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Psaumes 50.7

Écoute, mon peuple, et je parlerai ; je témoignerai contre toi, ô Israël ! Je suis Dieu, ton Dieu.
Écoute, mon peuple, et je parlerai ; écoute, Israël, et je témoignerai au milieu de toi. Moi, je suis Dieu, ton Dieu.
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      Exode 19

      Exode 20

      Deutéronome 26

      Deutéronome 31

      1 Samuel 12

      2 Rois 17

      2 Chroniques 28

      Néhémie 9

      Psaumes 49

      1

      Un appel à la vigilance. (Psaumes 49:1-5)
      Folies des choses du monde. (Psaumes 49:6-14)
      Lutte contre la crainte de la mort. (Psaumes 49:15-20)

      Il est rare de rencontrer une introduction aussi solennelle : aucune vérité ne revêt une aussi grande importance.

      Écoutons bien cela pour notre application personnelle. Les pauvres sont soumis aux dangers des désirs avides de la richesse du monde, désirs qu'animent les hommes cupides.

      Le psalmiste commence par appliquer cela à lui-même, ce qui est le meilleur moyen de traiter les choses divines. Il souligne, tout d'abord, la folie de la sécurité matérielle, la folie de la confiance dans les richesses du monde ; il présente ensuite, d'après son expérience vécue, les bénéfices et le réconfort qui résultent de la confiance en Dieu. Au jour du jugement, nos propres iniquités, nos fautes du passé nous seront alors présentées. Ce jour là, les hommes de ce monde seront alors effrayés ; mais est ce que celui qui a Dieu avec lui aurait peur de la mort ?

      Psaumes 50

      7 L'obéissance vaut mieux que le sacrifice et aimer Dieu et notre voisin est meilleur que toutes les vaines offrandes.

      Nous sommes ici mis en garde de ne pas nous satisfaire de ces simples actes. Et soyons attentifs à cela dans toutes nos pratiques. Dieu désire le cœur ; que peuvent faire les inventions humaines pour satisfaire le plaisir divin, quand la repentance, la foi et la sainteté sont négligées ? Au jour de la détresse, nous devons nous adresser au Seigneur par la prière fervente. Nos problèmes, bien que nous les voyions comme envoyés par la main divine, doivent nous conduire à Lui et non pas nous éloigner de Lui. Nous devons Le percevoir dans toutes nos voies, dépendre de Sa sagesse, de Sa puissance et de Sa bonté, en nous confiant entièrement en Lui et en Lui rendant ainsi toute la gloire.

      Nous devons rester en communion avec Dieu ; Le rencontrer par le moyen de la prière lors de l'épreuve comme au moment de la délivrance.

      La supplication du croyant aura non seulement une réponse pleine de grâce, mais de plus, bénéficiera de la bénédiction de pouvoir s'adresser à son Dieu.

      Psaumes 81

      8 Nous ne pouvons vraiment percevoir notre petitesse vis-à-vis de la grandeur de Dieu. Nous avons toute suffisance en Dieu, si nous prions pour cela avec foi. Toute la méchanceté du monde provient des intentions délibérées des hommes. Ils ne sont pas religieux parce qu'ils ne veulent pas l'être. Dieu n'est pas l'Auteur de leurs péchés, Il les laisse errer dans leurs propres convoitises et désirs charnels ; s'ils ne pratiquent pas le bien, ils en seront blâmés. Le Seigneur ne veut pas que les hommes aillent à la perdition. Quels ennemis les pécheurs sont pour eux-mêmes !

      C'est le péché qui nous procure des épreuves si dures et un chemin du salut si difficile à parcourir. Avec des conditions de foi et d'obéissance, que les chrétiens puissent garder en eux les bonnes choses spirituelles et éternelles, comme s'ils cultivaient les champs et les collines fertiles du pays de Canaan.

      Christ est le « Pain de vie » ; Il est le « Rocher du salut » et Ses promesses sont comme du miel pour les âmes pieuses. Mais ceux qui Le rejettent, en tant que Seigneur et Maître, doivent aussi le perdre en tant que Sauveur.

      Esaïe 1

      Jérémie 2

      9 Avant que Dieu ne punisse les pécheurs, Il tente au préalable, de les « raisonner », pour les mener au repentir. Il nous indique ce que nous devrions Lui confesser. Il y a de quoi être effrayé, à la pensée de la colère divine et de la malédiction réservées à ceux qui rejettent la Grâce de Dieu et Son Amour !

