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– Que Dieu bénisse celui qui vient au nom du SEIGNEUR ! Nous vous donnons la bénédiction du SEIGNEUR depuis son temple.
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Jérusalem, monte sur une haute montagne. Ville de Sion, crie de toutes tes forces. Toi qui apportes une bonne nouvelle, élève la voix, n’aie pas peur. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu !
10
Voici le Seigneur DIEU. Il vient avec puissance. Il est assez fort pour gouverner. Il rapporte ce qu’il a gagné, il ramène la récompense de son travail.
11
Comme un berger, il garde son troupeau, il le rassemble d’un geste de la main, il porte les agneaux dans ses bras, il conduit doucement les brebis qui allaitent leurs petits. »
4
En effet, pendant longtemps les gens d’Israël resteront sans roi, sans chefs, sans pierres sacrées. Ils n’offriront plus de sacrifices, ils n’auront plus d’objets sacrés pour consulter Dieu.
10
Je répandrai sur les gens de la famille de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de bonté et de prière. Ils regarderont vers moi, à cause de celui qu’ils ont transpercé. Ils chanteront pour lui un chant de deuil comme on le fait à la mort d’un fils unique. Ils pleureront sur lui comme on pleure quand on perd son premier enfant.
9
Les foules qui marchent devant Jésus et celles qui le suivent crient : « Gloire au Fils de David ! Que Dieu bénisse celui qui vient en son nom ! Gloire à Dieu au plus haut des cieux ! »
39
En effet, je vous le dis, bientôt vous ne me verrez plus jusqu’au jour où vous direz : “Que Dieu bénisse celui qui vient en son nom !” »
26
et il lui a dit à l’avance : « Tu ne mourras pas avant de voir le Messie du Seigneur Dieu. »
27
Alors, Siméon, poussé par l’Esprit Saint, va dans le temple. À ce moment-là, les parents de Jésus amènent leur enfant pour faire ce que la loi du Seigneur demande pour lui.
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Siméon prend l’enfant dans ses bras, il remercie Dieu en disant :
29
« Maintenant, Seigneur, tu peux laisser ton serviteur mourir dans la paix, comme tu l’as dit.
30
Oui, mes yeux ont vu le salut que tu nous donnes.
22
« Mon Père m’a tout donné. Personne ne connaît le Fils, sauf le Père. Personne ne connaît le Père, sauf le Fils. Mais le Fils veut montrer le Père à d’autres pour qu’ils le connaissent aussi. »
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Ensuite, Jésus se tourne vers ses disciples et il leur dit, à eux seuls : « Vous êtes heureux de voir ce que vous voyez !
22
Ensuite Jésus dit à ses disciples : « Le moment va venir où vous désirerez voir le Fils de l’homme au moins pendant un jour, et vous ne le verrez pas.
21
Jésus leur dit encore : « Je vais partir, et vous me chercherez, mais vous allez mourir dans votre péché. Vous ne pouvez pas aller là où je vais. »
24
C’est pourquoi je vous ai dit : “Vous allez mourir dans vos péchés.” Oui, vous allez mourir dans vos péchés si vous ne croyez pas que moi, “Je suis”. »
56
Abraham, votre père, a été dans la joie. En effet, il a espéré voir le jour où j’allais venir. Il l’a vu et il a été rempli de joie. »
9
Jésus lui répond : « Philippe, je suis avec vous depuis si longtemps, et tu ne me connais pas ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : “Montre-nous le Père” ?
19
Dans peu de temps, le monde ne me verra plus. Vous, vous me verrez vivant, et vous vivrez vous aussi.
25
Frères et sœurs chrétiens, voici le mystère que je veux vous faire connaître. Ainsi, vous ne croirez pas que vous êtes des sages. Une partie du peuple d’Israël refuse de comprendre, et cela durera jusqu’à ce que les autres peuples reviennent vers Dieu.
14
Mais leur intelligence s’est fermée, et jusqu’à aujourd’hui, quand ils lisent les livres de l’ancienne alliance, le même voile est encore là. Non, il n’est pas enlevé, sauf pour celui qui est uni au Christ.
15
En effet, jusqu’à aujourd’hui, chaque fois que les Israélites lisent les livres de Moïse, un voile couvre leur cœur.
16
Mais chaque fois que les gens se tournent vers le Seigneur, le voile tombe.
17
Le Seigneur ici, c’est l’Esprit Saint. Et quand l’Esprit du Seigneur est présent, la liberté est là.
18
Notre visage à nous tous est sans voile, et la gloire du Seigneur se reflète sur nous, comme dans un miroir. Alors le Seigneur, qui est l’Esprit, nous transforme. Il nous rend semblables à lui, avec une gloire toujours plus grande.
Tel est le sens de ces paroles qui se présente le plus naturellement à l'esprit.
D'autres interprètes (Calvin, Meyer) considèrent ces paroles comme adressées exclusivement à la ville de Jérusalem qui devait être détruite, ce qui ne laissait guère lieu à la repentance et à la conversion de ses habitants. Jésus affirmerait simplement que même ses ennemis le reconnaîtront comme Messie quand il viendra dans sa gloire, mais avec terreur en présence du jugement suprême.
Cette interprétation est inadmissible, car l'acclamation : Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, ne peut être qu'un cri d'adoration et d'amour dans la bouche de ceux qui ont cru. Et d'ailleurs combien des habitants de Jérusalem furent convertis au Seigneur, déjà dans les quarante années de la patience de Dieu qui leur furent laissées encore, et devinrent ainsi les prémices de leur peuple !
- Ces grandes pensées, par lesquelles Jésus prend un solennel congé de Jérusalem et de son peuple, préparent la prophétie qui va suivre. (Chap. 24.)