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Romains 8.34

-C'est Dieu qui justifie ; qui est celui qui condamne ? -C'est Christ qui est mort, mais plutôt qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous ;
Qui les condamnera ? Le Christ-Jésus est celui qui est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !
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      Matthieu 20

      Marc 16

      19 Après avoir parlé à Ses disciples, le Seigneur monta au ciel et Il s’assit : c’est une position de repos, Il avait terminé Son œuvre ; Il avait en même temps une position d'autorité : Il prit possession de Son Royaume. Il s'assit à la droite de Dieu, ce qui atteste Sa souveraine dignité, et Son pouvoir universel.

      Quelles que soient les œuvres que Dieu opère en nous, tout ce qu’Il nous donne ou accepte de nous, est effectué par l’intermédiaire de Son Fils. Maintenant, Christ est glorifié avec la gloire qu'Il avait avant que le monde ne soit.

      Les Apôtres allèrent, et prêchèrent en tout lieu. Bien que la doctrine qu'ils prêchaient soit spirituelle et céleste, elle était directement contraire à l'esprit et à l'état d'esprit de ce monde : elle rencontra beaucoup d'opposition, et fut entièrement destituée de tout support et de facilités de diffusion ; néanmoins, en peu d'années, elle fit le tour de la terre !

      De nos jours, les serviteurs de Christ n'ont pas besoin de faire des miracles pour prouver la véracité de leur message : il est incontestable que les Écritures sont d'origine divine, et cela rend inexcusables ceux qui les rejettent ou les négligent. Le changement d’état d’esprit que produit l'évangile, lorsqu'il est prêché avec fidélité et réellement accepté, est une preuve constante, une preuve miraculeuse, qu’il est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit !

      Jean 14

      Jean 16

      23 Quand on adresse une requête au Père, cela démontre nos besoins, en termes de bénédictions et de demandes spirituelles, étant convaincus que seul le Père peut y répondre.

      Prier au Nom de Christ, c'est reconnaître notre indignité à recevoir la moindre faveur divine ; cela montre aussi une totale dépendance de Sa Personne : Il est le Seigneur de notre Justice !

      Notre Seigneur avait parlé jusqu'ici sous forme de courtes déclarations, lourdes de sens, ou au moyen de paraboles, pas toujours bien comprises par les disciples ; mais après Sa résurrection Jésus s'exerça à leur enseigner tout ce qui était apparenté au Père : le chemin pour Le connaître, grâce à l’intercession de Son Fils.

      La fréquence avec laquelle notre Seigneur nous recommande de présenter nos prières, en Son nom, montre que la grande finalité de la « médiation » qu’Il opère avec le Père, consiste à nous sensibiliser profondément quant à notre culpabilité ; cela souligne également le mérite et la puissance de Sa mort, grâce à laquelle, nous avons accès à Dieu.

      Souvenons-nous toujours de nous adresser au Père, « au Nom de Christ », ou de nous adresser au Fils, en tant que Dieu demeurant dans la nature humaine, réconciliant le monde avec Lui-même ; ces prières, adressées à deux personnes qui semblent différentes sont en fait la même chose : le Père et le Fils ne font qu’un !

      Jean 17

      20 Notre Seigneur pria spécialement pour que tous les croyants puissent former un seul « corps spirituel », dépendant d’une tête et animé d’une âme, grâce à leur union avec Christ et avec le Père, en Lui, par le biais du Saint-Esprit qui demeure en eux.

      Plus les croyants polémiquent indéfiniment sur des sujets d'importance minime, plus ils portent un préjudice au Christianisme. Efforçons-nous donc de garder l'unité de l'Esprit, par le lien de la paix, priant que tous les croyants puissent être de plus en plus unis solidement, en esprit comme en discernement. Nous convaincrons alors le monde de la véracité et de l'excellence de notre piété, en partageant une merveilleuse communion avec Dieu et Ses saints !

      24 Christ, étant UN avec le Père, demanda que tous ceux qui Lui avaient été donnés, et qui croyaient en Lui, devaient connaître la félicité céleste ; Il demanda également que l'assemblée entière des rachetés puisse connaître Sa gloire, en tant qu’Ami bien-aimé et Frère, avec toute la joie que cela implique.

