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2
chacun de vous prélèvera une partie des premiers produits du sol qu’il aura fait pousser dans le pays donné par le Seigneur ; il la déposera dans une corbeille et l’apportera au lieu choisi par le Seigneur votre Dieu pour y manifester sa présence.
3
Il ira trouver le prêtre en fonction à ce moment-là et lui dira : « Je proclame aujourd’hui devant le Seigneur ton Dieu que je suis arrivé dans le pays qu’il avait promis à nos ancêtres de nous donner. »
4
Le prêtre prendra la corbeille apportée et la placera devant l’autel du Seigneur votre Dieu.
19
A cette époque, on ne trouvait aucun forgeron dans tout le territoire d’Israël, car les Philistins ne voulaient pas que les Hébreux puissent se fabriquer des épées ou des lances.
20
Chaque Israélite devait se rendre chez un forgeron philistin pour faire aiguiser son soc de charrue, sa pioche, sa hache ou son pic.
12
Alors le roi Joakin sortit de la ville avec sa mère, ses officiers, ses hauts fonctionnaires et ses hommes de confiance, et il se rendit au roi de Babylone. Celui-ci les fit prisonniers. C’était la huitième année du règne de Nabucodonosor.
13
Conformément à ce que le Seigneur avait annoncé, Nabucodonosor emporta tous les trésors du temple et du palais, et mit en pièces tous les ustensiles d’or que le roi Salomon avait fait fabriquer pour le culte du temple.
14
Il déporta la population de Jérusalem, les hauts fonctionnaires, les personnages importants, en tout dix mille personnes, sans compter les artisans et les serruriers. Il ne laissa sur place que les habitants les plus pauvres.
15
Il déporta à Babylone le roi Joakin, sa mère, ses épouses et ses hommes de confiance, avec les chefs de Juda.
16
Il emmena donc à Babylone tous les personnages importants, soit sept mille hommes, ainsi que les artisans et serruriers, soit mille hommes, car tous ces gens étaient aptes au service militaire.
10
Au début du printemps, Nabucodonosor le fit amener à Babylone, avec des objets précieux du temple du Seigneur, et il désigna Sédécias, un proche parent de Joakin, comme roi de Jérusalem et de Juda.
24
« Tu diras à Konia, fils de Joaquim et roi de Juda : “Même si tu étais pour moi comme le cachet personnel qu’on porte à la main droite, déclare le Seigneur, je t’arracherais de mon doigt. J’en fais le serment par ma vie :
25
Je te livre au pouvoir de ceux qui veulent ta mort, ces gens dont tu as si peur, Nabucodonosor le roi de Babylone et ses troupes.
26
Je vous chasserai, toi et ta mère, dans un pays qui n’a rien de commun avec celui où tu es né ; c’est là-bas que vous mourrez, elle et toi.
27
Vous aurez beau désirer ardemment revenir dans votre pays, vous n’y parviendrez pas.” »
28
On demande : « Cet homme, Konia, est-il un pot ébréché dont on ne veut plus, un objet sans intérêt ? Pourquoi a-t-il été expulsé avec ses enfants, chassé dans un pays qui ne représente rien pour lui ? »
1
Le Seigneur me fit remarquer deux paniers de figues, que quelqu’un avait placés devant le temple. Cela se passait après que le roi Nabucodonosor de Babylone eut déporté Yekonia, fils de Joaquim et roi de Juda, ainsi que les ministres du royaume, les artisans et les serruriers de Jérusalem pour les amener à Babylone.
2
– Cette lettre fut envoyée après que le roi Yekonia, la reine mère, les hauts fonctionnaires, les chefs de Juda et de Jérusalem, ainsi que les artisans et les serruriers eurent dû quitter eux-mêmes Jérusalem. –
9
Au moyen de crochets, ils l’entraînèrent dans une cage et l’emmenèrent au roi de Babylone. On le mit en prison pour ne plus l’entendre rugir sur les montagnes d’Israël. »
7
A vrai dire, le Seigneur Dieu ne fait rien sans révéler ses intentions à ses serviteurs, les prophètes.
1
Voici ce que le Seigneur Dieu me montra dans une vision : il produisait un nuage de sauterelles, au moment même où l’herbe commençait à repousser, après la première coupe, celle qui est réservée au roi.
4
Le Seigneur Dieu me montra autre chose : il faisait appel au feu pour exercer son jugement ; la chaleur tarissait les eaux souterraines et consumait le territoire d’Israël.
