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1 Corinthiens 14.6

Maintenant, frères, si je venais parmi vous en parlant des langues, à quoi vous serais-je utile, si je ne vous adressais des paroles de révélation, ou de science, ou de prophétie, ou de doctrine ?
Frères et sœurs chrétiens, prenons un exemple : je viens vous voir et je vous parle en langues inconnues. Si mes paroles ne vous apportent rien, ni message clair, ni connaissance, ni parole de la part de Dieu, ni enseignement, est-ce que je vous rends service ?

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    • 1 Samuel 12

      Jérémie 16

      Jérémie 23

      Matthieu 11

      25 Il convient aux enfants d'être reconnaissants envers leurs parents : quand nous nous approchons de Dieu, en tant que fils, nous devons nous souvenir qu'Il est aussi le Seigneur du ciel et de la terre, ce qui nous oblige à venir à Lui avec vénération. Il est le Seigneur souverain en toutes choses ! Approchons-nous cependant de Lui avec confiance, car Il est Celui qui est capable de nous défendre du mal, et de nous procurer tout bien.

      Dans ce texte, notre Seigneur béni a ajouté une déclaration remarquable : le Père a livré entre les mains de Christ, tout pouvoir, toute autorité, et tout jugement. Nous sommes redevables envers le Seigneur, pour toute révélation sur la Volonté et l’Amour du Père, éléments immuables depuis le péché originel d’Adam.

      Notre Sauveur invite tous ceux qui sont fatigués et lourdement chargés de venir à Lui. Tous les hommes, en quelque sorte, sont dans cet état : ils se chargent de vaines occupations, en vue d’obtenir richesses et honneurs ; ils se consacrent à des labeurs infructueux, à la poursuite des plaisirs ; « l'esclave de Satan », avec toutes ses convoitises, est ce qui est le plus répandu ici-bas. Ceux qui œuvrent en vue d’instaurer leur propre justice, le font en vain. En fait, le pécheur convaincu est lourdement chargé par le fardeau de sa culpabilité et de sa peur du jugement, face à la Sainteté divine ; le croyant, lorsqu’il est tenté et affligé, est également soumis a divers fardeaux et peines.

      Christ invite chacun à venir à Lui, pour le repos de l'âme. Il est le Seul qui puisse faire ce genre d’invitation ; les hommes viennent à Lui quand, ressentant leur culpabilité et leur misère, et croyant que Son amour et Sa Puissance peuvent les aider, Le cherchent, dans une fervente prière.

      Tels sont le devoir et l'intérêt des pécheurs, fatigués et chargés : venir à Jésus-Christ ! C’est l'appel de l'évangile : quiconque veut venir au Seigneur, qu'il vienne ! Tous ceux qui s’approcheront ainsi, recevront le repos, en tant que don de Christ, et obtiendront la paix et le réconfort en leur cœur.

      Mais en venant à Lui, ils doivent prendre Son joug, et se soumettre à Son autorité. Ils doivent tout apprendre de Lui, en particulier l'obéissance. Jésus accepte celui qui est disposé à Le servir, même s’il est encore imparfait pour accomplir cette tâche. C'est auprès de Christ, que nous pouvons trouver le repos pour notre âme, uniquement en Lui. Nous ne devons pas craindre Son joug. Ses commandements sont saints, justes, et bons.

      Le Seigneur exige le désintéressement, et expose Ses enfants à diverses difficultés, mais tout cela est abondamment récompensé, même en ce monde, par une paix et une joie intérieures. Ce joug est placé par Jésus, avec amour. Les soutiens divers qu'Il nous offre sont si puissants, Ses encouragements si appropriés, et Ses consolations si efficaces, pour accomplir notre devoir, que nous pouvons vraiment dire qu’il s’agit d’un « joug agréable et doux ». Le chemin du devoir est en quelque sorte, celui du repos !

      Les vérités que Christ nous enseigne sont telles, que nous pouvons les appliquer sans risque pour notre âme : telle est la Miséricorde du Rédempteur ! Pourquoi le pécheur fatigué et accablé chercherait-il le repos ailleurs ?

