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Apocalypse 1.11

saying, " What you see, write in a book and send to the seven assemblies : to Ephesus, Smyrna, Pergamum, Thyatira, Sardis, Philadelphia, and to Laodicea."
qui disait : Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Églises, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.
disant : Ce que tu vois, écris-le dans un livre et envoie-le aux sept assemblées : à Éphèse, et à Smyrne, et à Pergame, et à Thyatire, et à Sardes, et à Philadelphie, et à Laodicée.
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      Deutéronome 31

      Esaïe 30

      8 Les Juifs étaient les seuls à pouvoir témoigner au monde, de l'existence de l'Éternel ; cependant, il y avait parmi eux, de nombreux rebelles ! Ils étaient en possession de « la lumière » spirituelle, mais en fait, ils préféraient « l'obscurité ». Les prophètes les avertirent, afin qu'ils ne persistent pas dans cette voie d'iniquité, au risque de se trouver dans un total désarroi ; mais ils rejetèrent ces avertissements. Ces fidèles serviteurs de Dieu ne mettront finalement pas en garde éternellement le peuple pécheur. Dieu est le Saint d'Israël, Ses enfants finiront par Le trouver ! Ces derniers n'aimaient cependant pas entendre Ses saints commandements, ils n'éprouvaient aucune haine pour leur péché ; ils ne désiraient pas qu'on leur fasse ces mises en garde. Pendant qu'ils dédaignaient ainsi la Parole de Dieu, ils restaient aveugles vis-à-vis de leurs péchés. Leur état faisait penser à un vase brisé, entre les mains d'un potier.

      Sachons faire volte-face sur nos mauvaises voies, suivons plutôt celles de notre devoir : ce sont elles qui mènent au salut ! Notre force consistera à être dans le calme et la confiance, en ayant l'esprit en paix, et en comptant sur Dieu.

      Les enfants d'Israël estimaient être plus sages que Dieu ; mais leurs différents projets, par lesquels ils pensaient pouvoir être sauvés, ne pouvaient que les mener à la ruine. Seuls quelques-uns, ici et là, allaient pouvoir échapper à cette déchéance, et avertir les autres.

      Si les hommes ne veulent pas se repentir, ni se tourner vers Dieu, à la recherche de la joie que l'on éprouve à Le servir, leurs désirs ne pourront qu'accélérer leur ruine. Ceux qui placent en Dieu seul leur confiance, pourront en éprouver tout le réconfort. Dieu ne tarde jamais pour accorder Sa Grâce à ceux qui s'approchent de Lui, par la foi en Christ ; heureux ceux qui s'attendent à Lui !

      Jérémie 30

      Habacuc 2

      Actes 18

      24 Apollos avait été étudié l'Évangile, aussi loin que pouvait le faire le ministère d’enseignement de Jean, mais pas au delà.

      Nous pouvons évidemment penser qu'Apollos avait entendu parler de la mort de Christ et de Sa résurrection, mais en fait, il n'avait pas été réellement informé sur la profondeur de ces évènements. Bien qu'il n'ait pas reçu, comme les apôtres, des dons miraculeux de l'Esprit, il utilisait ceux qu'il possédait déjà. La dispensation de l'Esprit, quelle que puisse être sa mesure, est donnée à tout homme pour qu’il en tire profit.

      Apollos était un prédicateur éloquent, affectueux et fervent. Il était plein de zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut des âmes. C'était un homme de Dieu complet, très apte à accomplir sa tâche. Aquilas et Priscille encouragèrent son ministère, en lui offrant leur assistance. Ils ne le méprisèrent aucunement et ne le dénigrèrent pas auprès des autres, malgré ses lacunes. Ces deux disciples ayant été eux-mêmes longuement enseignés par Paul, en ce qui concerne l’Évangile, transmirent à Apollos leur savoir.

      Les jeunes étudiants peuvent trouver un grand intérêt à dialoguer avec les chrétiens qui ont une longue expérience spirituelle. Ceux qui croient en l’efficacité de la Grâce ont cependant toujours besoin d'aide. Aussi longtemps qu'ils demeurent en ce monde, ils subissent les méfaits de l’incrédulité dus à leur « ancienne nature » ; leur cœur doit être affermi pour que leur foi soit agissante.

      Si les Juifs avaient été convaincus que Jésus était réellement le Christ, leur propre loi les aurait incités à entendre Son message. Le rôle des serviteurs de Dieu est d’annoncer Christ, non seulement pour prêcher la Vérité, mais aussi pour prouver Sa véracité et pour la défendre, avec douceur, mais cependant avec fermeté.

