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7
On prendra même de tes fils, qui seront issus de toi et que tu auras engendrés, pour être eunuques dans le palais du roi de Babylone.
3
Et que le fils de l'étranger, qui s'attache à l'Éternel, ne dise pas : L'Éternel me sépare de son peuple. Que l'eunuque ne dise pas : Voici, je suis un arbre sec.
4
Car ainsi a dit l'Éternel : Pour les eunuques qui garderont mes sabbats, qui choisiront ce qui m'est agréable et s'attacheront à mon alliance,
32
Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié, s'occupe des choses du Seigneur, pour plaire au Seigneur.
33
Mais celui qui est marié, s'occupe des choses du monde, pour plaire à sa femme.
34
Il y a cette différence entre la femme mariée et la vierge, que celle qui n'est pas mariée, s'occupe des choses du Seigneur, pour être sainte de corps et d'esprit ; mais celle qui est mariée, s'occupe des choses du monde, pour plaire à son mari.
35
Or, je dis ceci pour votre bien, et non pour vous tendre un piège, mais en vue de ce qui est honnête et de ce qui unit dans le Seigneur sans distraction.
36
Toutefois si quelqu'un croit que ce soit un déshonneur pour sa fille de passer la fleur de son âge sans être mariée, et s'il faut qu'il en soit ainsi, qu'il fasse ce qu'il voudra, il ne pèche point ; que les filles se marient.
37
Mais celui qui reste ferme dans son coeur, qui n'est pas contraint, qui au contraire est maître de sa volonté, et qui a décidé en son coeur de garder sa fille, fait bien.
38
C'est pourquoi celui qui marie sa fille, fait bien ; mais celui qui ne la marie pas, fait mieux.
5
N'avons-nous pas le droit de mener partout avec nous une soeur notre épouse, comme les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas ?
15
Mais pour moi, je n'ai usé d'aucun de ces droits, et je n'écris point ceci, afin d'obtenir rien de semblable ; car j'aimerais mieux mourir, que si quelqu'un m'ôtait ce sujet de gloire.
Pour faire mieux comprendre sa pensée et la nature toute morale du don qu'il a en vue, Jésus distingue trois cas : ceux qui, dés le sein de leur mère, par suite de leur organisation particulière, sont impropres au mariage, ceux qui ont été rendus tels par les hommes ; dans ces deux premiers cas le don de continence est entendu en un sens corporel et n'a aucune valeur religieuse, ceux enfin qui ont pris cette résolution volontairement à cause du royaume des cieux, non pour le mériter, mais pour s'y employer tout entiers et sans empêchements terrestres.
Ainsi Jésus, en répondant aux disciples, constate un fait, mais n'exige point ce sacrifice, pas plus que Paul dans ses conseils. (1Corinthiens 7.26 et suivants) Il n'y a donc, dans ces paroles, rien qui soit défavorable au mariage chrétien, ni qui attribue au célibat une sainteté particulière, bien moins encore un argument en faveur du célibat forcé de toute une classe d'hommes. Que celui qui est capable de comprendre comprenne ! Voilà la vérité et la liberté. (Comparer 1Corinthiens 9.5)