      Approchons-nous de Jésus chaque jour, pour être délivrés de la colère divine, de notre culpabilité, du péché et de Satan, de tous nos soucis, de nos peurs et de nos peines. Mais cette obéissance volontaire est loin d'être aisée et facile à atteindre : elle représente un lourd fardeau. C'est en vain que nous pourrons nous approcher de Jésus « avec nos lèvres », si notre cœur est loin de Lui.

      Venez donc à Jésus, afin de trouver le repos pour votre âme !

      Matthieu 16

      Actes 2

      42 Dans ce texte, nous voyons les débuts de la véritable église primitive : elle était certes dans son état originel, mais dans la plus grande innocence. Ces premiers chrétiens respectaient scrupuleusement les saintes ordonnances, ils abondaient dans la piété et la dévotion ; lorsque nous reconnaissons la puissance d’une telle vie, « en Christ », ce Dernier dispose notre âme à la communion avec Dieu, quel que soit le chemin dans lequel Il a décidé de nous rencontrer, selon Sa promesse.

      L’importance des événements relatés dans ce texte a élevé ces âmes « au-dessus » de ce monde, le Saint-Esprit les a remplies d'un amour qui leur faisait voir leur prochain comme eux-mêmes, leur permettant ainsi de faire toutes choses en commun ; ces frères en Christ n’ont pas détruit leurs biens, mais, pour écarter tout égoïsme, ils mirent en pratique la charité. Dieu, Celui qui les a amenés à un tel état d’esprit, savait de toute façon qu'ils seraient, par la persécution, rapidement dépossédés de leurs biens en Judée...

      Le Seigneur, de jour en jour, prédispose les cœurs à accepter l'évangile ; non pas pour professer ce dernier, mais pour être d’abord vraiment amenés à être acceptés par Dieu, étant faits « participants de la Grâce qui régénère ». Ceux que Dieu a admis pour le salut éternel seront amenés à Christ, jusqu'à ce que la terre soit remplie de la connaissance de Sa gloire !

      Romains 6

      Romains 15

      14 L'apôtre était persuadé que les chrétiens romains étaient animés d'un esprit de tendresse et d'affection mutuelle, remplis de connaissances.

      Il leur avait écrit pour leur rappeler leurs devoirs, avec les dangers encourus, car Dieu l'avait nommé ministre de Christ, pour les païens (les gentils). Paul prêcha devant eux ; leur sanctification était un véritable « sacrifice » pour Dieu ; elle n’était pas le fruit du travail de l’apôtre, mais l'œuvre du Saint-Esprit : ce qui est profane ne peut jamais convenir au Dieu saint.

      La conversion des âmes appartient à Dieu ; Paul glorifie cet acte spirituel, en excluant toute œuvre de la chair. Bien qu’il fût un grand prédicateur, il n'a pas pu rendre une âme plus obéissante, que ne l’a rendue l’œuvre de l'Esprit Saint. L’apôtre a cherché principalement le bien de ceux qui étaient « dans les ténèbres ». Quel que soit le bien que nous pouvons faire, c'est en réalité Christ qui l’accomplit, par notre intermédiaire !

      Romains 16

      17 Que ces exhortations sont à la fois solennelles et pleines de tendresse !

      Quelles que soient les divergences relatives à l’interprétation de la doctrine des Écritures, elles ouvrent une porte aux divisions et à différents « heurts ». Si la Vérité est abandonnée, l'unité et la paix ne règneront guère ! Beaucoup appellent Christ, leur « Maître » et « Seigneur », en étant pourtant bien loin de Le servir. Ils servent en fait leurs intérêts personnels charnels, sensuels, et ceux du monde. Ils corrompent la tête de l’assemblée, en trompant leur cœur ; ils créent une partialité des jugements, en s'égarant eux-mêmes dans leurs faux penchants.

      Nous avons grand besoin de garder notre cœur dans la plus grande fermeté. La politique commune à tous les séducteurs consiste à s'appuyer sur les faiblesses de convictions des autres. Il est profitable, pour un tempérament docile, d’être soumis à un bon conseil, mais il peut rapidement s’égarer, à l’écoute d’une fausse doctrine. Il faut être sage et vigilant pour ne pas être trompé, mais il faut avoir l’esprit fondamental et droit pour ne pas être trompeur.

