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7
Je maintiendrai éternellement mon alliance avec toi, puis avec ta descendance après toi, de génération en génération. En vertu de cette alliance, je serai ton Dieu et celui de ta descendance après toi.
8
Je te donnerai, ainsi qu’à ta descendance, ce pays de Canaan où tu vis maintenant en étranger et en nomade. Il sera votre propriété pour l’éternité. Et je serai le Dieu de ta descendance.
29
Elisée ordonna à Guéhazi :
—Mets ta ceinture ! Prends mon bâton en main et va. Si tu rencontres quelqu’un en chemin, ne perds pas de temps à le saluer, et si quelqu’un te salue, ne t’arrête pas pour lui répondre. Quand tu arriveras dans la maison de cette femme, tu poseras mon bâton sur le visage du garçon.
9
Puis ils se dirent l’un à l’autre :
—Ce n’est pas bien, ce que nous faisons là ! Ce jour est un jour de bonne nouvelle. Si nous gardons cette bonne nouvelle pour nous et si nous attendons qu’il fasse jour pour la publier, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, allons prévenir le palais royal.
22
Délivre-moi de la gueule du lion !
Préserve-moi des cornes des taureaux !
Oui, tu m’as répondu !
4
Alors j’avancerai jusqu’à l’autel de Dieu,
vers toi, Dieu de ma joie et de mon allégresse.
Alors je te louerai en m’accompagnant de la lyre. O Dieu : tu es mon Dieu !
14
Admirez ses remparts,
et passez en revue chacun de ses palais
pour pouvoir annoncer à la génération suivante
18
Les chars de Dieu sont innombrables,
des milliers et des milliers,
et l’Eternel est parmi eux.
Il est venu du Sinaï jusque dans son sanctuaire.
26
J’étendrai jusqu’à la mer sa domination.
J’établirai son empire jusque sur les fleuves.
10
ne sois pas effrayé,
car je suis avec toi ;
ne sois pas angoissé,
car moi je suis ton Dieu.
Je t’affermis,
je viens à ton secours,
pour sûr, je te soutiens de mon bras droit qui fait justice.
33
Mais voici quelle alliance
je vais conclure avec le peuple d’Israël :
Après ces jours,
déclare l’Eternel,
je placerai ma Loi au plus profond d’eux-mêmes,
je la graverai dans leur cœur ;
moi, je serai leur Dieu,
eux, ils seront mon peuple.
38
Ils seront mon peuple et je serai leur Dieu.
28
Vous demeurerez dans le pays que j’ai donné à vos ancêtres et vous serez mon peuple, et moi je serai votre Dieu.
27
Ma demeure sera près d’eux, je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
7
« Epée, réveille-toi contre mon berger, le chef de mon peuple,
contre mon compagnon,
demande l’Eternel, le Seigneur des *armées célestes.
Va, frappe le berger :
que les brebis soient dispersées !
Je porterai la main sur les petits.
8
Alors dans le pays entier,
l’Eternel le déclare,
les deux tiers des humains seront exterminés,
seul un tiers survivra.
9
Et je ferai passer ce tiers-là par le feu,
oui, je l’épurerai
ainsi qu’on épure l’argent.
Et je l’éprouverai
comme on éprouve l’or.
Ce tiers m’invoquera
et je l’exaucerai.
Je dirai : “C’est mon peuple.”
Lui, il confessera : “L’Eternel est mon Dieu.” »
50
Car celui qui fait la volonté de mon Père céleste, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère.
40
Et le roi leur répondra :
« Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous avez fait cela au moindre de mes frères que voici, c’est à moi-même que vous l’avez fait. »
7
Puis allez vite annoncer à ses *disciples qu’il est ressuscité d’entre les morts. Et voici : il vous précède en *Galilée. Là vous le verrez. Voilà ce que j’avais à vous dire.
9
Et voici que, tout à coup, Jésus vint à leur rencontre et leur dit :
—Salut à vous.
Elles s’approchèrent de lui, lui embrassèrent les pieds et l’adorèrent.
10
Alors Jésus leur dit :
—N’ayez aucune crainte ! Allez dire à mes frères qu’ils doivent se rendre en Galilée : c’est là qu’ils me verront.
