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Néhémie 9.13

Tu es descendu sur le mont Sinaï, tu leur as parlé du haut du ciel et tu leur as communiqué des articles de droit justes, des lois vraies, des ordonnances et des commandements excellents.
Tu descendis sur la montagne de Sinaï, tu leur parlas du haut des cieux, et tu leur donnas des ordonnances justes, des lois de vérité, des préceptes et des commandements excellents.
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      Exode 19

      16 Jamais pareil sermon, tel que celui donné par Dieu dans le désert, ne fut prêché au peuple. On peut supposer que ce dernier était vraiment effrayé, et que cette frayeur entravait toute approche de curiosité ; le cœur le plus endurci d'un pécheur n'offre guère de poids face aux avertissements et aux jugements divins.

      Quand, dans le cheminement de notre vie, nous nous approchons de Dieu, nous ne devons pas oublier, d'une part, Sa Sainteté et Sa grandeur, mais aussi notre méchanceté et notre position, pollués que nous sommes par le péché. Par nature, nous ne pouvons pas nous dresser devant la grandeur des jugements de l'Éternel, ni devant Sa Loi, pleine de droiture.

      Le pécheur convaincu pose cette question : « Que dois-je faire pour être sauvé » ? Une voix lui répond alors : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé ». Le Saint-Esprit, qui a créé la loi pour nous convaincre de notre péché, nous présente maintenant le salut en Jésus-Christ. Dans l'évangile, nous lisons que Christ nous a racheté de la malédiction annoncée par la loi, Il a été fait malédiction pour nous. Nous avons la rédemption par Son sang et nos péchés sont ainsi pardonnés. En Lui, nous sommes justifiés de tout, même de ce dont nous étions accusés par la loi de Moïse. Mais les ordonnances divines doivent être considérées comme une règle de vie. Le Fils de Dieu est descendu des cieux, il a souffert de la pauvreté, de la honte, de l'agonie et de la mort, non seulement pour nous racheter de la malédiction, mais aussi afin que nous gardions tous Ses commandements.

      Exode 20

      1

      Le préambule des dix commandements. (Exode 20:1,2)
      Les commandements écrits sur les premières tables. (Exode 20:3-11)
      Leur rédaction sur les deuxièmes tables. (Exode 20:12-17)
      La crainte du peuple. (Exode 20:18-21)
      Rappel d'interdiction contre l'idolâtrie. (Exode 20:22-26)

      Dieu parle aux hommes de plusieurs manières : par leur propre conscience, par la Providence, par Sa voix ; nous devons être soigneusement attentifs à tous ces messages. Mais Dieu ne s'est jamais exprimé comme Il l'a fait, lors de Sa déclaration des dix commandements. Au tout début, la Loi a été inculquée à l'homme ; cette loi aurait dû rester inscrite dans son cœur, mais le péché l'a corrompue et de ce fait, il fallait en redéfinir la connaissance. La loi est spirituelle, elle connaît les pensées secrètes du cœur, ses désirs, et ses dispositions.

      Le commandement qu'elle souligne le premier, est l'amour ; sans lui, toute vie spirituelle n'est qu'hypocrisie ; ce commandement doit être parfaitement observé, avec une obéissance constante ; aucune loi au monde ne tolère la désobéissance. Celui qui voudra observer toute la loi mais qui pèchera contre un seul commandement, sera coupable envers tous les autres, Jacques 2:10. Le fait de la modifier, soit dans notre cœur, dans nos pensées, dans nos propos ou dans nos actes, n'est que péché et la mort est le salaire du péché.

      22 Moïse, s'étant approché de la nuée où était Dieu, écoutait les instructions divines : elles expliquent de manière détaillée, à partir de ce verset, jusqu'à la fin du chapitre vingt-trois, les dix commandements. Les directives de ces versets concernent l'adoration divine. Les Israélites étaient ainsi assurés que Dieu, dans Sa grâce, accepterait leurs offrandes.

