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1 Pierre 5.1

J’exhorte donc les anciens qui sont parmi vous, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ et participant à la gloire qui doit être révélée :
Je m’adresse maintenant à ceux qui, parmi vous, sont anciens d’Église. Je suis ancien moi aussi ; je suis témoin des souffrances du Christ et j’aurai part à la gloire qui va être révélée. Voici ce que je leur demande :
J’exhorte donc les anciens qui sont parmi vous, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ et participant à la gloire qui doit être révélée :
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      Psaumes 73

      Luc 24

      Jean 15

      26 Le Saint-Esprit maintient la cause de Christ ici-bas, en dépit de l'opposition qu'Il rencontre. Les croyants enseignés et encouragés par Son influence, porteront toujours témoignage à Christ et au salut qu’Il offre !

      Actes 1

      Actes 2

      Actes 3

      Actes 5

      Actes 10

      Actes 11

      Actes 14

      Actes 15

      22 Ayant la garantie que leurs déclarations étaient dictées par l'influence directe du Saint-Esprit, les apôtres et les disciples furent convaincus que le Seigneur approuvait de ne de ne pas mettre sur les nouveaux convertis d'autre fardeau que ce qui avait été mentionné dans les chapitres précédents.

      Il était réconfortant d'entendre que ces ordonnances charnelles ne leur seraient plus imposées : elles n’étaient en effet qu’une source de questions ambigües au sujet de la conscience, sans pouvoir, ni la purifier, ni lui donner la paix ; les fauteurs de trouble furent réduits au silence, pour que la paix dans l'église soit restaurée, et que toute menace de scission soit écartée. Tous furent ainsi consolés et bénirent Dieu.

      Beaucoup d'autres disciples se trouvaient à Antioche. Là où la tâche est grande, quant à l’enseignement de la Parole et de la doctrine, il peut y avoir une opportunité pour nous : le zèle et l'envie de nous rendre utiles doivent nous interpeler, afin de ne pas rester passifs !

      Actes 20

      17 Les anciens des premières assemblées savaient que Paul n'était pas un intriguant, ni un égoïste. Ceux qui veulent avant tout servir le Seigneur avec efficacité, doivent le faire dans l’humilité.

      L’apôtre annonçait clairement l’Évangile, de façon à ce qu'il soit bien perçu. C’était un prédicateur éloquent, persuasif, cherchant à ce que son auditoire comprenne bien son message ; il voulait aussi, par son témoignage, avertir ceux qui rejetaient la Vérité. Paul était un prédicateur actif ; il avait pour but que ses auditeurs s’interrogent, quant à la nature de leur cœur et de leur vie. Il se donnait de la peine pour accomplir son ministère, il était très actif et fidèle ; il n'a pas ménagé ses propos, lorsque cela s’avérait nécessaire, insistant sur la prédication de la croix. C’était un véritable évangéliste, n’annonçant aucune doctrine douteuse, ni politique ; il prêchait la foi et la repentance.

      Pour résumer son ministère, il prêchait le don du salut, par la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus-Christ, avec tous les fruits et les conséquences que cela engendre. Sans cette repentance, aucun pécheur ne peut échapper à la condamnation divine, se privant ainsi de la vie éternelle.

      Ne pensons surtout pas que Paul ait quitté l'Asie par peur de la persécution ! S’attendant manifestement à être attaqué, il était cependant bien résolu à continuer sa marche, assuré qu’il était guidé par la direction Divine.

      Remercions Dieu pour le fait qu’il nous est impossible de savoir ce qui nous arrivera dans le futur. Pour l'enfant de Dieu, il est suffisant de savoir que la force du Seigneur est immuable, et il ne cherche pas à savoir ce que l’avenir lui réserve. La puissance du Saint-Esprit lie le vrai chrétien à son devoir. Même lorsqu'il s’attend à la persécution et à la détresse, l'Amour de Christ le pousse à continuer.

