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Jean 9.14

It was a Sabbath when Jesus made the mud and opened his eyes.
Or, Jésus avait fait de la boue et lui avait guéri les yeux un jour de sabbat.
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      Matthieu 12

      1

      Jésus défend ses disciples, ayant arraché des épis de blé, le jour du sabbat. (Matthieu 12:1-8)
      Jésus guérit un homme à la main sèche, le jour du sabbat. (Matthieu 12:9-13)
      La rancune des pharisiens. (Matthieu 12:14-21)
      Jésus guérit un démoniaque, aveugle et muet. (Matthieu 12:22-30)
      Le blasphème des pharisiens. (Matthieu 12:31,32)
      De mauvaises paroles procèdent d'un cœur mauvais. (Matthieu 12:33-37)
      Les scribes et les pharisiens, blâmés de rechercher un miracle. (Matthieu 12:38-45)
      Les disciples de Christ, sont Ses plus proches parents. (Matthieu 12:46-50)

      Les disciples, traversant des champs de blé, commencèrent à arracher quelques épis et à les manger, (la loi divine le permet), \\#De 23:25\\.

      C'était une bien modeste nourriture, pour Christ et ses disciples, mais ils s'en contentaient. Les pharisiens ne se querellèrent pas avec eux, pour le fait qu'ils prenaient des grains ne leur appartenant pas, mais parce qu'ils le faisaient, un jour de sabbat.

      Christ est venu pour libérer les siens, non seulement des corruptions des pharisiens, mais aussi de l’astreinte de leurs différentes règles, non conformes à l’écriture, voulant ainsi justifier la conduite de Ses disciples. Les plus grands de ce monde, ne recevront aucune indulgence du ciel, pour leurs diverses convoitises, mais les plus modestes verront, quant à eux, leurs besoins pris en considération.

      Certains travaux nécessaires, sont légitimes le jour du sabbat et le repos de cette journée particulière est institué pour promouvoir et non pour entraver le culte au Seigneur. On doit nécessairement effectuer des provisions pour la santé et la nourriture ; mais lorsque les serviteurs sont gardés à la maison, et que le foyer familial devient une scène de bousculade et de confusion, au « jour du Seigneur », pour organiser une fête par exemple, ou par simple négligence de cette journée réservée, le cas est alors vraiment différent : cette attitude et cette conduite doivent être blâmées.

      Le repos du sabbat a été décrété pour le bien de l'homme, \\#De 5:14\\. Aucune loi ne doit être appliquée, de telle façon qu'elle contredise son propre but. Christ étant le Seigneur du sabbat, il est parfaitement convenable que ce jour et le travail qui peut être effectué, lui soient consacrés !

      9 Christ montre que les œuvres de miséricorde sont conformes à la loi quand elles sont réalisées le « jour du Seigneur ».

      Il y a de nombreuses possibilités de faire le bien, les jours du sabbat, en plus du devoir d'adorer le Seigneur : assister un malade, soulager le pauvre, aider ceux qui ont besoin d'être rapidement soulagés, enseigner aux jeunes à prendre soin de leur âme...

      Voila comment on peut pratiquer le bien : cela doit être fait avec amour et charité, avec humilité et désintéressement ; ce service sera alors accepté par le Seigneur, Ge 4:7.

      La guérison de cet homme à la main sèche, comme toutes celles réalisées par Christ, avait une signification spirituelle. Par nature, nos mains sont « sèches et flétries », et nous sommes incapables par nous-mêmes, de pratiquer le moindre bien. Seul Christ, (par la puissance de Sa Grâce), nous guérit ; Il guérit une main spirituellement sèche, en insufflant la vie dans l'âme, morte au péché, Il travaille en nous, à la fois le vouloir et le faire ; au commandement de pratiquer le bien, se trouve associée une promesse : la Grâce accordée, selon la Parole.