      Dans ce texte, nous voyons l'apôtre attendre cette bénédiction divine : la victoire sur Satan. Cette victoire inclut tous les desseins et manigances de Satan, contre les âmes, dans le but de les souiller, de les déstabiliser et de les anéantir ; cela rassemble toute ses tentatives pour nous écarter de la paix qu’offre le Seigneur, et de l’espérance du Royaume de Dieu.

      Quand Satan semble prédominer et que nous sommes prêts à tout abandonner, alors le Dieu de paix s'interpose en notre faveur. Il faut donc garder jusqu'au bout de l’épreuve, la foi et la patience, car la victoire est pour bientôt ! Si la Grâce de Christ nous accompagne, qui peut alors prédominer sur nous ?

      1 Corinthiens 10

      1 Corinthiens 12

      1 Corinthiens 13

      8 L’amour est de loin préférable aux dons que pouvaient posséder les Corinthiens, et sur lesquels ils fondaient leur fierté.

      L’amour est immuable : c'est une grâce, qui dure éternellement. Le présent est pour nous comme un « état d'enfance », le futur sera un « état d'adulte ». C'est une image représentant la différence existant entre la terre et le ciel.

      Quelles vues étroites, quelles notions confuses de la réalité peuvent avoir les enfants, comparées avec celles des adultes ! Telle sera notre différence de perception, des dons précieux ici-bas, quand nous arriverons dans les lieux célestes.

      Beaucoup de sujets nous paraissent encore opaques et confus, en comparaison avec la clarté avec laquelle nous les percevrons plus tard. Ils sont seulement perçus comme par le « reflet d’un miroir », étant parfois de véritables énigmes ; plus tard, dans les cieux, cette même perception sera libérée de toute distorsion et d'erreur. La lumière céleste enlèvera tous les « nuages » et les « ténèbres » qui nous masquaient ici-bas, le visage de Dieu.

      Pour résumer l’excellence de l’amour, il est non seulement préférable aux dons spirituels, mais aussi aux autres grâces, à la foi et à l'espérance. La foi oriente sur la révélation divine, elle permet d’approcher spirituellement le Père, par l’intermédiaire du Rédempteur Divin. L'espérance concerne le bonheur futur, elle attend patiemment ; mais dans les cieux, la foi ne sera plus : nous aurons une vision réelle ; l'espérance aura disparu, remplacée par la félicité éternelle. Il n'y a plus lieu de croire ni d'espérer, quand nous voyons et quand nous possédons !

      L'amour sera sublime : nous aurons dans le ciel, un amour parfait envers Dieu. Nous nous aimerons mutuellement parfaitement. Quelle bénédiction ! Elle surpasse les meilleures ici-bas !

      Dieu est amour, 1Jean 4:8,16. Quand Il est perçu spirituellement tel qu’Il est, l’amour se manifeste dans ses plus grandes dimensions ; cependant, ce n’est qu’au ciel qu’il sera parfait !

      1 Corinthiens 14

      1

      Le don de prophétie préféré à celui des langues. (1 Corinthiens 14:1-5)
      L'inutilité de parler dans des langues incomprises. (1 Corinthiens 14:6-14)
      Exhortations à adorer ce qui ne peut qu’être compris. (1 Corinthiens 14:15-25)
      Les désordres provenant d'une vantardise au sujet des dons reçus. (1 Corinthiens 14:26-33)
      Désordres provenant des femmes qui enseignent dans l'église. (1 Corinthiens 14:34-40)

      Ce texte distingue les divers dons de prophétie, expliquer l'Écriture, et parler en langues. Ce dernier don attire plus l'attention que la claire interprétation de l'Écriture ; il gratifie davantage la fierté, mais il remplit moins les desseins de la charité chrétienne ; de plus, il n’édifie pas l’âme. Ce qui ne peut être compris, ne peut en effet être édifiant...

      Aucun avantage ne peut être tiré du plus excellent discours, s'il est donné dans une langue que les auditeurs ne peuvent ni parler ni comprendre.

