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Ephésiens 6.5

Employés, obéissez à vos patrons d’ici-bas avec respect et sens des responsabilités, dans l’humilité et la droiture de votre cœur ; faites-le comme si vous vous trouviez au service du Christ lui-même.

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      Genèse 16

      Josué 24

      1 Chroniques 29

      Psaumes 86

      Psaumes 123

      Malachie 1

      6 Nous pouvons prendre personnellement compte, de ce dont les prêtres sont accusés dans ce texte

      Notre relation avec Dieu, notre Père et notre Maître, nous incite véritablement à Le craindre et à L'honorer. Les enfants d’Israël étaient vraiment méprisants à l’égard des avertissements divins, et se moquaient des réprimandes de l’Éternel. Les pécheurs courent à leur ruine en tentant de se disculper par tous les moyens possibles, face à leur condamnation.

      Ceux qui vivent sans mettre en pratique leur piété, sans craindre le Seigneur et qui L’abandonnent graduellement sans s’inquiéter, ceux là semblent annoncer que « la table de l'Éternel est méprisable. »

      Les enfants d’Israël, par leurs diverses pratiques, méprisaient le Nom de Dieu. Il est évident qu'ils ne comprenaient pas réellement la signification des sacrifices, en tant « qu’image » de la venue de l'Agneau de Dieu, sans défaut, qui devait venir ici-bas pour être sacrifié sur la croix ; ils lésinaient sur les dépenses relatives à ces sacrifices, qu'ils pensaient inutiles, puisqu'elles ne leur rapportaient aucun profit !

      Si nous simulons notre adoration pour Dieu, sans en éprouver réellement toute la profondeur, nous apportons « une bête aveugle » pour être sacrifiée (verset huit ;) si nous adorons le Seigneur avec négligence, si nous sommes froids de cœur ou sans ferveur, nous offrons « une bête boiteuse et malade » (verset huit ;) si nous laissons de vaines pensées nous distraire, nous offrons au Seigneur ce qui est dérobé. Toutes ces offrandes ont vaines. N'est-ce pas un grand affront que nous adressons à Dieu, et un grand tort que nous faisons à notre âme ? Pour que nos offrandes spirituelles soient agréées auprès de Dieu, il ne suffit pas de tenter pratiquer le bien, mais de le faire convenablement, « pour le Seigneur, », dans un but louable. Les bénédictions constantes de Dieu risquent parfois de nous « endormir spirituellement », ou de nous rendre paresseux vis à vis de Son service.

      Notre adoration spirituelle doit être fervente. Notre « encens », qui représente la prière et la louange, doit être offert au Nom du Seigneur Cela doit être une « offrande » pure. « Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, » (Jean 4:23)*.

      Nous pouvons dépendre de la Miséricorde divine pour le pardon de nos iniquités, mais pas de l'indulgence du Seigneur, quant à nos péchés à venir. Si nous manifestons un esprit de bonne volonté pour nous rapprocher du Seigneur, nous serons acceptés, même si nous sommes encore imparfaits ; mais si nous nous approchons de Lui, avec un esprit hypocrite et trompeur, nous servons en fait Satan et toutes ses convoitises : attendons-nous, en conséquence, à subir toutes sortes de malédictions...

      De nos jours, beaucoup de personnes hélas, profanent, de différentes façons, le Nom du Seigneur : elles polluent « Sa table » et montrent un réel mépris envers l’adoration qu’elles sont censées Lui apporter...

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 6

      Matthieu 8

      Actes 2

      Actes 10

      1 Corinthiens 2

      1 Corinthiens 7

      2 Corinthiens 1

      12 Étant pécheur, l'apôtre Paul n'aurait pu se glorifier qu’en Christ seulement, mais d’autre part étant en plus croyant, il peut se réjouir et Lui rendre gloire, étant réellement en accord avec ce qu'il professait.