      14 Les Pharisiens tinrent conseil, afin de trouver un motif d'accusation contre Jésus, pour le faire condamner à mort. Informé de leurs desseins, et son « temps » n'étant pas encore venu, Christ se retira de ce lieu.

      Le reflet d’un visage dans l'eau ne représente pas exactement l’authenticité de ce dernier. Il en est de même au sujet du caractère de Christ, représenté par le prophète, comparé à Son tempérament et Sa conduite, décrits par les évangélistes.

      Dans la joie et la confiance, remettons notre âme à cet Ami si fidèle et si tendre : loin de la briser, Il fortifiera ce « roseau meurtri par le péché » ; loin d'éteindre le « lumignon qui fume », Il soufflera plutôt doucement dessus, pour en ranimer la flamme.

      Laissons de côté nos querelles et nos vaines polémiques ; recevons-nous les uns les autres comme Christ nous reçoit. Étant encouragés par la l’Amour et la Grâce de notre Seigneur, prions qu'Il nous rende capables de Lui ressembler et que Son Esprit puisse reposer sur nous !

      Marc 2

      23 Le Sabbat est une institution divine sacrée : il s’agit en fait d’un privilège, voire d’un avantage ; il ne doit pas être perçu comme un devoir ni une corvée. Dieu ne désigne jamais ce jour particulier comme un fardeau, et nous ne devons donc pas le considérer ainsi.

      Le Sabbat fut institué pour le bien de l’homme, vivant en société, confronté à différents besoins et soucis, face aux diverses situations de bonheur ou de misère. L'homme n'a pas été créé pour le Sabbat. Le fait de respecter ce dernier n’est d’aucune utilité pour Dieu : ne commandait Il pas à Son peuple de garder cette pratique, sous peine de correction divine ?

      À chaque fois que nous respectons le Sabbat, nous devons le considérer comme « résultat » de la Miséricorde divine.

      Marc 3

      1

      La main desséchée d’un homme, est guérie. (Marc 3:1-5). Le peuple fait appel à Christ. (Marc 3:6-12). Les apôtres appelés. (Marc 3:13-21). Le blasphème des scribes. (Marc 3:22-30). Les parents de Jésus. (Marc 3:31-35).

      Le cas de cet homme était pitoyable : il avait la main desséchée, ce qui le rendait incapable de gagner sa vie ; ceux qui sont atteints par ce genre de maladie sont pitoyables. Qu’ils n’hésitent pas à chercher de l’aide, s’ils ne peuvent se débrouiller eux-mêmes !

      Même les impies invétérés, témoins de cette scène avec Jésus, restèrent muets devant l’évidence de la Vérité, ne fléchissant pas. Nous entendons autour de nous, diverses médisances, et sommes parfois témoins du mal qui est fait... Christ, quant à Lui, est affligé par l'amertume du cœur, par son aveuglement et sa dureté. Que les pécheurs au cœur rebelle, tremblent à la pensée de la fureur divine à venir, au « jour de la colère ».

      Aujourd’hui, le grand jour de la guérison est le Sabbat, et le lieu en est la maison de prière : la puissance qui anime cette guérison provient de Christ ! Voici le commandement que nous donne l'évangile : bien que nos mains soient desséchées, nous ne pouvons pas les guérir si nous ne les avançons pas vers Christ. Mais si nous sommes guéris, Christ, Son pouvoir et Sa Grâce, doivent en recevoir toute la gloire !

      6 Toutes nos maladies et nos malheurs découlent de la colère de Dieu, à cause de nos péchés. Leur guérison ou leur transformation en bénédiction, furent acquises par le sang de Christ.

      En fait, nous devons surtout redouter les plaies et les maladies de l’âme ou du cœur. Jésus peut aussi les guérir, par une simple parole.

      Puissions-nous toujours davantage nous adresser à Christ, afin qu'Il guérisse nos plaies, et nous délivre des ennemis de notre âme !