      Aucun incident de parcours n'a écarté Paul de son travail ; rien ne l'a privé de la consolation spirituelle qui l’attendait. Notre raison de vivre consiste à savoir que nous connaîtrons bientôt la félicité éternelle !

      Quand Paul vit que les anciens d’Éphèse étaient persuadés qu’ils le voyaient pour la dernière fois, il leur rappela qu’ils devaient veiller sur le troupeau spirituel : l’apôtre, durant son ministère, leur a toujours prêché avec intégrité toute les vérités de la doctrine divine. Il leur a prêché l'Évangile dans son intégralité ; il a accompli fidèlement son travail, supportant toutes les attaques de ses opposants.

      28 Si le Saint-Esprit a établi des serviteurs de Dieu, en tant que surveillants et bergers du troupeau (l’assemblée), ils doivent servir le Seigneur en toute confiance. De leur côté, ces ministres de l’Évangile doivent bien considérer à quel point leur Maître s’est soucié de bien constituer ce troupeau, qui est maintenant à leur charge. Christ a construit l'église avec Son propre sang. Bien qu’ayant revêtu l’apparence humaine, Il a, par ce sang, scellé de manière intime, l'union entre les deux natures : la corruptible et la divine ; c’était en fait véritablement le sang de Dieu car il provenait de Celui qui est Dieu Lui-même ! Cet état de fait a revêtu Christ d’une dignité et d’une valeur permettant de payer la rançon pour les iniquités des croyants, tout en les conduisant sur le chemin de la sanctification.

      Paul rappelle aux anciens d’Éphèse, toute l’affection et toute l’inquiétude qu’il ressentait pour eux. En fait, ils étaient soucieux pour leur avenir spirituel. L’apôtre les invite ensuite à lever les yeux vers Dieu, avec foi, il les recommande à la Parole de Sa Grâce, qui allait être, non seulement le fondement de leur espérance et la source de leur joie, mais aussi leur règle de conduite.

      Les chrétiens les plus avancés spirituellement sont vraiment capables de progresser, en se basant sur la Parole et la Grâce. Ceux qui ne se sont pas repentis de leurs fautes et ne sont donc pas sanctifiés par le Seigneur, ne peuvent être les bienvenus devant le Dieu trois fois Saint, et ne peuvent pas bénéficier des avantages célestes, à l’inverse de tous ceux qui sont nés de nouveau, et sur qui l'Image de Dieu est renouvelée, par Son pouvoir tout-puissant et par la Vérité éternelle.

      Paul recommande aux frères qu’il allait quitter, de ne pas rechercher à tout prix les attraits de ce monde ; ils devaient savoir compter sur l'aide du Seigneur pour les conduire ici-bas. En annonçant qu’il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, l’apôtre voulait montrer que même sous une apparente difficulté de mise en pratique, cette vérité, annoncée par le Maître, était vraiment actuelle : ces paroles allaient souvent être appliquées par les disciples.

      L'opinion des « enfants de ce monde » est contraire à l’enseignement de ce dernier texte : ils ne cherchent pas à donner, sauf s'ils comptent obtenir du profit en retour ; seul l’appât du gain les motive. Christ nous annonce le bonheur qui résulte du don de soi, un bonheur excellent ! Cette attitude nous rapproche de l’image divine : Dieu donne à tous et n’a besoin de personne ; le Seigneur Jésus, est venu ici-bas pour faire le bien. Puisse cet état d’esprit, qui était en Lui, demeurer en nous également !

      Lorsque des amis se séparent, il est bon qu’ils prient ensemble. Ceux qui s'exhortent de la sorte et qui prient les uns pour les autres, peuvent connaître des moments de tristesse, mais ils doivent se réconforter par l’assurance qu’ils se rencontreront un jour devant le trône divin, pour ne plus jamais se quitter ! Quelle consolation pour ces disciples, de savoir que Christ allait d’une part accompagner Paul, tout en restant avec eux !