      Notre conscience nous témoigne de l’état du déroulement de notre vie. De ce fait nous ne pouvons nous juger nous-mêmes sur un seul acte. Nous tiendrons d’excellents témoignages, si nous vivons et agissons avec de tels principes, basés sur la Grâce, agissant dans le cœur. Grâce à cette dernière, nous pouvons laisser tout ce qui caractérise notre personnalité entre les mains du Seigneur, en utilisant tous les moyens pour « l'affiner », lorsque les ordonnances de l’Évangile, nous y appellent ponctuellement.

      2 Corinthiens 7

      2 Corinthiens 11

      Ephésiens 1

      1

      Cette épître a été écrite lorsque Paul était prisonnier à Rome. Il semble que le but de ce livre soit de fortifier les Éphésiens dans la foi en Christ, en soulignant la grandeur de l’Amour de Dieu, la dignité et l'excellence de Christ, ce qui ne pouvait qu’affermir leur esprit, quant au scandale de la croix.

      L’apôtre révèle aux Éphésiens qu'ils ont été sauvés par grâce ; bien qu'étant jadis misérables, ils avaient désormais les mêmes privilèges que les Juifs. Il les encourage à persévérer dans leur vocation chrétienne, et les invite à « marcher » d'une manière digne de leur profession de foi, décrivant fidèlement les devoirs inhérents à la piété, envers leur entourage, comme dans leur vie privée.

      * Salutation, et description des bénédictions spirituelles, préparées dans l'élection éternelle de Dieu, et acquises par le sang de Christ. (Ephésiens 1:1-8) Ces bénédictions se concrétisent dans la vocation spirituelle des Juifs, comme dans celle des Païens qui croient. (Ephésiens 1:9-14) L'apôtre remercie Dieu pour leur foi et leur amour ; il prie pour l’affermissement de leurs connaissances et l’espérance de « l'héritage céleste », par l'œuvre puissante que Dieu opère en eux. (Ephésiens 1:15-23)

      Ephésiens 1:1,2 Tous les chrétiens doivent être des « saints » ; s'ils ne parviennent pas à cet état ici-bas, ils ne le seront jamais devant la gloire du trône céleste.

      Ceux qui ne placent pas réellement leur confiance en Christ, n’ayant de ce fait qu’une relation spirituelle limitée avec leur Seigneur, ne peuvent être de véritables « saints ». Quand on mentionne la Grâce, il faut bien comprendre ce que représente l'Amour gratuit et immérité de Dieu, avec les bénédictions qui proviennent de l'Esprit ; quand on parle de la Paix que nous accorde le Seigneur, on inclut tous les soutiens qu’apporte la Providence, spirituels et matériels.

      Il n'y a aucune Paix sans la Grâce. Aucune des deux ne peut provenir autrement que de Dieu le Père, et du Seigneur Jésus-Christ ; ceux qui pratiquent une piété vraiment fervente ont besoin de nourriture « fraîche », provenant des grâces de l'Esprit, ils désirent grandir spirituellement !

      3 Les bénédictions spirituelles et célestes sont les meilleures qui puissent être : elles nous protègent de toute misère et sans elles nous ne pourrions réellement vivre.

      Les Éphésiens, par leur « élection » en Christ, avant la fondation du monde, et leur choix de vivre en Lui, ont été rendus saints, par leur séparation d’avec le péché : ils ont été mis à part pour Dieu et sanctifiés par le Saint-Esprit.

      Tous ceux qui sont à la recherche du véritable bonheur, doivent opter pour une vie de sainteté. Les Éphésiens étaient prédestinés à devenir enfants de Dieu, par la foi en Jésus-Christ : ils pouvaient ainsi jouir ouvertement des privilèges d’une telle relation avec ce Dernier.

      Le croyant, pécheur pardonné, réconcilié et « adopté » par le Père, dans Sa Grâce, Lui adresse en retour ses louanges. L’Amour du Père, qui a débouché sur cette rédemption, n'a cependant pas épargné Son propre Fils, pour que les croyants puissent entendre le message du salut et l’adopter. Quelle merveilleuse Grâce, de nous avoir fait un tel don !