      Actes 19

      1

      Paul instruit les disciples de Jean, à Éphèse. (Actes 19:1-7)
      Paul enseigne à Éphèse. (Actes 19:8-12)
      Les exorcistes juifs disgraciés. Des Éphésiens brûlent leurs mauvais livres. (Actes 19:13-20)
      Le tumulte à Éphèse. (Actes 19:21-31)
      Le tumulte apaisé. (Actes 19:32-41)

      Lorsque Paul se rendit à Éphèse, il trouva quelques disciples qui pensaient que Jésus était vraiment le Messie. Ils n'avaient pas été enseignés au sujet des pouvoirs miraculeux du Saint-Esprit et ne savaient pas que l’annonce de l'Évangile était « cadrée » par ce Dernier. Ces disciples ne cherchaient qu’à à être enseignés sur ce sujet.

      Paul leur rappela que Jean n'avait jamais prêché que ceux qu’il avait baptisés devaient en rester là, à la repentance, mais qu'ils devaient croire en Celui qui devait venir après lui : Jésus-Christ. Ces disciples acceptèrent avec beaucoup de reconnaissance cette bonne nouvelle, ils se firent baptiser au Nom du Seigneur Jésus. Le Saint-Esprit vint sur eux de manière surprenante, avec une grande puissance : ils parlèrent en langues et prophétisèrent, comme le faisaient précédemment les apôtres et les premiers païens convertis.

      Bien que nous ne devions pas attendre de nos jours de tels pouvoirs miraculeux, tous ceux qui professent être des enfants de Dieu sont appelés à s’examiner, pour vérifier s'ils ont bien reçu le « sceau du Saint-Esprit » et Son influence dans la sanctification, en réponse à la véracité de leur foi. Beaucoup de personnes semblent ne pas avoir entendu vraiment parler du Saint-Esprit, s’imaginant que tout ce qui est dit au sujet de Son influence et de Ses consolations n'est qu'illusion. À ces personnes, il peut être demandé : « de quel baptême avez-vous donc été baptisés » ? Il est évident qu'elles ne connaissent pas véritablement la signification des manifestations extérieures de l’Esprit Saint, desquelles elles dépendent pourtant grandement !

      8 Quand les arguments et la persuasion de l’Évangile ne font qu’endurcir les hommes dans leur incrédulité, en les poussant même jusqu’au blasphème, nous devons nous séparer de leur compagnie néfaste.

      Dieu, dans Sa bonté, a bien voulu confirmer l'enseignement des apôtres de cette époque, pour que les auditeurs incrédules à leur message, puissent croire, d’après les miracles accomplis.

      13 Il était fréquent, spécialement parmi les Juifs, de rencontrer certaines personnes prétendant savoir chasser les démons ou les mauvais esprits.

      Si, par la foi en Christ, nous résistons au diable, il fuira loin de nous ; mais si nous pensons résister à ce dernier, en utilisant vainement le Nom de Christ, ou Ses œuvres, en voulant chasser des envoûtements, Satan dominera sur nous. Là où l’on rencontre une véritable repentance du péché, on constate une confession spontanée des fautes à Dieu, par le biais de la prière, et quand le cas l'exige, des excuses à ceux qui auraient pu être offensés.

      Il est certain que si la Parole de Dieu prédominait parmi nous, beaucoup de livres impudiques, obscènes, et non recommandables seraient brûlés par leur propriétaire.

      Les Éphésiens nouvellement convertis ne se sont-ils pas levés pour réagir contre ceux qui s’adonnaient, par leurs livres occultes, à des pratiques douteuses, pour l'appât du gain ?

      Si nous désirons de tout cœur, acquérir le salut offert par Christ, nous devons abandonner toute poursuite des plaisirs qui pourraient entraver l'effet de l'Évangile sur notre âme, ou perturber son influence sur notre cœur.

      21 Les personnes qui venaient de loin, pour offrir leur dévotion au temple d'Éphèse, achetaient, à titre de souvenir, de menus objets d’argent, ou des représentations miniatures de ce temple.

      Nous pouvons ainsi voir comment certains artisans tiraient profit de la superstition du peuple, pour satisfaire leurs intérêts. Les hommes veillent jalousement sur ce qui leur procure des richesses ; beaucoup s’opposent à l'Évangile, parce qu'Il appelle les hommes à refuser toute activité illicite, de type souvent très lucratif...

      Certaines personnes commercialisent les objets les plus absurdes, grossiers et inutiles, comme par exemple ces « dieux faits de main d'homme », récoltant par là de gros bénéfices.

      La ville d’Éphèse était en pleine de confusion, conséquence classique de son attachement pour la fausse religion. Le zèle pour l'honneur de Christ et l'amour des frères, encourage les croyants fervents à courir des risques pour la cause du Seigneur. Des amis pourront être d’ailleurs souvent découverts parmi ceux qui sont étrangers à la véritable religion, mais qui ont cependant observé une certaine droiture vis-à-vis des chrétiens.

      32 Des Juifs d'Éphèse étaient à l’origine de ce tumulte. Ceux qui cherchent manifestement à se distinguer des serviteurs de Christ, craignant d'être pris pour l’un d’eux, verront leur ruine survenir au grand jour du Jugement. Le secrétaire de la ville, ayant une certaine autorité, réussit finalement à faire cesser ce tumulte.

