Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Actes 9.11

Et le Seigneur lui dit : Lève-toi, va dans la rue appelée la droite, et cherche, dans la maison de Judas, un nommé Saul de Tarse.
The Lord said to him, "Arise, and go to the street which is called Straight, and inquire in the house of Judah for one named Saul, a man of Tarsus. For behold, he is praying,
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Deutéronome 4

      2 Chroniques 33

      Job 33

      19 Job se plaignait, dans les chapitres précédents, de ses afflictions corporelles et estimait de ce fait, que tout cela était le résultat du Jugement divin ; c'était aussi l'avis de ses amis. Élihu rétorque que Dieu éprouve fréquemment le corps, en vue de fortifier l'âme. Cette pensée devrait nous aider considérablement à tirer de tels bénéfices, lors d'une maladie, car c'est une des façons dont Dieu se sert pour avertir les hommes. La douleur est parfois le fruit du péché ; quelquefois, par la grâce de Dieu, cette douleur peut être un moyen destiné à fortifier notre âme. Quand les afflictions ont rempli leur rôle d'avertissement, elles peuvent alors cesser.

      La rançon d'une propitiation est, pour ainsi dire, payée. Jésus-Christ est à la fois le Messager et la Rançon ; Élihu, dans ce passage, fait un parallèle avec le Sacrifice de notre Seigneur. Job, quant à lui, l'appelle son Rédempteur ; Il est en même temps le Rédempteur et l'Objet de cette rédemption, le Sacrificateur et le Sacrifice. Nos âmes sont inestimables, aucun autre sacrifice ne pourrait les racheter ; le mal engendré par notre péché est si grand, que rien ne peut nous racheter, sinon le sang du Fils de Dieu, Celui qui a donné sa vie en rançon. Ce passage se termine par une bénédiction. La délivrance d'une maladie est une réelle grâce quand en plus, elle est accompagnée de la rémission du péché. Tous ceux qui se repentent sincèrement de leurs péchés, obtiendront la miséricorde divine. Les œuvres obscures ne peuvent être qu'infructueuses. Tous les gains obtenus dans un contexte d'iniquité seront en fait réduits à néant. Nous devons avec un cœur contrit et brisé, confesser nos péchés à Dieu, 1Jean 1:9.

      Nous devons confesser la nature de notre péché, sans chercher à nous justifier ni à chercher des excuses. Nous devons confesser nos fautes : « j'ai transgressé la loi ». Nous devons confesser la folie de notre péché : « quelle folie j'ai commise, que d'ignorance » ! Qu'est-ce qui peut nous empêcher de faire une telle confession ?

      Psaumes 32

      3 Il est très difficile pour un homme pécheur d'accepter humblement la gratuité de la rédemption, par le biais d'une confession totale des ses péchés et par une reconnaissance de sa culpabilité. Mais l'unique et véritable chemin de la conscience paisible passe par la confession de nos péchés afin qu'ils soient pardonnés ; par cette déclaration, nous pouvons être justifiés. Bien que la repentance et la confession ne soient pas aptes en elles-mêmes à procurer le pardon des transgressions, elles sont quand même nécessaires pour acquérir la joie parfaite du pardon miséricordieux. Et qui peut témoigner de la joie ressentie, lorsque l'âme, oppressée par le péché, peut librement décharger son fardeau devant Dieu, saisissant la promesse de miséricorde en Jésus-Christ ?

      Ceux qui veulent vraiment s'adonner à la prière doivent rechercher le Seigneur ; Il les appelle par Sa Providence et par Son Esprit, Il les incite à cette recherche. C'est le moment propice, quand le cœur est plein de remords et chargé par ses fautes ; quand les refuges d'ici bas sont vains, quand aucun repos de l'âme ne peut être trouvé, c'est alors que Dieu peut appliquer son baume guérissant, par son Esprit.

