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26
Oui, béni soit qui vient au nom de l’Éternel !
Oui, nous vous bénissons de la maison de Dieu !
9
Et toute la foule, de la tête à la fin du cortège, poussait des acclamations enthousiastes : Hosanna ! Vive le Fils de David !
Béni soit celui qui vient de la part du Seigneur !
Hosanna au plus haut des cieux !
39
En effet, je vous le déclare : désormais, vous ne me reverrez plus jusqu’au jour où vous direz : Béni soit celui qui vient de la part du Seigneur !
26
En effet, l’Esprit saint lui avait révélé qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Messie, l’envoyé du Seigneur.
27
Poussé par l’Esprit, il vint donc au temple au moment où les parents de Jésus apportaient le petit enfant pour accomplir, à son sujet, les rites habituels ordonnés par la loi.
28
Siméon le prit dans ses bras et loua Dieu en disant :
29
Maintenant, Seigneur et Maître,
tu peux rappeler ton serviteur.
Je m’en vais en paix :
tu as tenu ta promesse,
30
car j’ai vu, de mes yeux,
le Sauveur qui vient de toi,
22
Mon Père a remis toutes choses entre mes mains. Personne ne connaît réellement le Fils, sauf le Père, et personne ne connaît réellement le Père, sauf le Fils et celui à qui il plaît au Fils de le faire connaître.
23
Puis, se tournant vers ses disciples, il leur dit en particulier : — Vous êtes heureux de voir ce que vous voyez !
22
Puis il continua en s’adressant à ses disciples : — Le temps viendra où vous désirerez ardemment être avec le Fils de l’homme, ne fût-ce qu’un seul jour, mais vous ne le pourrez pas.
21
Une autre fois, Jésus leur dit : — Je partirai et vous me chercherez en vain, et vous mourrez avec votre péché. Vous ne pouvez pas venir là où je vais.
24
C’est pourquoi je vous ai dit : « Vous mourrez avec vos péchés ». En effet, si vous ne voulez pas croire que je suis celui qui suis, vous mourrez avec vos péchés. —
56
Abraham votre père exulta de joie, rien qu’à la pensée de me voir venir sur cette terre. Il espérait vivre ce jour. Il l’a entrevu et il en fut transporté de joie. —
9
Eh quoi, lui répondit Jésus, après tout le temps que j’ai passé avec vous, tu ne m’as pas encore reconnu, Philippe ! Celui qui m’a vu, a aussi vu mon Père. Comment peux-tu dire : Montre-nous le Père ?
19
Sous peu, le monde ne me verra plus ; vous, par contre, vous me verrez parce que je suis vivant et que vous aussi, vous vivrez (de la même vie).
25
J’aimerais, chers frères, vous confier un secret resté caché jusqu’ici, afin que vous ne persistiez pas dans l’erreur en croyant tout savoir. Une sorte d’endurcissement est tombé sur une partie d’Israël. Ils sont devenus insensibles au message de Dieu et le resteront jusqu’au jour où le nombre total de tous les peuples (destinés à entrer en possession du salut) sera complet.
14
Mais sur leur intelligence aussi un voile est tombé ; leur esprit obscur est devenu insensible, ils demeurent aveugles (pour la vérité). Aujourd’hui encore, lorsqu’ils lisent l’Ancien Testament, leurs regards ne peuvent percer au-delà du voile, car c’est seulement dans l’union avec le Christ que le voile est levé.
15
Ainsi, jusqu’à ce jour, toutes les fois que les Israélites lisent les écrits de Moïse, un voile recouvre leur compréhension.
16
Mais comme le dit l’Écriture, lorsque Moïse se tournait vers le Seigneur, il ôtait le voile. Chaque fois qu’une personne se tourne vers Dieu, le voile tombe. Lorsqu’Israël se convertira, son bandeau lui sera enlevé.
17
« Le Seigneur » dont il est question, c’est l’Esprit, car là où est l’Esprit du Seigneur, là règne la liberté.
18
Or c’est sans voile, le visage découvert, que nous tous, nous contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur. Ainsi nous sommes constamment transformés d’après son modèle, pour lui ressembler davantage de jour en jour et en refléter une image toujours plus fidèle. Sa gloire devient progressivement nôtre. Il ne saurait en être autrement, car celui qui agit en nous, c’est le Seigneur lui-même par son Esprit.
Tel est le sens de ces paroles qui se présente le plus naturellement à l'esprit.
D'autres interprètes (Calvin, Meyer) considèrent ces paroles comme adressées exclusivement à la ville de Jérusalem qui devait être détruite, ce qui ne laissait guère lieu à la repentance et à la conversion de ses habitants. Jésus affirmerait simplement que même ses ennemis le reconnaîtront comme Messie quand il viendra dans sa gloire, mais avec terreur en présence du jugement suprême.
Cette interprétation est inadmissible, car l'acclamation : Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, ne peut être qu'un cri d'adoration et d'amour dans la bouche de ceux qui ont cru. Et d'ailleurs combien des habitants de Jérusalem furent convertis au Seigneur, déjà dans les quarante années de la patience de Dieu qui leur furent laissées encore, et devinrent ainsi les prémices de leur peuple !
- Ces grandes pensées, par lesquelles Jésus prend un solennel congé de Jérusalem et de son peuple, préparent la prophétie qui va suivre. (Chap. 24.)