      Actes 21

      Romains 8

      18 Les souffrances spirituelles que peuvent ressentir les enfants de Dieu, ne les frappent pas plus sévèrement que celles de ce monde, elles ne sont qu’éphémères et supportables.

      Quelle différence avec les sentences de la Parole de Dieu, à l’encontre du monde, avec tout la souffrance du temps présent !

      En effet la création entière semble attendre avec beaucoup d'attention la période où les enfants de Dieu seront manifestés dans la gloire qui est préparée à leur intention. Lors de la chute de l'homme, une impudicité, une difformité et une infirmité sont tombées sur lui. On ne peut que constater les fréquentes inimitiés entre les hommes. Elles ne sont que le résultat du péché.

      Malgré ce constat déplorable, la création est dans l'espérance ! Dieu la délivrera de l'esclavage de sa dépravation. Les misères de la race humaine, issues de sa propre méchanceté, démontre que le monde n'est pas fait pour continuer ainsi éternellement.

      Nous avons reçu les prémices de l'Esprit, ce qui vivifie nos désirs, encourage notre espérance et accroit nos attentes spirituelles. Le péché a été, et est toujours, la cause coupable de toute la souffrance qui existe dans la création divine. Il a apporté les malheurs de la terre ; il a « allumé » les flammes de l'enfer. Pour l'homme, aucune larme n'a été répandue, aucun gémissement n'a été perçu, aucune angoisse n'a été ressentie dans le corps ou dans l'esprit, qui ne soit pas venu du péché. Et ce n'est pas tout : le péché affecte la gloire de Dieu. Tous les évènements funestes ici-bas sont à la charge de l'espèce humaine !

      Les croyants, en ce qui les concerne, sont spirituellement en sécurité ; le réconfort qu’ils éprouvent réside dans leur espérance, plutôt que dans les plaisirs de ce monde. Rien ne peut les détourner de cette espérance, même les satisfactions temporaires ici-bas.

      Nous avons besoin de patience, notre chemin est long et difficile ; mais Celui qui doit venir, viendra, même s'Il semble tarder !

      2 Corinthiens 5

      1

      L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
      Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
      La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)

      Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.

      Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...

      Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.

      La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !

      La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.

      Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !

      La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?

      Philippiens 1

      21 La mort est une grande perte pour l’homme charnel, ou pour celui qui « est du monde », car il perd tous ses agréments terrestres et tous ses espoirs ; mais pour le véritable croyant, elle est un gain, car elle met un terme à toute sa faiblesse et à sa misère. La mort délivre l’enfant de Dieu de tous les maux de la vie, et l'amène à posséder le bien le plus précieux.

      La difficulté de l'apôtre ne consistait pas à faire le choix entre la vie dans ce monde et celle du ciel : entre les deux, il n'y a en effet aucune comparaison ; mais Paul était tiraillé entre le fait de servir Christ en ce monde et celui de connaître la félicité éternelle dans le ciel. Les deux points de vue n'étaient pas mauvais, ce qui rendait le choix d’autant plus difficile : agir pour Christ ou demeurer avec Lui.

      Nous pouvons constater au passage, le pouvoir de la foi et de la Grâce divine ; cette dernière peut aller jusqu’à nous disposer à mourir, pour être avec le Seigneur.

      Ici-bas, nous sommes entourés par le péché ; quand nous serons avec Christ, nous échapperons au mal et à la tentation, au chagrin et à la mort, à jamais !

      Mais ceux qui désirent de tout leur cœur monter au ciel pour être face à face avec Christ, doivent toutefois être disposés à rester en ce monde aussi longtemps que Dieu a une tâche à leur confier. Plus ils percevront les bienfaits de Sa Providence, même inattendus, plus on pourra percevoir l’action divine en eux !

      Colossiens 3

      1 Timothée 5

      1

      Directives envers les anciens, les jeunes, et les femmes. (1 Timothée 5:1,2)
      Envers les veuves pauvres. (1 Timothée 5:3-8)
      Directives à propos des veuves. (1 Timothée 5:9-16)
      Le respect devant être dû aux anciens. Timothée doit être prudent lorsqu'il réprimande les pécheurs, lorsqu’il qu'il choisit des serviteurs de Dieu ; prudent également vis-à-vis de sa propre santé. (1 Timothée 5:17-25)

      Le poids des années et le rang engendrent le respect.

