devait les avertir, afin qu’on puisse l’arrêter.
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Les Pharisiens se dirent alors entre eux : « Vous voyez que vous n’y pouvez rien : tout le monde s’est mis à le suivre ! »
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Le lendemain, les chefs des Juifs, les anciens et les maîtres de la loi s’assemblèrent à Jérusalem.
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Il y avait en particulier Hanne le grand-prêtre, Caïphe, Jean, Alexandre et tous les membres de la famille du grand-prêtre.
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Ils se disaient : « Que ferons-nous de ces gens ? Car tous les habitants de Jérusalem savent clairement que ce miracle évident a été réalisé par eux et nous ne pouvons pas le nier.
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Mais il ne faut pas que la nouvelle de cette affaire se répande davantage parmi le peuple. Nous allons donc leur défendre avec des menaces de parler encore à qui que ce soit au nom de Jésus. »
27
Car il est bien vrai qu’Hérode et Ponce-Pilate se sont unis, dans cette ville, avec les représentants des nations étrangères et du peuple d’Israël contre ton saint serviteur Jésus, celui que tu as consacré.
28
Ils ont ainsi réalisé tout ce que, avec puissance, tu avais voulu et décidé d’avance.
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Les apôtres obéirent : tôt le matin, ils allèrent dans le temple et se mirent à proclamer leur enseignement. Le grand-prêtre et ceux qui étaient avec lui réunirent les anciens du peuple juif pour une séance du Conseil supérieur. Puis ils envoyèrent chercher les apôtres à la prison.
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En apprenant cette nouvelle, le chef des gardes du temple et les chefs des prêtres ne surent que penser et ils se demandèrent ce qui était arrivé aux apôtres.
Ces mêmes pharisiens, avec les principaux sacrificateurs convoquent une séance du sanhédrin (grec un sanhédrin ; c'est ici la seule fois que Jean emploie ce mot), pour délibérer sur l'événement qu'on vient de leur dénoncer et qui était de nature à grandir démesurément l'influence redoutée de Jésus sur le peuple.
Il faut remarquer ce verbe au présent : que faisons-nous ? Il est urgent de faire quelque chose et de le faire tout de suite.
Ce qui les remplit d'inquiétude c'est que cet homme (terme de mépris) fait beaucoup de miracles.
Ce n'est donc pas seulement la résurrection de Lazare qui les trouble, celle-ci n'a fait que mettre le comble à ces manifestations de la puissance divine qui agissait par Jésus et que les chefs du peuple ne peuvent tolérer. Ils croient ces miracles, ils les constatent officiellement, et ils veulent condamner celui qui les opère !
De toute évidence, les paroles prophétiques de ce souverain sacrificateur ne manifestaient pas une abondance de Grâce en son cœur. Quand nous cherchons à fuir la calamité en pratiquant le péché, nous ne faisons en réalité qu’attirer cette dernière sur notre tête ; il en est de même pour ceux qui pensent qu’en s'opposant au Royaume de Christ, leurs intérêts ici-bas ne pourront que croître : le sort réservé aux méchants les atteindra inexorablement...
Lorsque les âmes se convertissent à Christ, elles se rassemblent spirituellement autour de Lui ; Il est leur Souverain et leur Refuge, Il est mort dans ce but ! Par cette mort, Il a racheté ces âmes pour Lui-même, pour leur octroyer ensuite le Saint-Esprit ; en cet Amour manifesté à la croix, les croyants sont alors étroitement unis !