19
Après leur avoir ainsi parlé, le Seigneur Jésus fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu.
4
N’emportez ni bourse, ni sac de voyage, ni sandales, et ne vous attardez pas en chemin pour saluer les gens.
49
Quant à moi, j’enverrai bientôt sur vous ce que mon Père vous a promis. Vous donc, restez ici dans cette ville, jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut.
50
Ensuite il les emmena hors de la ville jusqu’aux environs de Béthanie et là, élevant ses mains, il les bénit.
51
Pendant qu’il les bénissait, il les quitta et fut enlevé au ciel.
12
Certains pourtant l’ont accueilli ; ils ont cru en lui. A tous ceux-là, il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu.
13
Ce n’est pas par une naissance naturelle, ni sous l’impulsion d’un désir, ou encore par la volonté d’un homme, qu’ils le sont devenus ; mais c’est de Dieu qu’ils sont nés.
33
Jésus déclara :
—Je suis encore pour un peu de temps parmi vous. Ensuite je retournerai auprès de celui qui m’a envoyé.
1
C’était juste avant la fête de la *Pâque. Jésus savait que l’heure était venue pour lui de quitter ce monde pour s’en aller auprès de son Père. C’est pourquoi il donna aux siens, qu’il aimait et qui étaient dans le monde, une marque suprême de son amour pour eux.
3
Jésus savait que le Père avait tout remis entre ses mains, qu’il était venu d’auprès de Dieu et allait retourner auprès de lui.
2
Dans la maison de mon Père, il y a beaucoup de demeures ; si ce n’était pas vrai, je vous l’aurais dit : en effet je vais vous préparer une place.
6
—Le chemin, répondit Jésus, c’est moi, parce que je suis la vérité et la vie. Personne ne va au Père sans passer par moi.
28
Vous m’avez entendu dire que je pars, mais aussi que je reviendrai auprès de vous. Si vous m’aimiez, vous seriez heureux de savoir que je vais au Père, car le Père est plus grand que moi.
28
C’est vrai : je suis venu du Père et je suis venu dans le monde. Maintenant, je quitte le monde et je retourne auprès du Père.
5
Et maintenant, Père, revêts-moi de gloire en ta présence, donne-moi cette gloire que j’avais déjà auprès de toi avant les origines du monde.
11
Bientôt, je ne serai plus dans le monde, car je vais à toi, mais eux, ils vont rester dans le monde. Père saint, garde-les par le pouvoir de ton nom, celui que tu m’as donné, pour qu’ils soient un comme nous le sommes.
25
Père, toi qui es juste, le monde ne t’a pas connu, mais moi je t’ai connu, et ceux-ci ont compris que c’est toi qui m’as envoyé.
17
—Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
27
Puis il dit à Thomas :
—Place ton doigt ici, vois mes mains ; avance ta main et mets-la dans mon côté. Ne sois donc pas incrédule, mais crois.
14
Car ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.
15
En effet, vous n’avez pas reçu un Esprit qui fait de vous des esclaves et vous ramène à la crainte : non, vous avez reçu l’Esprit qui fait de vous des fils adoptifs de Dieu. Car c’est par cet Esprit que nous crions : Abba, c’est-à-dire Père !
16
L’Esprit Saint lui-même et notre esprit nous témoignent ensemble que nous sommes enfants de Dieu.
17
Et puisque nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et donc cohéritiers du Christ, puisque nous souffrons avec lui pour avoir part à sa gloire.
29
En effet, ceux que Dieu a connus d’avance, il les a aussi destinés d’avance à devenir conformes à l’image de son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné de nombreux frères.
18
Je serai pour vous un père,
et vous serez pour moi des fils et des filles,
dit le Seigneur, le Tout-Puissant.
26
Maintenant, par la foi en Jésus-Christ, vous êtes tous fils de Dieu.
6
Puisque vous êtes bien ses fils, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils qui crie : Abba, c’est-à-dire « Père ».
7
Ainsi donc, tu n’es plus esclave, mais fils, et, puisque tu es fils, tu es héritier des biens promis, grâce à Dieu.
