Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Romains 7.7

Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? à Dieu ne plaise ! au contraire je n'ai point connu le péché, sinon par la Loi : car je n'eusse pas connu la convoitise, si la Loi n'eût dit : tu ne convoiteras point.

  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Genèse 3

      6 Observons biens les étapes qui mènent à la transgression : aucune d'elles n'élève l'homme, mais au contraire, toutes le conduisent dans la fosse de la perdition. Au début, « Elle vit ». Un grand nombre de péchés provient de ce que l'on voit. Ne regardons pas à ce qui peut nous conduire dangereusement à la convoitise, Matthieu 5:28. Ensuite, « Elle prit ». Elle a commis cet acte de son propre chef.

      Satan peut tenter mais ne peut forcer à agir ; Il peut nous faire convoiter l'attrait négatif du péché mais Il ne peut nous y faire sombrer Lui-même, de force, Matthieu 4:6. Après, « Elle mangea ». Quand elle vit le fruit, au début, Ève pensait qu'elle ne le prendrait peut-être pas ; ou quand elle le prit, elle a peut-être pensé qu'elle ne le mangerait pas : mais elle finit par le consommer. Il est sage de s'arrêter au premier signe du péché et de s'en éloigner avant de le commettre. Ensuite, Ève en donna aussi à son mari. Ceux qui sont sur une pente dangereuse tentent d'entraîner les autres avec eux. En négligeant l'arbre de la vie, qu'il avait le droit de manger, et en consommant celui de la connaissance, qui lui, était interdit, Adam a pleinement montré qu'il se moquait de ce que Dieu lui avait dit et de ce qu'Il lui avait recommandé de ne pas faire. Il n'a fait que ce qu'il lui plaisait de faire. Son péché s'appelle tout simplement la désobéissance, Romains 5:19 ; une désobéissance au commandement divin.

      Il n'a eu aucune circonstance atténuante, mais au contraire, une pleine liberté pour accomplir totalement sa propre volonté. Il s'est détourné rapidement. Il a entraîné toute sa postérité dans le péché et la ruine. Qui peut minimiser le mal du péché commis par Adam ?

      Adam et Ève se sont aperçus, un peu tard, de leur folie, en mangeant du fruit interdit. Ils ont vu le bonheur qu'ils ont perdu, et la misère dans laquelle ils sont tombés. Le Dieu plein d'amour qu'ils ont connu a été bafoué, Sa grâce et Sa faveur ont été écartées. Observez bien à quel point le péché mène à la honte et amène les problèmes ; où qu'il entre, tout est détruit. Tôt ou tard il apporte la confusion ; ce sentiment de tristesse peut conduire, soit à la vraie repentance, qui se terminera dans la gloire céleste, soit au mépris de l'ordre divin qui fera comparaître le méchant devant Dieu, au jour du jugement. Notez à quel point de folie sont rendus ceux qui ont péché. Ils sont plus occupés par le souci de plaire aux hommes que par celui d'obtenir le pardon divin. Les hommes s'efforcent de couvrir et de diminuer la gravité de leurs péchés ; toutes ces tentatives sont vaines et frivoles ; ils sont comme nos premiers parents qui se sont vêtus de feuilles de figuier, faisant ainsi le maximum pour masquer leur faute : avouons qu'il nous est facile de faire de même. Avant de commettre le péché, Adam et Ève acceptaient les visites divines, pleines de grâces, avec joie et humilité ; maintenant ces visites sont devenues pour eux une véritable terreur. Il ne fait aucun doute qu'ils étaient remplis de confusion.

      Tout cela révèle la fausseté du tentateur et ses méthodes frauduleuses. Satan a promis la sécurité à Adam et Ève, mais en fait, ils en étaient bien dépourvus ! Nos parents furent désormais misérables et incapables de se réconforter mutuellement !