      Psaumes 40

      1

      Confiance en la délivrance. (Psaumes 40:1-5)
      L'œuvre rédemptrice de Christ. (Psaumes 40:6-10)
      Prière de reconnaissance pour la grâce reçue. (Psaumes 40:11-17)

      Les doutes et les craintes au sujet de l'éternité sont un horrible abîme boueux ; ils ont ainsi affecté beaucoup d'enfants de Dieu. Il y a suffisamment de puissance en Dieu pour aider le plus faible, suffisamment de grâce pour aider le moins méritant à condition qu'il place sa confiance en Lui. Le psalmiste a attendu patiemment ; il a continué à croire, à espérer, et à prier. Ceci est applicable à Christ. Son agonie, au jardin puis à la croix était également un horrible abîme boueux. Mais ceux qui attendent patiemment Dieu, n'attendent pas en vain. Ceux qui sont tombés dans une certaine mélancolie religieuse et qui, par la grâce de Dieu, ont été revivifiés, peuvent vraiment appliquer le verset Psaumes 40:2 ; ils sont sortis de cet horrible abîme. Christ est le Rocher sur lequel une âme seule peut rapidement trouver un appui. Quand Dieu a donné une ferme espérance, il compte en retour trouver une conduite fidèle et une marche régulière. Dieu remplit de joie le psalmiste, il lui procure la paix dans la foi. Beaucoup, dans leur contemplation, par la foi, des souffrances et de la gloire de Christ, ont appris à craindre la Sainte Justice et placent leur confiance dans la miséricorde divine, en Lui. Combien sont nombreux tous les bénéfices qui nous sont accordés, à la fois par la providence et par la grâce de Dieu.

      Psaumes 50

      Psaumes 130

      1

      L'espérance du psalmiste dans la prière. (Psaumes 130:1-4)
      Sa patience dans l'espérance. (Psaumes 130:5-8)

      La seule échappatoire d'une âme empêtrée dans le péché, est de se tourner vers Dieu. Beaucoup de choses ici-bas détournent les hommes vers la diversion, beaucoup d'autres en offrent le remède, mais l'âme constate qu'il n'y a de guérison que dans le Seigneur. Et tant que les hommes ne seront pas sensibilisés par le côté fautif du péché, et qu'ils ne seront pas décidés à tout quitter pour se diriger vers Dieu, il sera vain pour eux d'espérer une quelconque délivrance. Le Saint Esprit donne aux âmes repentantes une aspiration de profonde délivrance, afin qu'elles soient extirpées radicalement de leur ancien milieu, par la prière de la foi, en implorant Dieu.

      Et comme ces âmes recherchent la manifestation de la gloire du Seigneur, elles cherchent à accomplir leur devoir. Pourquoi, chez quelques-uns, ce cheminement est-il long et incertain ? Ne serait-ce pas par paresse et découragement vis à vis des devoirs divins ? Il faut reprendre courage ; la tâche doit être accomplie sans détours. Nous devons nous humilier devant Dieu, nous sommes fautifs à Ses yeux. Reconnaissons notre iniquité ; nous ne pouvons nous justifier nous-mêmes ou plaider notre culpabilité.

      C'est un réconfort merveilleux, de se sentir pardonné par Dieu, c'est là tout ce dont nous avons besoin. Jésus-Christ en est la formidable rançon ; Il est même notre Avocat, au travers duquel nous plaçons l'espérance de notre pardon. En Toi, nous sommes pardonnés, ce n'est pas une pensée présumée mais une certitude respectueuse. La crainte de Dieu est souvent associée à l'adoration divine. Le seul motif, l'encouragement du pécheur, c'est de se savoir pardonné par le Seigneur !

      Proverbes 15

      Esaïe 55

      6 Ce texte nous présente une offre merveilleuse de pardon, de paix, et de félicité. Il n'est jamais vain de chercher Dieu : Sa Parole nous appelle, et Son Esprit est à nos côtés ! Mais viendra un jour où on ne pourra plus Le trouver. Cela peut survenir à n'importe quel moment de notre vie ; il est certain qu'à notre mort et lors du Jugement, la « porte » sera alors fermée. En conséquence, il ne faut pas seulement changer de comportement, mais aussi nos pensées : nous devons « voir » différemment les personnes et le cours des évènements. Il n'est pas suffisant de cesser toute pratique du mal, nous devons en plus, nous efforcer de lutter contre les mauvaises pensées. Se repentir signifie en quelque sorte « revenir à notre Seigneur », Celui contre lequel nous nous sommes rebellés. Si nous agissons ainsi, Dieu nous assure d'un pardon sans limites, à la mesure de l'ampleur de nos offenses !

