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Au cours du repas, Jésus prit le pain, demanda à Dieu de le bénir, puis le partagea et le distribua à ses disciples en disant : — Prenez, mangez, c’est mon corps.
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Puis il prit une coupe et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna en disant : — Buvez-en tous,
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car c’est mon sang, par lequel Dieu scelle l’alliance nouvelle. Il va être versé pour que les péchés de beaucoup d’hommes puissent être pardonnés.
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Au cours du repas, Jésus prend du pain et, après avoir demandé à Dieu de le bénir, il le brise et en distribue les morceaux à ses disciples en disant : — Prenez, c’est mon corps.
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Ensuite, il saisit une coupe, remercie Dieu et la leur donne. Ils en boivent tous.
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Alors, il leur dit : — C’est mon sang par lequel Dieu scelle sa nouvelle alliance. Il va être versé pour beaucoup d’hommes.
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Vraiment, je vous l’assure : je ne boirai plus de ce fruit de la vigne avant le jour où je le boirai sous une forme nouvelle dans le royaume de Dieu.
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Ensuite, il prit du pain, prononça la prière de remerciement, le partagea en morceaux et les leur donna en disant : — Ceci est mon corps qui va être donné pour vous. Faites cela, plus tard, en souvenir de moi.
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Après le repas, il fit de même pour la coupe, en disant : — Cette coupe est la nouvelle alliance de Dieu signée de mon sang qui va être répandu pour vous…
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Alors, Jésus leur dit : — Oui, vraiment, je vous l’assure : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n’aurez point la vie véritable en vous.
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Celui qui se nourrit de ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
55
Car ce qui nourrit vraiment, c’est de manger (ce qui constitue) mon corps ; ce qui délivre de la soif, c’est de boire mon sang.
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Celui qui se pénètre de ma vie et de ma mort, et dont je deviens chair et sang, demeure en communion avec moi, et moi je vis en lui.
57
Le Père qui m’a envoyé porte la vie en lui-même, et c’est lui qui me fait vivre, ainsi, celui qui se nourrit de moi vivra aussi par moi.
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Voilà ce qu’est le pain descendu du ciel. Il ne ressemble pas à celui que vos ancêtres ont mangé. Eux, ils sont morts, mais celui qui mange de ce pain-ci vivra pour toujours.
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Dès lors, ils se réunissaient constamment pour se faire enseigner par les apôtres, pour vivre comme des frères en communion les uns avec les autres, pour rompre le pain et prier ensemble.
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Jour après jour, d’un commun accord, ils se retrouvaient dans la cour du temple, mais c’est dans leurs maisons qu’ils rompaient le pain et qu’ils prenaient leurs repas dans la simplicité, la cordialité et la joie.
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Le dimanche, nous étions réunis pour le repas de la communion. Paul, qui devait partir le lendemain, s’entretenait avec les assistants, et il prolongea son discours jusque tard dans la nuit.
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Il remonta, rompit le pain et mangea, puis il prolongea encore la conversation jusqu’au point du jour. Alors seulement, il prit congé et partit.
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Car le Dieu qui vous a appelés à la communion de son Fils Jésus-Christ, notre Seigneur, est fidèle : il tient ses promesses.
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La « coupe de reconnaissance » sur laquelle nous invoquons la bénédiction du Seigneur ne signifie-t-elle pas que nous sommes au bénéfice du sang du Christ versé pour nous ? N’est-elle pas une expression de notre communion avec lui ? Et le pain que nous rompons, ne représente-t-il pas notre communion au corps du Christ ?
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Mais je dis que les sacrifices des païens sont offerts à des esprits démoniaques et à « ce qui n’est pas Dieu ». Or, je ne veux pas que vous entriez en communion avec les démons.
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Vous ne pouvez boire à la coupe du Seigneur et en même temps à celle des démons ; vous ne pouvez être à la fois les hôtes du Seigneur à sa table et ceux des démons à la leur.
