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Nahum 3.1-19
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Nahum termine par une apostrophe au roi d'Assyrie.
Tes pasteurs... tes hommes forts, tes généraux, sont tués ; ton peuple est dispersé bien loin dans les montagnes ; la situation est désespérée.
Sur qui... ? Cette question résume en un trait final tous les crimes qui ont enflammé la colère de l'Eternel (chapitre 1) et provoqué ce jugement terrible (chapitre 2).
L'accomplissement de la prophétie de Nahum.
Nous avons fort peu de détails sur les derniers temps du royaume d'Assyrie ; nous avons vu dans l'introduction qu'Assurbanipal sut encore, par son énergie et sa cruauté, réprimer les révoltes des provinces. Il n'en continua pas moins à écraser d'impôt ses sujets pour satisfaire ses goûts fastueux ; il construisit des palais magnifiques, et, c'est dans celui de Ninive que l'on a trouvé cette bibliothèque assyrienne qui est aujourd'hui un des plus précieux trésors du Musée britannique.
Mais la décadence, retardée par son énergie, n'en devait être que plus rapide ; les inscriptions sont naturellement muettes sur ces revers de l'Assyrie, l'Egypte s'affranchit de son joug, et bientôt un autre ennemi surgit à l'horizon. C'étaient les Mèdes, qui depuis peu étaient arrivés à former un Etat. Déjocès réunit ces tribus nomades, et son fils Phraorte se hasarda à attaquer leurs anciens maîtres ; mais il fut battu, et tué devant Ninive (635 ou 625). Nous ne savons pas si ce fut encore par Assurbanipal ou par son faible successeur, Assur-etel-ilani. Ce roi, le dernier des souverains ninivites, n'a laissé que deux inscriptions qui nous soient parvenues ; il y parle d'une restauration du temple de Nébo et de la construction de son palais à Nimroud ; mais ce palais ne rappelle plus le luxe de ceux de ses ancêtres ; c'est un bâtiment misérable qui atteste la décadence de l'empire. Cyaxare, le fils de Phraorte, se hâta de venger la mort de son père ; il s'était avancé avec son armée victorieuse jusque sous les murs de Ninive, quand l'invasion des Scythes le contraignit à lever le siège et à retourner en toute hâte dans ses Etats. Ces barbares ravagèrent l'Asie occidentale pendant bien des années ; dès qu'il vit le danger éloigné, Cyaxare revint à la charge avec son allié Nabopolassar, vice-roi de Babylone ; le siège de Ninive, si nous en croyons les historiens grecs, dura trois ans, et la ville ne fut prise qu'à la suite d'une inondation du Tigre qui emporta les remparts sur une longueur de vingt stades. Le roi, désespéré se serait brûlé dans son palais. C'était en 606 (d'après d'autres, 608).
C'est ainsi que fut anéantie la grande ville de Ninive et, avec elle, l'empire et le peuple assyriens dont l'histoire ne fait plus jamais aucune mention. Ce désastre eut un retentissement immense dont nous trouvons l'écho dans les prophéties d'Ezéchiel (Ezéchiel 31.11-16 ; 32.22-23). La destruction fut si radicale que, deux siècles plus tard, Xénophon traversa ces ruines sans savoir quel en était le nom, ni quel peuple les avait habitées. Les âges suivants ignorèrent l'emplacement où fut Ninive, et il en a été ainsi jusqu'à notre génération ; les fouilles entreprises par les Anglais et les Français ont remis au jour les restes magnifiques de la ville qui avait régné sur le monde, mais que l'Eternel avait frappée du jugement de sa colère.
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