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6
La femme donc voyant que [le fruit] de l'arbre était bon à manger, et qu'il était agréable à la vue, et que [cet] arbre était désirable pour donner de la science, en prit du fruit, et en mangea, et elle en donna aussi à son mari [qui était] avec elle, et il en mangea.
17
Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.
21
Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, tu ne souhaiteras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.
21
J'ai vu parmi le butin un beau manteau de Sinhar, deux cents sicles d'argent, et un lingot d'or du poids de cinquante sicles ; je les ai convoités, [je les ai] pris ; et voilà ces choses [sont] cachées en terre au milieu de ma tente, et l'argent est sous le manteau.
2
Et sur le soir il arriva que David se leva de dessus son lit, et comme il se promenait sur la plateforme de l'hôtel Royal, il vit de dessus cette plateforme une femme qui se lavait, et cette femme-là était fort belle à voir.
1
Or il arriva après ces choses, que Naboth Jizréhélite, ayant une vigne à Jizréhel, près du palais d'Achab, Roi de Samarie ;
2
Achab parla à Naboth, et lui dit : Cède-moi ta vigne, afin que j'en fasse un jardin de verdure ; car elle est proche de ma maison, et je t'en donnerai pour celle-là une meilleure ; ou si cela t'accommode mieux, je t'en donnerai l'argent qu'elle vaut.
3
Mais Naboth répondit à Achab : A Dieu ne plaise que je te cède l'héritage de mes pères !
4
Et Achab vint en sa maison tout refrogné et indigné pour la parole que lui avait dite Naboth Jizréhélite, en disant : Je ne te céderai point l'héritage de mes pères ; et il se coucha sur son lit, et tourna son visage, et ne mangea rien.
7
Son départ est de l'un des bouts des cieux, et son tour se fait sur l'un et sur l'autre bout, et il n'y a rien qui se puisse mettre à couvert de sa chaleur.
8
La Loi de l'Eternel est parfaite, restaurant l'âme ; le témoignage de l'Eternel est assuré, donnant la sagesse au simple.
9
Les commandements de l'Eternel sont droits, ils réjouissent le coeur ; le commandement de l'Eternel est pur, et fait que les yeux voient.
10
La crainte de l'Eternel est pure, permanente à perpétuité ; les jugements de l'Eternel ne sont que vérité, et ils se trouvent pareillement justes.
11
Ils sont plus désirables que l'or, même que beaucoup de fin or ; et plus doux que le miel, même que ce qui distille des rayons de miel.
12
Aussi ton serviteur est rendu éclairé par eux, et il y a un grand salaire à les observer.
96
J'ai vu un bout dans toutes les choses les plus parfaites ; [mais] ton commandement [est] d'une très-grande étendue.
2
S'ils convoitent des possessions, ils les ont aussitôt ravies, et [s'ils convoitent] des maisons, ils les ont aussitôt prises ; ainsi ils oppriment l'homme et sa maison, l'homme, dis-je, et son héritage.
28
Mais moi je vous dis, que quiconque regarde une femme pour la convoiter, il a déjà commis dans son coeur un adultère avec elle.
15
Puis il leur dit : voyez, et gardez-vous d'avarice ; car encore que les biens abondent à quelqu'un, il n'a pourtant pas la vie par ses biens.
33
Je n'ai convoité ni l'argent, ni l'or, ni la robe de personne.
5
Or si notre injustice recommande la justice de Dieu, que dirons-nous ? Dieu est-il injuste quand il punit ? (je parle en homme.)
20
C'est pourquoi nulle chair ne sera justifiée devant lui par les oeuvres de la Loi : car par la Loi [est donnée] la connaissance du péché.
1
Que dirons-nous donc qu'Abraham notre père a trouvé selon la chair ?
15
Vu que la Loi produit la colère ; car où il n'y a point de Loi, il n'y a point aussi de transgression.
15
Quoi donc ? pécherons-nous parce que nous ne sommes point sous la Loi, mais sous la Grâce ? A Dieu ne plaise !
5
Car quand nous étions en la chair, les affections des péchés [étant excitées] par la Loi, avaient vigueur en nos membres, pour fructifier à la mort.
7
Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? à Dieu ne plaise ! au contraire je n'ai point connu le péché, sinon par la Loi : car je n'eusse pas connu la convoitise, si la Loi n'eût dit : tu ne convoiteras point.
8
Mais le péché ayant pris occasion par le commandement, a produit en moi toute sorte de convoitise ; parce que sans la Loi le péché est mort.
11
Car le péché prenant occasion du commandement, m'a séduit, et par lui m'a mis à mort.
13
Ce qui est bon, m'est-il devenu mortel ? nullement ! mais le péché, afin qu'il parût péché, m'a causé la mort par le bien ; afin que le péché fût rendu par le commandement excessivement péchant.
9
Parce que ce [qui est dit] : Tu ne commettras point adultère, Tu ne tueras point, Tu ne déroberas point, Tu ne diras point de faux témoignage, Tu ne convoiteras point, et tel autre commandement, est sommairement compris dans cette parole : Tu aimeras ton Prochain comme toi-même.
56
Or l'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la Loi.
