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2 Corinthiens 11.29

En effet, qui vient à faiblir sans que j’en sois malade ? Qui fait une chute sans que j’en aie de la fièvre ?
Qui est faible, que je ne sois faible ? Qui vient à tomber, que je ne brûle ?
En effet, qui est faible sans que je sois faible ? Qui tombe sans que cela me brûle ?
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    • Nombres 25

      6 Phinées, animé d'un grand courage et d'une foi zélée, exécuta la vengeance divine sur Zimri et Cozbi. Cet acte ne doit toutefois pas servir d'exemple ni nous inciter à nous venger personnellement ou au nom d'une communauté ; suite à cette lecture, ne soyons pas tentés de commettre des persécutions religieuses.

      Esdras 9

      1

      Esdras est attristé par la conduite des Juifs. (Esdras 9:1-4)
      Esdras confesse ses péchés, comme ceux des Juifs. (Esdras 9:5-15)

      Les excès de corruptions finissent par masquer toute perspective de retour vers une bonne conduite.

      Une partie du peuple juif désobéit à l'ordre divin impératif, interdisant tout mariage avec les païens, \\#De 7:1-26\\. Notre manque de confiance parfaite en Dieu, est à la base de toutes les déviations vers lesquelles nous nous laissons dériver. Les Juifs s'exposèrent, eux et leurs enfants, au péril de l'idolâtrie, ce fléau qui fut à l'origine de la ruine du temple et de leur nation.

      Les mauvais conseillers, ceux qui suivent les principes de ce monde, ne font que minimiser les inconvénients de la désobéissance à Dieu, et tentent toujours de rejeter les exhortations à s'éloigner du mal ; mais ceux qui connaissent bien la Parole de Dieu, traiteront le sujet de l'obéissance différemment ! Ils sont tout à fait aptes à pressentir les dangers, quand ils se risquent à emprunter de mauvaises voies.

      Les mauvaises excuses, même celles qui paraissent plausibles aux yeux de tous, ne laissent jamais indifférents les croyants véritables. Tous ceux qui disent être enfants de Dieu, devraient encourager ceux qui tentent de lutter contre le vice et l'impiété !

      Néhémie 5

      6 Néhémie savait que même s'il construisait les murs de Jérusalem d'une si grande hauteur, d'une si grande épaisseur, et d'une si grande solidité, la ville ne pouvait néanmoins être en sûreté tant qu'il subsisterait des abus parmi le peuple. La meilleure manière de réformer la vie des hommes, est de les convaincre de leur mauvaise conscience.

      Si vous marchez dans la crainte de Dieu, vous ne serez pas avide des gains de ce monde, ni cruel envers vos frères. Rien n'expose davantage la piété au reproche, que l'amour du monde et la dureté de cœur de ceux qui professent appartenir à Christ. Ceux qui exigent à tout prix faire valoir leur idée, finissent par persuader les autres d'abandonner leur voie. Quand on cherche à raisonner des personnes égoïstes, il est bon de comparer leur conduite à celle des autres, qui sont plus généreux ; mais le meilleur exemple à suivre est celui de Jésus, qui bien qu'étant « riche », par amour pour nous, est devenu « pauvre », et qui par Sa pauvreté, nous enrichit, 2Corinthiens 8:9.

      Les enfants d'Israël se conformèrent à leur promesse. Les bonnes résolutions sont d'excellentes choses, mais leur mise à exécution est encore meilleure !

      Néhémie 13

      15 Le respect du « jour du Seigneur » était pour les Juifs, un fait important, dans leur désir de rétablissement de la véritable piété. Cette dernière ne pouvait en fait prospérer, tant que les sabbats étaient profanés. Il n'est pas étonnant qu'un tel recul général de la dévotion, ait pu être observé en Israël, avec toute la corruption qui pouvait en découler parmi les juifs, par leur abandon du sanctuaire et ce non respect du sabbat. Il ne faut pas en effet sous-estimer le mal commis par cette profanation du « septième jour » de la semaine.