      Une très bonne règle, valable en tous temps, concernant aussi bien les affaires privées que publiques, consiste à ne pas nous hâter dans nos décisions, de manière irréfléchie, mais de prendre le temps de bien considérer la situation, en contrôlant toujours nos passions éventuelles. Nous devons rester calmes, et ne rien faire avant d’avoir bien réfléchi ; ne faisons rien à la hâte, ce dont nous aurions ensuite à nous repentir.

      La loi doit toujours arrêter les tumultes populaires, du moins dans les nations bien gouvernées. Beaucoup de personnes craignent davantage les jugements des hommes, que ceux de Dieu. Qu’il serait bon d’apaiser nos appétits désordonnés et nos diverses passions, considérant que nous devrons bientôt en rendre compte au Juge du ciel et de la terre !

      Nous voyons dans ce texte comment la Providence divine a pu maintenir la paix publique, par une puissance inexplicable exercée sur ces hommes. C'est par ce biais que l’ordre est parfois respecté ici-bas, empêchant les hommes de se dévorer mutuellement.

      Nous pouvons difficilement nous empêcher de voir autour de nous des hommes agissant comme Démétrius et les ouvriers qui le servaient. Il n'est pas plus dangereux de combattre des bêtes sauvages que de telles personnes, furieuses de perdre leurs avantages et ce qu’elles convoitaient, prétendant marcher dans le droit chemin, au moindre reproche que l’on pourrait leur adresser.

      Quelle que soit l’origine des différends religieux, sous quelque forme que ce soit, elle vient du monde ; ces querelles doivent être condamnées par tous ceux qui éprouvent du respect pour la Vérité et la véritable piété. Ne restons pas défaitistes : le Seigneur est plus puissant que « le bruit des eaux » ; Il est parfaitement capable de calmer les différents tumultes ici-bas !

      Actes 20

      17 Les anciens des premières assemblées savaient que Paul n'était pas un intriguant, ni un égoïste. Ceux qui veulent avant tout servir le Seigneur avec efficacité, doivent le faire dans l’humilité.

      L’apôtre annonçait clairement l’Évangile, de façon à ce qu'il soit bien perçu. C’était un prédicateur éloquent, persuasif, cherchant à ce que son auditoire comprenne bien son message ; il voulait aussi, par son témoignage, avertir ceux qui rejetaient la Vérité. Paul était un prédicateur actif ; il avait pour but que ses auditeurs s’interrogent, quant à la nature de leur cœur et de leur vie. Il se donnait de la peine pour accomplir son ministère, il était très actif et fidèle ; il n'a pas ménagé ses propos, lorsque cela s’avérait nécessaire, insistant sur la prédication de la croix. C’était un véritable évangéliste, n’annonçant aucune doctrine douteuse, ni politique ; il prêchait la foi et la repentance.

      Pour résumer son ministère, il prêchait le don du salut, par la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus-Christ, avec tous les fruits et les conséquences que cela engendre. Sans cette repentance, aucun pécheur ne peut échapper à la condamnation divine, se privant ainsi de la vie éternelle.

      Ne pensons surtout pas que Paul ait quitté l'Asie par peur de la persécution ! S’attendant manifestement à être attaqué, il était cependant bien résolu à continuer sa marche, assuré qu’il était guidé par la direction Divine.

      Remercions Dieu pour le fait qu’il nous est impossible de savoir ce qui nous arrivera dans le futur. Pour l'enfant de Dieu, il est suffisant de savoir que la force du Seigneur est immuable, et il ne cherche pas à savoir ce que l’avenir lui réserve. La puissance du Saint-Esprit lie le vrai chrétien à son devoir. Même lorsqu'il s’attend à la persécution et à la détresse, l'Amour de Christ le pousse à continuer.

      Aucun incident de parcours n'a écarté Paul de son travail ; rien ne l'a privé de la consolation spirituelle qui l’attendait. Notre raison de vivre consiste à savoir que nous connaîtrons bientôt la félicité éternelle !

      Quand Paul vit que les anciens d’Éphèse étaient persuadés qu’ils le voyaient pour la dernière fois, il leur rappela qu’ils devaient veiller sur le troupeau spirituel : l’apôtre, durant son ministère, leur a toujours prêché avec intégrité toute les vérités de la doctrine divine. Il leur a prêché l'Évangile dans son intégralité ; il a accompli fidèlement son travail, supportant toutes les attaques de ses opposants.

      1 Corinthiens 15

      1 Corinthiens 16

      Ephésiens 1

      1

      Cette épître a été écrite lorsque Paul était prisonnier à Rome. Il semble que le but de ce livre soit de fortifier les Éphésiens dans la foi en Christ, en soulignant la grandeur de l’Amour de Dieu, la dignité et l'excellence de Christ, ce qui ne pouvait qu’affermir leur esprit, quant au scandale de la croix.

