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26
Et comme ils mangeaient, Jésus prit le pain, et après qu'il eut béni Dieu, il le rompit et le donna à ses Disciples, et leur dit : prenez, mangez ; ceci est mon corps.
27
Puis ayant pris la coupe, et béni Dieu, il la leur donna, en leur disant : buvez-en tous.
28
Car ceci est mon sang, le [sang] du Nouveau Testament, qui est répandu pour plusieurs en rémission des péchés.
22
Et comme ils mangeaient, Jésus prit le pain, et après avoir béni [Dieu], il le rompit, et le leur donna, et leur dit : Prenez, mangez, ceci est mon corps.
23
Puis ayant pris la coupe, il rendit grâces, et la leur donna ; et ils en burent tous.
24
Et il leur dit : ceci est mon sang, le sang du Nouveau Testament, qui est répandu pour plusieurs.
25
En vérité je vous dis, que je ne boirai plus du fruit de la vigne jusqu'au jour que je le boirai nouveau dans le Royaume de Dieu.
19
Puis prenant le pain, et ayant rendu grâces, il le rompit et le leur donna, en disant : ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.
20
De même aussi [il leur donna] la coupe, après le souper, en disant : cette coupe est le Nouveau Testament en mon sang, qui est répandu pour vous.
53
Et Jésus leur dit : en vérité, en vérité je vous dis, que si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vous-mêmes.
54
Celui qui mange ma chair, et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.
55
Car ma chair est une véritable nourriture, et mon sang est un véritable breuvage.
56
Celui qui mange ma chair, et qui boit mon sang, demeure en moi, et moi en lui.
57
Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je suis vivant par le Père ; ainsi celui qui me mangera, vivra aussi par moi.
58
C'est ici le pain qui est descendu du ciel, non point comme vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; celui qui mangera ce pain, vivra éternellement.
42
Et ils persévéraient tous en la doctrine des Apôtres, et en la communion et la fraction du pain, et dans les prières.
46
Et tous les jours ils persévéraient tous d'un accord dans le Temple ; et rompant le pain de maison en maison, ils prenaient leur repas avec joie et avec simplicité de coeur ;
7
Et le premier jour de la semaine, les disciples étant assemblés pour rompre le pain, Paul, qui devait partir le lendemain, leur fit un discours, qu'il étendit jusqu'à minuit.
11
Et après qu'il fut remonté, et qu'il eut rompu le pain, et mangé, et qu'il eut parlé longtemps jusqu'à l'aube du jour, il partit.
9
[Et] Dieu, par qui vous avez été appelés à la communion de son Fils Jésus-Christ notre Seigneur, est fidèle.
16
La coupe de bénédiction, laquelle nous bénissons, n'est-elle pas la communion du sang de Christ ? et le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion du corps de Christ ?
20
Mais je dis que les choses que les Gentils sacrifient, ils les sacrifient aux démons, et non pas à Dieu ; or je ne veux pas que vous soyez participants des démons.
21
Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons ; vous ne pouvez être participants de la table du Seigneur, et de la table des démons.
23
Car j'ai reçu du Seigneur ce qu'aussi je vous ai donné ; c’est que le Seigneur Jésus la nuit qu'il fut trahi, prit du pain ;
24
Et après avoir rendu grâces il le rompit, et dit : prenez, mangez : ceci est mon corps [qui est] rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.
25
De même aussi après le souper, il prit la coupe, en disant : cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi.
26
Car toutes les fois que vous mangerez de ce pain, et que vous boirez de cette coupe, vous annoncerez la mort du Seigneur jusques à ce qu'il vienne.
27
C'est pourquoi quiconque mangera de ce pain, ou boira de la coupe du Seigneur indignement, sera coupable du corps et du sang du Seigneur.
28
Que chacun donc s'éprouve soi-même, et ainsi qu'il mange de ce pain, et qu'il boive de cette coupe ;
29
Car celui qui [en] mange et qui [en] boit indignement, mange et boit sa condamnation, ne distinguant point le corps du Seigneur.
13
Car nous avons tous été baptisés d'un même Esprit, pour être un même corps, soit Juifs, soit Grecs, soit esclaves, soit libres, nous avons tous, dis-je, été abreuvés d'un même Esprit.
14
Car nous avons été faits participants de Christ, pourvu que nous retenions ferme jusqu'à la fin le commencement de notre subsistance.
3
Cela, [dis-je], que nous avons vu et ouï, nous vous l'annonçons ; afin que vous ayez communion avec nous, et que notre communion [soit] avec le Père et avec son fils Jésus-Christ.
7
Mais si nous marchons dans la lumière, comme Dieu est en la lumière, nous avons communion l'un avec l'autre, et le sang de son Fils Jésus-Christ nous purifie de tout péché.
Mais lorsque, dans cette coupe, le Sauveur nous fait considérer son sang répandu pour le salut du monde, la bénédiction qui s'y rattache prend une signification plus profonde : c'est l'action de grâces pour le don ineffable de Dieu. De là le nom d'eucharistie (action de grâce), que les premiers chrétiens donnaient à la cène, mais qui n'en indique pourtant pas le sens complet.
L'action de rompre le pain a aussi sa signification. (1Corinthiens 11.24)
L'idée de sacrifice, qui se trouve chez tous les peuples, qui est un besoin profond de la conscience coupable, qui formait le centre de toutes les institutions mosaïques, et qui a été pleinement réalisée sur le Calvaire, peut seule faire comprendre le sens complet de ces paroles.
La victime immolée, on en brûlait sur l'autel les parties les plus grasses, d'autres étaient données aux sacrificateurs, d'autres enfin servaient aux repas du sacrifice, auquel prenait part celui qui l'avait offert, avec sa famille et ses amis, avec "l'étranger, la veuve et l'orphelin," et "il se réjouissait devant l'Eternel." (Deutéronome 12.5-12,17-19 ; 14.22-29 ; 16.10,11)
Tous ces actes avaient leur signification. Nous ne rappellerons pas ici celle du sacrifice même ; mais c'est par ce repas que ceux qui l'avaient offert s'en appropriaient personnellement l'efficace, (verset 18) se mettaient en communion avec Dieu, que le sacrifice venait de rendre propice et de réconcilier avec le pécheur. C'est dans ce sens que Paul considère ici la cène comme un repas de sacrifice : le sacrifice de Christ, offert une seule fois pour le péché ; son corps rompu, son sang répandu sont présentés au chrétien, qui, en les recevant, entre avec son Sauveur crucifié et glorifié dans une communion véritable, s'approprie tous les fruits de la rédemption, tandis que Christ devient en lui la source d'une vie nouvelle. (Comparer Matthieu 26.26 et suivants, notes ; Jean 6.57, note.) De cette communion avec Christ, l'apôtre va tirer un argument puissant contre toute participation aux sacrifices des idoles. (versets 20,21)