      Nous devrons répondre des péchés que d'autres ont pu commettre, en suivant notre exemple. Néhémie reprocha cette attitude, aux Juifs, soulignant qu'il s'agissait d'un véritable mépris de Dieu et du devenir de leur âme. Le prophète rappela que ce non-respect du jour du Seigneur était l'un des péchés sur lequel Dieu avait apporté Ses jugements à l'encontre du peuple d'Israël ; si ce dernier ne prenait pas l'avertissement au sérieux, en continuant à pécher de la sorte, il était en droit de s'attendre à d'autres châtiments célestes. Dans tous ces faits, le courage, l'ardeur, et la prudence de Néhémie, ont été consignés dans la Parole, afin de nous servir d'exemple ; nous avons de bonnes raisons de penser, que ces avertissements, adressés au peuple Juif, furent respectés pendant un temps assez long.

      Celui qui admet n'être qu'un pécheur, ne demandant à Dieu rien d'autre que l'application de Sa justice, est tout à fait en mesure d'implorer Sa Miséricorde !

      23 Dans une famille, si l'un des parents est incrédule, sa nature corrompue incitera ses enfants à suivre cette voie ; c'est une des raisons valables qui devrait faire éviter ce genre de situation aux chrétiens désireux de fonder un foyer.

      Dans l'éducation des enfants, le choix de leur langue doit être fait avec un soin tout particulier, tout comme celui de ceux, dans ce texte, qui ne devaient pas apprendre la langue d'Ashdod ni s'exprimer par des paroles impies, impures ou pleines de corruption. Néhémie a dénoncé le mauvais côté de ces mariages.

      Il a frappé certains Juifs, plus obstinés que les autres : il a commandé qu'ils soient battus par les officiers, conformément à la loi, \\#De 25:2,3\\. Voici donc l'objet des prières de Néhémie, relatives aux problèmes mentionnés dans ce texte. Il s'adressa à Dieu en ces termes : « souviens-toi d'eux, Ô mon Dieu ». Seigneur, fais qu'ils soient convaincus et qu'ils se convertissent ; inculque-leur leur devoir. Étant donné que tous les services devant être effectués par le peuple juif ont été délaissés, Néhémie s'est référé à Dieu, pour qu'Il remette les choses en ordre. Ceci devrait nous servir d'exemple dans nos requêtes : nous n'avons besoin de rien de plus pour nous rendre heureux ; « souviens-toi favorablement de moi, Ô mon Dieu » ! Nous pouvons humblement espérer que le Seigneur se souvienne de nous et de nos services, bien qu'à la fin de notre vie, où parfois l'inactivité et l'inutilité ont régné, nous puissions nous repentir dans « la poussière et la cendre », en nous écriant, comme Néhémie : « épargne-moi, Ô mon Dieu, selon Ta grande miséricorde ».

      Jean 2

      Romains 12

      Romains 15

      1

      Directives pour bien se comporter envers le faible. (Romains 15:1-7)
      Tous doivent se recevoir comme des frères. (Romains 15:8-13)
      Les écrits et la prédication de l'apôtre. (Romains 15:14-21)
      Ses projets de voyage. (Romains 15:22-29)
      Il réclame les prières des frères. (Romains 15:30-33)

      La liberté chrétienne a été instaurée par le Seigneur, non pour notre plaisir, mais pour la Gloire de Dieu, et le bien de tous.

      Nous devons contenter notre prochain, pour le bien de son âme, en évitant de servir ses mauvais desseins éventuels, sans le suivre dans un chemin douteux ; si nous cherchons à plaire aux hommes, en suivant leurs mauvaises voies, nous ne sommes pas de bons serviteurs de Christ. La vie entière de ce Dernier était un reniement de soi, une vie consacrée aux autres. Le chrétien le plus mature est celui qui se conforme le plus à Christ. Étant données Sa pureté sans tache et Sa sainteté, rien n’était plus terrible pour Lui, que d'être « fait péché et malédiction » pour nous, de se voir abandonné par Dieu, à la croix ; Il a été le Juste pour les injustes. Jésus a porté la culpabilité et la malédiction du péché ; nous pouvons difficilement ressentir la portée d’une telle souffrance. À la croix, le Seigneur a porté l’orgueil et les péchés des méchants, alors que nous ne sommes appelés qu’à porter les défaillances des faibles.

      Pourquoi ne resterions-nous pas humbles, enclins au reniement de nous-mêmes, prêts à nous considérer l'un l'autre, nous qui partageons la même fraternité ? Les Écritures ont été rédigées pour notre enseignement et notre bien, autant que pour ceux qui ont d'abord besoin de connaître le salut.