      L’apôtre révèle aux Éphésiens qu'ils ont été sauvés par grâce ; bien qu'étant jadis misérables, ils avaient désormais les mêmes privilèges que les Juifs. Il les encourage à persévérer dans leur vocation chrétienne, et les invite à « marcher » d'une manière digne de leur profession de foi, décrivant fidèlement les devoirs inhérents à la piété, envers leur entourage, comme dans leur vie privée.

      * Salutation, et description des bénédictions spirituelles, préparées dans l'élection éternelle de Dieu, et acquises par le sang de Christ. (Ephésiens 1:1-8) Ces bénédictions se concrétisent dans la vocation spirituelle des Juifs, comme dans celle des Païens qui croient. (Ephésiens 1:9-14) L'apôtre remercie Dieu pour leur foi et leur amour ; il prie pour l’affermissement de leurs connaissances et l’espérance de « l'héritage céleste », par l'œuvre puissante que Dieu opère en eux. (Ephésiens 1:15-23)

      Ephésiens 1:1,2 Tous les chrétiens doivent être des « saints » ; s'ils ne parviennent pas à cet état ici-bas, ils ne le seront jamais devant la gloire du trône céleste.

      Ceux qui ne placent pas réellement leur confiance en Christ, n’ayant de ce fait qu’une relation spirituelle limitée avec leur Seigneur, ne peuvent être de véritables « saints ». Quand on mentionne la Grâce, il faut bien comprendre ce que représente l'Amour gratuit et immérité de Dieu, avec les bénédictions qui proviennent de l'Esprit ; quand on parle de la Paix que nous accorde le Seigneur, on inclut tous les soutiens qu’apporte la Providence, spirituels et matériels.

      Il n'y a aucune Paix sans la Grâce. Aucune des deux ne peut provenir autrement que de Dieu le Père, et du Seigneur Jésus-Christ ; ceux qui pratiquent une piété vraiment fervente ont besoin de nourriture « fraîche », provenant des grâces de l'Esprit, ils désirent grandir spirituellement !

      Colossiens 4

      1 Timothée 1

      Apocalypse 1

      4 Il ne peut pas y avoir de paix authentique, là où il n'y a pas la Grâce véritable ; et là où la Grâce arrive, la paix ne tarde pas ! Cette bénédiction est inhérente au nom de Dieu, à la Sainte trinité, c'est d’ailleurs un sujet d'adoration !

      Dans ce texte, le Père est nommé en premier lieu ; il est décrit comme Celui qui est, et qui était, et qui vient, qui est éternel, qui ne change pas. Le Saint-Esprit est appelé « les sept esprits », le parfait Esprit de Dieu, en qui il y a une diversité de dons et d'opérations.

      Le Seigneur Jésus-Christ est de toute éternité, un Témoin de tous les conseils divins. Il est le Premier-né d’entre les morts, qui par Son propre pouvoir, ressuscite Son peuple. Il est le Prince des rois de la terre ; c'est par Lui que leurs délibérations sont dirigées, et c'est à Lui qu'ils doivent rendre des comptes.

      Le péché laisse une « tache » de culpabilité et de pollution sur l'âme. Rien ne peut effacer cette tache, si ce n'est le sang de Christ ; et Christ a versé Son propre sang pour satisfaire la justice divine, et acheter le pardon et la pureté pour Son peuple.

      Des croyants, Christ a fait des « rois » et des « sacrificateurs », pour Dieu son Père. En tant que tels, ils sont vainqueurs du monde, mortifient le péché, gouvernent leur propre esprit, résistent à Satan, communient avec Dieu dans la prière, et jugeront le monde. Christ a fait d'eux, des sacrificateurs, leur donnant accès à Dieu, Il leur a permis d'offrir des sacrifices spirituels et acceptables ; ces faveurs destinent Ses enfants à Lui attribuer l'autorité et la gloire qui lui sont dues, pour toujours !

      Christ jugera le monde. L'attention est attirée sur ce grand jour, où tous verront la sagesse et le bonheur des « amis » de Christ, et la folie et la misère de Ses ennemis.

      Puissions-nous penser fréquemment à la seconde venue de Christ ! Il viendra, pour la terreur de ceux qui Le blessent et Le crucifient par leur apostasie : Il viendra, à la surprise de l’ensemble des impies. Il est le Commencement et la Fin ; toutes choses sont de Lui et pour Lui ; Il est le Tout-puissant ; Il est le même, Celui qui est éternel et immuable !

      Si nous voulons être comptés parmi Ses saints, dans Sa gloire éternelle, nous devons maintenant nous soumettre volontairement à Lui, Le recevoir, et L'honorer comme un Sauveur, nous qui croyons qu'Il viendra pour être notre Juge.

      Ils doivent être nombreux hélas, ceux qui souhaiteraient ne jamais mourir, et ne jamais connaître le jour du jugement !

