Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

1 Timothée 4.8

car l'exercice corporel est utile à peu de chose, mais la piété est utile à toutes choses, ayant la promesse de la vie présente et de la vie qui est à venir.
For bodily exercise has some value, but godliness has value in all things, having the promise of the life which is now, and of that which is to come.

  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Deutéronome 28

      1

      Les bénédictions qui suivent l'obéissance. (Deutéronome 28:1-14)
      Les malédictions dues à la désobéissance. (Deutéronome 28:15-44)
      La ruine qu'encourt le peuple, s'il désobéit. (Deutéronome 28:45-68)

      Ce chapitre est un large exposé se concentrant sur deux mots : la bénédiction et la malédiction, deux entités aux effets bien manifestes ! Les bénédictions sont d'abord traitées.

      Dieu est lent à la colère et toujours prêt à manifester rapidement Sa miséricorde. Il aime bénir. Il est préférable, en ce qui nous concerne, que notre conduite soit animée par l'espérance de jouir de la faveur divine, plutôt que par la crainte de subir les effets de la colère du ciel.

      La bénédiction est promise aux enfants d'Israël, à condition qu'ils écoutent attentivement la voix de l'Éternel.

      Efforçons-nous donc de garder et de mettre en pratique tous les commandements de Dieu, sous toutes leurs formes, que ce soit au sein de notre famille, ou dans notre pays ; la Providence divine nous fera alors prospérer dans toutes nos entreprises !

      1 Samuel 15

      Job 5

      Job 22

      Psaumes 37

      Psaumes 50

      7 L'obéissance vaut mieux que le sacrifice et aimer Dieu et notre voisin est meilleur que toutes les vaines offrandes.

      Nous sommes ici mis en garde de ne pas nous satisfaire de ces simples actes. Et soyons attentifs à cela dans toutes nos pratiques. Dieu désire le cœur ; que peuvent faire les inventions humaines pour satisfaire le plaisir divin, quand la repentance, la foi et la sainteté sont négligées ? Au jour de la détresse, nous devons nous adresser au Seigneur par la prière fervente. Nos problèmes, bien que nous les voyions comme envoyés par la main divine, doivent nous conduire à Lui et non pas nous éloigner de Lui. Nous devons Le percevoir dans toutes nos voies, dépendre de Sa sagesse, de Sa puissance et de Sa bonté, en nous confiant entièrement en Lui et en Lui rendant ainsi toute la gloire.

      Nous devons rester en communion avec Dieu ; Le rencontrer par le moyen de la prière lors de l'épreuve comme au moment de la délivrance.

      La supplication du croyant aura non seulement une réponse pleine de grâce, mais de plus, bénéficiera de la bénédiction de pouvoir s'adresser à son Dieu.

      Psaumes 84

      Psaumes 91

      Psaumes 112

      1

      Les bénédictions apportées par le respect de la droiture.

      - Nous devons adorer le Seigneur pour le fait de voir dans le monde, des personnes qui Le craignent, qui Le servent et qui vivent Sa joie ; tout cela n'est que plénitude dans Sa grâce. Cette crainte n'est pas celle qui génère un sentiment de rejet mais celle qui offre un amour réceptif. Cette crainte découle de l'amour. L'offense provoque la crainte, une crainte mêlée de confiance. Le cœur touché par l'esprit divin, comme par une aiguille, se tourne directement et rapidement vers Dieu, tout en tremblant, rempli d'une crainte pleine de sainteté.

      Les bénédictions sont destinées aux fidèles et à leurs descendants ; de véritables richesses leur sont assurées, avec beaucoup de biens matériels. Dans les heures les plus sombres de l'affliction et de l'épreuve, la lumière de l'espérance et de la paix se verra sur leur visage et la peine passagère se transformera en joie. Suivant l'exemple du Seigneur, ils apprennent à être aimables et pleins de compassion, et ce, dans toutes les circonstance qu'ils rencontrent ; ils font preuve de discrétion, et de libéralité dans la pratique du bien. L'envie et la calomnie peuvent momentanément leur faire de l'ombre et cacher partiellement leur nature réelle, mais ils auront une reconnaissance éternelle auprès du Seigneur. Ils n'ont aucune crainte des assauts des vagues du mal.