      Aujourd'hui, au temps de l'évangile, les hommes sont invités à prier en tous lieux ; quel que soit l'endroit où les enfants de Dieu se réunissent en Son Nom, pour L'adorer, le Seigneur se tient au milieu d'eux ; Il vient vers eux et les bénit.

      Deutéronome 4

      Deutéronome 5

      23 Moïse mentionne dans ce texte, la consternation et la terreur du peuple, lorsque ce dernier reçut la loi. Depuis « la chute », décrite au début de la Genèse, l'apparence de Dieu a toujours été terrible pour l'homme ; mais Christ, Celui qui a ôté le péché du monde, nous invite à nous approcher du Trône de la Grâce.

      Les enfants d'Israël, fermement convaincus par les paroles de Moïse, étaient tout à fait disposés à se soumettre aux ordonnances divines.

      Beaucoup de personnes sont interpellées en entendant les paroles de la loi : elles se sentent impures et sont alors prêtes à prendre de bonnes résolutions, mais en fait, elles sont relativement désarmées pour sortir de leur état. L'Éternel a salué la bonne volonté du peuple, qui annonçait vouloir suivre la loi.

      Dieu ne désire que le bien et le salut des pauvres pécheurs que nous sommes ! Il a donné à ce sujet, maintes preuves de cette volonté ; Il nous accorde toujours le temps et les dispositions nécessaires à notre repentance. Il a envoyé Son Fils pour nous racheter, Il a promis d'envoyer le Saint-Esprit à ceux qui prient en Son Nom et Il a toujours déclaré ne pas prendre plaisir à la ruine des pécheurs. Il serait vraiment merveilleux de voir, comme l'ont fait les enfants d'Israël dans ce chapitre, de nombreuses âmes, convaincues de péché ou face à la mort, disposer d'un cœur résolu à écouter la Parole de Dieu. La seule manière d'être vraiment joyeux, c'est de vivre dans la sainteté.

      Que les croyants puissent étudier de plus en plus la Parole, afin qu'elle soit pour eux un véritable « délice », et qu'ils accomplissent, ensuite, la Volonté du Seigneur !

      Deutéronome 10

      12 Ce texte indique quels sont nos devoirs envers Dieu, en ce qui concerne les principes de notre vie pratique. Nous devons craindre le Seigneur, notre Dieu. Nous devons L'aimer, être en communion avec Lui et faire de Sa Personne, nos délices. Nous devons marcher dans les voies qu'Il nous a prescrites. Nous devons Le servir de toute notre âme et de tout notre cœur. Toute notre consécration à Son service doit être faite de bon cœur, avec zèle. Nous devons garder Ses commandements. Lui obéir, doit être pour nous un véritable plaisir et un honneur. En effet, nous devons honorer Dieu ; nous devons Lui rester fidèles, comme nous le serions vis-à-vis de quelqu'un que nous aimons vraiment, en qui nous avons tout notre bonheur et plaçons notre confiance et notre espérance.

      Ce texte mentionne également nos devoirs envers notre prochain. Les bontés que Dieu accorde aux hommes, doivent nous inciter à avoir les mêmes envers les autres. Tous ceux qui ont été sauvés par Dieu, lors de situations désastreuses, doivent se tenir prêts à aider les personnes traversant des épreuves similaires.

      Les instructions de ce texte s'adressent également à nous, directement. Nous devons « circoncire » notre cœur : rejeter toutes les mauvaises affections, nos penchants malsains, éléments qui ne peuvent que nous éloigner de la crainte et de l'amour de Dieu. Par nature, nous avons tendance à délaisser cet amour : le péché et la méchanceté en sont la cause.

      L'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu et qu'elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu, Romains 8:5-9. Approchons-nous sans tarder de Jésus-Christ, Celui qui nous a réconciliés avec Dieu, de façon à ce que nous puissions L'aimer, Le servir, Lui obéir et être transformés en Son Image, de gloire en gloire, par l'Esprit.