      Jésus déclara, et devait encore le dire un peu plus tard, que le nom ou le caractère de Dieu, par Sa doctrine et Son Esprit, était UN avec Lui, et que l'amour du Père pour Lui demeure avec les Siens également. Ainsi, étant unis à Lui par un seul Esprit, les enfants de Dieu peuvent être remplis de toute la plénitude divine, et jouir d'une béatitude qu'il est impossible d'imaginer par ceux du monde présent.

      Actes 7

      Romains 4

      Romains 5

      6 Christ est mort pour les pécheurs ; Il n’est pas mort inutilement, mais pour tous ceux qui sont ignoblement coupables, de façon à ce que leur salut soit à la gloire de la Justice divine.

      Christ est mort pour nous sauver, non pas DANS nos péchés, mais DE nos péchés ; nous étions encore des pécheurs quand Il est mort pour nous.

      L'esprit charnel est non seulement l’ennemi de Dieu, mais il est envers ce Dernier une véritable inimitié, 8:7;Colossiens 1:21. Mais Dieu a résolu de délivrer l’homme du péché, opérant ainsi un énorme changement. Tant qu’un état de culpabilité persiste, Dieu rejette le pécheur, et vice-versa, Zacharie 11:8. La mort de Christ, pour sauver une telle personne condamnée est un mystère ; il n'y a aucun autre exemple connu, d'un tel Amour ; l'éternité sera bien employée pour adorer ce Sauveur, et continuer à s’émerveiller de Sa Gloire !

      Quel était le fond de la pensée de l'apôtre Paul, quand il citait le cas de quelqu'un mourant pour un homme de bien ? Il employait le ton d’une supposition. Ne voulait-il pas dire que par cette souffrance, le bénéficiaire pourrait être libéré ?

      En quoi ceux qui placent leur confiance en Christ peuvent-ils être libérés par Sa mort ? Il ne s’agit pas, bien sûr, de la mort corporelle, tout homme devant la subir. Cette délivrance ne peut s’effectuer que de manière surnaturelle, elle sauve l’homme d’une fin beaucoup plus épouvantable que la mort naturelle.

      Aucun autre mal spécifique ne peut faire l’objet du sujet développé par l’apôtre, excepté celui qu’il désigne clairement : le péché et la colère ; la punition du péché est résolue par la Justice infaillible de Dieu. Si, par la Grâce divine, les pécheurs ont été amenés à se repentir, à croire en Christ et à être ainsi justifiés par le prix de Son sang versé, par la foi dans cette expiation, à travers Celui qui est mort pour eux et qui est ressuscité, ils sont gardés de tomber sous le pouvoir du péché et de Satan.

      Le Seigneur, ayant tout accompli par Sa mort, par amour, sauve ainsi les véritables croyants. Ayant un tel gage du salut, dans l'Amour de Dieu, à travers Christ, l'apôtre déclare que les croyants doivent se réjouir, non seulement dans l'espérance céleste et dans leurs tribulations pour la cause de Christ, mais ils doivent aussi rendre gloire à Dieu, leur « Ami » immuable et leur Père Tout Puissant, à travers Christ !

      Romains 8

      1

      La liberté des croyants vis-à-vis de la condamnation. (Romains 8:1-9)
      Leurs privilèges en tant qu’enfants de Dieu. (Romains 8:10-17)
      Leurs perspectives, pleines d'espoir, malgré les tribulations. (Romains 8:18-25)
      L’assistance de l'Esprit, dans la prière. (Romains 8:26,27)
      Leur intérêt à bénéficier de l'Amour de Dieu. (Romains 8:28-31)
      Leur triomphe final, à travers Christ. (Romains 8:32-39)

      Les croyants peuvent être éventuellement châtiés par le Seigneur, mais ils ne seront jamais condamnés comme le monde. Par leur union avec Christ, par la foi, ils sont ainsi « sécurisés ».

