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Matthieu 9.1

He entered into a boat, and crossed over, and came into his own city.
Jésus, étant monté dans une barque, traversa la mer, et alla dans sa ville.
Κα᜶ ጐΌÎČᜰς Δጰς Ï€Î»Îżáż–ÎżÎœ ÎŽÎčΔπέρασΔΜ Îșα᜶ ጊλΞΔΜ Δጰς τᜎΜ áŒ°ÎŽÎŻÎ±Îœ πόλÎčΜ.
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      Matthieu 4

      Matthieu 7

      Matthieu 8

      18 Le scribe mentionnĂ© dans ce texte Ă©tait trop empressĂ© dans sa promesse de suivre le Seigneur ; il prĂ©tendait devenir lui-mĂȘme un Ă©troit collaborateur de Christ. Il semblait ĂȘtre trĂšs rĂ©solu...

      De nombreuses rĂ©solutions d’engagements dans le ministĂšre Ă©manent d’une conviction hĂątive, elles sont prises sans une rĂ©elle rĂ©flexion, qui cependant est nĂ©cessaire : cela ne mĂšne souvent Ă  rien.

      Quand ce scribe proposa de suivre Christ, on aurait pu penser qu'il aurait dĂ» ĂȘtre encouragĂ© par ce Dernier ; un scribe peut avoir plus de crĂ©dit et rendre plus de services qu’une douzaine de pĂȘcheurs ; mais Christ a vu l’état de son cƓur, et Sa rĂ©ponse fut en rapport avec les pensĂ©es de cet homme : en cela Le Seigneur enseigne Ă  tous comment venir Ă  Lui avec sincĂ©ritĂ©.

      La rĂ©solution de ce scribe semble avoir Ă©tĂ© le rĂ©sultat d'une pensĂ©e inconsidĂ©rĂ©e, guidĂ©e par la convoitise ; en fait Christ n'avait aucun endroit oĂč reposer sa tĂȘte, et si cet homme voulait Le suivre, il ne devait pas compter ĂȘtre mieux loti. Nous avons des raisons de penser qu’ensuite, ce scribe quitta JĂ©sus.

      Un autre homme, voulant lui aussi suivre Christ, Ă©tait par contre, trop lent. Tarder dans l’exĂ©cution d’une tĂąche, est en quelque sorte aussi nĂ©faste que de se prĂ©cipiter pour l’exĂ©cuter. Cet homme demanda d'abord de pouvoir ensevelir son pĂšre, pour se mettre ensuite au service de Christ. Cela pouvait sembler tout Ă  fait lĂ©gitime, cependant il n'avait pas raison. Il n'avait pas le vĂ©ritable zĂšle pour ce travail. Enterrer un mort, en particulier un pĂšre, est une chose respectable, mais ce n'Ă©tait pas le moment adĂ©quat.

      Si Christ nous demande d’ĂȘtre Ă  Son service, notre affection, mĂȘme pour le plus proche de nos parents, et pour tout Ă©lĂ©ment hostile Ă  notre devoir, doit ĂȘtre mise de cĂŽtĂ©. Un esprit peu disposĂ© ne manque jamais d'excuses...

      Jésus lui dit : « suis-moi » ; sans aucun doute, une puissance émanait de cette parole, pour cet homme comme pour les autres ; il a donc suivi Christ, et s'est joint à lui. Le scribe, quant à lui a dit : « je te suivrai » ; Christ lui répondit, pour en quelque sorte : « suis-moi ».

      La comparaison de ces deux hommes nous indique que nous sommes amenés à Christ, par la force de Son appel ! Romains 9:16.

      23 Il est rĂ©confortant, pour ceux qui affrontent la mer en bateau, souvent au pĂ©ril de leur vie, de mĂ©diter sur le fait qu'ils ont un Sauveur en Qui ils peuvent placer leur confiance, et Ă  Qui ils peuvent adresser leurs priĂšres : en effet, le Seigneur sait ce que c'est que d'ĂȘtre sur une eau tumultueuse, et de braver la tempĂȘte. Ceux qui, avec Christ, traversent « l'ocĂ©an de ce monde », doivent s'attendre Ă  des tourmentes.

      La nature humaine de Christ ici-bas, semblable en toutes choses Ă  la nĂŽtre, Ă  l’exception du pĂ©chĂ©, Ă©tait soumise Ă  la fatigue ; Il dormait dans cette barque, pour Ă©prouver la foi de ses disciples. Ces derniers, dans leur crainte, s’approchĂšrent de leur MaĂźtre. Il en est ainsi pour une Ăąme : quand les convoitises et les tentations nous assaillent et se multiplient, et que Dieu semble « endormi », notre Ăąme peut ĂȘtre au bord du dĂ©sespoir. Alors un cri monte vers le Seigneur JĂ©sus : « ne reste pas silencieux, sinon tout est fini pour moi ».

      Beaucoup d’ñmes pieuses sont cependant faibles dans la foi. Il est possible que des disciples de Christ soient inquiĂ©tĂ©s et remplis de crainte, en un jour d’orage ; se tourmenter en de telles circonstances est mauvais pour eux : ils peuvent ĂȘtre assujettis Ă  des pensĂ©es lugubres ce qui est encore pire.

      Les grandes « tempĂȘtes » du doute et de la peur que peut traverser l'Ăąme, sous la pression de « l'esprit d'esclavage », se terminent quelquefois dans une paix merveilleuse, créée et dictĂ©e par l'Esprit d'adoption.