17
Je demande que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui possède la gloire, vous donne, par son Esprit, sagesse et révélation, pour que vous le connaissiez ;
18
qu’il illumine ainsi votre intelligence afin que vous compreniez en quoi consiste l’espérance à laquelle vous avez été appelés, quelle est la glorieuse richesse de l’héritage que Dieu vous fait partager avec tous ceux qui lui appartiennent,
19
et quelle est l’extraordinaire grandeur de la puissance qu’il met en œuvre en notre faveur, à nous qui plaçons notre *confiance en lui. Cette puissance, en effet, il l’a déployée dans toute sa force
20
en la faisant agir dans le Christ lorsqu’il l’a ressuscité d’entre les morts et l’a fait siéger à sa droite, dans le monde céleste.
21
Là, le Christ est placé bien au-dessus de toute Autorité, de toute Puissance, de toute Domination et de toute Souveraineté : au-dessus de tout nom qui puisse être cité, non seulement dans le monde présent, mais aussi dans le monde à venir.
22
Dieu a tout placé sous ses pieds, et ce Christ qui domine toutes choses, il l’a donné pour chef à l’Eglise
23
qui est son corps, lui en qui habite la plénitude du Dieu qui remplit tout en tous.
8
C’est bien ce que déclare l’Ecriture :
Il est monté sur les hauteurs,
il a emmené des captifs
et il a fait des dons aux hommes.
9
Or, que signifie : Il est monté ? Cela implique qu’auparavant, il est descendu jusqu’en bas, c’est-à-dire sur la terre.
10
Celui qui est descendu, c’est aussi celui qui est monté au-dessus de tous les cieux afin de remplir l’univers entier.
11
Car Jésus, qui *purifie les hommes de leurs péchés, et ceux qui sont ainsi purifiés partagent la même humanité. C’est pourquoi il n’a pas honte de les appeler ses frères
12
lorsqu’il dit à Dieu :
Je proclamerai à mes frères quel Dieu tu es,
je te louerai dans la grande assemblée.
13
Il dit aussi : Pour moi, je mettrai toute ma *confiance en Dieu, et encore : Me voici avec les enfants que Dieu m’a donnés.
10
Mais voici quelle alliance je vais conclure avec le peuple d’*Israël
après ces jours, dit le Seigneur :
je placerai mes lois dans leur pensée,
je les graverai dans leur cœur ;
je serai leur Dieu,
et ils seront mon peuple.
16
En fait, c’est une meilleure patrie qu’ils désirent, c’est-à-dire la patrie céleste. Aussi Dieu n’a pas honte d’être appelé « leur Dieu », et il leur a préparé une cité.
3
Loué soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans son grand amour, il nous a fait naître à une vie nouvelle, grâce à la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour nous donner une espérance vivante.
2
Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu et ce que nous serons un jour n’a pas encore été rendu manifeste. Nous savons que lorsque le Christ paraîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu’il est.
3
Et j’entendis une forte voix, venant du trône, qui disait :
Voici la Tente de Dieu avec les hommes. Il habitera avec eux ; ils seront ses peuples et lui, Dieu avec eux, sera leur Dieu.
7
Tel sera l’héritage du vainqueur. Je serai son Dieu et il sera mon fils.
Quelle était donc la pensée qui inspirait l'attitude de Marie et que Jésus désapprouve ? Comment comprendre la parole par laquelle Jésus motive sa défense : car je ne suis pas encore monté vers le Père ? (Le texte reçu porte : mon Père. Sin., B, D, Itala omettent le pronom possessif.)
1° Meyer pense que Marie, en touchant le Seigneur de ses mains, voulait s'assurer qu'il était bien ressuscité, corporellement présent, qu'elle ne voyait pas une simple apparition de son esprit. Et Jésus lui donnerait cette assurance en disant : C'est bien moi, car je ne suis pas encore monté dans la gloire du Père. Mais peut-on supposer ces doutes en Marie, quand elle venait de s'écrier, pleine d'assurance et de joie : Maître ! Et d'ailleurs pourquoi Jésus refuserait-il à Marie un moyen de conviction qu'il offrait lui-même à d'autres disciples ? (Jean 20.20,27 ; Luc 24.39)
2° La pensée de Marie serait de l'adorer, et Jésus lui dirait qu'elle ne doit le faire qu'après qu'il sera entré dans sa gloire. (Lücke et d'autres.) Mais cette explication méconnaît la divinité du Fils de Dieu, aussi réelle avant son ascension qu'après, et Jésus n'a point désapprouvé cet élan d'adoration dans un autre de ses disciples. (verset 28)
3° Quelques interprètes (Bèze, Bengel) s'arrêtant surtout à la seconde parole de Jésus : "Va vers mes frères...," pensent qu'il aurait simplement voulu dire à Marie : Ne t'attarde pas maintenant à ces témoignages de ta joie, mais hâte-toi d'aller annoncer à mes frères que je monte...Cette idée ne nous paraît point convenir à la situation, et d'ailleurs elle n'explique pas les mots : car je ne suis pas encore monté vers mon Père.