      Les plus instruits sont ceux qui connaissent le mieux les Écritures. Le réconfort qui jaillit de la Parole de Dieu est des plus sûr, des plus doux, il représente le plus ferme appui de l'espérance spirituelle. L'Esprit, le Consolateur, est le gage de notre héritage. Notre état d'esprit doit être conforme aux préceptes de Christ, à Son modèle et Son exemple. Christ le don de Dieu : Il représente un don précieux, que nous devons rechercher avec ferveur !

      Notre Maître Divin invite Ses disciples à Le suivre, Il les encourage, témoignant de Son humilité et de Sa douceur d'esprit. Une même conduite doit animer Ses serviteurs, vis-à-vis du fort, comme du faible.

      Le but suprême de tous nos actes doit être la Gloire de Dieu ; rien ne peut mieux y concourir que l'amour fraternel et la bonté de ceux qui professent la piété. Ceux qui s'accordent en Christ doivent manifester leur fraternité mutuelle !

      1 Corinthiens 5

      1

      L'apôtre blâme les Corinthiens pour leur connivence avec une personne incestueuse ; (1 Corinthiens 5:1-8)
      il leur enseigne à bien se conduire, envers ceux qui sont coupables de crimes scandaleux. (1 Corinthiens 5:9-13)

      Dans ce texte, l'apôtre dénote un péché relativement grave et flagrant chez les Corinthiens, ce qui ne semblait pas les sensibiliser outre mesure. Ces derniers étaient charnels et arrogants, sans réelle notion de la véritable liberté chrétienne.

      Il est en effet bien triste de constater que des infamies sont parfois commises par des personnes professant l'Évangile, infamies qui feraient rougir de honte, même des païens...

      L’orgueil spirituel et l’enseignement de fausses doctrines sont souvent à l’origine de tels scandales.

      Que les conséquences du péché sont funestes ! Le diable « règne », là où Christ est absent du cœur : quand un homme n’est pas « en » Christ, il erre dans le domaine de l’ennemi et reste ainsi sous son pouvoir. Le mauvais exemple d'un homme influent est vraiment redoutable ; les dégâts qu’il peut occasionner, en un tel cas, peuvent être considérables. Quand les mauvais exemples, (la corruption), ne sont pas rapidement corrigés au sein de l’église, ils occasionnent de sérieux dommages...

      Tous les croyants possèdent un cœur régénéré et doivent en conséquence, mener une « nouvelle vie ». Leurs conversations et tous leurs actes doivent être saints.

      Le sacrifice de Christ, notre « Pâque », revêt tant d’importance pour nous, qu'Il doit rendre inutile toute prétention personnelle de sainteté, rendant cette dernière vraiment manifeste, dans notre conduite. Sans cette sainteté, nous ne pouvons ni vivre en Christ, par la foi, ni nous joindre à Lui, pour bénéficier de Sa paix, dans le respect de Ses ordonnances.

      1 Corinthiens 6

      1 Corinthiens 8

      1 Corinthiens 9

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 12

      1 Corinthiens 15

      12 Ayant montré que Christ est ressuscité, l'apôtre répond maintenant à ceux qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de résurrection.

      Il n'y aurait pas eu de justification, ni de salut, si Christ n'était pas ressuscité. La foi en Christ ne serait-elle pas vaine et sans utilité, s'Il était encore parmi les morts ? La résurrection de notre Seigneur se prouve par celle de Son corps. Même ceux qui sont morts dans la foi, auraient péri dans leurs péchés, si Christ n'était pas ressuscité. Tous ceux qui croient en Christ placent leur espérance en Lui, Le Rédempteur, espérance basée sur Sa rédemption et le salut qu’Il offre ; s'il n'y avait pas eu de résurrection, ni de certitude de la vie éternelle, leur confiance en Lui n’aurait été limitée que pour la vie ici-bas. Un tel état d’âme devrait être la pire des conditions en ce monde, pire que les fléaux de l'humanité, en particulier au temps des apôtres, avec tout le contexte philosophique qui les entourait : les chrétiens étaient alors détestés et persécutés.