      Cette Grâce ne doit pas nous encourager à continuer la pratique du péché, mais elle nous montre toute son horreur, et le prix exorbitant qu’il fallait payer pour l’effacer. Les croyants, par leurs actes et leurs paroles, doivent témoigner de la grandeur de la Miséricorde Divine.

      9 Le plan de Dieu a été révélé aux croyants, pour leur montrer le mystère de Sa souveraine Volonté, ainsi que le moyen d’accéder à la Rédemption et au salut.

      Ce plan nous aurait été caché pour toujours, si Dieu ne nous l'avait pas fait connaître dans Sa Parole, par l’Évangile et l'Esprit de vérité. Christ, en Sa propre Personne, a réuni Dieu le Père avec l'homme, détruisant ainsi le mal qui était à l’origine de leur séparation. Il a apporté aux croyants, par son Esprit, la foi et l’amour, par lesquels nous ne sommes désormais, « qu’un » avec Dieu.

      Christ dispense toutes Ses bénédictions selon son bon plaisir. Par Son enseignement divin, selon Sa Volonté, Il conduit le racheté à connaître la grandeur de Sa Vérité, alors que les incrédules continuent à blasphémer Ses Paroles. Quelle promesse, pleine de Grace, représente le don du Saint-Esprit, à ceux qui le Lui demandent ! Le réconfort du Saint-Esprit réunit les croyants : ce sont les enfants de Dieu et les héritiers du ciel. Ils connaissent ainsi les prémices de la félicité éternelle.

      C’est pour cette raison que nous avons été créés et que nous avons été rachetés ; tel est le grand dessein de Dieu, dans toute Son œuvre pour nous ; puissions-nous Lui offrir toute notre louange, à Sa Gloire !

      15 Dieu nous a accordé de nombreuses bénédictions spirituelles en Son Fils, le Seigneur Jésus ; mais Il exige que nous les Lui demandions par la prière. Même les chrétiens les plus fervents ont besoin de prier dans ce sens : nous devons nous soucier du bien-être de nos frères dans le Seigneur et prier pour eux.

      Même les véritables croyants ont grandement besoin de la Sagesse céleste. Même le chrétien le plus fervent hésite parfois à se placer sous le joug du Seigneur, alors qu'il n'y aurait pas d'autre solution pour son âme, pour trouver le repos. Pour un modeste plaisir, ne renonçons-nous pas souvent à la Paix que Jésus nous offre ? Si nous nous disputions moins, si nous cherchions à prier davantage avec les autres et pour les autres, nous devrions voir quotidiennement l'espérance de notre vocation spirituelle et la richesse de la gloire Divine de notre héritage céleste !

      Nous devons désirer avec ardeur la puissance de la Grâce de Dieu, afin que « l'œuvre de la foi » puisse croître en notre âme. Il est difficile d'amener une personne à croire totalement en Christ, à tout « miser » sur Lui, et à baser son espérance de vie éternelle sur Sa justice. Nul autre pouvoir que celui du Tout-puissant ne peut initier cette œuvre en nous.

      Il est signifié dans ce texte que Christ est le Sauveur, Celui qui pourvoit aux nécessités de ceux qui placent leur confiance en Lui. Il accorde toutes Ses bénédictions, dans une grande abondance. En étant « participants » de Christ, nous sommes remplis de la plénitude de la Grâce et de Sa Gloire. Comment peut-on chercher la justice hors de Jésus-Christ ?

      Ce texte nous enseigne à venir à Christ. Si nous connaissions le résultat de notre « appel », et toutes les bénédictions que nous pouvons trouver en Lui, nous nous approcherions certainement plus rapidement pour en bénéficier !

      Lorsque nous ressentons notre faiblesse et le pouvoir de nos ennemis, nous percevons davantage la grandeur et la puissance qui résident dans chez le croyant qui est engagé dans la voie da la sanctification. Cette pensée nous contraindra, par amour pour notre Rédempteur, à vivre à Sa Gloire !