      Quel est le principe de leur marche ? La chair ou l'Esprit, l'ancienne ou la nouvelle nature, la corruption ou la Grâce ? De tous ces éléments, lequel est celui qui nous gouverne ? Celui qui n'est pas renouvelé dans le Seigneur est incapable de garder pleinement tous Ses commandements. D’autre part, la loi, en plus des devoirs extérieurs, exige l'obéissance intérieure. Dieu a montré Son aversion du péché, par la souffrance de son Fils dans la chair, pour que le croyant puisse être pardonné et justifié. Ainsi, la Justice divine a été satisfaite et le chemin du salut a été ouvert pour le pécheur.

      Par l'Esprit, la loi de l’Amour est écrite dans le cœur, et bien que la justice de la loi ne soit pas accomplie PAR nous, elle est cependant, béni soit Dieu, accomplie EN nous ! De ce fait, on trouve en tout véritable croyant, de quoi répondre à l'intention de la loi.

      La faveur de Dieu, le bien-être de l'âme et tout ce qui touche à l'éternité, sont des éléments qui concernent l'Esprit, ceux auxquels Il porte attention. Quel est le chemin qu'empruntent nos pensées avec le plus de plaisir ? Sur quelle voie avancent nos plans et nos projets ? Sommes-nous plus sages pour le monde, ou pour nos âmes ? Ceux qui ne vivent que pour les attraits de cette terre sont morts, \\# 1Ti 5:6\\. Une âme sanctifiée est vivante, elle est en paix. L'esprit charnel n'est pas seulement ennemi de Dieu, mais il est pour Lui-même, une véritable inimitié. L'homme charnel peut, quand il est touché par la Grâce divine, s’approcher de Dieu, mais l'esprit charnel ne le peut jamais ; ce dernier doit être brisé et chassé.

      Nous pouvons connaître notre véritable état spirituel en nous interrogeant pour constater si nous avons l'Esprit de Dieu et celui de Christ en nous, \\#9\\: « or vous n'êtes pas dans la chair, mais dans l'Esprit ». Avoir l'Esprit de Christ, une tournure d'esprit semblable au Sien : ceci doit être démontré par une règle de vie et des paroles qui conviennent à Ses préceptes et Son exemple !

      Romains 14

      Galates 3

      Colossiens 3

      1

      Les Colossiens sont exhortés : - à tourner leurs pensées vers le ciel ; (Colossiens 3:1-4)
      - à mortifier toutes leurs affections corrompues ; (Colossiens 3:5-11)
      - à vivre dans l'amour fraternel, l'abstention du mal et le pardon mutuel ; (Colossiens 3:12-17)
      - à pratiquer les devoirs des épouses et des maris, des enfants, des parents, et des serviteurs. (Colossiens 3:18-25)

      Puisque les chrétiens sont libérés de la loi de cérémonie (mosaïque), ils doivent marcher le plus attentivement possible avec Dieu, en toute obéissance à l'Évangile. Comme le ciel et la terre sont opposés l'un à l'autre, on ne peut pas les suivre simultanément : l'affection en faveur de l'un diminuera immanquablement celle envers l'autre.

      Ceux qui sont nés de nouveau sont « morts au péché » : en fait, la domination de ce dernier est brisée, son pouvoir est graduellement « subjugué » par la Grâce, pour être en fin de compte étouffé par la perfection de la Gloire de Dieu. Dans ce texte, « être mort » signifie ceci : ceux qui bénéficient du Saint-Esprit, Celui qui mortifie en eux la convoitise de la chair, sont capables de mépriser les attraits de ce monde, pour tendre vers ceux du ciel.

      Jusqu’à présent, nous n’avons pas encore vu Christ ; nous savons, par contre, qu’en Sa présence, nous ne courons aucun danger ! « L’eau vive » coule dans notre âme par l’influence du Saint-Esprit, par la foi. Christ, par Son Esprit, habite dans le cœur du croyant et ce dernier vit pour Lui, dans tout ce qu'il accomplit.

      Lors de la deuxième venue de Christ, il y aura un « rassemblement général » de tous les rachetés ; ceux dont la vie est maintenant « cachée » en Christ, paraîtront alors avec Lui, dans Sa gloire.