      Apocalypse 2

      1

      Lettres aux églises d’Asie, comportant des avertissements et des encouragements : à l'église d'Éphèse ; (Apocalypse 2:1-7)
      à l’église de Smyrne ; (Apocalypse 2:8-11)
      à l’église de Pergame ; (Apocalypse 2:12-17)
      à l’église de Thyatire. (Apocalypse 2:18-29)

      Ces assemblées étaient dans des états si différents, quant à la pureté de la doctrine et la ferveur de la piété, que les paroles qui leur sont adressées par Christ, peuvent tout à fait convenir à toutes les autres églises, ainsi qu’à leurs dirigeants.

      Christ connaît et observe l’état de ces assemblées d’Asie : bien qu’étant au ciel, Il est cependant au milieu de Ses églises, ici-bas, observant leurs défauts et leurs besoins.

      L'église d'Éphèse est complimentée pour son assiduité à son devoir. Christ mémorise chaque heure passée par Ses serviteurs, dans l’exercice de leur tâche : ce travail « pour le Seigneur », ne sera pas vain. Il ne suffit pas d’être assidu dans ce ministère : il faut aussi avoir de la patience, à la fois de « supporter », mais aussi « d’attendre ». Bien que nous devions montrer de la douceur de caractère envers tous les hommes, nous devons cependant afficher un certain zèle à condamner leurs iniquités.

      Le péché que reproche Christ à cette église d’Éphèse, n'est pas d'avoir laissé et abandonné l’objet de son amour, mais d'avoir perdu la ferveur qu'elle avait d'abord manifestée. Tel est le reproche que Christ adresse à Son peuple, le voyant devenir négligent et froid envers Lui. Il est certain que cette mention relative à l'abandon, par les chrétiens, de leur premier amour, est un blâme pour ceux qui éprouvent le même sentiment, en toute insouciance, tentant d'excuser leur indifférence et leur manque de zèle à cet égard ; notre Sauveur culpabilise cette insouciance : ces âmes doivent s'en repentir ; elles doivent éprouver de la peine et de la honte, quant à leur déclin spirituel et coupable et le confesser humblement devant Dieu. Ces chrétiens doivent s'efforcer de retrouver leur zèle initial, leur tendresse et leur sérieux dans leur piété ; ils doivent prier avec ferveur, veiller aussi, avec diligence, de la même manière que lorsqu'ils firent leurs « premiers pas » vers Dieu. Si la présence de la Grâce de Christ et l'Esprit sont offensés, ils doivent s’attendre à être attristés.

      Une mention encourageante est néanmoins adressée à l’église d’Éphèse, au sujet de ses qualités. L'indifférence pour la vérité comme pour l'erreur, pour le bien comme pour le mal, peut être faussement appelée de la charité et de la douceur de caractère : c’est une erreur, et cela déplait à Christ.

      La vie chrétienne est une guerre contre le péché, contre Satan, contre le monde et la chair. Nous ne devons jamais céder à nos ennemis spirituels : nous connaîtrons alors un glorieux triomphe et une récompense dans le ciel. Tous ceux qui persévèrent « trouveront » tout en Christ : l'Arbre de vie, la perfection et la confirmation dans la sainteté et le bonheur, non pas ici-bas, mais dans le paradis céleste ! Ces termes ne sont pas fictifs, mais ils proviennent du récit du jardin d'Éden, dénotant les joies pures, satisfaisantes, et éternelles du ciel : nous pouvons les attendre en ce monde, par la foi, dans la communion avec Christ, avec les consolations du Saint-Esprit !

      Croyants, que votre « séjour » ici-bas, soit une véritable lutte : une vie de quiétude vous attend plus tard ; mais dans l’immédiat, la Parole de Dieu ne nous promet aucune tranquillité ni absence de conflits sur cette terre !

      8 Notre Seigneur Jésus est « le Premier », car c'est par Lui que toutes choses ont été faites ; Il était avant toutes choses, avec Dieu, et Il est Dieu lui-même. Il est aussi « le Dernier », car Il sera le Juge de tous. En tant que Premier et Dernier, Celui qui était mort et qui maintenant est vivant, est le Frère et l'Ami du croyant ; Il est riche dans la pauvreté la plus profonde, honorable dans l'humiliation la plus basse, et heureux sous la tribulation la plus lourde, comme l’était l'église de Smyrne.

      Beaucoup de riches ici-bas sont en fait des « pauvres » devant Dieu ; d’autres sont pauvres extérieurement, mais sont riches intérieurement : riches en la foi, en bonnes œuvres, libéraux pour octroyer des privilèges et des dons, et enfin, riches en espérance.