      Un homme de bien est relativement stable. Il relève du devoir des véritables croyants de garder leur esprit fixé sur Dieu afin de conserver leur calme et d'éviter d'être déstabilisés ; Dieu leur a promis de les soutenir en toutes choses, dans Sa Grâce. Se confier dans le Seigneur est le meilleur moyen d'affermir son cœur.

      Le cœur de l'homme ne peut se satisfaire de rien, sinon de la vérité divine, là où il peut affermir ses pas. Et quant à ceux qui ont leur cœur affermi par la foi, ils patienteront jusqu'à obtention du but. Comparez tout cela avec la contrariété rencontrée par les pêcheurs : la joie des saints provoque l'envie chez le méchant. Le désir du méchant finira par s'estomper ; ce type de désir est totalement orienté vers le monde et la chair, donc ce qui, à terme, finit toujours par périr ; toute cette joie est vaine. Mais les bénédictions de l'évangile sont spirituelles et éternelles ; elles sont accordées aux membres de l'église de Christ, par Christ, la Tête, qui est aussi le Modèle de droiture et Celui qui délivre toute grâce.

      Psaumes 128

      1

      Les bénédictions de ceux qui craignent Dieu.

      - Seuls les saints sont réellement heureux. Il est vain de simuler une certaine crainte de Dieu si nous n'avons pas conscience de la droiture absolue qu'il faut avoir vis-à-vis de Ses préceptes. Béni soit celui qui craint le Seigneur, quelle que soit sa position ici-bas, riche ou pauvre. Si tu Le crains et si tu marches dans Ses voies, tout ira bien pour toi dans ce monde et tu auras la meilleure part dans l'éternité. Par la bénédiction divine, les hommes pieux disposent d'un gagne-pain honnête. Il y a ici une double promesse : ils auront une tâche à faire, car l'oisiveté, c'est la misère et le manque d'aisance ; de plus, ils auront force et santé, c'est-à-dire la volonté d'action. Ils ne profiteront pas du labeur des autres. C'est à la fois une grâce et un devoir, de pouvoir, en toute tranquillité, travailler et manger de son propre pain. Ils pourront jouir de leur gain. Cette crainte du Seigneur et ce cheminement dans Ses sentiers sont les seuls critères qui peuvent rendre une personne heureuse, quels que soient les aléas de la vie. Cela donne une vie familiale d'une richesse et d'une qualité incomparables.

      Ceux qui craignent Dieu auront toutes les bonnes choses promises par Dieu, ils jouiront des requêtes qu'ils auront faites dans leurs prières. Un homme pieux peut se réjouir en voyant ses petits enfants ; il en est de même pour la paix sur Israël.

      Chaque véritable croyant se réjouit de voir l'église prospérer. Plus tard, il verra encore de plus grandes choses, dans la paix éternelle et dans le repos que Dieu réserve à Israël.

      Psaumes 145

      Proverbes 3

      Proverbes 19

      Proverbes 22

      Ecclésiaste 8

      Esaïe 1

      16 Il faut non seulement ressentir du regret quant au péché commis, mais de plus, il faut en interrompre toute pratique. Nous devons réagir sur ce sujet, sans rester passifs !

      Il nous faut pratiquer le bien que le Seigneur, notre Dieu, exige. Il est évident que les sacrifices de la loi ne pouvaient pas réconcilier le peuple d'Israël avec Dieu, même pour ces crimes, commis en dehors du pays.

