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Matthieu 17.3

Behold, Moses and Elijah appeared to them talking with him.
Et voici, Moïse et Élie leur apparurent, s'entretenant avec lui.
Et voici que Moïse et Elie leur apparurent ; ils s'entretenaient avec lui.
Behold, Moses and Elijah appeared to them talking with him.
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      Deutéronome 18

      Deutéronome 34

      5 MoĂŻse accepte ce dernier commandement, assez particulier, comme il l'avait fait pour les autres, reçus jusqu'Ă  prĂ©sent. Dans son attitude, il ressemblait Ă  notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Mais le patriarche mourut en tout honneur et en paix, de la maniĂšre la plus simple, Ă  l'inverse de notre Sauveur, qui connut la honte et la torture de la croix. MoĂŻse mourut assez facilement ; il mourut selon « la Parole de l'Éternel », selon Sa volontĂ©. Les serviteurs de Dieu, arrivĂ©s au terme de leur vie de travail, peuvent alors rejoindre enfin le ciel ; ils dĂ©sirent retrouver leur maison cĂ©leste, aprĂšs avoir Ă©tĂ© envoyĂ©s par le Seigneur dans les diffĂ©rents champs de mission, Actes 21:13.

      L'endroit oĂč MoĂŻse fut enterrĂ© est inconnu. Si, lors de la mort, l'Ăąme peut se reposer auprĂšs de Dieu, peu importe oĂč se trouve alors le corps. Les forces du patriarche n'Ă©taient pas affaiblies, ni sa vigueur, ni sa vivacitĂ© d'esprit ; ses facultĂ©s intellectuelles et sa mĂ©moire Ă©taient intactes. Tous ces agrĂ©ments n'Ă©taient que la rĂ©compense de ses services et de son extraordinaire humilitĂ©. Il y eut un deuil solennel Ă  l'occasion de son dĂ©cĂšs. Les diffĂ©rents handicaps que nous pouvons rencontrer avec l'Ăąge, ne doivent pas nous faire dĂ©primer. Si nous espĂ©rons nous rĂ©jouir plus tard, dans les cieux, pourquoi irions-nous dans la tombe en nous lamentant ?

      1 Rois 17

      1

      Élie nourri par les corbeaux. (1 Rois 17:1-7)
      Élie est envoyĂ© Sarepta. (1 Rois 17:8-16)
      Élie ressuscite le fils de la veuve. (1 Rois 17:17-24)

      Dieu conduit merveilleusement les hommes qu'Il a destinés à accomplir Ses desseins.

      Cette pĂ©riode en IsraĂ«l Ă©tait tout Ă  fait propice Ă  la prĂ©sence d'Élie ; on pourrait presque dire que ce dernier Ă©tait « l'homme de la situation » !

      L'Esprit de l'Éternel sait placer des hommes appropriĂ©s Ă  des occasions bien particuliĂšres. Élie fit savoir Ă  Achab que Dieu Ă©tait mĂ©content de voir l'idolĂątrie se propager dans le pays, et qu'Il enverrait Son chĂątiment : l'absence totale de pluie en IsraĂ«l, chose que les idoles Ă©taient absolument incapable de rĂ©aliser ! Dieu commanda ensuite, Ă  Élie de se cacher.

      Si la Providence nous appelle Ă  la solitude et Ă  l'isolement, nous devons nous conformer Ă  la volontĂ© divine : quand nous ne pouvons ĂȘtre d'aucune utilitĂ© pour les autres, nous devons rester patients ; et quand nous ne pouvons pas Ɠuvrer pour le Seigneur, nous devons alors nous tenir paisiblement Ă  Sa disposition.

      Les corbeaux devaient apporter de la viande au prophÚte ; ils firent ainsi. Que ceux qui n'ont rien à leur disposition puissent apprendre à compter sur la Providence, et Lui faire une entiÚre confiance pour leur pain quotidien.

      Dieu aurait pu envoyer des anges, pour prendre soin d'Élie, mais en choisissant de simples corbeaux, Il voulut prouver Ă  Son serviteur qu'Il pouvait atteindre efficacement, Ses objectifs avec de simples crĂ©atures. Élie semble avoir vĂ©cu ainsi environ une annĂ©e. L'approvisionnement normal en eau cessa, mais la fourniture miraculeuse de sa nourriture, objet de la Promesse divine, continua. Si les eaux des cieux tarissent, la terre ne peut Ă©videmment, plus rien fournir ; il en est ainsi pour nous, faibles crĂ©atures : nous perdons parfois, les bĂ©nĂ©fices de cette « eau » cĂ©leste, qui peut alors cesser de nous abreuver, Ă  cause de notre pĂ©chĂ©, alors que nous en avons le plus grand besoin. Mais il y a un « fleuve », dans la citĂ© de Dieu, qui n'est jamais Ă  sec et qui procure de l'eau donnant naissance Ă  la vie Ă©ternelle. Seigneur, donne-nous de cette eau vivifiante !

