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2
Ô Seigneur, mon Dieu, malgré ta colère, ne me punis pas
Et, dans ton courroux, ne me châtie pas.
14
Ils ouvrent largement leurs mufles contre moi,
Ils sont comme un lion qui déchire et rugit.
2
Je t’exalterai, Seigneur, car tu m’as sauvé en me tirant de la fosse.
Tu n’as pas laissé tous mes adversaires se réjouir à mes dépens.
10
Prends pitié de moi, ô Seigneur, car l’angoisse m’étreint,
La douleur a rongé mes yeux, mon âme et tout mon corps.
3
Tant que je taisais ma faute, mes membres dépérissaient.
Je me rongeais en moi-même, sans arrêt, je gémissais.
3
Car tes flèches m’ont atteint, ta main s’est posée sur moi :
7
Courbé, triste et abattu, je me traîne tout le jour,
3
Le Seigneur le protège, il l’aidera à vivre
Et le rendra heureux ici-bas sur la terre,
Tu ne le livres pas aux désirs insatiables de tous ses ennemis.
4
Le Seigneur le soutient sur son lit de souffrances.
Quand il est malade, tu lui refais sa couche.
8
Mais tu veux que la droiture soit en moi, au fond du cœur,
Tu m’enseignes la sagesse au plus profond de moi-même.
13
Et, comme un père aimant
Est plein de compassion pour ses propres enfants,
Le Seigneur a pitié de ceux qui le révèrent :
14
Il sait de quelle pâte nous sommes façonnés,
Il se rappelle bien que nous sommes poussière.
15
L’homme : faible mortel ! Ses jours sont comme l’herbe ;
Comme une fleur des champs, le voici qui fleurit !
16
Mais dès que le vent passe, il n’en est plus question,
Le lieu qu’elle occupait ne la reconnaît plus.
17
Mais l’amour du Seigneur va d’une éternité
À l’autre éternité pour ceux qui le révèrent.
Sa justice s’étend à leurs petits-enfants.
24
Bientôt, on entendit parler de lui dans toute la Syrie. On venait lui amener tous ceux qui souffraient de maladies diverses : ceux qui étaient sous l’emprise d’un démon, des épileptiques, des paralysés, et il les guérit tous.
2 à 4 Extrême détresse.
Le mot Eternel, répété quatre fois, fait de cette strophe un cri d'appel.
Dans ta colère. Comparez Psaumes 38.1. On a pensé que le psalmiste établit une différence entre le châtiment qui procède de la colère et celui qui procède de l'amour. C'est ainsi que Jérémie demande : Châtie-moi, mais selon le droit et non dans ta colère (Jérémie 10.24). Cette distinction, juste en elle-même, ne nous semble pas être dans la pensée de notre psaume. L'auteur succombe sous le poids de la colère de Dieu et sent que, si elle déploie ses effets, il est perdu.