      La Grâce offerte par Christ est comparée à l'eau d'une fontaine, rafraîchissante et régénératrice, « lavant » le péché et produisant du fruit : il s'agit d'une eau vivifiante, car elle ranime les pécheurs morts, relève les saints qui ont chuté, soutient et maintient la vie spirituelle, et ouvre les voies de la vie éternelle, sans jamais tarir. Abandonner une telle Fontaine représente la première faute ; celle-ci se produisit quand le peuple de Dieu négligea Sa Parole et Ses ordonnances. Il tailla en vain des citernes, ne pouvant retenir aucune eau. Il en est même pour le monde, avec toutes ses tristes « inventions » : elles proviennent des hommes, qui se sont fiés en elles et sur lesquelles ils se sont appuyés.

      Attachons-nous de tout notre cœur au Seigneur, et à Lui seul ; sinon, à qui pourrions-nous aller ? Combien sommes-nous enclins à nous priver des consolations de l'Esprit-Saint, en recherchant les vaines joies de ce monde, sans valeur, pleines de passions et d'hypocrisie !

      Ezéchiel 20

      Michée 6

      1

      Controverse entre Dieu et Israël. (\\# 1-5\\)
      Les devoirs dont Dieu exige l’accomplissement. (Michée 6:6-8)
      La perversité d'Israël. (Michée 6:9-16)

      Dieu appelle le peuple d’Israël, afin qu’il lui donne les raisons de sa lassitude quant à son adoration et sa tendance à se tourner vers l'idolâtrie.

      Le péché est à l’origine de la controverse entre Dieu et les hommes. Dieu nous interpelle afin de nous apprendre à nous examiner nous-mêmes.

      Israël devait se souvenir de toutes les faveurs que Dieu avait manifestées à ses ancêtres ; le peuple devait comparer toutes les bénédictions reçues jusqu’à présent, malgré sa conduite indigne et ingrate envers Dieu...

      6 Ces versets semblent relater la faute d’Israël, qui consiste à avoir consulté Balak et Balaam, au lieu d’essayer d’obtenir directement les faveurs du Dieu vivant.

      Une conviction profonde de péché, avec le courroux divin que cela entraîne, conduira les hommes à rechercher la paix et le pardon ; c’est le seul espoir pour eux.

      Pour que Dieu soit satisfait de notre conduite, nous devons porter notre attention sur l'expiation de Christ, afin que notre péché, qui Lui déplait tant, puisse être effacé. Qu'est-ce qui peut satisfaire la justice de Dieu ? Au nom de qui pouvons-nous nous présenter devant Lui, puisque nous n'avons personne qui puisse plaider en notre faveur ? Comment oserions-nous paraître devant Lui, sans être justifiés ?

      Les sacrifices offerts aux idoles par le peuple trahissaient son ignorance, malgré son zèle. Israël offrait ce qui était luxueux et coûteux.

      Ceux qui sont totalement convaincus de leur péché, avec toute la souffrance que cela engendre et la prise de conscience du danger encouru, donneraient sans doute tout ce qu’ils possèdent pour retrouver la paix et le pardon divins. S’ils persistent dans leurs mauvaises voies, ils ne courent qu’à leur ruine...

      Les sacrifices de l’Ancienne Alliance avaient une certaine valeur, par leur référence à celui, parfait, de Christ ; mais il était impossible que le sang des taureaux ou des boucs puissent effacer le péché. Toutes les « offrandes de paix », à part celles faites selon les directives de l'Évangile, sont absurdes. Les sacrifices de cette époque ne pouvaient pas répondre aux exigences de la Justice Divine, ni satisfaire le tort engendré contre Dieu par le péché, ni « assainir » le cœur.

      Les hommes préfèrent se séparer de leurs richesses plutôt que de leurs péchés ; ils ne pourront rien faire par eux-mêmes, qui puisse les réconcilier avec Dieu. Les obligations morales de la Parole sont requises pour la bonne santé spirituelle de l'homme. Il y a grand intérêt à obéir aux commandements divins : Dieu ne cesse clairement de nous le rappeler.

      Dieu n’exige absolument pas que nous payions quoi que ce soit pour le pardon de nos péchés et pour qu’Il nous accepte ; Il désire simplement que nous L’aimions et que nous nous approchions de Lui ; qu'y a-t-il de contraignant en cela ?

      Chacune de nos intentions doit être soumise à Dieu, si nous voulons marcher en paix avec Lui. Nous devons faire cela dans un esprit de repentance et de dépendance envers le Rédempteur, en recherchant Son pardon.

      Que le Seigneur soit béni ! Il est toujours prêt à accorder Sa grâce au pénitent qui L’attend humblement !

      Zacharie 13

      Malachie 3

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