      Mais que personne ne traite à la légère cette « abondance » de Miséricorde ; « exploitez-la » quand le péché a été commis. Les pensées des hommes, au sujet du péché, de Christ, de la sainteté, du monde et de son entourage, diffèrent absolument de celles de Dieu, ne serait-ce qu'au sujet du pardon par exemple ! Nous pardonnons, mais nous n'oublions pas ; quand Dieu pardonne le péché, Il ne se souvient plus de ce dernier. La puissance de Sa Parole aux Royaumes de la Providence et de la Grâce, est aussi véritable qu'ici-bas. La « sainte Vérité » produit un changement spirituel dans l'esprit des hommes, changement que ni la pluie ni la neige ne seraient à même d'opérer sur terre !

      Cette Parole ne retournera pas à Dieu sans produire des effets remarquables. Si nous portons des regards objectifs sur l'église, nous pourrons constater à quel point Dieu a effectué de grandes choses, et discerner ce qu'Il fera encore pour elle. Les Juifs retourneront en « terre promise » ; il s'agit bien d'une des bénédictions prévues par l'Éternel ! La Grâce de l'évangile opérera un grand changement dans le cœur des hommes.

      Délivré de la colère à venir, le pécheur converti, a la conscience en paix ; l'Amour céleste dont il bénéficie le pousse, en retour, à se consacrer au service de Son Rédempteur. Au lieu d'être attiré par le monde, d'être querelleur, égoïste, ou sensuel, il devient patient, humble, aimable, et pacifique. L'espérance d'une telle perspective devrait nous inciter davantage à répandre la bonne nouvelle du salut !

      Que l'Esprit de vérité puisse nous aider à discerner la plénitude, la liberté, et la grandeur de la merveilleuse Miséricorde de Christ, nous ôtant ainsi toute fausse perspective d'étroitesse de la Grâce souveraine !

      Jérémie 29

      Jérémie 31

      18 Éphraïm (la dixième tribu), pleure sur ses péchés. Elle se sait fautive, reconnaissant son iniquité, sa folie et ses manquements. Elle se rend compte qu'elle est absolument incapable, par ses propres forces, de rester en communion avec Dieu, et qu'elle est victime de Sa rébellion contre ce Dernier.

      En conséquence, cette tribu s'adresse à l'Éternel : « Fais-moi revenir, et je reviendrai » ; elle s'est soumise à la volonté divine. Quand l'enseignement de l'Esprit divin se joint à l'action de la Providence, tout devient vraiment très efficace !

      Qu'il est réconfortant de savoir que le Seigneur ne nous quitte pas du regard, même au temps de l'affliction ! Dieu dispose d'une Grâce inépuisable, riche, sûre qui agit avec pertinence, en faveur de ceux qui La recherchent en toute sincérité !

      Jonas 2

      1

      La prière de Jonas. (\\# Jon 2:1-9\\)
      Il est délivré du poisson. (\\# Jon 2:10\\)

      Remarquez à quel moment Jonas a prié : ce fut lors de l’épreuve, car il constatait alors les signes du mécontentement divin, à cause de son péché.

      Lorsque nous sommes dans l'affliction, nous devons prier ! Étant miraculeusement gardé en vie, Jonas pria. La perception de la bonté de Dieu à notre égard, en dépit de nos offenses, « ouvre nos lèvres » pour prier, alors qu’elles restaient muettes, par crainte de la colère divine.

      Remarquez également à quel endroit Jonas pria : dans le ventre du poisson ! En fait, tout endroit est propice pour prier !

      Nous pouvons interrompre notre communion avec nos semblables, mais pas celle que nous pouvons avoir avec Dieu. Cela peut même encourager ceux qui, à la suite d’une chute spirituelle, veulent revenir à Lui. Ce fut le cas pour Jonas : le texte semble relater son expérience et ses réflexions, au moment spécifique de l’épreuve, plutôt que de donner le contenu intégral de sa prière. Jonas réfléchit sur la solennité de sa requête, connaissant l'accueil favorable de Dieu, quant aux prières.

      Si nous voulons progresser au travers de nos épreuves, nous devons discerner la main divine. Jonas, dans sa méchanceté, avait fui la présence de l’Éternel ; ce Dernier aurait pu retirer, à juste titre Son Saint-Esprit de lui, pour ne plus jamais le visiter...

      Ceux qui, par leur éloignement de Dieu, ne Lui « appartiennent » plus et qu'Il n'approuve plus, sont vraiment misérables. Malgré sa perplexité, Jonas ne désespéra pas. Il songea aux faveurs divines qu’il reçut, lorsqu'il recherchait Dieu et plaçait en Lui sa confiance, lors de sa détresse.

