25
» Si tu prends en gage le vêtement de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil.
2
Voici comment elle s’effectuera. Quand on aura proclamé la remise des dettes en l'honneur de l'Eternel, tout créancier qui aura fait un prêt à son prochain renoncera à son droit. Il n’imposera pas de contrainte à son prochain et compatriote pour le paiement de sa dette.
10
» Si tu fais à ton prochain un prêt, quel qu’il soit, tu n'entreras pas dans sa maison pour t’emparer de son gage.
11
Tu resteras dehors et celui à qui tu fais le prêt t'apportera le gage dehors.
1
Une femme de la communauté de prophètes cria à Elisée : « Ton serviteur, mon mari, est mort, et tu sais qu’il craignait l'Eternel. Or le créancier est venu pour prendre mes deux enfants et faire d'eux ses esclaves. »
7
et j’ai pris la ferme décision d’adresser des reproches aux nobles et aux magistrats. Je leur ai dit : « Vous prêtez à intérêt à vos frères ! » J’ai convoqué une grande assemblée pour traiter leur situation
10
Moi-même, avec mes frères et mes serviteurs, nous leur prêtons de l'argent et du blé. Renonçons donc à ce qu'ils nous doivent !
11
Rendez-leur aujourd'hui leurs champs, leurs vignes, leurs oliviers et leurs maisons ainsi que l’intérêt que vous avez exigé d'eux, le centième de l'argent, du blé, du vin nouveau et de l'huile ! »
11
Que le créancier s’empare de tout ce qui lui appartient et que les étrangers pillent le fruit de son travail !
2
Un même sort frappe le prêtre et le membre du peuple, le maître et l’esclave, la maîtresse et la servante, le vendeur et l'acheteur, le prêteur et l'emprunteur, le créancier et le débiteur.
1
Voici ce que dit l'Eternel : Où est la lettre de divorce par laquelle j'ai renvoyé votre mère ? Ou bien auquel de mes créanciers vous ai-je vendus ? C'est à cause de vos fautes que vous avez été vendus et c'est à cause de vos transgressions que votre mère a été renvoyée.
10
« Malheur à moi, ma mère, de ce que tu m'as donné naissance ! Je suis un homme à qui l’on cherche dispute et querelle dans tout le pays ! Je n'emprunte ni ne prête rien, et cependant tous me maudissent. »