      Chaque talent ou don a une valeur proportionnelle à son utilité. Une prédication fervente et spirituelle, doit être soumise à une bonne compréhension, sinon les hommes mettront en disgrâce les vérités qui sont censées être annoncées.

      6 Même un apôtre ne peut pas édifier l’assemblée, s'il ne parle pas de façon à être compris par ses auditeurs. Il est complètement vain de prononcer des paroles qui n’ont aucune signification pour ceux qui les reçoivent. On ne peut donner d’avis critique à un discours, si ce dernier n'est pas compris : il n’y a alors aucune communication utile entre l’orateur et les auditeurs.

      Dans les assemblées chrétiennes, les services religieux doivent se dérouler de telle manière, que tous puissent y participer spirituellement, pour en tirer profit. On doit employer un langage clair et facilement compréhensible, lors d’un culte ou autre réunions de ce genre.

      Chaque véritable disciple de Christ recherchera prioritairement le bien des autres, avant le sien.

      26 Toute exhortation, prédication ou autre pratique similaire dans l’assemblée doit être effectuée dans une seule optique : l'édification.

      Au sujet de celui qui parle une langue inconnue dans une assemblée : si un autre membre présent, peut l’interpréter, ces deux dons miraculeux peuvent être exercés simultanément ; de cette façon, l'église est édifiée et la foi des auditeurs est en même temps affermie.

      En ce qui concerne le don de prophétie : deux ou trois seulement doivent parler au cours d'une réunion, l'un après l'autre, avec un temps de réflexion entre chaque message.

      L'homme qui est inspiré par l'Esprit de Dieu partagera ses révélations avec ordre et décence. Dieu n'enseigne jamais aux hommes à négliger leurs devoirs, ou à agir d'une manière inconsidérée quant à leur âge ou leur fonction.

      2 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 12

      1

      Les révélations de l'apôtre Paul. (2 Corinthiens 12:1-6)
      Ce qui a contribué à son avantage spirituel. (2 Corinthiens 12:7-10)
      Les qualités d'un apôtre existaient vraiment en lui. Son but : faire une visite aux Corinthiens ; il exprime toutefois sa crainte de devoir être sévère avec quelques-uns. (2 Corinthiens 12:11-21)

      Il ne peut pas y avoir de doute : l'apôtre parle bien de lui-même dans ce texte. Soit les éléments célestes lui ont été présentés ici bas, alors qu’il était en extase, comme au temps des prophètes autrefois, soit son âme a été séparée du corps, pour un temps, pour être élevée dans le ciel ; il se peut même qu'il soit monté, corps et âme, dans le paradis : en fait, il ne savait pas lui-même ce qui s’était passé vraiment.

      Nous ne sommes pas capables, (ou il ne nous est peut-être pas permis de le savoir), de connaître les détails de cet endroit, rempli de la gloire divine. Paul n'a pas tenté de nous décrire ce qu'il a entendu, mais il a placé en avant la doctrine de Christ. C'est sur ce Dernier, ce Fondement, que l'Église est construite, et c'est sur Lui que nous devons bâtir notre foi et notre espérance.

      Tandis que ce texte nous invite à affermir notre attente de la gloire céleste qui nous sera révélée, nous devons nous satisfaire des méthodes habituelles d'érudition de la Vérité divine.

      7 Dans ce texte, l'apôtre, compte tenu des visions et des révélations qu'il avait reçues précédemment, fait état de la méthode entreprise par Dieu, pour le garder en toute humilité, et le prévenir de toute tentation de s’enorgueillir.

      Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-être d’un grave problème, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident à nous garder de toute fierté. Si Dieu nous aime, Il nous évitera d'être exalté au-delà de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnés pour combattre la fierté spirituelle.

      Le texte nous déclare que cette « épine dans la chair » a été envoyée, à titre maléfique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apôtre, l'a « remaniée », pour devenir finalement le bien de Paul.

      La prière est un « onguent » pour chaque plaie, un remède pour chaque maladie ; quand nous sommes affligés par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer à la prière. Si une réponse n'est pas accordée dans l’immédiat, ou peu après, continuons à prier !