3
Que ni la fornication, ni aucune souillure, ni l'avarice, ne soient pas même nommées parmi vous, ainsi qu’il est convenable à des Saints ;
5
Mortifiez donc vos membres qui sont sur la terre, la fornication, la souillure, les affections déréglées, la mauvaise convoitise, et l'avarice, qui est une idolâtrie ;
5
Et sans se laisser aller aux désirs de la convoitise, comme les Gentils qui ne connaissent point Dieu.
15
N'aimez point le monde, ni les choses qui sont au monde ; si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui.
16
Car tout ce qui est au monde, [c'est-à-dire], la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, n'est point du Père, mais est du monde.
On pouvait conclure de cet enseignement que la loi est de même essence que le péché, qu'elle est péché, c'est-à-dire non seulement cause du péché, mais une chose mauvaise en soi, contraire à la volonté de Dieu.
Cette idée, les gnostiques, au second siècle, et d'autres partis chrétiens, au cours des âges. l'ont admise plus ou moins et ont, en conséquence, rejeté entièrement, ou du moins déprécié, l'Ancien Testament.
Une telle opinion ne saurait être admise par quiconque croit à la révélation de Dieu et à la préparation du salut au sein d'Israël. Elle devait heurter particulièrement la conscience d'un membre du peuple élu. Paul la repousse comme une impiété.
Il montre quel est le vrai rôle de la loi : faire connaître à l'homme le péché qui est en lui. Cette révélation, sans doute, accroît la puissance du péché et celui-ci cause la mort, mais ce résultat est dû au péché, qui, par le commandement, excite l'homme à désobéir et non à la loi, qui reste sainte et bonne. (versets 7-13)
- La loi est-elle péché ? L'apôtre se fait à lui-même cette objection, et il y répond par un énergique : (grec) qu'ainsi n'advienne !
Puis il ajoute : Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Le mais implique une concession, une restriction : la loi n'est certainement pas péché, mais elle fait connaître le péché et le multiplie. D'autres lui donnent le sens d'une opposition absolue : "au contraire !"
- La loi divine donne la connaissance du péché comme tel, de l'acte coupable, (Romains 3.20) de même que la loi humaine établit ce qui est délit.
Mais il y a plus ; il ne s'agit pas seulement de la connaissance théorique de ce qui est réputé péché, mais d'une connaissance acquise par l'expérience personnelle : je n'ai pris conscience de l'existence en moi de la puissance du mal que par la loi.
Ce sens ressort du fait que l'apôtre choisit comme exemple le seul des dix commandements dont la violation ne consiste pas en un acte extérieur mais en un sentiment du cœur, un mauvais désir, la convoitise. (Exode 20.17) Il montre par là qu'il entend la loi dans toute sa spiritualité, la loi qui régit les mouvements les plus secrets de l'âme et qui les condamne comme des transgressions, dès qu'ils ne sont pas en harmonie avec elle.
En introduisant cet exemple par la double conjonction car aussi, Paul donne ce second fait comme une preuve de l'affirmation qui précède : je n'ai connu le péché que par la loi. Il déclare qu'il n'aurait pas connu la convoitise, qu'il ne lui aurait pas attribué le caractère odieux de péché, sans la défense expresse de la loi. La loi nous aide ainsi à mieux connaître toute la corruption de notre nature.
- Dans sa réponse à l'objection qu'il examine, Paul s'exprime à la première personne du singulier : Je n'ai connu le péché,...tandis que jusque-là (Romains 6 à versets 1-6) il avait employé le pluriel, comprenant ses lecteurs et tous les chrétiens dans ce qu'il disait de l'affranchissement du péché et de la loi. L'emploi du singulier semble indiquer qu'il parle maintenant de son expérience personnelle ; dans versets 7-13, où les verbes sont au passé, il décrirait l'expérience qu'il a faite avant sa conversion ; dans versets 14-25, où il se sert du présent, son expérience actuelle.
Mais il y a certaines difficultés à attribuer à Paul, soit avant soit après sa conversion, les expériences relatées dans ce chapitre. Aussi quelques interprètes récents, reprenant une explication déjà proposée par des Pères grecs, ont-ils pensé que Paul exposait, en employant la première personne, les expériences de l'homme en général, l'histoire de l'humanité, à partir de l'état d'innocence où elle était dans le paradis ; la chute de l'homme qui, trompé par le serpent, transgresse la défense faite par l'Eternel (verset 11) et apprend ainsi à connaître le péché, et comment ensuite devenu esclave de la puissance du mal, l'homme se débat sous le joug de la loi.
Notre chapitre serait le développement de la pensée exprimée incidemment dans Romains 5.20, sur le rôle de la loi.
L'histoire de l'humanité se répète dans la vie de chaque homme. Paul lui-même a fait plus ou moins l'expérience décrite ; c'est ce qui lui permet de parler à la première personne.
Nous rechercherons dans l'étude détaillée de notre passage s'il y a des raisons péremptoires en faveur de cette explication, et nous réserverons pour la fin notre conclusion sur ce sujet, ainsi que l'examen des deux questions suivantes : Paul expose-t-il une expérience qui lui serait toute personnelle, ou l'expérience que fait tout homme soumis au régime légal ? Cette expérience est-elle antérieure ou postérieure à la conversion ? Ce dernier problème se pose particulièrement pour versets 14-24, où l'apôtre parle au présent.
En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...
Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.
Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.
Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.
La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.
La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !