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Ils vivent des sacrifices offerts par mon peuple coupable. Ils n’ont donc qu’un désir : que mon peuple se rende coupable.
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« Tu dois revenir à moi, ton Dieu. Pratique la bonté et respecte le droit. Ne cesse jamais de compter sur moi, ton Dieu. »
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« Comme les commerçants cananéens, Éfraïm, tu tiens à la main une balance faussée. Tu aimes frauder,
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Quand ses maîtres virent disparaître tout espoir de gagner de l’argent grâce à elle, ils saisirent Paul et Silas et les traînèrent sur la place publique devant les autorités.
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Il réunit ces derniers, ainsi que ceux qui avaient un métier semblable, et leur dit : « Messieurs, vous savez que notre prospérité est due à ce travail.
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Par amour du gain, ces faux enseignants vous exploiteront au moyen de raisonnements trompeurs. Mais depuis longtemps déjà, leur condamnation est prête et leur ruine ne se fera pas attendre !
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Toutes les nations ont bu le vin de sa furieuse immoralité. Les rois de la terre se sont livrés à l’immoralité avec elle et les marchands de la terre se sont enrichis de son luxe démesuré. »
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Les marchands de la terre pleurent aussi et se lamentent à son sujet, parce que personne n’achète plus leurs marchandises :
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or, argent, pierres précieuses et perles ; fines toiles de lin, précieuses étoffes rouges et écarlates, soie ; toute sorte de bois rares, toute espèce d’objets en ivoire, bois précieux, bronze, fer ou marbre ;
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cannelle et autres épices, parfums, myrrhe et encens ; vin, huile, farine et blé ; bœufs et moutons, chevaux et chars, esclaves et même vies humaines.
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« Ah ! dit-on, tous les produits que tu désirais ont disparu de chez toi, toutes tes richesses et ton luxe sont perdus pour toi, et on ne les retrouvera plus jamais ! »
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Les marchands qui se sont enrichis en faisant du commerce dans cette ville, se tiendront à bonne distance par peur du châtiment qui est le sien. Ils pleureront et se lamenteront ;
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ils diront : « Malheur ! Quel malheur pour la grande ville ! Elle était vêtue d’un fin tissu de lin, de précieuses étoffes rouges et écarlates, elle était chargée de bijoux d’or, de pierres précieuses et de perles.
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Et une seule heure a suffi pour que disparaisse toute cette richesse ! » Tous les capitaines de navires et leurs passagers, les marins et tous ceux qui gagnent leur vie sur la mer, se tenaient à bonne distance
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et s’écriaient en voyant la fumée de la ville incendiée : « Il n’y a jamais eu de ville aussi grande que celle-ci ! »
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Ils se jetaient de la poussière sur la tête, ils pleuraient, se lamentaient et criaient : « Malheur ! Quel malheur pour la grande ville ! C’est de sa richesse que s’enrichissaient tous ceux qui ont des navires sur la mer. Et une seule heure a suffi pour que tout cela disparaisse ! »
Le temple de Diane à Ephèse, célèbre dans tout l'Orient, construit sur les ruines de celui qu'Erostrate avait incendié en 356 avant J.-C., était considéré comme l'une des sept merveilles du monde.
On y rendait à Diane (grec Artémis) un culte célébré par de grandes fêtes populaires qui attiraient de toute l'Asie Mineure des foules immenses. Chez les Grecs, Artémis, sœur d'Apollon, était la déesse de la virginité.
Mais, sous l'influence du culte phénicien d'Astarté, elle en était venue en Asie Mineure à représenter la force productive de la nature ; on la nommait "la mère de tous."
L'orfèvre Démétrius faisait du temple de Diane de petits modèles d'argent que les adorateurs de cette divinité emportaient avec eux comme amulettes ou qu'ils consacraient à la déesse comme offrandes.
Cette industrie était la source d'un grand profit pour les artistes et les ouvriers qu'elle occupait. Le texte fait une distinction entre les artisans ou artistes et les ouvriers : les premiers appartenaient sans doute à une catégorie supérieure.
Démétrius, frappé de la diminution de son gain par l'effet des progrès de l'Evangile, assembla tous les ouvriers du même métier (grec ouvriers touchant de telles choses) et leur adressa le discours que Luc rapporte ici. L'orateur populaire a la bonne foi de leur présenter, comme premier argument, la perte considérable qu'ils subissaient les uns et les autres ; puis, en seconde ligne, il en appelle à ce motif religieux : la déconsidération qui en résultait pour la déesse.