4° Marie aurait voulu retenir près d'elle le Seigneur, s'assurer qu'il ne va pas la quitter de nouveau. A quoi Jésus répondrait que le moment de son départ définitif n'est pas venu et qu'elle le reverra encore. (Néander Ebrard.) Mais ce dernier motif paraît peu en harmonie avec la solennité d'un tel moment et aussi avec le message dont Jésus va charger Marie.
5° Elle aurait pensé que déjà les nombreuses promesses de Jésus concernant son retour vers les siens, telles que Jean 16.16, étaient accomplies : et elle aurait voulu s'attacher à lui et jouir pleinement de sa présence.
La parole de Jésus signifierait alors que ce n'est qu'après sa glorification qu'il sera réellement avec les siens et vivra en eux. (Calvin et, avec quelques modifications, M. Godet.)
Cette interprétation, vraie au fond, nous paraît seulement, en ce qui concerne Marie, lui supposer une trop claire intelligence des promesses du Sauveur et une trop haute spiritualité.
Nous pensons avec de Wette, Tholuck MM. Weiss, Keil, que Marie, s'élançant vers Jésus pour le toucher (comparez Luc 7.38,39) et lui témoigner son amour et sa vénération, croyait que ses rapports antérieurs et habituels avec lui allaient recommencer, sans qu'il y eût rien de changé en eux, et qu'elle se livrait tout entière, avec bonheur, à cette pensée.
Il fallait donc la tirer de cette erreur, la déprendre de ces relations terrestres avec son Maître, élever ses affections vers le moment prochain, où, soustrait à ses regards, monté vers son Père, le Sauveur entrerait avec les siens dans une communion infiniment plus intime, plus élevée, plus sainte. (Comparer 2Corinthiens 5.16)
Toucher, dit saint Augustin, c'est trouver la limite de l'idée que nous nous faisons d'un objet ; Jésus glorifié s'offre à l'âme comme l'infini qui seul la satisfait.
Je monte vers mon Père, telle est la grande pensée dont Marie doit se pénétrer et dont elle doit être la messagère auprès des "frères" de Jésus.
Mes frères, dit Jésus ; il les nomme ainsi pour la première fois, avec autant de solennité que d'amour, parce que, son œuvre maintenant achevée, il a fait d'eux des enfants de Dieu. Ils sont ses frères, par la raison que son Père est leur Père. Matthieu 28.10,Hébreux 2.11, (comparez Psaumes 22.23)
Le message de Marie doit être celui de la gloire éternelle du Sauveur à laquelle ils auront part.
Je monte vers mon Père, ce verbe au présent exprime la certitude et l'imminence de ce grand événement, peut-être aussi la pensée que l'ascension de Jésus, comme sa glorification, est graduelle et s'accomplit déjà.
- Mon Père, votre Père ; mon Dieu, votre Dieu, paroles d'une inépuisable profondeur et d'un amour infini, par lesquelles Jésus élève les siens jusqu'à son propre rapport avec Dieu. Par là aussi il leur fait part de la gloire et de la félicité où il va entrer.
"Dans le nom de Père, fait observer M. Godet, il y a l'intimité filiale ; dans celui de Dieu, la complète dépendance, et cela pour les disciples comme pour Jésus lui-même."
Désormais les disciples comprendront toute la réalité et la douceur de ce nom de Père que Jésus donnait à Dieu. (Comparer Romains 8.15 ; Galates 4.6)
- Cependant il ne dit pas : notre Père ; il ne l'a jamais dit, parce qu'il est seul Fils de Dieu, dans un sens unique, exclusif, divin.