      Considérez la grandeur et la Gloire de Dieu ! Béni soit le Saint-Esprit ! C'est Lui qui nous préserve de toute chute, qui nous purifie et nous régénère, afin que nous ne soyons pas rejetés loin du Père, comme le furent les Israélites dans le désert, mais que nous soyons comptés parmi les enfants de Dieu, et que notre part puisse être celle des saints, Heb 3:7-9*.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Deutéronome 33

      Psaumes 19

      7 Les Saintes Écritures nous apportent plus que le jour ou la nuit, que l'air que nous respirons ou que la lumière du soleil. Pour que l'homme puisse sortir de sa déchéance, il a besoin de la Parole de Dieu. Le mot original traduit par « loi » peut être assimilé à « doctrine », il peut être compris dans le sens de « tout ce qui nous enseigne au travers de la religion ».

      Cette entité est parfaite ; elle tend à convertir ou à détourner l'âme du péché et du monde, vers Dieu et sa Sainteté. Elle nous montre notre état pécheur et misérable, loin de Dieu, et la nécessité de retourner à Lui. Cette recommandation est sûre : celui qui est dans une certaine recherche et qui croit en ce que Dieu dit, devient sage, et est en vue d'acquérir son salut. C'est une bonne démarche vers le chemin du devoir. C'est une fontaine de réconforts vivifiants et un fondement certain pour nos espérances.

      Les commandements divins sont droits, comme d'ailleurs ils doivent l'être et en tant que tels ils réjouissent le cœur. Les commandements du Seigneur sont purs, saints, justes et bons. Avec eux nous découvrons notre besoin d'avoir un Sauveur et aussi comment découvrir le merveilleux évangile. C'est par eux que le Saint-Esprit émerveille les yeux ; ils nous conduisent à la perception de notre péché et de notre misère, ils nous conduisent sur le chemin du devoir. La crainte du Seigneur est la vraie religion, elle purifie notre chemin, à jamais. Les lois cérémonielles de ce monde passent mais la loi relative à la crainte de Dieu est toujours la même. Les jugements du Seigneur, ses préceptes, tous cela est vérité ; ils sont la droiture même et ils ne se contredisent pas ; on ne peut les mettre en défaut.

      L'or est dédié uniquement au corps et au temps présent ; mais la grâce est dédiée à l'âme et concerne l'éternité. La Parole de Dieu, reçue par la foi, est plus précieuse que l'or ; Elle est agréable à l'âme, aussi douce que du miel. Les plaisirs des sens sont rapidement ternis, et jamais satisfaits ; mais ceux de la religion sont substantiels et donnent toujours satisfaction ; il n'y a en eux aucun risque d'excès.

      11 La Parole de Dieu exhorte l'homme impie à ne pas continuer dans la voie qu'il pratique et avertit le juste pour qu'il ne se détourne pas du bon chemin. Il y a une récompense, non seulement pour avoir observé les commandements divins, mais aussi pour celui qui les observe en permanence. La religion nous console et nous soulage, elle nous aide dans nos divers chemins, elle nous donne une raison de vie et le désir de « déloger » vers Christ.

      David ne désire pas uniquement être pardonné et lavé des péchés dont il se souvient et qu'il a confessés, mais aussi de tous ceux qu'il a oubliés ou ignorés. Toutes les révélations des péchés que la Loi nous à manifestées devraient nous mener au trône de la grâce pour ensuite nous conduire dans la prière.

      C'est une dépendance caractérisant chaque chrétien, qui peut ainsi dire : je dispose d'une assurance dans le Seigneur Jésus, d'un modèle de droiture, d'une force. Aucune prière ne peut être digne d'une attention divine si elle n'est présentée au nom de notre puissant Rédempteur, au nom de Celui qui s'est chargé de notre nature, au nom de celui qui peut nous racheter auprès de Dieu, pour l'éternité. Que notre cœur puisse être sensible à l'excellence de la Parole de Dieu ; qu'il puisse aussi considérer l'horreur du péché, le danger auquel sa pratique nous expose et la situation dans laquelle il nous place.