      Les disciples furent Ă©tonnĂ©s. Ils n'avaient jamais vu une telle tempĂȘte se transformer sur le champ, en un calme parfait. Celui qui peut faire cela, est capable de diriger toute chose en vue d’encourager la confiance et le rĂ©confort que l’on peut avoir en Lui, mĂȘme au jour le plus orageux ! Esa 26:4.

      Matthieu 9

      1

      JĂ©sus retourne Ă  CapernaĂŒm, et guĂ©rit un paralytique. (Matthieu 9:1-8)
      L’appel de Matthieu. (Matthieu 9:9)
      La fĂȘte chez Matthieu, (ou LĂ©vi). (Matthieu 9:10-13)
      Les objections des disciples de Jean. (Matthieu 9:14-17)
      Christ guérit la fille de Jaïrus, Il guérit la femme, à la perte de sang. (Matthieu 9:18-26)
      Il guérit deux aveugles. (Matthieu 9:27-31)
      Christ chasse un démon, d'un muet. (Matthieu 9:32-34)
      Il envoie les apĂŽtres en mission. (Matthieu 9:35-38)

      La foi des amis du paralytique qui l'amenÚrent à Christ, était grande ; ils croyaient fermement que Jésus-Christ pouvait le guérir, et qu'Il allait le faire.

      Une foi solide ne considùre aucun obstacle, pour se diriger vers Christ. Ces hommes disposaient d’une telle foi ; ils amenùrent le paralytique à Christ, convaincus de Sa Puissance. Il s’agissait d’une une foi active.

      Le pĂ©chĂ© peut ĂȘtre pardonnĂ©, alors que la maladie peut subsister, par contre la maladie peut ĂȘtre ĂŽtĂ©e, sans que le pĂ©chĂ© ne soit pardonné : si nous disposons du rĂ©confort de la Paix divine, avec en plus, la joie d’ĂȘtre guĂ©ri d'une maladie, cette guĂ©rison est alors rĂ©ellement une misĂ©ricorde. Cela ne doit surtout pas nous encourager Ă  pĂ©cher !

      Si l’on apporte son pĂ©chĂ© Ă  JĂ©sus-Christ, en tant que « maladie et misĂšre » dont on veut ĂȘtre guĂ©ri et dĂ©livrĂ©, c'est une bonne dĂ©marche ; mais si l’on veut venir Ă  Lui, sans vouloir renoncer Ă  ces pĂ©chĂ©s, nous commettons alors une grossiĂšre erreur, nous sommes victimes d’une misĂ©rable illusion. La grande intention de JĂ©sus, dans la RĂ©demption qu'Il offre, consiste Ă  sĂ©parer notre cƓur du pĂ©chĂ©. Notre Seigneur JĂ©sus a une parfaite connaissance de tout ce que nous pensons.

      Il y a une grande quantitĂ© de maux, dans les pensĂ©es coupables ; ils sont trĂšs offensifs pour le Seigneur. Christ a choisi de montrer que Sa grande mission dans le monde, Ă©tait de sauver Son peuple de ses pĂ©chĂ©s. Dans ce texte, Il a Ă©vitĂ© de dĂ©battre longuement avec les scribes : Il a parlĂ© de la guĂ©rison de l'homme malade. Non seulement ce dernier n'avait plus besoin d'ĂȘtre portĂ© sur son lit, mais il avait la force de porter sa couche !

      Dieu doit ĂȘtre glorifiĂ© pour toute Sa Puissance qu'Il nous accorde, pour accomplir le bien !

      Marc 5

      21 Quand l’évangile est mĂ©prisĂ©, il continue son action lĂ  oĂč on le recevra le mieux.

      Nous voyons dans ce texte un des chefs de cette synagogue supplier humblement Christ, de sauver sa petite fille, ĂągĂ©e d’environ douze ans, en danger de mort. Une autre guĂ©rison, celle de cette femme atteinte d’une perte de sang, fut Ă©galement opĂ©rĂ©e, pendant cette scĂšne.

      Nous devrions pratiquer le bien non seulement lorsque nous sommes dans notre demeure, mais aussi lorsque nous sommes en voyage, \\#De 6:7\\. Il est courant de voir diffĂ©rentes personnes nĂ©gliger de chercher secours auprĂšs de Christ, avant d’avoir essayĂ© en vain toutes les autres possibilitĂ©s d’aide, comme par exemple, des mĂ©decins sans compĂ©tence. Certaines courent vers les divertissements, les plaisirs... D'autres se plongent avec acharnement dans les affaires, s'occupent d'Ă©tablir leur propre justice, ou se tourmentent par de vaines superstitions. Beaucoup pĂ©rissent dans ces voies... En fait, nul ne trouvera jamais le repos de l’ñme par de tels moyens. Par contre, ceux que JĂ©sus guĂ©rit de la maladie du pĂ©chĂ©, constatent en eux-mĂȘmes un changement positif radical.

      Les actes secrets du péché, comme ceux de la foi, sont tous connus du Seigneur Jésus. La femme atteinte de cette perte de sang, avoua au Seigneur toute la vérité. Christ désire que Son peuple soit consolé, et Il a le pouvoir de réconforter les esprits troublés.

      Plus nous dĂ©pendons de Lui en toute simplicitĂ©, plus nous nous attendons Ă  recevoir de grandes choses de Sa part, plus nous constaterons qu'Il est vraiment l’Auteur de notre salut. Ceux qui, par la foi, sont guĂ©ris de leurs maladies spirituelles, peuvent en toute quiĂ©tude, cheminer en paix !

      Luc 8

      Apocalypse 22

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