      Mais, béni soit Dieu, il existe une Fontaine d'eau vive disponible, (verset Esaïe 1:16)*, dans laquelle les pécheurs de tout âge et de tout rang peuvent être « lavés » ! Nos péchés sont comme l'écarlate et le cramoisi ; ce dernier est en effet un puissant colorant, agissant sur deux points : d'abord, de manière générale, sur la « laine » de la corruption originale, mais aussi sur chaque « fibre » particulière, de notre transgression réelle ; nous sommes hélas, souvent « immergés » dans le péché, soumis à nos mauvais penchants ; malgré tout, la Miséricorde divine lave en nous cette tache, Psaume 51:7.

      En suivant l'Éternel, les enfants d'Israël auraient pu bénéficier de tout bonheur et de toute bénédiction désirables. La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous. Oh! Seigneur, incite-nous tous à vivre pour Ta gloire !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 3

      10 Le décret divin était arrêté : quel que soit l'état d'Israël, en pleine prospérité ou dans l'épreuve, le juste devait connaitre la félicité, alors que le méchant devait subir la ruine.

      Béni soit Dieu, pour Ses nombreux encouragements adressés aux « justes », à Lui accorder leur confiance, et aux pécheurs, à se repentir et à se tourner vers Lui !

      Le temps était venu pour l'Éternel, de révéler Sa Toute Puissance. Il demandera un jour aux hommes, de rendre compte de toute la richesse et de la force qui leur ont été confiées, et de tous les abus auxquels ils se sont livrés. Si la non assistance aux pauvres et aux nécessiteux est déjà un péché, combien plus grave en sera-t-il pour ceux qui auront provoqué la pauvreté de leur prochain, pour ensuite, les opprimer !

      Esaïe 32

      Esaïe 33

      Esaïe 58

      3 Le jeûne est un exercice destiné à affliger l'âme ; s'il n'exprime aucune véritable peine à cause du péché, et ne favorise pas la volonté de s'écarter de ce dernier, il n'est pas authentique.

      Dans ce texte, ceux qui professaient avoir jeûné avaient bien manifesté leur peine. Mais néanmoins, ils étaient animés d'une certaine fierté, ce qui révélait leurs mauvaises passions. Être libéral et miséricordieux a plus de valeur aux yeux de Dieu que le jeûne, pratiqué vainement, dans l'hypocrisie. Beaucoup de personnes affichent une certaine humilité dans la « maison du Seigneur », alors qu'en réalité, ils sont durs dans leur foyer, harcelant leur famille. Mais la foi d'un homme n'a aucun bien-fondé, si elle n'est pas accompagnée par l'amour. Heureusement, certaines personnes, familles, voisins, églises, ou nations, manifestent une réelle repentance et une véritable peine à cause de leur péché, en pratiquant le jeûne de manière sincère, avec un cœur pur, et associé à de bonnes œuvres.

      Le joug pénible et l'oppression du péché doivent être ôtés. L'iniquité et l'épreuve « dessèchent les os » et finissent par affaiblir la constitution humaine la plus robuste ; inversement, la bonté et la charité renforcent et régénèrent le corps et l'esprit !

      Ceux qui pratiquent la justice et la miséricorde, trouveront tout le réconfort qui en découle ici-bas ! Les bonnes œuvres apporteront la bénédiction divine, si elles sont pratiquées avec amour, envers Dieu et envers l'homme, et si elles sont inculquées dans l'âme par l'Esprit-Saint.

      Esaïe 65

      Jérémie 6

      Amos 5

      Matthieu 5

      3 Notre Sauveur donne ici huit catégories de personnes, à même de recevoir des bénédictions ; ces dernières nous sont directement applicables, en tant que chrétiens.

      1. Heureux les « pauvres en esprit ». Ils adaptent leur mentalité à leur modeste condition. Ils sont humbles et vivent dans la simplicité. Ils connaissent leurs différents besoins, ils pleurent sur leur culpabilité, et ont « soif » d'un Rédempteur. Le Royaume de la Grâce est pour de telles personnes ; le Royaume de Gloire est pour eux !

