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10
Le bâton (de commandement) ne s’écartera pas de Juda, Ni l’insigne du législateur d’entre ses pieds, Jusqu’à ce que vienne le Chilo Et que les peuples lui obéissent.
13
Comme Josué se trouvait à Jéricho, il leva les yeux et regarda : voici qu’un homme se tenait en face de lui, son épée nue à la main. Josué marcha vers lui et lui dit : Es-tu pour nous ou pour nos ennemis ?
15
Et si vous ne pensez pas devoir servir l’Éternel, choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir : ou les dieux que servaient vos pères au-delà du fleuve, ou les dieux des Amoréens dans le pays desquels vous habitez. Moi et ma maison, nous servirons l’Éternel.
17
Il y eut aussi des fils de Benjamin et de Juda qui se rendirent auprès de David au Fortin.
18
David sortit au-devant d’eux. Il prit la parole et leur dit : Si vous venez à moi pour la paix, afin de me secourir, mon cœur s’unira à vous ; mais si c’est pour me tromper au profit de mes adversaires, alors qu’il n’y a pas de violence en moi, que le Dieu de nos pères le voie et qu’il arbitre !
24
Nul ne peut servir deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.
30
Celui qui n’est pas avec moi est contre moi, et celui qui n’assemble pas avec moi, disperse.
40
En effet, celui qui n’est pas contre nous est pour nous.
50
Jésus lui dit : Ne l’en empêchez pas ; en effet, celui qui n’est pas contre vous est pour vous.
23
Celui qui n’est pas avec moi est contre moi, et celui qui n’assemble pas avec moi disperse.
52
Et non seulement pour la nation, mais aussi afin de réunir en un seul (corps) les enfants de Dieu dispersés.
15
Et quel accord entre Christ et Bélial ? Quelle part le croyant a-t-il avec le non-croyant ?
16
Quel contrat d’alliance entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
19
Ils sont sortis de chez nous, mais ils n’étaient pas des nôtres ; car, s’ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais de la sorte, il est manifeste que tous ne sont pas des nôtres.
15
Je connais tes œuvres : tu n’es ni froid ni bouillant. Si seulement tu étais froid ou bouillant !
16
Ainsi, parce que tu es tiède et que tu n’es ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche.
C'est pourquoi quiconque n'assemble pas avec lui disperse. Ces termes figurés sont empruntés aux travaux de la moisson ; assembler, c'est recueillir. (Comparer Matthieu 3.12 ; 6.26 ; Jean 4.36 où se retrouve le même verbe.)
M. Godet préfère y voir l'image du berger qui rassemble son troupeau. (Jean 10.13-16 ; 11.52)
Ce que les adversaires dispersaient au lieu d'assembler, s'étaient les âmes que Jésus ramenait à Dieu pour les sauver.
- Mais, s'est-on demandé à qui est-ce que Jésus applique ces paroles d'après l'ensemble de son discours ?
Les interprètes ont fait à cette question diverses réponses. Les uns pensent que Jésus veut engager ses auditeurs à s'unir à lui dans la lutte contre Satan, en leur déclarant qu'en présence de cette lutte ils ne peuvent demeurer neutres. D'autres croient que Jésus a en vue les exorcistes juifs, (verset 27) qui faisaient une œuvre opposée à la sienne, aussi longtemps qu'ils ne s'étaient pas unis à lui. D'autres enfin appliquent sa sentence aux pharisiens. (verset 24) Cette opinion est la plus conforme au contexte.
C'est à ses adversaires, en effet, c'est à leur accusation blasphématoire que Jésus répond dans tout ce discours ; c'est à eux qu'il s'adresse directement dans les paroles qui suivent : C'est pourquoi je vous dis. Et en constatant qu'ils étaient contre lui il rompt ouvertement avec eux et sépare sa cause de la leur. Tel était, quant à eux le résultat de son ministère en Galilée, tel il sera encore en Judée. (Matthieu 21.43 et ailleurs.) Mais du reste cette sentence sévère reste vraie en tout temps et en tous lieux, dans son application à tous les adversaires du Sauveur et de son œuvre.