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10
Qui donc a méprisé le jour des petits (commencements) ? L’on se réjouira en voyant le fil à plomb dans la main de Zorobabel. Ces sept-là sont les yeux de l’Éternel qui parcourent toute la terre.
1
Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés.
2
C’est du jugement dont vous jugez qu’on vous jugera, de la mesure dont vous mesurez qu’on vous mesurera.
14
Alors des disciples de Jean vinrent auprès de Jésus et dirent : Pourquoi nous et les Pharisiens jeûnons-nous, tandis que tes disciples ne jeûnent pas ?
18
Car Jean est venu : il ne mangeait ni ne buvait, et l’on dit : Il a un démon.
19
Le Fils de l’homme est venu, mangeant et buvant et l’on dit : C’est un homme qui fait bonne chère et un buveur de vin, un ami des péagers et des pécheurs. Mais la sagesse a été justifiée par ses œuvres.
10
Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
9
Il dit encore cette parabole pour certaines personnes qui se persuadaient d’être justes et qui méprisaient les autres :
34
Alors Pierre ouvrit la bouche et dit : En vérité, je le comprends, pour Dieu il n’y a pas de considération de personnes,
44
Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient la parole.
8
Et Dieu, qui connaît les cœurs, leur a rendu témoignage, en leur donnant le Saint-Esprit comme à nous ;
9
il n’a fait aucune différence entre nous et eux, puisqu’il a purifié leurs cœurs par la foi.
3
Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas, et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu lui a fait bon accueil.
10
Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère ? Nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu.
13
Ne nous jugeons donc plus les uns les autres ; usez plutôt de votre jugement pour ne pas mettre devant votre frère une pierre d’achoppement ou une occasion de chute.
15
Si, pour un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour. Ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
21
Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, et de s’abstenir de ce qui pour ton frère est une cause d’achoppement, [de chute ou de faiblesse].
11
Et ainsi le faible périt par ta connaissance, le frère pour lequel Christ est mort !
12
En péchant de la sorte contre les frères et en heurtant leur conscience faible, vous péchez contre Christ.
13
C’est pourquoi, si un aliment fait tomber mon frère, jamais plus je ne mangerai de viande, afin de ne pas faire tomber mon frère.
29
Je parle ici, non de votre conscience, mais de celle de l’autre. Pourquoi, en effet, ma liberté serait-elle jugée par une conscience étrangère ?
30
Si je prends ma part avec actions de grâces, pourquoi serais-je calomnié pour ce dont je rends grâces ?
16
Ainsi donc, que personne ne vous juge à propos de ce que vous mangez et buvez, ou pour une question de fête, de nouvelle lune, ou de sabbats :
17
tout cela n’est que l’ombre des choses à venir, mais la réalité est celle du Christ.
Le motif invoqué : car Dieu l'a accueilli, pourrait être opposé tout à la fois au mépris du fort pour le faible, et au jugement téméraire que le faible porte sur le fort ; l'apôtre adresserait son exhortation à l'un et à l'autre.
Cependant la suite (verset 4) montre que l'apôtre a plus spécialement en vue le faible et son penchant à juger celui qui use de sa liberté de chrétien.
C'est donc seulement de celui qui mange qu'il dit : Dieu l'a accueilli ; il lui a fait grâce et l'a destiné au salut et à la vie éternelle. La conduite de Dieu envers nous doit toujours être la mesure de notre conduite envers nos frères.