      Exode 20

      Deutéronome 5

      Josué 7

      2 Samuel 11

      1 Rois 21

      1

      Achab convoite la vigne de Naboth. (1 Rois 21:1-4)
      Naboth assassiné par Jézabel. (1 Rois 21:5-16)
      Élie dénonce les jugements du ciel, contre Achab. (1 Rois 21:17-29)

      Naboth se réjouissait peut-être de voir qu'une vigne était située près de son palais, mais cette opportunité lui fut fatale ; les biens que possède un homme peuvent être pour lui une occasion de chute, avec toutes les mauvaises conséquences que cela peut entraîner pour son voisinage. Le mécontentement est véritablement un péché, il tourmente les hommes. Ce mauvais sentiment ne résulte pas d'une condition de vie, mais de la nature humaine : remarquons ainsi le contentement de Paul dans sa prison, alors qu'Achab, dans son palais, était insatisfait. Ce roi bénéficiait de tous les plaisirs disponibles en Canaan, ce pays merveilleux : la richesse d'un royaume, les plaisirs de sa cour, les honneurs et la puissance du trône ; cependant, malgré tout cela, il convoitait la vigne de Naboth.

      Les mauvais désirs exposent les hommes à de continuelles actions pernicieuses ; de telles personnes, malgré leur aisance matérielle, sont toujours insatiables, aspirant sans cesse à satisfaire leurs convoitises.

      Psaumes 19

      7 Les Saintes Écritures nous apportent plus que le jour ou la nuit, que l'air que nous respirons ou que la lumière du soleil. Pour que l'homme puisse sortir de sa déchéance, il a besoin de la Parole de Dieu. Le mot original traduit par « loi » peut être assimilé à « doctrine », il peut être compris dans le sens de « tout ce qui nous enseigne au travers de la religion ».

      Cette entité est parfaite ; elle tend à convertir ou à détourner l'âme du péché et du monde, vers Dieu et sa Sainteté. Elle nous montre notre état pécheur et misérable, loin de Dieu, et la nécessité de retourner à Lui. Cette recommandation est sûre : celui qui est dans une certaine recherche et qui croit en ce que Dieu dit, devient sage, et est en vue d'acquérir son salut. C'est une bonne démarche vers le chemin du devoir. C'est une fontaine de réconforts vivifiants et un fondement certain pour nos espérances.

      Les commandements divins sont droits, comme d'ailleurs ils doivent l'être et en tant que tels ils réjouissent le cœur. Les commandements du Seigneur sont purs, saints, justes et bons. Avec eux nous découvrons notre besoin d'avoir un Sauveur et aussi comment découvrir le merveilleux évangile. C'est par eux que le Saint-Esprit émerveille les yeux ; ils nous conduisent à la perception de notre péché et de notre misère, ils nous conduisent sur le chemin du devoir. La crainte du Seigneur est la vraie religion, elle purifie notre chemin, à jamais. Les lois cérémonielles de ce monde passent mais la loi relative à la crainte de Dieu est toujours la même. Les jugements du Seigneur, ses préceptes, tous cela est vérité ; ils sont la droiture même et ils ne se contredisent pas ; on ne peut les mettre en défaut.

      L'or est dédié uniquement au corps et au temps présent ; mais la grâce est dédiée à l'âme et concerne l'éternité. La Parole de Dieu, reçue par la foi, est plus précieuse que l'or ; Elle est agréable à l'âme, aussi douce que du miel. Les plaisirs des sens sont rapidement ternis, et jamais satisfaits ; mais ceux de la religion sont substantiels et donnent toujours satisfaction ; il n'y a en eux aucun risque d'excès.

      11 La Parole de Dieu exhorte l'homme impie à ne pas continuer dans la voie qu'il pratique et avertit le juste pour qu'il ne se détourne pas du bon chemin. Il y a une récompense, non seulement pour avoir observé les commandements divins, mais aussi pour celui qui les observe en permanence. La religion nous console et nous soulage, elle nous aide dans nos divers chemins, elle nous donne une raison de vie et le désir de « déloger » vers Christ.

      David ne désire pas uniquement être pardonné et lavé des péchés dont il se souvient et qu'il a confessés, mais aussi de tous ceux qu'il a oubliés ou ignorés. Toutes les révélations des péchés que la Loi nous à manifestées devraient nous mener au trône de la grâce pour ensuite nous conduire dans la prière.

      C'est une dépendance caractérisant chaque chrétien, qui peut ainsi dire : je dispose d'une assurance dans le Seigneur Jésus, d'un modèle de droiture, d'une force. Aucune prière ne peut être digne d'une attention divine si elle n'est présentée au nom de notre puissant Rédempteur, au nom de Celui qui s'est chargé de notre nature, au nom de celui qui peut nous racheter auprès de Dieu, pour l'éternité. Que notre cœur puisse être sensible à l'excellence de la Parole de Dieu ; qu'il puisse aussi considérer l'horreur du péché, le danger auquel sa pratique nous expose et la situation dans laquelle il nous place.