      Quand les plus jeunes sont pris en défaut, ils doivent être réprimandés, non pas pour les accabler, mais dans le but de les corriger.

      Quand on blâme ceux qui le méritent, il faut user de beaucoup de douceur et de précautions !

      2 Timothée 4

      Tite 1

      5 Le caractère et la qualité des pasteurs, appelés dans ce texte, « anciens et évêques », s’accordent avec ce que l'apôtre écrivait à Timothée.

      Les pasteurs étant de véritables « superviseurs du troupeau », doivent être astreints à une conduite exemplaire, étant en effet des intendants de Dieu, destinés à prendre soin des affaires de Sa « maison » ; ils doivent donc être absolument sans reproches. Les qualités qu’ils doivent avoir sont clairement annoncées dans ce texte : ils sont des serviteurs de Christ, et des ministres, capables d’enseigner la Parole et la mise en pratique de l'Évangile.

      L’apôtre dépeint ensuite l'esprit et la pratique que doivent posséder les responsables, le tout devant se traduire par de bonnes œuvres.

      Philémon 1

      1 Pierre 1

      1 Pierre 5

      1

      Les anciens sont exhortés et encouragés. (1 Pierre 5:1-4)
      Les jeunes chrétiens doivent se soumettre aux anciens et avec humilité et patience, à Dieu ; ils doivent rester sobres, vigilants, et fermes dans la foi. (1 Pierre 5:5-9)
      Prières pour leur croissance et leur affermissement. (1 Pierre 5:10-14)

      Dans ce texte, l'apôtre Pierre n'ordonne pas, mais il exhorte, il ne cherche pas à gouverner tous les dirigeants d’églises, ni ces dernières. Pierre, comme d’autres apôtres, fut particulièrement honoré d'avoir été témoin des souffrances de Christ ; les véritables chrétiens auront le privilège de participer à la gloire céleste qui sera révélée.

      Les pauvres chrétiens de l’époque, dispersés et souffrants, faisaient néanmoins partie du troupeau céleste, ils étaient rachetés pour Dieu par le grand Berger ; ils vivaient dans un amour saint et dans la communion fraternelle, selon la volonté divine. Ils sont également « héritiers » de Dieu ; ils sont mis à part, choisis, pour faire partie de Son propre peuple, pour bénéficier de Sa faveur et pour se consacrer à Son service.

      Christ est le Berger, le chef du troupeau et « l’héritage » entier de Dieu. Tous Ses fidèles serviteurs recevront une couronne de gloire, qui ne peut flétrir et infiniment plus précieuse et plus honorable que toute l'autorité, la richesse et les plaisirs de ce monde !

      1 Jean 3

      2 Jean 1

      1

      Cette deuxième épître est en quelque sorte un résumé de la première ; elle aborde en peu de termes, pratiquement les mêmes points.

      Dans ce texte, la « Dame élue » est citée en référence pour l'éducation vertueuse et religieuse donnée à ses enfants ; elle est exhortée à demeurer dans la doctrine de Christ, à persévérer dans la vérité, et à éviter avec soin les vains enseignements des faux docteurs. Mais l'apôtre l'implore avant tout, pour qu’elle pratique ces grands commandements, qui concernent l'amour et la charité chrétienne.

      * L'apôtre salue la Dame élue et ses enfants. (2 Jean 1:1-3) Il exprime sa joie, au vu de leur foi et leur amour. (2 Jean 1:4-6) Il les met en garde contre les faux docteurs. (2 Jean 1:7-11) Conclusion de l’épitre. (2 Jean 1:12,13)

      2 Jean 1:1-3 La piété permet d’offrir des compliments sincères, au moyen de véritables expressions de respect et d'amour. Celui qui sert le Seigneur depuis de nombreuses années est une personne honorable ; un responsable spirituel l'est encore plus.