      2. Heureux ceux qui pleurent. Il semble qu'il s'agisse ici d’un chagrin issu de la piété, celui qui produit la véritable repentance, la vigilance vis-à-vis du mal, un esprit contrit, une dépendance continuelle à la miséricorde de Dieu, en Jésus-Christ, avec une recherche constante du Saint-Esprit, et de la sanctification. Le ciel est la joie de notre Seigneur ; une montagne de joie, vers laquelle nous conduit notre chemin à travers une vallée de larmes. Ceux qui sont ainsi affligés seront consolés par « leur » Dieu !

      3. Heureux ceux qui sont pleins de douceur. Les doux, les débonnaires, sont ceux qui se soumettent en toute quiétude à Dieu ; ils peuvent supporter l'insulte : ils restent silencieux, ou répliquent par une réponse pleine de douceur ; ils savent, dans leur patience, garder leur âme, alors qu’ils ne savent garder d’autres choses qu’avec peine. Ces débonnaires sont heureux, même ici-bas. La douceur de caractère amène la richesse, le réconfort, et la sécurité, même en ce monde !

      4. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice. Le terme « justice » concerne ici toutes les bénédictions spirituelles. Celles-ci sont acquises pour nous, par la Justice de Christ, confirmées par la fidélité de Dieu. Nos désirs de bénédictions spirituelles doivent être fervents. Bien que tous les désirs d’obtention de la Grâce ne soient pas perçu en tant que tels par le « monde », ils permettent de voir la Gloire de Dieu, car Il ne nous abandonnera pas, nous qui sommes l'œuvre de Ses propres mains !

      5. Heureux les miséricordieux. Nous devons non seulement supporter patiemment nos propres afflictions, mais nous devons aussi faire tout notre possible pour aider ceux qui sont dans la misère. Nous devons avoir compassion pour les âmes de ceux qui nous entourent, nous devons les aider ; nous devons éprouver de la pitié envers ceux qui pratiquent le péché, et chercher à les extirper de ce « feu dévorant ».

      6. Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. La sainteté et le bonheur sont ici mentionnés : ils forment un tout. Le cœur doit être purifié par la foi, et consacré à Dieu : « crée en moi un tel cœur pur, ô Dieu ». Nul, s’il n’est pas pur, n'est capable de discerner Dieu, et le ciel ne peut être le lieu de félicité des impurs. Dieu ne pouvant pas supporter l’iniquité des hommes, ces derniers sont incapables de voir Sa pureté.

      7. Heureux ceux qui procurent la paix. Ils l’aiment, ils la désirent, et se plaisent en elle ; ils recherchent la tranquillité. Ils gardent la paix lorsqu'elle n'est pas brisée, et travaillent à son rétablissement lorsqu'elle est rompue. Si ces « pacificateurs » sont bénis, malheur à ceux qui la rompent !

      8. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice. Cette parole est propre au Christianisme : elle est particulièrement soulignée, plus que le reste du texte. Malgré tout, rien dans nos souffrances ne nous permet de mériter quoi que ce soit, de la part de Dieu ; mais ce Dernier pourvoira de Sa Grâce, ceux qui perdent tout pour Lui, même leur vie ; en fin de compte, Il ne les délaissera jamais !

      Béni soit Jésus ! Combien ces enseignements sont différents de ceux des hommes, qui profèrent que l'orgueilleux est heureux et qui admirent celui qui est gai, riche, puissant, et victorieux. Puissions-nous trouver la Miséricorde auprès du Seigneur ; puissions-nous être considérés comme Ses enfants, héritiers de Son Royaume. Armés de ces joies et de cette espérance, nous pouvons affronter en toute sérénité les circonstances les plus douloureuses de l’existence !

      Matthieu 6

      Matthieu 19

      Marc 10

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.