      Psaumes 119

      Michée 2

      Matthieu 5

      Luc 12

      Actes 20

      Romains 3

      Romains 4

      1

      La doctrine de la justification par la foi est démontrée dans le cas d'Abraham. (Romains 4:1-12)
      Il a reçu la promesse par la justice de la foi. (Romains 4:13-22)
      Nous sommes justifiés de la même façon par notre foi. (Romains 4:23-25)

      Pour aller à l’encontre des pensées des Juifs, l'apôtre voulut d'abord se référer à l'exemple d'Abraham, qui était pour ces derniers leur aïeul le plus révéré. Bien qu'exalté sous plusieurs aspects, Abraham n'avait aucun motif pour se glorifier d’être dans la présence de Dieu, étant sauvé par la Grâce, par le moyen de la foi, comme tous ceux qui suivent la même voie. Sans tenir compte des années précédant son appel, et des fautes commises dans son obédience, voire même dans sa foi, il a été expressément affirmé dans l'Écriture : « Il a eu confiance en l'Éternel, qui le lui imputa à justice », Ge 15:6.

      À partir de cet exemple, on remarque que si un homme peut agir selon la pleine mesure exigée par la loi, il n’y a pas de raison de le récompenser, ce qui n'était évidemment pas le cas d'Abraham, sa foi lui ayant été imputée à justice.

      Quand les croyants sont justifiés par la foi, « cette dernière leur étant imputée à justice », ils ne sont pas justifiés partiellement ; Ils sont en fait rattachés à Celui qui est appelé « le Seigneur notre Justice ». Seul ceux qui sont ainsi pardonnés peuvent se considérer comme des êtres bénis.

      Il apparaît clairement dans l'Écriture, qu’Abraham a été justifié plusieurs années avant sa circoncision. Il est donc clair que ce rite n'était pas essentiel pour la justification. C’était en fait un signe de la corruption originale de la nature humaine. C’était également un « sceau extérieur », destiné à confirmer, non seulement les promesses de Dieu envers Abraham et sa postérité, avec l’obligation d'appartenir au Seigneur, mais aussi l'assurance d'être déjà un véritable « participant de la Justice, par la foi ».

      Abraham était ainsi l'aïeul spirituel de tous les croyants, de ceux qui ont marché d'après l'exemple de sa foi obéissante. Dans notre sanctification, le sceau du Saint-Esprit, faisant de nous de « nouvelles créatures », est l'évidence intime de la justice de la foi !

      Romains 6

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      Romains 13

      1 Corinthiens 15

      Ephésiens 5

      3 Tous les types d’immoralité doivent être éradiqués. Ces péchés doivent être redoutés et bannis.

      Ce texte ne comporte pas que des avertissements relatifs aux transgressions gravissimes, mais aussi à tout ce qui peut les révéler. Ces pratiques dégradantes sont si nuisibles à l’âme, qu'elles polluent et souillent littéralement l’entourage de ceux qui les pratiquent.

      Lorsque nous devenons chrétiens, notre bonne humeur doit être manifeste, elle doit mettre en valeur la Gloire de Dieu. Un homme cupide fait de son argent son dieu ; il place son espérance, sa confiance et sa raison de vivre, dans les biens de ce monde, au lieu de se consacrer au Seigneur.

      Ceux qui se complaisent dans la convoitise et dans l'amour du monde, n'appartiennent pas au Royaume de la Grâce, ils ne parviendront jamais à connaître la Gloire divine. Quand les plus vils transgresseurs se repentent et croient en l'Évangile, ils deviennent des « enfants d'obéissance », et de ce fait n’ont plus à craindre le courroux divin.

      Oserons-nous vraiment chercher ce qui pourrait nous amener à subir la colère de Dieu ? Les pécheurs, semblables à des hommes errants dans les ténèbres, ne savent où ils vont, ni ce qu'ils font. Mais la Grâce de Dieu est tout à fait capable d’opérer de puissants changements dans l’âme du pécheur.

      Marchons comme des « enfants de lumière », dans la connaissance de la Parole et dans la sainteté. Les œuvres des ténèbres sont toutes stériles, quels que soient les profits qu’elles peuvent engendrer ; toutes se terminent par la destruction du pécheur impénitent.