      Le prophète avait précédemment déclaré aux marins, sa fuite devant l’Éternel, et il leur recommanda de rester en Sa présence.

      Ceux qui abandonnent leur devoir, abandonnent la grâce qui leur était préalablement octroyée ; s’ils « rechignent » à accomplir leur travail quotidien, ils se privent du réconfort qu'ils pourraient en retirer.

      Tant qu'un croyant emprunte le chemin de ceux qui suivent des vanités mensongères, il se prive des avantages de sa propre bénédiction, et ne peut bénéficier de ses privilèges.

      L'expérience de Jonas encourage ceux, de tout âge, à faire confiance à Dieu, le Dieu du salut !

      Zacharie 12

      Matthieu 7

      7 La prière est le moyen approprié pour obtenir ce don nous avons besoin. Priez ; priez souvent ; que cela puisse être une véritable « vocation », faites-le avec sérieux, avec ferveur. Demandez, comme le ferait un mendiant, faisant l’aumône, ou un voyageur, demandant son chemin. Cherchez, comme si vous aviez perdu quelque chose de valeur, comme un marchand cherchant des perles précieuses.

      Frappez, comme le fait à la porte, celui qui désire entrer dans la maison. Le péché a fermé et verrouillé la « porte » spirituelle, devant nous ; par la prière nous frappons à cette porte pour demander d’entrer !

      Quel que soit le sujet que vous abordiez par la prière, selon la promesse divine, il vous sera répondu favorablement, si Dieu constate que cela vous convient parfaitement ; que voulez-vous avoir de plus ?

      Ces recommandations s'appliquent à tous ceux qui prient de tout cœur ; celui qui « demande », reçoit, qu'il soit Juif ou Gentil, jeune ou âgé, riche ou pauvre, haut placé ou de condition humble, maître ou serviteur, savant ou illettré, tous sont de la même façon, les bienvenus devant le trône de la Grâce, s'ils s’en approchent avec foi.

      Ces vérités sont imagées par une comparaison avec des parents, montrant leur empressement à donner à leurs enfants ce qu'ils demandent. Certains parents, par sottise, sont souvent trop indulgents, mais Dieu, quant à Lui, est parfaitement sage ! Il sait ce dont nous avons besoin, ce que nous désirons, et ce qui nous convient parfaitement.

      Puissions-nous ne jamais supposer que notre Père céleste nous propose de prier, en refusant de nous entendre, ou qu'Il puisse nous octroyer, ce qui pourrait nous être nuisible.

      Luc 11

      Luc 18

      9 Cette parabole est destinée à ceux qui sont convaincus d’être vertueux, et qui, de ce fait, méprisent les autres. Dieu regarde avec quelle disposition de cœur et dans quel dessein, nous nous approchons de Lui, quand nous venons Le célébrer à l’église.

      Les propos de ce pharisien montrent qu'il n’avait confiance qu’en lui-même et qu'il pensait être un modèle de droiture. Nous pouvons supposer qu'il était dénué de tout péché gravissime ou scandaleux : c’était un homme de bien, un personnage vraiment recommandable...

      En fait, on pourrait penser que ceux qui ne possèdent pas les « qualités » de ce pharisien soient misérables, étant bien loin d’être accepté par Dieu : ne serait-ce pas logique ? Ce personnage s’est rendu au temple pour prier ; cependant, il était imbu de lui-même, convaincu de sa bonté : il ne pensait pas avoir besoin de demander à Dieu Sa faveur ni Sa Grâce pour lui-même. Prenons garde de ne pas présenter de dévotions orgueilleuses au Seigneur, en ayant tendance à dédaigner notre prochain.

      Le publicain, quant à lui, s'adressait à Dieu en toute humilité, il se repentait de son péché et désirait entrer en communion avec le Seigneur. Sa prière était courte, mais orientée en ce sens : « Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur ».

      Béni soit Dieu ! Nous disposons en effet dans ce texte de cette courte prière, très certainement exaucée ; nous pouvons être certains que celui qui a prié ainsi est retourné dans sa maison, justifié par Dieu ; il en sera de même pour nous, si nous prions, comme cet homme, au Nom de Jésus-Christ.