      Les épreuves nous sont envoyées par la Providence pour nous apprendre à prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre à poursuivre cette prière. Quoique Dieu accepte la prière de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problèmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grâce toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La Grâce manifeste la clémence de Dieu à notre égard ; c'est suffisant pour nous éclairer, nous animer, nous fortifier et nous réconforter dans les détresses et les afflictions.

      La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grâce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grâce !

      Ephésiens 1

      Ephésiens 3

      Philippiens 3

      2 Timothée 2

      14 Ceux qui sont disposés à lutter, le font bien souvent pour des sujets de piètre importance. Par contre, les querelles verbales ne peuvent que nuire à tout ce qui concerne Dieu.

      Dans ce texte, l'apôtre mentionne certaines personnes qui ont fait fausse route. Ces dernières n'ont pas nié la résurrection, mais ont corrompu cette vraie doctrine. Leurs folles paroles erronées pouvaient déstabiliser la foi naissante chez certains...

      Le fondement de l’enseignement de Paul repose sur deux textes des Écritures. L’un parle de notre réconfort : nul ne peut détruire la foi de celui que Dieu a choisi. L'autre mentionne notre devoir : ceux qui sont conscients du privilège qu’ils ont, d’être EN Christ, doivent s’en réjouir et prendre conscience de leur devoir.

      Christ s'est donné Lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, \\# Tite 2:14\\. Son Église est comparable à une demeure : certains de ses « meubles » sont de grande valeur, d'autres de moindre intérêt, destinés à un usage vil. Certains mauvais professeurs de la piété sont comme ces « vases » de bois et de terre. Quand ces derniers sont jetés au dehors et détruits, les autres sont alors remplis de toute la plénitude de Dieu !

      Nous devons par cette métaphore, nous demander : quel type de « vase » sommes-nous ? Chaque personne, approuvée par Dieu au sein de l'Église, sera consacrée au service de son Maître, et sera ainsi apte à être utilisée !

      2 Timothée 3

      10 Plus nous connaitrons en profondeur la doctrine de Christ, telle qu’elle nous a été enseignée par les apôtres, plus nous Lui serons attachés étroitement.

      Quand nous ne connaissons qu'en partie les détresses que peuvent connaître certains croyants, nous pouvons être tentés de douter de la cause exacte pour laquelle ils souffrent. Un simulacre de piété ou une profession de foi chrétienne sans réelle ferveur, sont souvent admis, alors que le fait de professer ouvertement la Vérité qui se trouve en Jésus, et une recherche attentive à pratiquer les devoirs inhérents à la piété, attirent le mépris et l'inimitié de ce monde.

      De même que les hommes pieux, par la Grâce divine, gravissent les pas de la sanctification, les hommes mauvais, de leur côté, à cause de l'habileté de Satan, et par leurs propres corruptions, connaissent une déchéance sans fin. Le chemin du péché est ainsi ; ceux qui l'empruntent courent inexorablement à leur ruine, ils trompent leur entourage mais sont trompés eux-mêmes, à leurs dépens.

      L'histoire de l'église nous montre, de manière impressionnante, que l'apôtre Paul évoquait déjà ce sujet à son époque, en étant inspiré par le Saint-Esprit.

      2 Timothée 4

      Tite 3

      8 Quand la Grâce de Dieu, à l'égard de l'homme, a été manifestée, il lui est devenu nécessaire à ce dernier de pratiquer des bonnes œuvres. Ceux qui croient en Dieu doivent prendre soin de veiller à cette pratique, être à l'affût des opportunités qui se présentent, étant motivés par l'amour pour les autres, par gratitude envers le Seigneur.

      La futilité et les vaines discussions doivent être évitées ; les enfants de Dieu ne doivent pas rechercher systématiquement les dernières nouveautés de ce monde, mais aimer la saine doctrine, qui conduit à l'édification.

      Bien que nous puissions parfois considérer certains péchés avec légèreté, si le Seigneur sensibilise notre conscience, nous ressentirons les dégâts que peut occasionner la moindre faute en notre âme !

      Hébreux 13

      2 Pierre 1

      2 Pierre 3

      2 Jean 1

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