      Mais tel n’est pas le cas : les chrétiens, ici-bas, reçoivent un solide réconfort spirituel, même lors de leurs difficultés et de leurs épreuves, même au temps de la persécution la plus virulente...

      20 Tous ceux, qui par la foi, sont unis à Christ, sont assurés par Sa résurrection, de l’authenticité de la leur. Comme par le péché du « premier Adam », tous les hommes devinrent « mortels », ayant tous reçu de lui la même nature coupable, au travers de la résurrection de Christ, tous ceux qui sont rendus « participants de l'Esprit », et de la nature spirituelle, ressusciteront, et vivront éternellement !

      Il y a un ordre dans le déroulement des différentes résurrections : Christ Lui-même en a été « les prémices » ; lors de Sa venue, Son peuple racheté sera élevé avant les autres ; à la fin, les méchants seront aussi enlevés. Puis viendra la fin de la présente dispensation.

      Si nous voulons triompher lors de ce moment solennel et si important, nous devons maintenant nous soumettre à l’ordonnance de Christ : accepter Son salut, et vivre à Sa gloire. Nous nous réjouirons alors, dans l'achèvement de Son œuvre, pour que Dieu puisse recevoir la gloire entière de notre salut, afin que nous puissions le servir à jamais et jouir de Sa faveur.

      Que feront ceux qui sont « baptisés pour les morts », si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Le baptême est peut-être utilisé ici à titre d’allégorie, pour les afflictions, les souffrances, et le martyr, comme dans Matthieu 20:22,23 ?

      Qu'en est-il, ou qu'adviendra-t-il de ceux qui ont subi de grandes et nombreuses blessures, et qui ont même perdu leur vie pour cette doctrine de la résurrection, si les morts ne ressuscitent absolument pas ? Quelle qu’en soit la signification, il ne fait aucun doute que le raisonnement de l'apôtre a été compris par les Corinthiens.

      Il est aussi clair pour nous, que le christianisme serait une folie, s'il ne nous proposait aucune espérance pour l’au-delà, particulièrement au temps des persécutions et des épreuves des premiers chrétiens, et souvent plus tard.

      Il est évident que la chrétienté serait une folie, si les chrétiens pouvaient tirer des avantages qui soient proportionnels à leur fidélité à Dieu, ou comme fruit de la sainteté, la vie éternelle...

      Nous ne devons pas vivre comme les animaux : nous connaîtrons une autre existence, dans l’au delà. Le fait d'être conduit à refuser de croire à la résurrection et à la vie future, ne peut être qu'une ignorance de l’enseignement de la Parole de Dieu.

      Ceux qui « cheminent » avec Dieu et Sa Providence, observant toutes les inégalités de la vie présente, et la dépravation des hommes, même ceux qui, parfois, sont les mieux considérés, ne peuvent douter d'une vie future, où chaque élément sera remis à sa juste place.

      Ne nous joignons pas aux impies ; mettons en garde ceux qui nous entourent, en particulier les jeunes, conseillons leurs fermement de les fuir comme la peste. Aspirons à la justice et non au péché...

      2 Corinthiens 2

      5 L'apôtre désirait que les Corinthiens reçoivent la personne qui avait semé le trouble, lors de leur communion fraternelle ; Paul était au courant de cette faute, et était affligé par le constat de la punition qui en avait découlé.

      La tristesse engendrée par le péché ne devrait pas nous rendre inaptes à l’accomplissement de nos devoirs, et nous conduire ainsi dans le défaitisme.

      Les Corinthiens couraient le risque, (Satan en tirant tout avantage), de décourager désespérément cet homme, en le soumettant aux jugements sévères de la religion ; cette dure réprimande risquait également de porter un préjudice au témoignage des églises et des serviteurs de Dieu, provoquant un rapport néfaste sur les chrétiens de l’époque : on risquait de les juger impitoyables, ce qui ne pouvait que provoquer des divisions, et entraver la réussite de leur ministère spirituel.

      En cela, comme dans d'autres domaines, toute sagesse et discernement doivent être observés, afin que l’attitude des dirigeants ne puisse être blâmée pour avoir d'une part, favorisé le péché, ou d’autre part, été trop sévère envers les pécheurs.

      Satan dispose de nombreux plans pour nous tromper, il sait comment agir pour nous faire chuter, lors de nos erreurs...