      1 Rois 18

      2 Rois 2

      13 Élie laissa son manteau Ă  ÉlisĂ©e ; ce geste reprĂ©sentait en quelque sorte, l'onction de l'Esprit sur son serviteur ; cette derniĂšre eut une valeur considĂ©rablement plus grande, que le don d'un trĂ©sor d'or et d'argent. ÉlisĂ©e prit ce vĂȘtement, non comme une relique sacrĂ©e qu'il fallait adorer, mais comme un vĂȘtement bien utile, destinĂ© Ă  ĂȘtre portĂ©.

      DĂšs qu'Élie fut montĂ© dans les cieux, ÉlisĂ©e rechercha : - PremiĂšrement Dieu ; quand des ĂȘtres chers quittent ce monde, nous avons toujours notre Dieu, en qui nous confier, Celui qui vit Ă  jamais. - Le Dieu qu'Élie a servi, honorĂ©, et dont il a tĂ©moignĂ©. Le Seigneur notre Dieu, Celui des saints prophĂštes, est Le mĂȘme hier, aujourd'hui, et Ă  jamais ; mais Ă  quoi pourront bien servir les manteaux, les Ă©difices, et les livres de ceux qui nous ont quittĂ©s pour rejoindre le Seigneur, si nous ne possĂ©dons pas une piĂ©tĂ© identique Ă  la leur, et l'Esprit de leur MaĂźtre ?

      Observez comment ÉlisĂ©e divisa les eaux du fleuve ; les personnes « dans le Seigneur » n'ont aucune crainte Ă  avoir lors du « passage du Jourdain », la mort, cette Ă©tape redoutable.

      Les fils des prophĂštes firent une recherche bien inutile, pour tenter d'aider ÉlisĂ©e. Les hommes sages doivent s'adonner aux pratiques suivantes : la recherche de la paix et d'un bon tĂ©moignage envers les autres, Ă©lĂ©ments contre lesquels tout jugement restera vain et stĂ©rile. La « recherche d'Élie » Ă  travers les collines et les vallĂ©es ne nous fera jamais retrouver le prophĂšte... Il sera par contre, beaucoup plus efficace pour notre Ăąme, de suivre l'exemple qu'il nous a laissĂ©, en ce qui concerne sa foi et son zĂšle pour Dieu.

      Malachie 4

      Matthieu 11

      Matthieu 17

      Marc 9

      Luc 1

      Luc 9

      Luc 16

      Luc 24

      Jean 1

      Jean 5

      45 Beaucoup se rĂ©fĂšrent Ă  certaines formes de doctrines ou quelques passages bibliques, sans entrer rĂ©ellement dans la vraie signification de leur enseignement, ne se soumettant pas vraiment aux diverses instructions spirituelles des prophĂštes ; il en Ă©tait ainsi pour les Juifs, Ă  l’égard de MoĂŻse.

      Recherchons et prions en lisant les Écritures, dans l'intention d'y dĂ©couvrir la vie Ă©ternelle ; remarquons Ă  quel point Christ en est le sujet principal, et mettons en pratique chaque jour Ses enseignements, Le louant pour la vie qu'Il nous accorde !

      2 Corinthiens 3

      Hébreux 3

      1

      La valeur, la dignité et la supériorité de Christ par rapport à Moïse sont démontrées dans ce texte. (\\# 1-6\\)
      Les Hébreux sont prévenus du péché et du danger de l'incrédulité. (\\# 7-13\\)
      La nécessité de croire en Christ, et de Le suivre avec assiduité. (\\# 14-19\\)

      Christ est considéré dans ce texte comme « l'ApÎtre de notre profession de foi », le « Messager », envoyé par Dieu aux hommes, le grand « Révélateur » de cette foi que nous professons avoir, et de cette espérance que nous déclarons posséder. Christ, le Messie, a été oint aussi bien pour la fonction d'ApÎtre que pour celle de Souverain Sacrificateur. Jésus est notre Sauveur, Celui qui nous guérit de nos fautes, le grand Médecin des ùmes !

      ConsidĂ©rez-Le ainsi ! ConsidĂ©rons ce qu'Il est en lui-mĂȘme, ce qu'Il est pour nous, et ce qu'Il sera plus tard et Ă  jamais ! Quand nous mĂ©ditons sĂ©rieusement sur la personne de Christ, nous sommes amenĂ©s Ă  mieux Le connaĂźtre, et Ă  l’aimer.

      Les Juifs avaient une haute opinion de la fidĂ©litĂ© de MoĂŻse, mais celui-ci n’était cependant qu'une « image de Christ ». Christ est le MaĂźtre de la maison dĂ©crite dans ce texte, le MaĂźtre de Son Église, de Son peuple ; Il en est le « Constructeur ». MoĂŻse Ă©tait un serviteur fidĂšle ; Christ, en tant que Fils Ă©ternel de Dieu, est le « PropriĂ©taire » lĂ©gitime de cette « maison spirituelle », le Dirigeant souverain de l'Église.

      Il ne suffit pas d’emprunter fidĂšlement les voies que Christ nous a tracĂ©es, il faut aussi les suivre avec persĂ©vĂ©rance, et ce, jusqu'Ă  la fin. Toute mĂ©ditation sur Sa personne et Son salut, nous conduira vers la Sagesse, et nous aurons de nouveaux motifs pour L'aimer, Lui accorder notre confiance et Lui obĂ©ir !

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