      Sommes-nous réellement à la recherche d’un tel honneur, ou conservons-nous encore notre attachement envers le monde, avec son mode de vie ?

      Hébreux 1

      Hébreux 4

      Hébreux 7

      Hébreux 8

      1

      L'excellence du sacerdoce de Christ, par rapport à celui d'Aaron. (Hébreux 8:1-6)
      L’excellence de la nouvelle alliance, par rapport à la précédente. (Hébreux 8:7-13)

      Le résumé des versets précédents déclare que les chrétiens disposent d’un Souverain Sacrificateur (Christ), répondant à leur besoin. Il a revêtu Lui-même la nature humaine, Il est descendu ici-bas, et s'est donné en sacrifice à Dieu, pour les péchés de Son peuple.

      Nous ne devons pas craindre d'approcher Dieu, ni de Lui présenter toutes nos fautes, par l’intermédiaire de Christ, à cause de Ses mérites et de Sa médiation ; nous ne pouvons être acceptés par Dieu qu’en Son Bien-aimé.

      En toute obéissance et en toute adoration au Seigneur, nous devons rester proches de la Parole de Dieu, car elle est la seule « référence » spirituelle. Christ met un terme à la dispensation de la loi. Une première alliance, dont il est fait mention dans ce texte, a été précédemment passée avec Israël, en tant que nation, pour son bien. Les promesses de toutes bénédictions spirituelles, et de vie éternelle, révélées dans l'Évangile, et rendues certaines, grâce à Christ, ont une valeur infiniment plus grande !

      Bénissons Dieu, car nous avons un Souverain Sacrificateur (Christ) qui subvient parfaitement à notre impuissance spirituelle !

      Hébreux 9

      11 Toutes les bénédictions passées, présentes, et à venir, sont fondées sur la fonction sacerdotale de Christ ; elles nous sont octroyées par cette dernière. Notre « Souverain Sacrificateur » est entré dans le ciel une fois pour toutes, et nous a acquis le salut éternel.

      Le Saint-Esprit a d'abord signifié et révélé que les sacrifices de l'Ancien Testament ont seulement libéré l'homme de son impureté, en le rendant apte à recevoir quelques privilèges. Qu'est-ce qui a donné un tel pouvoir au sang de Christ ? Il s’agissait d’une « offrande volontaire », Celui qui, cependant, n’avait aucune culpabilité inhérente à Sa nature ou Sa vie.

      Par le sacrifice de Christ, la conscience la plus coupable est libérée des « œuvres mortes » ; celui qui est ainsi purifié peut servir le Dieu vivant ; on peut comprendre avec « les œuvres coupables », la pollution de l'âme ; ce qui peut signifier pour des Juifs, de toucher un cadavre ; la Grâce qui scelle le pardon divin fait « renaître » l'âme polluée.

      Rien ne détruit davantage la foi en l'Évangile, que tout ce qui tente d'amoindrir le véritable pouvoir du sang de Christ, versé pour nous. Nous sommes incapables de sonder la profondeur du mystère du sacrifice de Christ, ni de comprendre la « supériorité » d’un tel acte. Nous sommes incapables de nous-mêmes, d’estimer la grandeur, la sagesse, l'amour et la grâce qui résident en ce don merveilleux.

      Mais en considérant, avec piété, le sacrifice de Christ, la foi trouve la vie spirituelle, la nourriture, et le rafraîchissement !

      Hébreux 10

      11 Sous la Nouvelle Alliance, (sous la propagation de l'Évangile), un pardon total et définitif des péchés, allait être obtenu. C’est ce qui différencie cette Nouvelle Alliance de l'Ancienne. Sous cette dernière, les sacrifices devaient être souvent répétés, pour finalement ne permettre d'obtenir qu’un pardon temporaire des fautes commises ici-bas.

      Sous la Nouvelle Alliance, un seul Sacrifice a été suffisant pour obtenir le pardon spirituel pour toutes les nations et générations, en les libérant du châtiment divin, et ce pour l’éternité.