      Ephésiens 5

      22 Les épouses doivent rester soumises à leurs maris, « dans » le Seigneur : cela implique qu’elles doivent les honorer et leur obéir, par amour pour eux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leurs épouses.

      L'amour de Christ pour l'église nous sert d’exemple : un exemple sincère, pur et constant, malgré les « chutes » éventuelles de cette dernière. Christ s'est donné Lui-même pour l'Église, afin qu'Il puisse la sanctifier en ce monde et la glorifier, plus tard, dans le ciel ; Il s’est sacrifié pour elle, afin de donner à tous ses membres, par l’influence du Saint-Esprit, (dont l'eau du baptême est la représentation extérieure), un principe de sainteté et les délivrer de toute culpabilité, de toute pollution spirituelle et de tout esclavage provoqué par le péché.

      L'Église et les croyants ne seront pas sans taches ni sans rides, tant qu'ils ne seront pas parvenus à connaître la gloire céleste. Seuls ceux qui sont sanctifiés, pourront ensuite être glorifiés.

      Les paroles mentionnées par l'apôtre, relatives au mariage, rappellent celles concernant Adam et Ève, dans la Genèse ; elles ont cependant un sens complémentaire, en ce qui concerne l'union entre Christ et Son église. Cette union est évidemment une allégorie.

      S’il peut y avoir des échecs et des chutes dans cette relation Christ-Église, à cause de notre nature humaine, cela ne change rien quant à l’existence réelle de cette union.

      Tous les devoirs concernant le mariage sont contenus dans l'unité et l'amour. Pendant qu’au sein de l’Église, nous adorons Christ et que nous nous réjouissons dans Son amour condescendant, les maris et leurs épouses apprennent ici quels sont leurs devoirs mutuels. Si cette ordonnance biblique était mieux respectée, les plus terribles épreuves conjugales pourraient être prévenues et leurs conséquences douloureuses seraient ainsi évitées.

      Ephésiens 6

      Philippiens 2

      12 Nous devons nous appliquer à utiliser avec persévérance, tous les moyens qui conduisent à « faire fructifier » notre salut, tant que la vie nous est accordée ici-bas. Œuvrons fidèlement, de peur que malgré les bénédictions célestes reçues, nous entretenions une certaine oisiveté.

      « Travaillons à notre salut » car Dieu agit en nous. Ceci nous encourage à faire le maximum en la matière, parce que notre labeur ne sera pas vain : nous dépendons toujours de la Grâce divine. L'œuvre de la Grâce de Dieu consiste à nous donner la vie spirituelle et à motiver nos efforts. La Volonté de Dieu à notre égard est, à l’origine, Son œuvre excellente en nous.

      Accomplissez votre devoir avec bonne volonté, sans le critiquer éventuellement. Soyez assidu quant à l’exécution de votre travail, qu’il ne soit pas pour vous une occasion de chute. Dans un esprit de paix, ne donnez aucune possibilité aux autres de vous chercher querelle.

      Les enfants de Dieu doivent être différents des impies. Plus ces derniers sont pervers, plus nous devons chercher à garder notre intégrité professionnelle. La doctrine et l'exemple des véritables croyants finiront par persuader ceux qui nous entourent, ils dirigeront leur chemin vers Christ et la sainteté, tout comme un phare prévient les marins, pour qu'ils évitent les rochers, dirigeant ainsi leur course vers le port.

      Essayons de « briller ainsi ! » L'Évangile est la Parole de vie, Il nous fait connaître la vie éternelle au travers de Jésus-Christ.

      Une course sportive est synonyme de plein engagement et de vigueur, d'avance continuelle ; le travail exige de la constance, et une ferme application. Dieu désire avant tout que les croyants soient nombreux à se réjouir ; ceux qui ont la chance de bénéficier du service de fidèles serviteurs de Dieu ont de grandes raisons de se réjouir avec eux !