      De nombreux chemins favorisent la complicité avec les iniques ; il est très facile de prendre part aux péchés des autres, suite à de mauvais conseils, des faiblesses ou certaines dissimulations... Si nous partageons avec d'autres leurs péchés, nous devrons aussi craindre de partager leurs fléaux. Si nous ne blâmons pas les péchés des autres, nous en sommes alors les complices...

      Un homme pieux aura honte de parler du péché, alors que de nombreux iniques n’éprouvent aucun scrupule à le pratiquer. Nous ne devons pas reconnaître simplement l’existence et l’horreur du péché, mais nous devons le considérer en tant qu’infraction à la sainte loi de Dieu.

      Après les différents appels à la repentance, des prophètes et des apôtres, nous devons inciter ceux qui sont « endormis et morts » dans le péché, à se « réveiller et à se lever », pour que Christ puisse leur donner la Lumière !

      Colossiens 3

      5 Notre devoir consiste à « mortifier les membres » qui nous incitent à céder aux convoitises du monde : nous devons les empêcher de nuire, les tuer, les supprimer, telles de mauvaises herbes ou de la vermine qui se répand et détruit tout sur son passage.

      Nous devons nous opposer continuellement à toutes les œuvres corrompues, aucune place ne doit être accordée aux indulgences charnelles. Toute occasion de pécher doit être évitée : la convoitise de la chair, l'amour du monde, la cupidité, (qui est de l’idolâtrie), l'amour des biens de ce monde et des vains plaisirs.

      Il est essentiel de mortifier nos péchés, car si nous ne les éradiquons pas, eux nous « tueront » littéralement. L'Évangile est capable de transformer les mauvais penchants de l'âme, quelle qu’en soit la gravité, Il révèle les règles d’une pieuse conduite à la conscience, Il la prévient des vains désirs et des mauvaises passions.

      Il n'y a désormais pour les enfants de Dieu, aucune différence d’origine, ni de conditions de vie : il est du devoir de chacun d'être saint, parce que Christ est tout ; Il est pour chaque chrétien, son seul Seigneur et Sauveur, Il représente toute son espérance et son bonheur spirituel !

      1 Thessaloniciens 4

      1 Jean 2

      15 Ce qui fait partie du monde peut être désiré et possédé en vue d’emplois et de buts que Dieu a prévus ; cela doit toutefois être utilisé selon Sa grâce et à Sa gloire !

      Les croyants ne doivent pas rechercher les attraits de ce monde, ni leur donner une valeur qui puisse donner prise au péché. Le monde place un obstacle entre le cœur et Dieu ; plus l'amour du monde prédomine, plus l'amour envers Dieu va s’amenuiser...

      Les convoitises du monde sont classées ainsi d'après les trois penchants principaux d'une nature dépravée : 1. Le désir de la chair, du corps : les mauvais désirs du cœur, l'envie de rechercher tout ce qui peut exciter et enflammer les plaisirs sensuels. 2. Le désir des yeux : les yeux prennent plaisir aux richesses et à l’avidité de posséder : c’est la cupidité. 3. La fierté, l'orgueil de la vie : un homme « vain » désire ardemment la grandeur et le faste d'une vie dont la gloire est pourtant sans issue ; ceci inclut la recherche acharnée des honneurs et des acclamations.

      Les attraits du monde se « fanent rapidement et finissent par disparaitre ; le désir coupable lui-même ne dure qu'un temps : il finit par s'éroder et disparaître, alors qu’une sainte affection perdure.

      L'amour de Dieu est éternel. De nombreux et vains efforts ont été tentés pour éviter la contrainte de ce texte, contourner ses limitations, ses distinctions ou ses exceptions. Beaucoup ont essayé de nous montrer jusqu'où peut aller l'esprit charnel et l'amour du monde ; mais la signification de ces versets est claire et ne peut être incomprise.

      Même si que ce désir de victoire sur le monde est ardent dans le cœur d’un homme, ce dernier n'a aucun fondement sur lequel s’appuyer et sa chute sera inéluctable ; il ne sera tout au plus qu’un être stérile. Cependant, les vanités et les convoitises du monde sont si attrayantes, que sans une prière assidue, nous ne pourrons échapper à cette « pente dangereuse », ni obtenir la victoire sur le prince du mal...

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.