      Ce nom, de Nouvelle Alliance, convient donc tout à fait ! Que nul ne s’imagine que toutes les déviations ou inventions humaines, concernant la rémission des péchés, puissent avantager ceux qui se confient en elles, en remplacement du sacrifice du Fils de Dieu.

      Que reste-t-il alors à faire, sinon rechercher tout intérêt dans ce Sacrifice, par la foi, en gardant ce « sceau » pour notre âme, par la sanctification de l'Esprit, en toute obéissance ?

      Grâce au sacrifice de Christ, par l'existence de la loi « écrite » dans notre cœur, nous savons que nous sommes justifiés, et que Dieu ne se souvient plus de nos péchés !

      19 L'auteur de l'épître ayant conclu la première partie de son exposé, continue maintenant, en soulignant l’application pratique de la doctrine.

      Comme les croyants ont obtenu un libre accès à la présence de Dieu, il leur appartient d'utiliser ce privilège. Grâce au sang de Jésus, offert en tant que sacrifice expiatoire, les chrétiens disposent de réels privilèges. Cette Nouvelle Alliance, qui révèle la sainteté et la Miséricorde infinies de Dieu, Celui qui pardonne, ne fut pas clairement comprise tant que la nature humaine de Christ, le Fils de Dieu, ne fut blessée et meurtrie pour nos péchés.

      Notre « chemin » vers le ciel passe par celui du Sauveur crucifié ; Sa mort est pour nous et pour tous ceux qui croient, le précieux chemin vers la vie. Ils doivent s'approcher de Dieu ; rester encore loin de Christ serait Le dédaigner. La phrase : « Le corps lavé d'une eau pure », est une allusion aux purifications exigées sous la loi : de même, l'emploi de l'eau qui purifie, dans le baptême, doit rappeler aux chrétiens que leur conduite doit rester sainte et pure.

      Puisque ces derniers ont obtenu toute consolation et Grâce de leur Père céleste, ils sont réconciliés et doivent observer en tous points la doctrine de Dieu, leur Sauveur. Les croyants doivent chercher comment être au service de leur prochain, en s'entraînant mutuellement à pratiquer avec ferveur, l’amour et les bonnes œuvres.

      La communion des saints est une grande aide, un privilège, et le moyen qui leur permet de rester fermes et de persévérer. Nous devons rester vigilants, au temps de l'épreuve, afin d’être armés pour persévérer dans notre fidélité au Seigneur. Un jour d’épreuve attend tous les hommes : le jour de leur mort.

      Hébreux 12

      1

      Exhortation à être constant dans nos voies et à persévérer. L'exemple de Christ ; le dessein de la Grâce de Dieu dans toutes les souffrances que les croyants ont endurées. (Hébreux 12:1-11)
      La paix et la sainteté sont recommandées, avec des mises en garde contre le mépris des bénédictions spirituelles. (Hébreux 12:12-17)
      La dispensation du Nouveau Testament est bien plus excellente que celle de l'Ancien. (Hébreux 12:18-29)

      L'obéissance et la persévérance dans la foi en Christ, voilà « la course » que devaient effectuer les Hébreux, course par laquelle il est possible de gagner la « couronne de gloire », ou la misère éternelle, en cas d’échec ; cette course nous concerne également.

      Dans l’expression, « le péché qui nous enveloppe si facilement », (premier verset de ce texte), nous devons comprendre : un péché auquel beaucoup d'entre nous sont prompts à succomber, ou à celui auquel nous sommes le plus exposés, que ce soit par habitude, par notre âge, ou suivant les circonstances. Ce texte nous adresse une exhortation très importante : tant qu’un péché reste enraciné dans le cœur d’un homme, sans être combattu ni subjugué, il empêchera celui-ci de « courir » dans sa course spirituelle chrétienne, en lui ôtant toute motivation pour vaincre, et en laissant place à tout découragement.

      Que ceux qui sont fatigués et faibles spirituellement, puissent se rappeler que Jésus, Celui qui est Saint, a souffert, pour les sauver de la ruine éternelle. Si de telles personnes portaient vraiment leur regard par Jésus, elles seraient fortifiées spirituellement, en toute sainteté, elles seraient gardées de toute chute provoquée leurs désirs charnels.

