22
Quand les chameaux eurent fini de boire, l'homme prit un anneau en or qui pesait 6 grammes, ainsi que deux bracelets en or qui pesaient 120 grammes pour ses poignets,
53
Le serviteur sortit des objets d'argent, des objets d'or et des vêtements qu'il donna à Rebecca. Il fit aussi de généreux cadeaux à son frère et à sa mère.
35
Tous ses fils et toutes ses filles vinrent pour le consoler, mais il refusait d’être consolé. Il disait : « C'est dans le deuil que je descendrai vers mon fils au séjour des morts », et il pleurait son fils.
32
Les Israélites avaient rapporté d’Egypte les ossements de Joseph. Ils furent enterrés à Sichem, dans la partie de terrain que Jacob avait achetée aux fils de Hamor, le père de Sichem, pour 100 pièces d’argent et qui faisait partie de l'héritage des descendants de Joseph.
27
Il y eut toutefois des vauriens qui dirent : « Quoi ! C'est celui-ci qui nous sauvera ! » Ils le méprisèrent et ne lui apportèrent aucun cadeau, mais Saül n'y prêta pas attention.
11
Trois amis de Job apprirent tous les malheurs qui l’avaient frappé. Il s’agissait d’Eliphaz de Théman, de Bildad de Shuach et de Tsophar de Naama. Venus chacun de son pays, ils se concertèrent pour aller exprimer leur compassion à Job et le réconforter.
4
tes paroles ont relevé ceux qui trébuchaient, tu as affermi les genoux qui pliaient,
22
Vous ai-je demandé de me donner quelque chose, de tirer pour moi un cadeau de vos ressources,
23
de me délivrer d’un adversaire ou de me libérer d’hommes violents ?
5
je vous fortifierais par mes paroles, le mouvement de mes lèvres vous apporterait du soulagement.
13
» Il a éloigné mes frères de moi. Ceux qui me connaissent se détournent de moi comme des étrangers.
14
Je suis abandonné de mes proches, ceux que je connais m’oublient.
11
Les frères, les sœurs et les anciennes connaissances de Job vinrent tous lui rendre visite, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils lui exprimèrent leur compassion et le réconfortèrent à cause de tout le malheur que l'Eternel avait fait venir sur lui. Chacun lui donna une pièce d’argent et un anneau d'or.
7
Quand l'Eternel approuve les voies d'un homme, il dispose même ses ennemis à faire la paix avec lui.
3
*Fortifiez les mains affaiblies et affermissez les genoux flageolants !
4
Dites à ceux qui ont le cœur battant : « Fortifiez-vous, n’ayez pas peur ! Voici votre Dieu : elle viendra, la vengeance, la rémunération de Dieu. Il viendra lui-même pour vous sauver. »
19
et beaucoup de Juifs étaient venus chez Marthe et Marie pour les consoler de la mort de leur frère.
15
Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent, pleurez avec ceux qui pleurent.
26
Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui.
12
Fortifiez donc vos mains défaillantes et vos genoux flageolants
3
Souvenez-vous des prisonniers comme si vous étiez prisonniers avec eux, et de ceux qui sont maltraités comme si vous étiez dans leur corps.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
11 à 17 Tous les termes du récit montrent que nous avons ici une sorte de parabole poétique, comme nous l'avons dit ; l'histoire de Job a évidemment un fond réel ; mais le poète s'en est emparé pour nous donner, au sujet de cette histoire, l'enseignement qu'il nous destinait.
Ceux qui l'avaient abandonné dans son malheur (19.13 ; 12.4), reviennent maintenant.
Mangèrent avec lui dans sa maison, littéralement : Mangèrent du pain avec lui ; mais ce n'est pas sur le pain que l'auteur veut insister. La locution employée équivaut à notre : se mettre à table, prendre un repas.
Une késita : un poids quelconque d'argent. L'auteur transporte ici, comme partout, la scène de son poème dans la plus haute antiquité : ce terme ne se trouve que dans les récits les plus anciens, à propos de l'époque patriarcale (Genèse 33.19 et Josué 24.32).
Ce dernier passage est lui-même une citation du fait rapporté dans le premier (voir note à Genèse 33.19).
L'identité des présents (une késita et un anneau) de tous les visiteurs de Job est un des traits par lesquels l'auteur fait voir lui-même qu'il faut entendre ce récit comme un poème.
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