      Colossiens 3

      18 Les épîtres, surtout destinées à afficher la gloire de la Grâce Divine, et à magnifier le Seigneur Jésus, montrent explicitement quels sont les devoirs de la vie chrétienne. En fait, nous ne devons jamais séparer nos privilèges, des devoirs que nous dicte l'Évangile.

      Les épouses doivent être soumises à leur mari. Il ne s’agit pas ici d’une soumission « aveugle », à un seigneur violent, ni à un tyran sévère, mais à leur propre mari, ce qui doit être un véritable engagement et un devoir affectueux. Les maris, quant à eux, doivent aimer leur épouse avec une tendre et fidèle affection. Quant aux enfants obéissants, ce sont les plus aptes à prospérer. Les parents doivent les élever avec tendresse.

      Les serviteurs doivent s’appliquer à leur tâche et obéir aux ordres de leurs maîtres en tous points, accomplissant ainsi leur devoir envers Dieu, leur Maître céleste. Ils doivent être à la fois, justes et appliqués, sans préjugés égoïstes, sans hypocrisie, ni fausse conduite. Les serviteurs qui craignent Dieu sont justes et fidèles lorsqu'ils œuvrent sous le regard de leur maître, car ils savent que Dieu les regarde également. Ils travaillent avec diligence, efficacement et sans paresse ; ils accomplissent leur tâche dans la joie, satisfaits de constater que la Providence divine les a placés ainsi. Pour encourager de tels serviteurs, qu'ils sachent qu'en servant leurs maîtres, sous le regard de Christ, ils servent en fait ce Dernier, qui, à la fin, leur attribuera leur récompense glorieuse. Par contre, celui qui accomplit mal sa tâche recevra sa juste rétribution. Dieu punira le serviteur injuste, comme Il récompensera celui qui est fidèle ; il en va de même pour les maîtres qui agissent mal envers leurs subordonnés : le Juge de la terre agira en toute Justice envers ces maîtres et ces serviteurs. Les deux se tiendront sur une « balance », au jour du Jugement.

      La véritable piété pourrait vraiment rendre le monde heureux, si elle prédominait en tous lieux, influençant chaque situation et chaque relation de vie ! Mais les contestataires permanents, peu soucieux d’accomplir leurs devoirs, se trompent eux-mêmes, tout en adressant leurs reproches injustifiés à l'Évangile.

      1 Timothée 6

      1

      Le devoir des chrétiens envers leurs maîtres, croyants ou non. (1 Timothée 6:1-5)
      L'avantage du contentement dans la piété. (1 Timothée 6:6-10)
      Une exhortation solennelle à Timothée, d'être fidèle. (1 Timothée 6:11-16)
      L'apôtre répète son avertissement envers les riches ; il termine par une bénédiction pour tous. (1 Timothée 6:17-21)

      Les chrétiens mentionnés dans cette épitre ne devaient pas estimer que leur connaissance des Écritures ou leurs bénédictions spirituelles leurs donnaient le moindre droit de mépriser leurs maîtres païens ; ils ne devaient pas supposer qu’il soit possible de désobéir à leurs ordres, ni de les dénigrer, en soulignant leurs manquements éventuels.

      Les chrétiens de l’époque de Paul, ayant le privilège de servir des maîtres croyants, ne devaient pas se permettre de les priver du respect qui leur était dû, même s'ils étaient sur un pied d’égalité vis-à-vis de leurs privilèges religieux. Ils devaient toutefois les servir avec une grande assiduité, avec bonne humeur, à cause de leur foi en Christ, et en tant que « participants » de Son salut gratuit.

      Nous devons rester prudents, face aux diverses insanités de ce monde, accordons par contre toute notre confiance en la Parole de notre Seigneur Jésus-Christ ; sachons Lui accorder notre adhésion totale. D'une façon générale, ce sont les prétentieux qui possèdent le moins de connaissances, en fait, ils se surestiment eux-mêmes !