      Cette deuxième lettre de l’apôtre est adressée à une mère respectable, d’origine chrétienne, et à ses enfants ; il est bon que l'Évangile soit également diffusé de cette manière, en étant adressé à de vénérables personnes.

      Les familles doivent être encouragées et exhortées à pratiquer leurs devoirs familiaux, dans l’amour. Ceux qui aiment la vérité et la piété doivent aimer constater ces mêmes sentiments chez les autres ; cette dame « Kyria, l’élue », était estimée non pas pour son rang, mais pour sa sainteté. Là où la piété demeure vraiment, elle y séjourne pour toujours !

      L'apôtre implore Dieu le Père et Son Fils, d'accorder la grâce, la faveur divine, la miséricorde, sources de toutes bénédictions. C'est en effet une grâce que toute bénédiction spirituelle puisse être accordée à des mortels coupables. Il en est ainsi pour la Miséricorde, la libre amnistie et le pardon céleste ; ceux qui sont déjà riches dans la Grâce, ont cependant besoin d'un pardon continuel.

      Quelle bénédiction en effet de vivre dans la paix, en toute tranquillité d'esprit, avec une conscience pure, étant réconciliés avec Dieu, dans la prospérité : tous ces éléments sont joints à la Vérité et à l’Amour de ce Dernier.

      4 Il est bon d'être formé de bonne heure à la piété ; les enfants sont des bien-aimés au sein d’une famille, quand leurs parents veillent sur eux avec soin.

      Ce fut une grande joie pour l'apôtre de pouvoir constater que ces enfants marchaient dans les pas de leurs parents, prêts à diffuser l'Évangile, à leur tour. Puisse Dieu vraiment bénir de telles familles et faire que beaucoup puissent imiter leur exemple. Qu’il est agréable de constater un tel contraste avec le grand nombre de parents qui, hélas, ont répandu le mépris de la piété, l'infidélité et le vice parmi leurs enfants !

      Notre « marche spirituelle » est droite et notre conversation authentique, lorsque nous nous conduisons conformément à l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Le commandement d'amour fraternel, parmi les chrétiens, peut être considéré comme « moderne », par rapport à ce qui était déclaré à l’origine, par Christ, notre Seigneur ; en fait, dans son fondement, c'est un principe biblique ancien. Cet amour est également bénéfique pour notre âme, lorsque nous obéissons aux commandements divins. La prévoyance de régression spirituelle, aussi bien que d'autres apostasies, ont poussé l'apôtre à exalter toujours et vivement l’amour.

      7 Les séducteurs et leurs manières d’opérer leurs tromperies, sont décrits dans ce texte : on constate dans les évangiles, leurs vaines démarches à l’encontre de la personne ou la fonction du Seigneur Jésus.

      Ces faux docteurs sont en fait des trompeurs, des séducteurs, et des antichrist ; ils trompent les âmes, et sapent la gloire et le royaume de Christ, notre Seigneur. Ne pensons pas qu'il soit étrange de nos jours, qu'il y ait de telles personnes, s’opposant au Nom de Christ et à Sa dignité : il y en avait déjà au temps des apôtres. Plus l’on rencontre de ces personnes, avec tout leur lot de supercheries, plus les enfants de Dieu doivent rester vigilants.

      Il est triste de constater que tout le merveilleux enseignement acquis dans les églises, à « l'école de Christ », puisse être perdu à jamais. Le moyen de gagner la pleine récompense spirituelle est de demeurer vraiment EN Christ et de rester fidèle et constant dans l’exercice de la piété, toute notre vie. Un attachement ferme à la vérité chrétienne nous unit à Christ, ainsi qu’au Père : Ils ne sont en effet tous deux, qu’une seule et même Personne.