      2 Corinthiens 7

      5 Il y avait à l’époque, des rivalités, de l'opposition et des luttes continuelles entre Juifs et païens ; on pouvait trouver également des craintes et de grandes inquiétudes chez ceux qui avaient embrassé la foi chrétienne, mais Dieu console ceux qui sont tombés.

      Nous devrions sans cesse tenter, par tous les moyens de nous rapprocher de Dieu, l'Auteur de toute consolation et de bonté. La souffrance tolérée par Dieu, tendant à Sa Gloire, et forgée par Son Esprit, rend le cœur humble, contrit, soumis, disposé à éliminer chaque péché, et à marcher en nouveauté de vie. Ce repentir est associé au salut, par la foi en Christ, et par Son expiation du péché.

      Il y a une grande différence entre la souffrance que peuvent éprouver les hommes pieux, et celle de ce monde. Les fruits du véritable repentir sont mentionnés dans ce texte. Le changement d’un cœur transformé spirituellement se traduit par une nouveauté de vie : les perspectives ici-bas seront alors totalement différentes !

      Toutes ces pensées forgent notre indignation vis à vis du péché, du tentateur et de ses serviteurs. Cela attise notre vigilance contre toute tolérance à l’iniquité, et nous incite à la prudence vis à vis de cette dernière. Cela forge le désir d'être réconcilié avec Dieu, ainsi que notre zèle pour accomplir notre devoir. Cela nous incite à combattre le péché et sa folie, étant réellement convaincu des graves blessures qu'il peut occasionner.

      L'humilité profonde devant Dieu, la haine de tout péché, la foi en Christ, un cœur nouveau et une nouvelle vie, provoquent le repentir à salut. Puisse le Seigneur l'accorder à chacun de nous !

      2 Corinthiens 11

      2 Corinthiens 13

      Galates 1

      10 En prêchant l'Évangile, l'apôtre cherchait à amener des personnes à l'obéissance, non envers les hommes, mais envers Dieu. Paul n'a pas tenté de changer la doctrine de Christ, ni de gagner la faveur des hommes ; il n’a pas cherché à esquiver la colère de ces derniers.

      Dans ce ministère si important (la diffusion de l’Évangile), nous ne devons pas craindre les désapprobations éventuelles des hommes, ni d'ailleurs chercher leur faveur : nous devons énoncer notre message avec sagesse.

      L’apôtre a reçu la doctrine de l'Évangile par révélation céleste. Il ne s’est pas tourné vers le christianisme, comme beaucoup, simplement par son éducation.

      Galates 2

      Galates 3

      1

      Les Galates sont blâmés par l’apôtre, pour s'être écartés de la grande doctrine de la seule justification par la foi en Christ. (Galates 3:1-5)
      Cette doctrine est établie par l'exemple d'Abraham. (Galates 3:6-9)
      La teneur de la loi et la sévérité de sa malédiction. (Galates 3:10-14)
      L'alliance des promesses, que la loi ne pouvait annuler. (Galates 3:15-18)
      La loi enseignait les Galates, pour les amener ensuite à Christ. (Galates 3:19-25)
      Sous la dispensation de l'Évangile, les véritables croyants sont « un », en Christ. (Galates 3:26-29)

      Plusieurs éléments aggravèrent la folie des chrétiens des Galates. Ils avaient reçu la doctrine de la croix, qui leur avait été prêchée auparavant, ainsi que l’ordonnance du repas du Seigneur ; ils avaient également reçu l’enseignement de « Christ crucifié », et la nature de Ses souffrances leur avait été complètement et clairement exposée. Avaient-ils pour autant été rendus participants du Saint-Esprit par le ministère de la loi, ou par leurs œuvres réalisées en obéissant à cette dernière ? N'était-ce pas parce qu'ils avaient entendu et accepté la doctrine de la foi, en Christ uniquement, pour leur justification ? Comment Dieu pouvait-Il accepter ces âmes, face à toutes ces « dérives » ? Seule la justification en Christ est efficace !

      Les Galates étaient en fait très imprudents de s’être ainsi détournés du ministère et de la doctrine qu’ils avaient reçue, alors qu'ils auraient pu être vraiment bénis spirituellement...