7
Le Seigneur me fit voir encore ceci : il était lui-même debout près d’une muraille verticale et tenait à la main un fil à plomb.
1
Le Seigneur Dieu me fit voir encore une corbeille de fruits mûrs.
2
Il me posa cette question : « Que vois-tu, Amos ? » – « Une corbeille de fruits mûrs », répondis-je. Alors le Seigneur me déclara : « Mon peuple d’Israël est mûr pour sa fin. Je ne l’épargnerai plus.
1
Le Seigneur me fit voir le grand-prêtre Yéchoua debout devant l’ange du Seigneur. Satan se tenait à la droite de Yéchoua pour l’accuser.
1 à 3 Elles représentent ici les enfants du peuple. Les paniers sont placés devant le temple, sans doute pour être présentés à Dieu, comme on lui offrait les prémices des récoltes (Deutéronome 26.2).
Placés. le mot hébreu employé ici renferme une allusion aux usages sacrés.
Les charpentiers et les serruriers. Le sens de ces deux mots reste sujet à conjecture ; comparez 2Rois 24.14,16.
Me donna une vision, littéralement : me fit voir (contempler). Tout ici est révélation, et le symbole et la chose signifiée. L'œil de Dieu seul pouvait, en effet, discerner une différence morale aussi absolue entre les deux fractions du peuple, celle qui était déjà en captivité et celle qui occupait encore le sol de Canaan.
Les bonnes et les mauvaises figues représentent les Juifs en captivité, et ceux qui restèrent au pays d'Israël.
- Le prophète voyait deux paniers de figues, posés devant le temple, et devant servir « d'offrandes des prémices ». Les figues d'un des paniers étaient très bonnes, alors que celles de l'autre étaient vraiment mauvaises.Quelle créature peut être plus vile que le méchant ? Qui pourrait être meilleur qu'un homme réellement pieux ?
Cette vision des paniers était donnée à Jérémie, afin d'apaiser l'esprit des Juifs en captivité, en leur donnant l'assurance d'un heureux retour dans leur pays d'origine ; cette image devait également humilier et interpeler ceux qui étaient restés à Jérusalem, fiers de leur situation : ils allaient connaître à leur tour, la misère et la captivité.
Les « bonnes figues » mentionnées dans ce texte, représentent les captifs restés fidèles à l'Éternel.
Nous ne pouvons pas déterminer le sentiment éprouvé par Dieu, l'amour ou la haine, selon la situation devant laquelle nous nous trouvons. La souffrance précoce peut parfois révéler les bonnes intentions divines futures : plus l'enfant est corrigé tôt, meilleur sera l'effet de cette correction !
Cette rude captivité opérait en fait pour le bien des enfants d'Israël : les intentions divines ne sont jamais vaines ! Par ces afflictions, les Juifs furent convaincus de leur iniquité, humiliés par la main de l'Éternel, « sevrés » du monde, enseignés à prier, à se détourner de leurs péchés, en particulier ceux se rapportant à l'idolâtrie. Néanmoins, Dieu promet qu'Il protègera Son peuple durant cette captivité.
Le Seigneur connaît ceux qui Lui appartiennent, quelles que soient les circonstances. Dieu assure à Ses enfants Sa protection lors de l'épreuve, Il leur promet une glorieuse délivrance, au temps voulu. Quand nos ennuis sont placés devant le Seigneur, et que nous possédons Sa paix, nous pouvons être certains qu'un dénouement heureux aura lieu.
Les enfants d'Israël allaient revenir à l'Éternel de tout leur cœur. Ils devaient ainsi retrouver la liberté de pouvoir célébrer Dieu, de Lui adresser leurs prières, et de s'attendre à Ses bénédictions.
Les figues gâtées représentaient Sédécias, et ses princes, établis sur le pays d'Israël : par le mal qu'ils causèrent, ils allaient être destitués, et abandonnés de tous.
Dieu envoie de nombreux Jugements : ceux qui parviennent à échapper à certains, doivent s'attendre à en subir d'autres, jusqu'à ce qu'ils soient amenés à se repentir. Il ne fait aucun doute que cette prophétie a eu son accomplissement au temps marqué ; mais il est possible de l'extrapoler avec intérêt, au sujet de la dispersion des Juifs, encore incrédules, dispersés dans toutes les nations ici-bas.
Que ceux qui désirent recevoir les bénédictions du Seigneur, Lui adressent leur prière, afin qu'Il leur donne un cœur qui puisse Le discerner !