      Recherchons le plus fréquemment possible la présence de Jésus. Que sont nos petites épreuves par rapport à Son agonie à la croix ? Que sont nos « déserts spirituels », face à Ses souffrances ? Que représentent nos peines par rapport à celles de beaucoup d'autres personnes ? On rencontre parfois chez les croyants une tendance à défaillir dans leurs faiblesses, à succomber facilement sous les épreuves et les afflictions ; ceci est dû à l'imperfection de la grâce qui est en leur cœur et aux restes de la corruption qui subsistent en eux.

      Les chrétiens ne doivent pas faiblir, face à l’épreuve. Bien que leurs ennemis et leurs persécuteurs puissent leur infliger de dures souffrances, il s'agit cependant de châtiments que Dieu permet de leur voir supporter ; leur Père céleste « supervise » tout, et Sa Sagesse aura réponse à tout. Face à leurs afflictions, ces âmes ne doivent pas faillir, ni perdre courage, car elles demeurent, malgré leurs péchés, dans « la main de Dieu et sous Sa houlette ». Elles ne doivent pas se décourager ni « crouler » sous les épreuves, ni se tourmenter, mais doivent les supporter, avec foi et patience.

      Dieu peut permettre aux impies de rester dans l’iniquité, mais Il corrigera le péché de Ses propres enfants. En tant que tel, Il agit comme un Père. Nos parents ici-bas peuvent parfois nous châtier pour satisfaire un sentiment personnel plutôt que pour réformer nos manières. Mais notre Père céleste ne veut jamais nous faire souffrir par plaisir, ni affliger en vain Ses enfants : Il le fait toujours pour notre bien.

      Notre vie entière est en quelque sorte un long apprentissage, il reste bien imparfait quant à notre exercice spirituel ; à cause de notre état pécheur, nous devons donc nous soumettre à la discipline céleste. Quand nous serons parvenus à la perfection, nous serons alors complètement réconciliés avec le ciel et le châtiment que Dieu peut parfois nous faire encore endurer, disparaîtra. Le châtiment de Dieu n'est pas synonyme de condamnation ; il peut être supporté avec patience, pour nous conduire vers une sainteté croissante.

      Apprenons bien à considérer les afflictions que nous supportons ici-bas ; si elles semblent provenir des hommes, elles sont en fait des corrections envoyées par notre Père, plein de Grâce et de Sagesse, pour notre bien spirituel !

      1 Pierre 3

      1 Jean 2

      1

      L'apôtre exhorte le croyant à évoquer l'expiation de Christ, pour être aidé, après avoir péché. (1 Jean 2:1,2)
      Les effets de la connaissance « à salut » qui produit l'obéissance et l'amour pour les frères. (1 Jean 2:3-11)
      Les chrétiens sont considérés comme des petits enfants, de jeunes hommes, puis des pères. (1 Jean 2:12-14)
      Tous sont mis en garde contre l'amour de ce monde et contre les erreurs doctrinales. (1 Jean 2:15-23)
      Tous sont encouragés à tenir fermes dans la foi et la sainteté. (1 Jean 2:24-29)

      Nous avons en Jésus-Christ, un Avocat auprès du Père ; Christ est en effet entièrement capable de plaider en faveur de ceux qui implorent le pardon et le salut, en Son Nom, et de plaider en faveur de ceux de qui dépend Son intercession.

      Jésus est le Sauveur, le Christ, le Messie, l'Oint. Il est « le Juste », Celui qui a préservé de tout péché, Sa nature pure ; Il est notre Garant, Celui qui a parfaitement obéi à la loi de Dieu, donc accompli toute justice.

      Les hommes de tous les pays et de toutes générations, sont invités à s’approcher de Dieu, grâce à cette expiation, « chemin » nouveau et vivant entièrement suffisant.

      Quand l'Évangile est correctement compris et accepté, Il dispose le cœur à l’encontre de tout péché, et à arrêter toute pratique de ce dernier ; Il accorde en même temps un soulagement béni aux consciences blessées de ceux qui ont chuté dans l’iniquité.

      Apocalypse 1

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