Les bien-aimés EN Christ doivent manifester de l’amour
fraternel, au Nom du Seigneur.La prospérité de l'âme est la plus grande bénédiction ici-bas.
La Grâce et la santé sont également de merveilleux attributs :
une âme spirituellement riche peut résider dans un corps affaibli
ou diminué ; la Grâce s’exerce alors en s’adaptant pleinement à
une telle situation.
Nous pouvons souhaiter et prier que ceux qui connaissent la
prospérité spirituelle, puissent disposer d’une excellente
santé ; que leur témoignage puisse véritablement « briller » !
De nombreuses personnes aisées devraient méditer ces paroles de
l'apôtre : prions avec ferveur que ces âmes puissent prospérer
autant que leur santé et leur carrière ! Une foi véritable
œuvre conjointement avec l’amour. Ceux qui sont bénis doivent en
témoigner, non seulement devant l'église, mais aussi devant tous.
Un homme bon se réjouira vraiment de la prospérité de son
prochain ; il sera heureux d'entendre parler de la Grâce et des
bénédictions des autres.
Quelle joie pour de bons parents, de pouvoir constater que leurs
enfants honorent leur profession de foi. Il en est de même pour
les conducteurs constatant le bon témoignage de leurs enfants
spirituels. Gaïus n'a fait aucune différence entre les chrétiens
véritables qu’il fréquentait : il a aidé sans distinction tous
ceux qui portaient « l'image » de Christ, et œuvraient pour Lui.
C’était un homme droit, un serviteur assidu.
Les âmes fidèles au Seigneur peuvent entendre leur entourage les
féliciter, sans en tirer gloire : elles placent ces compliments en
hommage au pied de la croix de Christ.
Les chrétiens doivent d’abord considérer quel est leur devoir,
mais aussi comment l’accomplir : ils doivent être capables de
réaliser les tâches communes dans l’église, avec bonne volonté,
dans la piété, servant ainsi le Seigneur, pour Sa gloire.
Les personnes qui diffusent gratuitement l'Évangile de Christ
doivent être aidées par ceux qui disposent de moyens que Dieu leur
a donnés. Ceux qui ne peuvent pas directement proclamer l’Évangile
doivent cependant recevoir, aider, et soutenir ceux qui
le font !
D'abord de la part de Gaïus, son hôte et celui de toute l'Eglise ; cela pourrait signifier que Gaïus recevait dans sa maison les assemblées plénières de l'Eglise ; mais le terme d'hôte fait plutôt penser à la large hospitalité que Gaïus exerçait envers les chrétiens de toutes les Eglises, quand ils venaient à Corinthe.
Gaïus est probablement mentionné 1Corinthiens 1.14. Paul l'avait lui-même baptisé.
Eraste était (grec) économe de la ville, c'est à dire maître des comptes, intendant des finances. Ce poste élevé, qu'il occupait dans l'administration de Corinthe, ne permet pas de l'identifier avec l'aide de Paul mentionné Actes 19.22. Est ce lui qui est nommé dans 2Timothée 4.20 ?
Quartus est tout à fait inconnu.
- Dans le texte reçu se lit verset 24 : La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec vous tous. Amen ! Ces paroles manquent dans Sin., B. A, C. Les majuscules (D, etc.) qui ont ce vœu apostolique à cette place l'omettent à la fin de verset 20.