      De l’orgueil proviennent les convoitises, les conflits, les railleries, les mauvais soupçons, les différends, avec toutes sortes de vaines subtilités ; ces personnes orgueilleuses, aux esprits corrompus et charnels, ignorent tout de la Vérité divine et du pouvoir de la Rédemption du Seigneur. Ces âmes ne recherchent en fait que les plaisirs et les privilèges de ce monde...

      Tite 2

      9 Les serviteurs doivent connaître et accomplir leur devoir à l'égard de leurs maîtres, ici-bas, mettant ainsi à l’honneur leur Maître Céleste.

      Quand un serviteur sert son maître, conformément à la volonté de Christ, il sert en fait ce Dernier, et bénéficiera des récompenses promises. Le serviteur ne doit pas tenir un langage irrespectueux ni provoquant, mais doit savoir accepter toute remarque et réprimande en silence, sans formuler de répliques impertinentes.

      Lorsque l'on est conscient d'avoir commis une faute, le fait de vouloir l'excuser ou la justifier ne fait que l’amplifier.

      Un serviteur ne doit jamais mettre à profit ce qui appartient à son maître, ni gaspiller les biens dont on il a la responsabilité. Il doit être fidèle, faire prospérer les biens de son maître, veiller à sa prospérité.

      Si vous n'avez pas été fidèle dans la gestion des biens des autres, qui vous récompensera ? Luc 16:12

      La véritable piété est un honneur pour ceux qui la professent ; ils doivent la mettre en valeur dans toutes leurs tâches !

      Philémon 1

      1 Pierre 2

      18 À l’époque de la rédaction de cette lettre, les serviteurs, étaient généralement des esclaves, sous l’autorité souvent cruelle de maîtres païens ; l'apôtre Pierre, exhorte cependant ces serviteurs, à être soumis à leurs maîtres, placés au dessus d’eux par la Providence, dans le soucis de ne pas déshonorer, ni d'offenser Dieu.

      Ces serviteurs devaient rester soumis, non seulement envers les maîtres qui manifestaient une autorité raisonnable, mais également envers ceux qui étaient durs et sévères, se fâchant injustement.

      La sévérité coupable d'un maître, vis-à-vis de son serviteur, ne justifie pas un mauvais comportement de la part de ce dernier ; un serviteur est destiné à accomplir son devoir, même si le maître est « pointilleux » et pervers. De leur côté, les maîtres doivent être bons et doux envers leurs domestiques et leurs subordonnés.

      Quelle gloire, ou quelle distinction y a-t-il, pour ceux qui professent être chrétiens, d'être patients quand ils sont corrigés pour leurs fautes ? Mais lorsqu'ils se sont bien conduits, tout en ayant été maltraités par des maîtres païens orgueilleux et emportés, ayant tout supporté, sans plaintes, ni pensées de vengeance, tout en persévérant dans leur devoir, ceci sera accepté favorablement par Dieu, dans Sa Grâce.

      La mort de Christ a été considérée par Dieu, non seulement comme un exemple de patience et de souffrance, mais par elle, Il a porté nos péchés ; Il en a subi le châtiment, et a de cette façon, satisfait la Justice divine. Par cet acte, Christ a « effacé » nos fautes. Les « fruits » des souffrances de Christ sont la mort au péché, et une nouvelle vie, dans la sainteté et la justice ; ces deux derniers éléments témoignent de la puissance de la mort et la résurrection de Christ, pour notre justification ; Christ a été meurtri et crucifié pour nos péchés ; par les marques des coups de fouet, lors de Son arrestation, les maladies de notre âme ont été guéries !

      L’homme, dans son péché et sa misère, avance délibérément vers l'égarement ; il erre, loin du pâturage, du Berger, et du troupeau, s'exposant à des dangers sans nombre. La conversion lui permet de retrouver le bon chemin et de bénéficier de la Grâce divine. Le pécheur repenti retourne ainsi à vers le bon Berger, vers Christ. Les impies, avant leur conversion, sont égarés en permanence ; leur vie est une constante erreur.

      1 Pierre 3

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