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Jean 8.42

—Si vraiment Dieu était votre Père, leur dit Jésus, vous m’aimeriez, car c’est de sa part que je suis ici et c’est de sa part que je suis venu au milieu de vous. Je ne suis pas venu de ma propre initiative, c’est lui qui m’a envoyé.

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      Malachie 1

      6 Nous pouvons prendre personnellement compte, de ce dont les prêtres sont accusés dans ce texte

      Notre relation avec Dieu, notre Père et notre Maître, nous incite véritablement à Le craindre et à L'honorer. Les enfants d’Israël étaient vraiment méprisants à l’égard des avertissements divins, et se moquaient des réprimandes de l’Éternel. Les pécheurs courent à leur ruine en tentant de se disculper par tous les moyens possibles, face à leur condamnation.

      Ceux qui vivent sans mettre en pratique leur piété, sans craindre le Seigneur et qui L’abandonnent graduellement sans s’inquiéter, ceux là semblent annoncer que « la table de l'Éternel est méprisable. »

      Les enfants d’Israël, par leurs diverses pratiques, méprisaient le Nom de Dieu. Il est évident qu'ils ne comprenaient pas réellement la signification des sacrifices, en tant « qu’image » de la venue de l'Agneau de Dieu, sans défaut, qui devait venir ici-bas pour être sacrifié sur la croix ; ils lésinaient sur les dépenses relatives à ces sacrifices, qu'ils pensaient inutiles, puisqu'elles ne leur rapportaient aucun profit !

      Si nous simulons notre adoration pour Dieu, sans en éprouver réellement toute la profondeur, nous apportons « une bête aveugle » pour être sacrifiée (verset huit ;) si nous adorons le Seigneur avec négligence, si nous sommes froids de cœur ou sans ferveur, nous offrons « une bête boiteuse et malade » (verset huit ;) si nous laissons de vaines pensées nous distraire, nous offrons au Seigneur ce qui est dérobé. Toutes ces offrandes ont vaines. N'est-ce pas un grand affront que nous adressons à Dieu, et un grand tort que nous faisons à notre âme ? Pour que nos offrandes spirituelles soient agréées auprès de Dieu, il ne suffit pas de tenter pratiquer le bien, mais de le faire convenablement, « pour le Seigneur, », dans un but louable. Les bénédictions constantes de Dieu risquent parfois de nous « endormir spirituellement », ou de nous rendre paresseux vis à vis de Son service.

      Notre adoration spirituelle doit être fervente. Notre « encens », qui représente la prière et la louange, doit être offert au Nom du Seigneur Cela doit être une « offrande » pure. « Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, » (Jean 4:23)*.

      Nous pouvons dépendre de la Miséricorde divine pour le pardon de nos iniquités, mais pas de l'indulgence du Seigneur, quant à nos péchés à venir. Si nous manifestons un esprit de bonne volonté pour nous rapprocher du Seigneur, nous serons acceptés, même si nous sommes encore imparfaits ; mais si nous nous approchons de Lui, avec un esprit hypocrite et trompeur, nous servons en fait Satan et toutes ses convoitises : attendons-nous, en conséquence, à subir toutes sortes de malédictions...

      De nos jours, beaucoup de personnes hélas, profanent, de différentes façons, le Nom du Seigneur : elles polluent « Sa table » et montrent un réel mépris envers l’adoration qu’elles sont censées Lui apporter...

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 1

      Jean 3

      Jean 5

      Jean 7

      Jean 8

      Jean 12

      Jean 14

      Jean 15

      Jean 16

      28 Nous voyons dans ce texte une déclaration claire, indiquant que Christ venait du Père, et qu’Il allait retourner à Lui. Le Rédempteur, alors qu’Il était en ce monde, était Dieu manifesté en chair ; lors de Son ascension, Il a été reçu dans les cieux dans toute Sa gloire.

      Par ces paroles de Jésus, les disciples complétèrent leurs connaissances spirituelles, ce qui affermit leur foi : « maintenant nous savons » ! Ils ne connaissaient pas, hélas, leur propre faiblesse...

      Dieu n'a pas abandonné la nature humaine, mais l'a aidée ; Il a placé toute consolation et toute valeur dans les souffrances de Christ. Tant que nous sommes spirituellement en présence de Dieu, nous sommes heureux, et tout doit nous paraitre facile, même si le monde entier nous abandonne.

      La paix en Christ est la seule Paix véritable : c'est par Lui seul que les croyants obtiennent cette Paix ; à travers Jésus, nous avons la paix avec Dieu, en Lui nous avons la paix dans notre cœur ! Prenons courage : Christ a vaincu le monde !

      Quand nous pensons être debout, prenons garde de ne pas tomber. Nous ne connaissons pas quelle sera pas notre réaction, face à la tentation ; veillons donc et prions sans cesse, afin de ne pas être abandonnés à nous-mêmes et à nos réactions, souvent néfastes !

      Jean 17

      1 Corinthiens 16

      Galates 4

      1 Jean 4

      14 Le Père a envoyé le Fils, Il désirait Sa venue en ce monde : c’est ce qu’atteste l’apôtre Jean dans ce texte.

      « Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. » Cette confession inclut une foi qui sert de fondement au cœur ; elle permet à une âme d'exprimer sa reconnaissance à la Gloire de Dieu et Celle de Christ, elle pousse à mener une conduite opposée aux flatteries et à tout ce qui est vain en ce monde.