      Nous devons nous détourner de ceux qui n’obéissent pas à la doctrine de Christ, de ceux qui transgressent Ses commandements. Toute personne qui n'enseigne pas et ne prêche pas cette doctrine de Christ, Le considérant comme le Fils de Dieu, et annonçant que le salut qu’Il offre, ôte la culpabilité et le péché, ne doit pas être prise en considération, ni même écoutée.

      Cependant, pour obéir aux commandements du Seigneur, sachons témoigner de la gentillesse et manifester un bon esprit envers ceux qui n’ont pas encore tout à fait les mêmes convictions spirituelles que nous, mais qui s'attachent fermement aux doctrines essentielles relatives à la Personne de Christ, en ce qui concerne l'expiation des péchés et le salut.

      12 L'apôtre Jean reporte de nombreux points qui seront traités lors d’un futur entretien avec certaines personnes.

      La plume et l'encre étaient utilisées à l’époque pour fortifier et réconforter les autres, mais le fait de voir directement les personnes était bien plus efficace ! La communion des saints doit être maintenue par tous les moyens ; elle doit tendre à la joie mutuelle.

      Dans la communion fraternelle, nous trouvons une grande part de notre joie présente, et nous pouvons en attendre toute félicité spirituelle éternelle !

      3 Jean 1

      1

      Cette épître est adressée à un païen récemment converti. Son objet est de lui recommander la fermeté dans la foi et l’hospitalité, spécialement envers ceux qui servent Christ.

      L'apôtre félicite Gaïus pour sa piété et son hospitalité. (3Jean 1:1-8)
      Il le met en garde contre Diotrèphe, loin d’être irréprochable ; mais il lui recommande de fréquenter Démétrius, un homme excellent. (3Jean 1:9-12)
      Il espère voir bientôt Gaïus. (3Jean 1:13,14)

      Les bien-aimés EN Christ doivent manifester de l’amour fraternel, au Nom du Seigneur.

      La prospérité de l'âme est la plus grande bénédiction ici-bas. La Grâce et la santé sont également de merveilleux attributs : une âme spirituellement riche peut résider dans un corps affaibli ou diminué ; la Grâce s’exerce alors en s’adaptant pleinement à une telle situation.

      Nous pouvons souhaiter et prier que ceux qui connaissent la prospérité spirituelle, puissent disposer d’une excellente santé ; que leur témoignage puisse véritablement « briller » !

      De nombreuses personnes aisées devraient méditer ces paroles de l'apôtre : prions avec ferveur que ces âmes puissent prospérer autant que leur santé et leur carrière ! Une foi véritable œuvre conjointement avec l’amour. Ceux qui sont bénis doivent en témoigner, non seulement devant l'église, mais aussi devant tous. Un homme bon se réjouira vraiment de la prospérité de son prochain ; il sera heureux d'entendre parler de la Grâce et des bénédictions des autres.

      Quelle joie pour de bons parents, de pouvoir constater que leurs enfants honorent leur profession de foi. Il en est de même pour les conducteurs constatant le bon témoignage de leurs enfants spirituels. Gaïus n'a fait aucune différence entre les chrétiens véritables qu’il fréquentait : il a aidé sans distinction tous ceux qui portaient « l'image » de Christ, et œuvraient pour Lui. C’était un homme droit, un serviteur assidu.

      Les âmes fidèles au Seigneur peuvent entendre leur entourage les féliciter, sans en tirer gloire : elles placent ces compliments en hommage au pied de la croix de Christ.

      Les chrétiens doivent d’abord considérer quel est leur devoir, mais aussi comment l’accomplir : ils doivent être capables de réaliser les tâches communes dans l’église, avec bonne volonté, dans la piété, servant ainsi le Seigneur, pour Sa gloire.

      Les personnes qui diffusent gratuitement l'Évangile de Christ doivent être aidées par ceux qui disposent de moyens que Dieu leur a donnés. Ceux qui ne peuvent pas directement proclamer l’Évangile doivent cependant recevoir, aider, et soutenir ceux qui le font !