      Psaumes 119

      137 Dieu n'a jamais fait, ni ne fera, le mal. Les promesses qu'Il a annoncées ont toutes été accomplies. Nous devrions faire tout notre possible pour lutter avec zèle contre le péché, en nous investissant plus que de coutume dans le service spirituel. Notre amour pour la Parole témoigne de notre amour pour Dieu lui-même ; ceci nous engage dans notre cheminement vers la sainteté. Les qualités réelles des hommes les rendent modestes à leurs propres yeux. Quand nous sommes humiliés et méprisés, nous avons alors un grand besoin de nous remémorer les commandements divins pour être encouragés. La loi de Dieu est la vérité, le standard de la sainteté, la source de toute joie ; seule l'obéissance à Christ permet de justifier le croyant. Les épreuves et les larmes sont souvent le salaire des saints ; ils vivent ici-bas dans un monde de tentations multiples. On trouve ses délices dans la Parole de Dieu, et particulièrement les saints, au temps de l'épreuve et de l'angoisse. La vie éternelle, c'est de connaître Dieu et Celui qu'Il a envoyé, Jésus-Christ Jean 17:3. Puissions-nous vivre ici-bas, une vie pleine de grâce et de foi pour aller ensuite vers une vie pleine de gloire !

      Esaïe 64

      1

      L'église prie afin que la Puissance divine puisse se manifester. (Esaïe 64:1-5)
      La confession du péché, les afflictions sont déplorées. (Esaïe 64:6-12)

      Ceux qui appartiennent à la famille de Dieu, désirent qu'Il Se manifeste en toute occasion, de sorte que tous puissent voir Son œuvre. Ce texte peut s'appliquer à la seconde venue de Christ, quand le Seigneur en Personne descendra du ciel.

      Ces personnes rappellent à Dieu Ses « habitudes », et Ses Promesses à leur sujet. Ils n'ont aucune crainte à avoir, quant à Ses desseins, car ils Lui font une entière confiance : il est certain qu'Il ne décevra jamais Ses enfants. Le bonheur des Siens est en fait lié au destin que Dieu leur a préparé, en tout ce qu'Il a déjà accompli ou fera.

      Pouvons-nous vraiment croire en cette vérité, estimant qu'aucune œuvre ne puisse être impossible à Sa Puissance et Son amour ? Dieu est avant tout spirituel, Il ne peut être « compris » directement par la raison humaine. Cet état de fait est indéniable.

      Remarquez la communion particulière qui se crée entre ce Dieu plein de Grâce et une âme qui Le recherche. Nous devons nous évertuer à faire notre devoir conformément à tout ce que le Seigneur, notre Dieu, exige.

      « Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice » ; ce texte souligne la liberté et la rapidité divines, envers celui qui s'évertue à accomplir le bien. Bien que Dieu soit offensé à cause de nos péchés, en toute justice, Son courroux s'est cependant apaisé : Sa Grâce représente pour nous la vie éternelle. De là, dépend tout notre salut !

      Ezéchiel 20

      Habacuc 3

      3 Lorsque le peuple de Dieu traverse la détresse et le désespoir, il recherche de l'aide en se rappelant les jours et les années bénis, les présentant à Dieu par la prière.

      Quand nous lisons ce texte, nous remarquons une similitude qui ressort entre les captivités du peuple d’Israël, à Babylone et en Égypte, toutes deux suivies d’une délivrance similaire par la puissance de l'Éternel. Dieu est alors apparu dans Sa gloire : les puissances de la nature sont alors ébranlées, tout ceci pour le salut du peuple de Dieu. Même ce qui peut paraître impossible, se réalise, pour le salut du peuple.

      Par cette délivrance, nous avons une image de la Rédemption des pécheurs repentants, par Jésus-Christ. C'est le salut de l’humanité par Son oint (verset treize).