      Luc 6

      1

      Les disciples arrachent des épis de blé, un jour de sabbat. (Luc 6:1-5)
      Les œuvres de miséricorde peuvent être pratiquées le jour du sabbat. (Luc 6:6-11)
      Christ choisit Ses apôtres. (Luc 6:12-19)
      Bénédictions et malheurs annoncés. (Luc 6:20-26)
      Christ exhorte à la miséricorde ; (Luc 6:27-36)
      à la justice et la franchise. (Luc 6:37-49)

      Un jour de sabbat, Christ justifie ce que venaient de faire Ses disciples : pour pouvoir calmer leur faim, ils avaient en effet arraché quelques épis de blé...

      Nous devons veiller à ne pas mal interpréter la « liberté » qui est donnée dans ce texte : il ne s’agit pas d’une permission à nous engager à pécher ! Christ désire que nous sachions et que nous nous souvenions que ce jour du sabbat est le Sien : il doit être consacré à Son service, en Son honneur.

      6 Christ n'éprouvait aucune crainte ni honte à annoncer la disponibilité de Sa Grâce. Il guérit ce pauvre homme à la main sèche, en sachant pertinemment que Ses ennemis chercheraient en cette occasion, à L’accuser.

      Ne nous laissons pas dévier de notre ligne de conduite ou de notre service pour les autres, par une quelconque opposition injustifie.

      En lisant ce texte, nous ne pouvons qu’être confondus, devant un tel degré de méchanceté des hommes...

      Luc 13

      10 Lors de chaque sabbat, notre Seigneur Jésus assistait aux services religieux donnés dans les synagogues. Même nos infirmités corporelles éventuelles, à moins qu'elles ne soient particulièrement graves, ne doivent pas nous éloigner de « l'adoration sabbatique » que nous devons rendre à Dieu chaque semaine.

      Cette femme s’est approchée de Christ pour être enseignée et pour fortifier son âme : le Seigneur l’a alors délivrée de son infirmité corporelle. Cette guérison représente l’œuvre effectuée par la Grâce de Christ.

      Quand les âmes, « courbées » par le pouvoir du péché, se sont redressées, elles le montrent en glorifiant Dieu. Christ savait que ce chef de la synagogue éprouvait une véritable inimitié à Son égard et contre l’Évangile, et qu'il n'était « revêtu » que d'un prétendu zèle pour le jour du sabbat : en fait, il ne désirait voir aucune guérison de cette femme, même en des jours de semaine ; mais si Jésus apporte la Parole, et met en avant Sa Puissance salvatrice, les pécheurs sont alors libérés ! Cette délivrance est souvent opérée au jour du Seigneur ; quel que soit le cheminement qui tend à conduire les hommes vers la réception de la bénédiction divine, ce parcours est en accord avec la « conception » de ce jour consacré à Dieu.

      Luc 14

      1

      Christ guérit un homme, le jour du sabbat. (Luc 14:1-6)
      Il exhorte à nous revêtir d'humilité. (Luc 14:7-14)
      La parabole du grand dîner. (Luc 14:15-24)
      La nécessité de la considération et du désintéressement. (Luc 14:25-35)

      Ce pharisien, en invitant Jésus dans sa maison, semblait être animé, comme tant d'autres, de mauvais desseins. Mais notre Seigneur ne pouvait s’empêcher de guérir cet homme, même en sachant que des reproches lui seraient faits au sujet de cette guérison, faite un jour de sabbat.

      Il convient de bien comprendre « l’osmose » qu'il y a entre la piété et la charité quand on respecte le jour du sabbat ; il faut aussi savoir distinguer, en ce jour particulier, la limite entre la pratique journalières des tâches de réelle nécessité et nos propres habitudes hebdomadaires.

      La sagesse d'en haut nous enseigne à persévérer patiemment dans l’accomplissement des bonnes œuvres.

      Jean 5

      Jean 7

      Jean 9

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