      Quand une âme jouit d’une spiritualité fervente, toute pauvreté extérieure éventuelle peut être très bien supportée ; quand le peuple de Dieu est pauvre en ce monde, mais qu’il dispose d’une bonne conscience envers Christ, ce Dernier fait abonder en eux la richesse spirituelle. Christ nous protège dans les difficultés que nous pouvons devoir subir. Il ne faut pas les appréhender ! Ne vous contentez pas « d'étouffer » toute crainte servile, mais subjuguez-la, en fortifiant votre âme, avec vigueur et courage ! Les problèmes surviennent pour nous éprouver, non pour nous détruire.

      Observez l’authenticité de la récompense, promise au verset Apocalypse 2:10* : « Je te donnerai » ; ces âmes recevront leur récompense de la propre main de Christ. On peut voir également ce qui lui est associé : « une couronne de vie » ; une existence passée au service du Seigneur, ou consacrée pour Sa cause, sera récompensée par une vie bien meilleure, une vie qui sera éternelle !

      La seconde mort est infiniment pire que la première : d’une part dans l’agonie, mais aussi parce qu’elle est éternelle ; il est déjà affreux de mourir, mais rester perpétuellement dans cet état...

      Si un homme est préservé de la seconde mort et de la colère divine, il peut patiemment endurer tout ce qu'il subira ici-bas !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      12 La parole de Dieu est une « épée », capable de tuer à la fois le péché et les pécheurs. Elle est capable de sévir en tous lieux ; le croyant, cependant, ne doit pas avoir peur de cette épée : il ne peut toutefois se placer sous sa protection, sans une entière obéissance à la Parole.

      Du fait que notre Seigneur remarque tous les avantages et les opportunités que nous pouvons avoir dans l’accomplissement de notre devoir, là où nous nous trouvons, Il est parfaitement capable de voir également nos tentations et nos découragements.

      Malgré cette situation d’épreuve, l'église de Pergame n'avait pas renié sa foi, ni par une apostasie manifeste, ni par un rejet du salut offert à la croix. Christ recommande aux membres de cette assemblée, une certaine fermeté, tout en réprouvant leurs échecs et leur culpabilité. Une mauvaise perception de la doctrine de l'évangile et de la liberté chrétienne était à l’origine de l'amertume qui avait provoqué les mauvaises pratiques de cette église.

      Le repentir est un devoir, au sein des assemblées, comme dans le cœur de chacun ; ceux qui ont commis un péché ensemble, doivent se repentir en commun. Nous trouvons dans ce texte une promesse, en faveur de ceux qui sont « vainqueurs ». Les influences et les consolations de l'Esprit de Christ descendent du ciel vers l'âme, en vue de réconforter cette dernière. Tout cela reste caché aux yeux du monde. Le nouveau nom, mentionné au verset Apocalypse 2:17*, est le nom d'adoption de la personne citée : quand le Saint-Esprit révèle Son action dans l'âme du croyant, le nouveau nom de ce dernier et son rôle véritable ici-bas sont alors parfaitement compris !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      18 Même si le Seigneur sait que les œuvres de Son peuple sont faites dans l'amour, la foi, le zèle, et la patience, si Ses yeux, tels une flamme de feu, voient les Siens s'engager dans une mauvaise direction, Il les réprimandera, les corrigera, ou les punira. Nous voyons, dans ce texte, la louange du ministère et du peuple de Thyatire, par Celui qui connaissait les principes par lesquels il agit. Les membres de cette église devinrent plus sages et meilleurs.

      Tous les chrétiens doivent désirer avec ferveur que leurs dernières œuvres puissent être les meilleures. Cependant, cette église de Thyatire « fermait les yeux » sur l’œuvre de certains séducteurs, de mauvaise réputation...

      Dieu est sage dans les jugements qu'Il exécute ; quand Il juge les « séducteurs », Il révèle à quel point Il connaît bien le cœur des hommes, leurs principes, leurs diverses conceptions et leur tempérament. Un encouragement est donné dans ce texte, à ceux qui veillent à rester purs et non souillés.

      Il est dangereux de mépriser le « mystère » de Dieu, et tout aussi périlleux d’adopter celui de Satan. Méfions-nous des profondeurs de Satan : celui qui en connaît le moins est le plus heureux. Combien Christ est tendre envers Ses fidèles serviteurs ! Il ne leur impose aucun joug, si ce n'est pour leur bien.

      Une grande récompense est promise au croyant persévérant et victorieux ; il bénéficiera de la connaissance et de la sagesse, nécessaires à l’exercice de son pouvoir et de son autorité dans le futur.

      Christ, par Sa venue, par Sa présence, apporte la Lumière dans l'âme : Lumière de la Grâce et de la Gloire ; quel bonheur de Le connaître en tant que Seigneur et Sauveur ! Après chaque victoire sur « l’ennemi », sachons garder notre avantage sur lui, pour que nous puissions le vaincre de nouveau éventuellement et garder les œuvres de Christ jusqu'à la fin !