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Car ce que je vous ai enseigné est bien différent. Or, voici la tradition que je vous ai transmise de la part du Seigneur lui-même : le Seigneur Jésus, la nuit où il devait être trahi, prit du pain,
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remercia Dieu, puis le rompit en disant : « Ceci est mon corps qui va être livré pour vous ; faites ceci en souvenir de moi ».
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De même, après le repas, il prit la coupe et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance scellée de mon sang ; faites ceci, toutes les fois que vous en boirez, en souvenir de moi ».
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Donc, chaque fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe, vous commémorez la mort du Seigneur, témoignant qu’il est mort pour vous, et ceci jusqu’au moment de son retour.
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C’est pourquoi quiconque mangerait le pain ou boirait de la coupe du Seigneur d’une manière indigne se rendrait coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
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Que chacun donc, avant de manger de ce pain et de boire de cette coupe, s’examine sérieusement lui-même.
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Car celui qui en mange et en boit en faisant fi de (ce qu’implique pour lui son appartenance au) corps du Seigneur s’attire par là le jugement de Dieu, car il prononce lui-même sa sentence de condamnation.
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Car nous avons tous été immergés dans un seul et même Esprit pour former un seul corps, que nous soyons juifs ou grecs, esclaves ou hommes libres. C’est de ce seul et même Esprit que nous sommes tous abreuvés et imprégnés.
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Car nous sommes les compagnons du Christ ; nous avons part à toutes ses richesses, à condition de maintenir inébranlables jusqu’au bout, notre confiance initiale et notre assurance des premiers jours.
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Je le répète : ce que nous avons réellement vu et entendu, nous vous l’annonçons parce que nous aimerions que vous soyez associés à nous dans cette communion dont nous jouissons avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ.
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Si, par contre, nous vivons dans la lumière, tout comme Dieu lui-même est dans la lumière, nous sommes alors vraiment en communion les uns avec les autres et le sang répandu pour nous par Jésus, son Fils, nous purifie du péché sous toutes ses formes.
Mais lorsque, dans cette coupe, le Sauveur nous fait considérer son sang répandu pour le salut du monde, la bénédiction qui s'y rattache prend une signification plus profonde : c'est l'action de grâces pour le don ineffable de Dieu. De là le nom d'eucharistie (action de grâce), que les premiers chrétiens donnaient à la cène, mais qui n'en indique pourtant pas le sens complet.
L'action de rompre le pain a aussi sa signification. (1Corinthiens 11.24)
L'idée de sacrifice, qui se trouve chez tous les peuples, qui est un besoin profond de la conscience coupable, qui formait le centre de toutes les institutions mosaïques, et qui a été pleinement réalisée sur le Calvaire, peut seule faire comprendre le sens complet de ces paroles.
La victime immolée, on en brûlait sur l'autel les parties les plus grasses, d'autres étaient données aux sacrificateurs, d'autres enfin servaient aux repas du sacrifice, auquel prenait part celui qui l'avait offert, avec sa famille et ses amis, avec "l'étranger, la veuve et l'orphelin," et "il se réjouissait devant l'Eternel." (Deutéronome 12.5-12,17-19 ; 14.22-29 ; 16.10,11)
Tous ces actes avaient leur signification. Nous ne rappellerons pas ici celle du sacrifice même ; mais c'est par ce repas que ceux qui l'avaient offert s'en appropriaient personnellement l'efficace, (verset 18) se mettaient en communion avec Dieu, que le sacrifice venait de rendre propice et de réconcilier avec le pécheur. C'est dans ce sens que Paul considère ici la cène comme un repas de sacrifice : le sacrifice de Christ, offert une seule fois pour le péché ; son corps rompu, son sang répandu sont présentés au chrétien, qui, en les recevant, entre avec son Sauveur crucifié et glorifié dans une communion véritable, s'approprie tous les fruits de la rédemption, tandis que Christ devient en lui la source d'une vie nouvelle. (Comparer Matthieu 26.26 et suivants, notes ; Jean 6.57, note.) De cette communion avec Christ, l'apôtre va tirer un argument puissant contre toute participation aux sacrifices des idoles. (versets 20,21)