      Un jour de jugement divin universel doit avoir lieu : heureux ceux qui exprimeront une sainte assurance devant le Juge, en cette occasion, sachant que Christ est leur Ami et leur Avocat ! Heureux ceux qui auront une telle attitude, dans la perspective de ce jour, qui veillent, qui l'attendent, aspirant ainsi à l'apparition du grand Juge !

      Le véritable amour du croyant envers Dieu l’assure d’une réciprocité en ce qui concerne ce sentiment. L'amour nous apprend à souffrir pour Lui et avec Lui, de sorte que nous pouvons être assurés d’être aussi glorifiés avec lui, 2Ti 2:12.

      Nous devons faire une distinction entre la crainte et la peur de Dieu : la crainte de Dieu implique une haute estime et de la vénération pour Sa Personne. L'obéissance et la pratique de bonnes œuvres, sous le principe de l'amour, ne sont pas un joug difficile à supporter, à l’inverse d’un travail servile, accompli sans motivation, sous la menace de la colère d'un maître. La crainte va de pair avec l’obéissance de l’enfant de Dieu, elle pousse cette âme à accomplir volontairement, pour le bien de ses frères, le service de son Père bien-aimé.

      Quand nos doutes, nos craintes et nos appréhensions sont nombreux, cela révèle que notre amour est loin d'être parfait. Que le ciel et la terre soient toujours étonnés de l’Amour du Père : Il a envoyé Sa Parole pour inviter les pécheurs à bénéficier du grand salut en Jésus-Christ. Que ces âmes puissent saisir la consolation d’un tel changement merveilleux opéré en eux, et qu'elles rendent gloire au Père !

      L'amour de Dieu en Christ, qui réside dans le cœur des chrétiens, par l'Esprit d'adoption, est la grande preuve de leur conversion. Ceci doit se manifester par leur conduite, particulièrement envers leurs frères.

      Si un homme déclare aimer Dieu, et que, malgré cela, il se laisse aller à la colère, à la vengeance, ou à l’égoïsme, il renie en fait sa déclaration. Mais s'il est manifeste, en tant qu’enfant de Dieu, que notre inimitié « naturelle » est transformée en affection et en gratitude, bénissons le Nom de notre Dieu pour cette spiritualité qui révèle un bonheur éternel.

      Nous serons alors différents des faux docteurs, qui font semblant d'aimer Dieu, Celui qu'ils n'ont pas vu, alors qu'ils détestent leurs frères, qui eux, sont bien visibles...

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, étant également de bonnes « règles à observer » pour la liberté et la joie spirituelle, ceux qui sont « nés de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pénibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le désintéressement de soi ; les véritables chrétiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois à l’origine d’un conflit intérieur acerbe, et que l’enfant de Dieu régénéré puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec résolution.

      Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attiré que par le monde. Le véritable chrétien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les différents exemples de la conduite du Seigneur Jésus ici-bas, qu'il faut renoncer à ce monde et qu'il faut chercher à le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delà, ne cherchant qu’à accéder au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera à la ruine...

      Apocalypse 22

      1

      Description de l'état céleste, sous les images de l'eau de l'arbre de vie, avec le trône de Dieu et de l'Agneau. (Apocalypse 22:1-5)
      L'accomplissement véritable et certain de toutes les visions prophétiques, le Saint-Esprit, l'épouse, et l'église, appellent et disent : « viens ». (Apocalypse 22:6-19)
      La bénédiction finale. (Apocalypse 22:20,21)

      Tous les « courants d’eaux » du réconfort terrestre sont boueux ; mais ceux mentionnés dans ce texte sont limpides, et rafraîchissants. Ils donnent la vie à ceux qui en boivent, et leur permettent de la conserver éternellement.

      Ce passage souligne la vive influence sanctifiante du Saint-Esprit, accordée aux pécheurs, par le biais de Christ. Le Saint-Esprit, en harmonie avec le Père et le Fils, attribue le salut à notre âme, par son Amour et sa Puissance régénératrice.

      L’arbre de la vie est alimenté par les eaux pures du fleuve qui provient du trône de Dieu. La présence de Dieu dans le ciel procure la santé et le bonheur aux saints. Cet arbre est une image de Christ, et de toutes les bénédictions que procure Son salut ; ces « feuilles guérissant les nations », signifient que la faveur et la présence du Seigneur procurent le bien aux habitants de ce monde béni.

      Le diable ne dispose d’aucun pouvoir en cet endroit céleste ; il ne peut pas empêcher les saints de servir Dieu, et il ne peut pas les perturber dans leur service auprès du Père. Dieu et l'Agneau sont ici décrits comme formant une unité. Le service divin accompli en cet endroit ne sera pas uniquement le symbole de la liberté, mais aussi de l'honneur et de l'autorité.

      Il n'y aura plus de nuit, ni de détresse, ni de découragement ; aucune pause n’interrompra le service divin, pour procurer de la détente : aucune diversion ni plaisir inventés par l'homme ne seront alors nécessaires !

      Quelle différence avec toutes ces représentations humaines, simplistes et grossières, du bonheur céleste, en particulier celles qui se rapportent aux plaisirs de l’esprit terrestre !

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