      Apocalypse 3

      1

      Lettres à l'église de Sardes ; (Apocalypse 3:1-6)
      de Philadelphie ; (Apocalypse 3:7-13)
      et Laodicée. (Apocalypse 3:14-22)

      Le Seigneur Jésus est Celui qui a le Saint-Esprit, avec tous Ses pouvoirs et Ses grâces. L'hypocrisie, et la triste déchéance de la piété, sont des péchés reprochés à Sardes, par Celui qui connaissait bien cette église et toute son œuvre.

      Les apparences extérieures de cette église paraissaient bonnes aux yeux des hommes, mais en fait, il n’y avait qu’une forme de piété, sans aucune réelle puissance : cette assemblée avait un nom, mais aucun principe de vie. Les âmes et le service de cette communauté étaient véritablement « engourdis » ; beaucoup de membres étaient vraiment hypocrites, d'autres étaient dans un état désordonné, sans vie spirituelle.

      Notre Seigneur a appelé ces chrétiens : - À rester vigilants à l’encontre de leurs ennemis ; - À être actifs et sérieux quant à leur devoir ; - À s'efforcer, sous la dépendance de la Grâce du Saint-Esprit, de « ressusciter », de fortifier la foi et les affections spirituelles de ceux qui, bien que vivant pour Dieu, connaissaient néanmoins, un réel déclin.

      Toutes les fois que nous ne « veillons plus », nous perdons notre fondement spirituel. « Je connais tes œuvres », (verset Apocalypse 3:1)* : les prières ne sont pas remplies de saints désirs, les aumônes ne sont pas données avec une véritable charité, les sabbats ne sont plus suivis avec toute la dévotion de l'âme qui est due à Dieu... Aucun sentiment intérieur ne produit des actions et expressions extérieures ; quand l'Esprit est manquant, la ferveur spirituelle ne peut subsister bien longtemps.

      Dans la recherche d’un réveil, qu’il s’agisse de notre âme, ou de celle des autres, il est nécessaire de comparer ce que nous professons, avec la manière par laquelle nous avançons, afin que nous puissions être humbles et poussés à tenir fermement notre acquis spirituel.

      Christ renforce son conseil par une terrible menace envers cette église, si elle continuait d’emprunter la même voie, celle du non respect de Ses préceptes. Cependant notre Seigneur béni ne laisse pas ces chrétiens coupables, sans encouragements : Il mentionne honorablement ceux qui sont restés fidèles dans Sardes, Il leur adresse une promesse merveilleuse : celui qui vaincra sera vêtu d'un vêtement blanc ; la pureté de la Grâce sera récompensée avec la parfaite pureté de la Gloire ! Christ a Son livre de vie, le registre de tous ceux qui hériteront de la vie éternelle ; le livre des œuvres de tous ceux qui vivent pour Dieu, et qui entretiennent la vie et la puissance de la piété au temps de l’épreuve.

      Au grand jour du Jugement, Christ apportera ce livre de vie, et dévoilera les noms des fidèles, devant Dieu et tous les anges !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      7 Le Seigneur Jésus, « Le même » que Celui des chapitres précédents, a la clef du gouvernement et de l'autorité, « dans » et « sur » l'assemblée.

      Il ouvre différentes portes : - L'opportunité à Ses églises ; - L'expression à Ses serviteurs ; - La porte « d'entrée », Il ouvre le cœur.

      Il ferme également la porte : - Du ciel aux insensés, ceux qui sommeillent, bien loin de la Grâce ; - Des ouvriers d'iniquité, quel que soit leur degré de vanité et de vaine confiance.

      L'église de Philadelphie est complimentée, bien qu’un léger reproche lui soit adressé. Bien que Christ accepte ceux qui ne disposent que d'une force modeste, les croyants ne doivent pas se reposer pour autant, en se satisfaisant « de peu » ; ils doivent, au contraire, lutter, pour grandir dans la Grâce, en étant fermes dans la foi, en rendant gloire à Dieu !

      Christ est capable d’afficher Sa faveur envers Son peuple, afin que les ennemis de ce dernier soient forcés de Le reconnaître. Finalement, par la Grâce de Christ, ces personnes hostiles finiront par être moins menaçantes, ce qui peut les inciter à être admises dans la communion avec Son peuple.

      Christ promet de laisser Sa Grâce toujours disponible, à titre de récompense, pour la fidélité des Siens, même en période d’épreuve : « à quiconque a, il sera donné », Matthieu 13:12*.

      Ceux qui professent l'évangile en temps de paix, seront gardés par Christ à l’heure de tentation ; même la Grâce divine, qui les a rendus « fructueux » en temps de paix, les rendra fidèles au temps de la persécution. Christ promet une récompense glorieuse au croyant victorieux. Il sera un pilier monumental dans le temple de Dieu ; un monument de la Grâce divine, à la fois, libre et puissante ; ce racheté sera un « monument », qui ne pourra être détruit, ni ôté. Sur ce pilier sera écrit le « nouveau nom », celui de Christ !