      Josué, en conduisant l'armée d'Israël, était une représentation de celui dont il portait le nom, « Jésus », « notre Josué ». Dieu voyait en lui l’image de Christ, « l'Oint » dans chacune des délivrances conduites pour le peuple : toutes étaient le résultat de Son œuvre.

      Tous les miracles accomplis pour l'Israël de l’Ancien Testament ne sont rien, comparés au miracle accompli lorsque le Fils de Dieu souffrit sur la croix pour les péchés de Son peuple ! Quelle gloire dans Sa résurrection et Son ascension ! Avec quel triomphe se manifestera bientôt Son retour, qui mettra fin à toute opposition contre Lui et à toutes les souffrances de Son peuple !

      Romains 7

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      Hébreux 12

      18 La montagne du Sinaï, sur laquelle les tables de la loi furent élaborées, était un lieu que l'on aurait pu toucher ; il était pourtant interdit de le faire. La dispensation mosaïque, par rapport à la Nouvelle Alliance, se trouvait davantage axée sur des éléments physiques, extérieurs et terrestres.

      L'Évangile est synonyme de douceur et de condescendance, il convient parfaitement à notre faible nature. Sous l'Évangile, tous peuvent s’approcher de Dieu avec hardiesse et bénéficier de Sa présence. Mais l’homme le plus parfait serait désespéré s'il était jugé selon la sainte loi donnée sur le mont Sinaï, sans un réel Sauveur, Christ !

      Au temps de l'Évangile, l'église est appelée « la montagne de Sion » ; de cet endroit, les croyants discernent plus clairement le ciel, et la paix règne en leur âme. Tous les enfants de Dieu sont des « héritiers » ; chacun dispose des privilèges d’un fils « premier-né ». Supposons qu'une âme rejoigne l’assemblée, cette église si glorieuse, en restant cependant étrangère à Dieu, possédant encore un esprit charnel, aimant prioritairement ce présent monde, dans ce qu’il représente, avec toute sa vanité, ses mensonges et ses convoitises ; une telle âme semblerait s'être trompée de chemin, de lieu, d'état, et de compagnie. En réalité, elle devrait se sentir mal à l’aise dans une telle compagnie spirituelle...

      Christ est le Médiateur de la Nouvelle Alliance : Il est placé entre Dieu et les hommes, pour amener ces derniers à bénéficier de cette Alliance ; Christ plaide en notre faveur, auprès de Dieu, pour que, finalement, tout Son peuple soit réuni dans le ciel. Cette Nouvelle Alliance est fermement établie par le sang de Christ, répandu pour nous ; le sang de ce sacrifice a été répandu sur « l’autel », à la croix ; Christ a été la victime, au bénéfice des pécheurs ; Il ne plaide pas pour la vengeance, mais pour la Miséricorde !

      Veillons donc à ne pas refuser Son appel, plein de Grâce, avec le salut qui est offert. Veillons à ne pas repousser Celui qui parle du haut des cieux, avec une tendresse et un amour infinis ; comment pourront s'échapper ceux qui se détournent de Dieu, en toute incrédulité ou apostasie, alors qu'Il les conjure, dans Sa Grâce, afin qu’ils soient réconciliés, en recevant Son éternelle faveur ?

      La relation entre de Dieu et les hommes, aujourd’hui, en cette période de Grâce, nous assure qu'Il jugera sévèrement ceux qui méprisent l'Évangile. Nous ne pouvons pas adorer Dieu d'une manière acceptable sans l'adorer avec vénération, dans une pieuse crainte. Seule la Grâce de Dieu nous permet de L'adorer d'une manière correcte. Dieu reste immuable, un Dieu juste et trois fois saint, sous la Loi comme sous l'Évangile. Un héritage spirituel est assuré à tous les croyants ; tout ce qui concerne le salut est donné gratuitement, en réponse à la prière.

      Recherchons la Grâce, pour que nous puissions servir Dieu avec crainte et vénération !

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