      Hélas, il est triste de constater que certaines personnes peuvent ainsi se détourner de la doctrine si importante de « Christ crucifié », pour suivre des discours inutiles, de vaines prédications, ou des fantaisies de tout genre ! Le prince de ce monde (Satan), par divers moyens et diverses personnes, aveugle les hommes, de peur qu'ils placent leur confiance dans le Sauveur crucifié.

      Nous pouvons parfois nous demander où les fruits du Saint-Esprit sont encore le plus manifeste : est-ce parmi ceux qui prêchent la justification par les œuvres de la loi, ou ceux qui prêchent la doctrine de la foi ? Assurément, c'est parmi ces derniers !

      Galates 4

      8 L’heureux changement, par lequel les Galates ont été détournés des idoles, pour se diriger vers le Dieu vivant, avec leur adoption en tant que fils, au travers de Christ, résultait de l'effet de la Grâce, merveilleuse et totalement gratuite ; après avoir été avertis par Paul, ils furent mis dans l'obligation la plus grande, de veiller à la liberté à laquelle ils avaient accédé.

      Toute notre connaissance de Dieu est subordonnée à Sa Volonté ; nous Le connaissons parce, d’abord, Il nous connaît ! Bien que notre religion interdise l'idolâtrie, beaucoup de personnes, malgré tout, pratiquent un certain paganisme dans leur cœur. Ce qu'un homme aime le plus et entoure avec des plus grands soins, représente son dieu : pour certains c’est leur richesse, pour d’autres ce sont leurs différents plaisirs, voire leurs convoitises...

      Beaucoup adorent, par ignorance, un dieu de leur « propre fabrication », un dieu uniquement miséricordieux, mais qui ne juge pas. Ils veulent se persuader qu'il y a une miséricorde divine à leur disposition, bien qu'ils ne se repentent pas, et continuent à pratiquer leurs péchés.

      Il arrive que ceux qui ont fait de grandes professions de religion, arrivent parfois à s'écarter de la pureté et de la simplicité. Plus le Seigneur leur a témoigné Sa Miséricorde, en les amenant à connaître l'Évangile, avec les libertés et les privilèges qui en découlent, plus ils sombrent dans leur erreur, en continuant à pratiquer leurs péchés, risquant ainsi d’être privés de toute bénédiction spirituelle.

      Ainsi, tous ceux qui sont membres d'une église, doivent veiller et s’examiner eux-mêmes. Nous ne devons pas nous flatter du fait que nous avons un don, disponible pour la communauté. Paul craignait d'avoir travaillé inutilement pour les Galates, cependant il continua son œuvre dans cette assemblée ; cette attitude, quelles qu'en soient les conséquences, représente la véritable sagesse et la crainte de Dieu.

      Tout homme devrait suivre cet exemple, là où Dieu l’a placé.

      12 L'apôtre désirait que les Galates soient d'un même esprit avec lui, en ce qui concerne la loi de Moïse ; il souhaitait aussi qu’ils soient unis avec lui, dans l'amour.

      Tout en blâmant les autres, nous devons cependant prendre soin de les convaincre que nos reproches sont sincères, dans le but d’honorer Dieu et la piété, afin qu’ils soient dans une bonne « santé spirituelle ».

      L'apôtre rappelle aux Galates les difficultés qu’il avait rencontrées lors de sa première venue chez eux. Il souligne toutefois qu'il avait alors été le bienvenu dans leur assemblée.

      L’acceptation et le respect des hommes à l’égard d’un visiteur sont parfois bien incertains ! Travaillons pour être acceptés de Dieu ! Vous pensiez jadis être heureux de recevoir l'Évangile ; y a-t-il maintenant d'autres raisons de penser différemment ? Les chrétiens ne doivent pas s'abstenir d’annoncer la vérité, même s’ils risquent d'offenser les autres.

      Les faux docteurs qui entrainèrent les Galates loin de la vérité de l'Évangile, étaient des hommes intrigants. Ils prétendaient éprouver pour eux de l’affection, mais en fait, ils n’étaient ni sincères, ni droits.

      Une excellente règle est donnée dans ce texte : il est bien d’être toujours zélé pour une bonne cause ; non pas pour un temps, ou épisodiquement, mais en permanence. Il serait heureux pour l'église, que ce zèle soit permanent !

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