      Toutes ces réalités révèleront que le croyant a mené « le bon combat », et qu'il a été victorieux !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      14 Laodicée était la dernière et la plus fautive des sept églises d'Asie. Dans ce texte, notre Seigneur Jésus se nomme lui-même « l'Amen », Celui qui est immuable et qui accomplit inéluctablement Ses desseins et Ses promesses. Christ attend des hommes qu'ils soient également immuables quant à leur conduite : combien de professeurs de la doctrine de l'évangile sont en effet ni froids, ni bouillants ; parfois, peut-être, restent-ils indifférents, face aux affaires importantes, et cependant, ardents et fervents dans les moindres !

      Une sévère punition est prononcée à l’encontre de cette église : ses membres donnent une fausse opinion de la chrétienté, laissant penser qu’il s’agit d’une religion profane ; par ce témoignage, certains pourraient conclure que le christianisme ne peut offrir de réelle satisfaction, sinon ses dirigeants n'auraient pas été si intransigeants, ou si prompts à rechercher le plaisir ou le bonheur dans le monde.

      L'autosuffisance est une des causes de cette tiédeur et de cette inconsistance de la religion : « parce que tu dis ». Quelle différence entre l’opinion de ces chrétiens sur eux-mêmes, et ce que pensait Christ à leur égard !

      Combien devrions-nous être prudents, afin de ne pas « abuser » notre âme ! En enfer, beaucoup de personnes pensaient être pourtant bien avancées sur le chemin du ciel... Implorons Dieu pour que nous ne puissions pas être séduits ni trompés par nous-mêmes ! Ceux qui enseignent la religion tombent facilement dans l'orgueil, devenant par là même charnels et conformistes.

      Dans cette église de Laodicée, les dirigeants étaient vraiment dans un état misérable : ils étaient pauvres, vraiment pauvres, alors qu'ils pensaient être riches ! Ils étaient incapables de discerner leur propre état, ni leur chemin, ni le danger qu’il pouvait encourir, cependant ils pensaient « voir ». Ils n'étaient pas parés de la justification, ni de la sanctification : ils étaient exposés au péché et à la honte ; leurs « haillons » les souillaient. Ils étaient pratiquement nus, sans maison ni abri, parce qu'ils étaient « sans Dieu », le Seul qui puisse donner repos et sécurité à l'âme.

      Christ donna une bonne recommandation à ces chrétiens coupables : heureux ceux qui suivent ce conseil, car tous les autres périront dans leurs péchés. Christ leur permet de savoir où se trouvent les vraies richesses, et comment ils peuvent les posséder. En fait, dans cette église, certaines valeurs, non capitales, devaient être abandonnées, afin de « faire place » aux véritables richesses : elle devait renoncer au péché et à sa confiance en elle-même, afin de pouvoir être remplie du « trésor caché » de Christ. Elle devait recevoir de ce Dernier, le vêtement blanc qu'Il avait acheté et qu'Il tenait à sa disposition, Sa propre Justice pour la justification, et Ses vêtements de sainteté pour la sanctification. L’assemblée de Laodicée devait se référer à la Parole de Dieu et à l’Esprit, afin que ses yeux puissent s’ouvrir et discerner le chemin qu’elle devait emprunter, et la fin qui lui était réservée.

      Examinons-nous nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, et prions avec ferveur pour connaître l'enseignement du Saint-Esprit, afin que disparaissent notre fierté, nos préjugés, et nos convoitises du monde. Les pécheurs doivent prendre les réprimandes de la Parole de Dieu et Sa verge, comme les signes révélateurs de Son amour envers nos âmes.

      Christ se tient à la porte : Il frappe, par les bienfaits de Sa Providence, par les avertissements et l'enseignement de Sa Parole, et par l’influence de Son Esprit. Christ, dans Sa Grâce, se tient à la « porte » du cœur des pécheurs, par Sa Parole et Son Esprit. Ceux qui Lui ouvrent auront le bonheur de pouvoir jouir de Sa présence. Si ce qu'Il trouve chez cette âme, ne peut constituer qu'un maigre repas, ce qu'Il apporte, en revanche, sera l’objet d’un riche festin ! Le Seigneur apportera la fraîcheur de Sa Grâce et de Sa Consolation.

      Dans la conclusion de cette lettre à Laodicée, nous trouvons une promesse pour le croyant, celui qui est « vainqueur ». Christ subit Lui-même des tentations et des conflits : Il les a tous vaincus, devenant ainsi plus qu'un Conquérant ! Ceux qui sont rendus semblables à Christ, dans Ses épreuves, seront rendus semblables à Lui, en Gloire !

      Le chapitre se termine par un appel à la vigilance : ces différents conseils, convenant parfaitement aux églises auxquelles ils ont été adressés, sont très instructifs pour nous tous !

      Apocalypse 10

      Apocalypse 14

      Apocalypse 19

      Apocalypse 21

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