      Ce publicain se considérait comme pécheur par nature, coupable devant Dieu. Il ne pouvait compter sur rien, si ce n'est sur la Miséricorde divine : il s’est appuyé uniquement sur cette vérité. La Gloire de Dieu résiste à l'orgueilleux, tout en faisant grâce à celui de condition humble. La justification vient de Dieu, en Christ : c'est donc le « condamné », et non le « soi-disant candide » qui est justifié devant Dieu !

      Luc 23

      Jean 4

      Actes 2

      Actes 8

      26 Philippe fut guidé par un ange, pour se rendre dans le désert. Parfois Dieu offre des opportunités à Ses serviteurs pour annoncer Sa Parole dans des lieux vraiment inattendus !

      Nous devons nous efforcer de pratiquer le bien envers ceux avec qui nous sommes appelés à voyager. Ne soyons pas timides, comme certains, envers les étrangers : même si nous ne connaissons rien à leur sujet, nous savons au moins qu'ils possèdent une âme ! Un des points de la sagesse consiste à racheter le temps, afin de vaquer à de saints devoirs : utilisons chaque minute pour tenter de faire le bien !

      Dans la lecture de la Parole de Dieu, nous devons souvent faire une pause, afin de chercher quels sont les personnages et le sujet sur lesquels l’Auteur veut nous enseigner ; nos pensées doivent être particulièrement tournées vers le Rédempteur.

      Dans ce texte, nous voyons que cet Éthiopien fut convaincu par le Saint-Esprit, du total accomplissement de l'Écriture ; par le biais de Philippe, il fut amené à comprendre la nature du Royaume du Messie et de Son salut ; il désirait être compté parmi les disciples de Christ !

      Ceux qui cherchent la Vérité, et qui emploient leur temps à sonder l'Écriture, sont certains d'en récolter les avantages. L'aveu de cet Éthiopien nous fait comprendre qu’il faisait simplement confiance à Christ et Son salut, et qu’il allait désormais avoir pour Lui, un dévouement sans réserve.

      N’ayons de cesse d’avoir la foi de cet Éthiopien, étudions sérieusement les Saintes Écritures et l'enseignement de l'Esprit de Dieu ; recherchons ce Dernier, tant que Son enseignement n’est pas acquis par notre cœur.

      Aussitôt que l'Éthiopien fut baptisé, l'Esprit de Dieu éloigna Philippe, il disparut ; cette disparition miraculeuse était destinée à affermir la foi de cet homme.

      Quand celui qui cherche le salut, découvre réellement Jésus et l’Évangile, il peut alors continuer son chemin dans la joie, remplissant ensuite sa mission spirituelle ici-bas : il agira autrement et avec d'autres motifs qu’il ne le faisait jusqu'alors. Le fait d’être baptisé au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, avec de l'eau, n'est pas suffisant : il faut aussi bénéficier du baptême du Saint-Esprit.

      Seigneur, accorde-nous ce baptême ! Nous poursuivrons alors notre chemin dans la joie !

      Actes 9

      Actes 10

      Actes 11

      25 Jusqu'à présent, les partisans de Christ étaient appelés « disciples », c'est-à-dire, des étudiants, des élèves ; mais désormais, on les nomma « chrétiens ». En fait, ce nom signifie : « celui qui suit Christ », celui qui accepte la religion de Christ de tout son cœur, qui croit en Ses promesses, et a comme but principal de façonner sa vie sur Ses préceptes et Son exemple.

      Il est vrai que manifestement beaucoup prennent le nom de chrétien, sans que ce nom soit conforme à l’état de leur cœur. Mais prendre ce nom sans en saisir la réalité ne peut qu’aggraver notre culpabilité. Le fait d’annoncer simplement que l’on est chrétien, sans l’être de cœur, n’accordera ni profit, ni joie, alors que si l’on connaît véritablement Christ, on bénéficiera de ses promesses, à la fois pour le présent, comme pour le futur.

      « Agis, Seigneur, pour que les chrétiens puissent oublier tout autre Nom que le Tien, et s'aimer les uns les autres comme les véritables partisans de Christ doivent le faire ». Les chrétiens véritables aideront leurs frères qui sont dans l'affliction. Des « fruits spirituels » seront ainsi apportés aux pieds du Seigneur, pour Sa louange et Sa Gloire.

      Si l’ensemble de l'espèce humaine était composé de véritables chrétiens, tous pourraient s'entraider ! La terre entière serait alors semblable à une grande famille, dont chaque membre chercherait à servir son prochain avec bienveillance.

      Actes 21

      Actes 22

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.