Bad religion
Comme un souffle fragile (JEM392)
Comme un souffle fragile, ta parole se donne. Comme un vase dâargile, ton amour nous façonne. Ta parole est murmure âŠ
Contempler ta magnificence (JEM949)
Je veux contempler ta magnificence, Je veux contempler ta magnificence. LâĂternel est ma lumiĂšre et mon salut, LâĂternel est mon âŠ
Grandes et merveilleuses (JEM414)
Grandes et merveilleuses sont toutes tes Ćuvres, Ă Seigneur, notre Dieu tout puissant, Juste et vĂ©ritable dans toute ta volontĂ©, âŠ
Je nâai que toi (JEM427)
Je nâai que toi, que toi dans le ciel, Je ne dĂ©sire rien dâautre que toi sur la terre. Si âŠ
Rien nâest impossible Ă mon Dieu (JEM822)
Rien nâest impossible Ă mon Dieu. Rien nâest impossible Ă mon Dieu. Oui, tout est possible Ă celui qui croit. âŠ
Top 5 web leaders #4
1 â Inspiration : Cette semaine, lâinspiration se tourne vers « The Worship Project « . Ce blog regroupe de âŠ
Torrents dâamour et de grĂące â arr. HĂ©ritage (HER1005)
Torrents dâamour et de grĂące, amour du sauveur en croix ! Ă ce grand fleuve qui passe, je mâabandonne et âŠ
Garder les balances en équilibre (2)
« Ce nâest pas que les hommes montrent plus de convoitise que les gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes. Câest que les occasions dâexprimer âŠ
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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Ce verset met en scĂšne deux personnes qui viennent rendre les derniers devoirs aux morts : l'une, un parent, le plus proche sans doute, de la famille Ă©teinte (on peut traduire aussi un oncle) ; l'autre, le fossoyeur. Ce dernier est appelĂ© celui qui brĂ»le les corps ; non que la crĂ©mation des cadavres fĂčt en usage (voir 2.1), mais il s'agit ici d'une mesure exceptionnelle pour prĂ©venir les consĂ©quences de l'infection de l'air par les nombreux cadavres. Amos nous dĂ©crit d'une maniĂšre dramatique la dĂ©solation de cette demeure. Le fossoyeur y entre pour emporter les morts, et il n'y trouve plus un seul ĂȘtre vivant. Un entretien s'engage alors entre le fossoyeur et le parent restĂ© dehors. Au moment oĂč le premier, aprĂšs avoir constatĂ© qu'il n'y a plus personne, va prononcer une parole rappelant que c'est ici la main de l'Eternel, le parent le fait taire ; car le dĂ©sastre est si grand que, si l'on parlait de Dieu, on ne pourrait le faire qu'en rappelant, sa colĂšre. L'explication donnĂ©e par les derniers mots : car ce ne sera pas le cas de..., doit probablement ĂȘtre mise dans la bouche d'Amos lui-mĂȘme. Il rend compte par lĂ de l'invitation au silence qui prĂ©cĂšde.
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