      9 Il faut veiller à la fois sur notre cœur, comme sur nos paroles. Diotrèphe n’était animé que par la fierté et l'ambition.

      Il est regrettable de ne pas pratiquer le bien que l’on est censé faire ; il est encore pire de vouloir entraver ceux qui veulent le pratiquer !

      Les avertissements et les conseils donnés dans ce texte seront probablement acceptés plus facilement s'ils sont donnés avec amour.

      « Poursuivez » le bien, car celui qui le pratique et qui prend plaisir en cela, est né de Dieu. C'est en vain que ceux qui exercent le mal prétendent ou se glorifient de connaître Dieu. Ne cherchons pas à imiter l’orgueilleux, l’égoïste, celui qui a de mauvais desseins, bien que l’on puisse parfois, considérant leur rang ou leur pouvoir, chercher à suivre leur exemple ; soyons plutôt de bons serviteurs de Dieu, marchons dans l'amour, suivant l'exemple de notre Seigneur !

      13 Ce texte nous décrit le caractère de Démétrius.

      Avoir son nom dans l’Évangile, ou un bon témoignage dans les églises, est bien meilleur que tous les honneurs du monde. Il est rare de pouvoir constater une unanimité, relative à la conduite d’une personne ; ce n’est pas d’ailleurs toujours très profitable...

      Heureux ceux dont l'esprit et la conduite les recommandent devant Dieu et les hommes. Nous devons être prêts à leur exprimer notre faveur ; il est bon de se recommander mutuellement, en toute fraternité.

      Bien souvent, un face à face direct fait gagner du temps, évite les mauvaises interprétations et diverses méprises qui peuvent surgir des écrits ; de véritables chrétiens sont d’ailleurs toujours heureux de se rencontrer, pouvant s’accorder mutuellement cette bénédiction : « que la paix et le bonheur soient avec toi » !

      Ceux qui espèrent vivre ensemble dans le ciel peuvent se saluer et se congratuler mutuellement ici-bas. En imitant l'exemple des chrétiens mentionnés dans ce texte, nous aurons la paix au cœur, et vivrons en paix avec les frères ; nos échanges avec les enfants de Dieu, ici-bas, seront merveilleux et nous serons comptés avec eux dans la gloire éternelle !

      Apocalypse 1

      9 Il était réconfortant pour l'apôtre, de ne pas souffrir d'être incarcéré pour avoir mal agi, mais pour avoir témoigné de Jésus, le Christ, le Sauveur, Emmanuel ; le Saint Esprit, l’Esprit de Gloire, reposait sur cet apôtre persécuté.

      Le jour et l’heure, où jean eut cette vision était « le jour du Seigneur », à savoir, le sabbat chrétien, le premier jour de la semaine, observé en souvenir de la résurrection de Christ.

      Puissions-nous, alors que nous L'appelons « Notre Seigneur », l'honorer à l'occasion du jour qui Lui est consacré ! La nature de ce nom, (le jour du Seigneur) indique avec quelle solennité il doit être observé : ce jour doit en effet, Lui être totalement consacré, et aucune de ses heures ne doit être employée à jouir des vains plaisirs de ce monde, ou de certains loisirs douteux.

      L’apôtre se trouvait dans un cadre particulier : céleste et spirituel, sous l’influence, pleine de Grâce, de l'Esprit de Dieu.

      Ceux qui désirent bénéficier de la communion avec Dieu, au jour du Seigneur, doivent chercher à éloigner leurs pensées et leurs affections des attraits de ce monde. Si, en ce saint jour du Seigneur, les croyants ne peuvent, par nécessité et non par choix, jouir de la communion avec les saints, ils peuvent rechercher l’intimité et la communion avec l’Esprit Saint : ils entendront alors spirituellement la voix de leur bien-aimé Sauveur, en contemplant Sa Gloire, et aucun fait extérieur ne saurait perturber ces instants bénis.

      Le son d'une trompette stupéfia l'apôtre : il put alors entendre la voix de Christ !

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