- Dans ce livre, aucune mention n'est faite, du péché de David
relatif à Urie, ni des problèmes consécutifs que le roi
rencontra : l'Auteur des Chroniques a jugé qu'il n'était pas
nécessaire de le rappeler. Mais la faute de David, consistant
à dénombrer le peuple, est bien, quant à elle, mentionnée :
dans l'évocation de l'expiation faite pour ce péché, il y avait
une notification du lieu, sur lequel le temple devrait être
construit. L'ordre donné à David, de construire un autel, fut
une véritable bénédiction, témoignant de sa réconciliation avec
l'Éternel. Dieu approuva les offrandes de David sur cet autel.Christ a été fait « péché » et « malédiction » pour nous ; il
plut à Dieu de Le meurtrir, afin qu'au travers de Son Fils,
Jésus, Il puisse être non pas un Dieu dévorant mais, mais un
Dieu de réconciliation. Il est bon de méditer les ordonnances
divines, en particulier celles en lesquelles nous avons
expérimenté la présence du Père, ayant constaté qu'Il est avec
nous, « la Vérité ».
Dieu, dans Sa Grâce, m'a cherché ; je dois donc en retour,
m'efforcer de Le rencontrer !
La phrase est incomplète ; il faut sous-entendre d'après le verset 2 : Nous devons faire le recensement.
Comme l'Eternel l'a ordonné... La mention de Moïse à la troisième personne fait penser que c'est Eléazar qui a transmis au peuple l'ordre de Dieu. Le sens est que ce second recensement doit s'effectuer de la même manière que le premier (1.1-18).