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Esaïe 27.1

En ce jour, l’Éternel châtiera De sa dure, grande et forte épée Léviathan, serpent fuyard, Léviathan, serpent tortueux ; Et il tuera le monstre qui est dans la mer.

Le soin de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 27:1-5)
Le rappel des promesses divines. (Esaïe 27:6-13)

Le Seigneur Jésus, avec cette épée redoutable, qu'est la croix et par la prédication de Son évangile, détruira celui qui possède la puissance de la mort, c'est-à-dire, le diable, ce serpent ancien.

Le monde est un désert stérile et sans valeur; par contre, l'église est une « vigne », un lieu bien particulier où elle est soigneusement choyée, et où ses fruits précieux sont recueillis. Dieu la gardera pendant la « nuit » de l'affliction et de la persécution, aux jours dangereux de la tentation, comme en ceux où règnent la paix et la prospérité. Dieu prend soin également de la productivité de cette vigne.

Nous avons sans cesse besoin des « aspersions » continuelles de la Grâce divine ; si elles devaient être soudainement ôtées, nous dépéririons, et serions réduits à néant. Bien que Dieu se dresse parfois contre Son peuple, Il use de patience malgré tout, dans Sa Grâce, en vue de se réconcilier avec lui. Il est vrai, que lorsqu'Il trouve des ronces et des épines au lieu d'une vigne, Il les entasse en un lieu où elles seront alors brûlées.

Telle est, en quelques mots, la doctrine de l'évangile, par laquelle l'église doit être vivifiée à chaque instant. Depuis que le péché est entré dans le monde, il y a toujours eu, de la part de Dieu, une lutte en faveur de la sainteté, alors que l'homme, de son côté, cédait à l'impiété.

Une invitation à la Grâce divine nous est donnée. La Miséricorde et le Pardon manifestent la Puissance de notre Seigneur ; sachons bien tenir compte de cet état de fait !

Christ crucifié représente la Puissance divine. Sachons, par une foi vivante, saisir cette force spirituelle : elle s'adresse à l'indigent, à celui qui croit qu'il n'y a aucun autre Nom par lequel nous pouvons être sauvés, à l'homme qui, à la dérive et en perdition, s'accroche désespérément à une branche spirituelle. C'est le seul moyen, le plus sûr, par lequel nous pouvons être sauvés.

Dieu est toujours disposé à se réconcilier avec nous !

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      Deutéronome 32

      Job 3

      Job 12

      1

      Job réprimande ses amis. (Job 12:1-5)
      Il est fréquent que le méchant prospère. (Job 12:6-11)
      Job parle de la sagesse et de la puissance de Dieu. (Job 12:12-25)

      Job réprimande ses amis, au sujet de la haute opinion qu'ils avaient de leur propre sagesse, comparée à la sienne. Nous avons tendance à ne retenir que les réprimandes et les reproches des critiques dont nous sommes l'objet, si l'on reçoit, en plus, des conseils et des avertissements ; c'est une erreur ; ce texte en est un exemple.

      Job a discerné le véritable motif de la conduite de ses amis : ils ont dédaigné le patriarche alors qu'il était tombé dans une pauvreté totale.

      C'est une démarche typique du monde : quand l'homme juste et droit passe sous l'ombre d'un nuage, il est souvent méprisé par les autres.

      6 Job en appelle aux faits. Les voleurs les plus audacieux, les oppresseurs et les impies, prospèrent souvent. Cette prospérité n'est pas due à la fortune ou la chance ; le Seigneur dirige toutes ces choses. À Ses yeux, la prospérité de ce monde a bien peu de valeur : il a de bien meilleures choses réservées pour Ses enfants. Job est convaincu que Dieu est le Maître absolu dans l'octroi des avantages donnés à toutes Ses créatures. Le patriarche réclame à ses amis la liberté de pouvoir examiner leurs propos ; il désire les juger avec équité.
      12 Nous trouvons ici un beau discours de Job, relatif à la Sagesse, à la Puissance et à la Souveraineté de Dieu : c'est Lui qui dirige toutes les affaires des hommes, selon Sa volonté, à laquelle nul ne peut s'opposer. Il serait bien que les hommes sages et bons de ce monde, différents des autres sur de nombreux points, voient combien il serait profitable, pour leur honneur, leur réconfort et leur bonté envers les autres, d'adhérer davantage aux grands principes de la Parole, auxquels ils consentent indirectement. Dans ce texte, nous ne trouvons aucune plainte, aucun avertissement. Job donne beaucoup d'exemples de la puissante administration des hommes par Dieu, qui outrepasse tous leurs conseils, et surmonte toutes leurs oppositions. Possédant toute Force et Sagesse, Dieu sait utiliser chaque personne, même celle qui peut paraître sotte et mauvaise ; il y a tellement peu de sagesse et d'honnêteté en ce monde, que depuis longtemps, tout ne serait que ruine et confusion, sans l'intervention de Dieu.

      Ces vérités importantes ont été citées pour convaincre les amis du patriarche, que leurs critiques étaient sans fondement, essayant de les justifier devant le Seigneur, pour affliger Job ; si les voies du Seigneur sont impénétrables, Ses jugements sont équitables. Remarquez les belles illustrations mentionnées dans la Parole de Dieu, confirmant Sa Souveraineté et Sa Sagesse : le fait le plus grand et le plus important est que le Seigneur Jésus ait été crucifié par la méchanceté des juifs ; mais qui, à part le Seigneur, aurait pu soupçonner que cet événement deviendrait en fait le salut du monde ?

      Job 26

      Job 40

      Psaumes 45

      Psaumes 74

      Psaumes 104

      Esaïe 26

      Esaïe 27

      1

      Le soin de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 27:1-5)
      Le rappel des promesses divines. (Esaïe 27:6-13)

      Le Seigneur Jésus, avec cette épée redoutable, qu'est la croix et par la prédication de Son évangile, détruira celui qui possède la puissance de la mort, c'est-à-dire, le diable, ce serpent ancien.

      Le monde est un désert stérile et sans valeur; par contre, l'église est une « vigne », un lieu bien particulier où elle est soigneusement choyée, et où ses fruits précieux sont recueillis. Dieu la gardera pendant la « nuit » de l'affliction et de la persécution, aux jours dangereux de la tentation, comme en ceux où règnent la paix et la prospérité. Dieu prend soin également de la productivité de cette vigne.

      Nous avons sans cesse besoin des « aspersions » continuelles de la Grâce divine ; si elles devaient être soudainement ôtées, nous dépéririons, et serions réduits à néant. Bien que Dieu se dresse parfois contre Son peuple, Il use de patience malgré tout, dans Sa Grâce, en vue de se réconcilier avec lui. Il est vrai, que lorsqu'Il trouve des ronces et des épines au lieu d'une vigne, Il les entasse en un lieu où elles seront alors brûlées.

      Telle est, en quelques mots, la doctrine de l'évangile, par laquelle l'église doit être vivifiée à chaque instant. Depuis que le péché est entré dans le monde, il y a toujours eu, de la part de Dieu, une lutte en faveur de la sainteté, alors que l'homme, de son côté, cédait à l'impiété.

      Une invitation à la Grâce divine nous est donnée. La Miséricorde et le Pardon manifestent la Puissance de notre Seigneur ; sachons bien tenir compte de cet état de fait !

      Christ crucifié représente la Puissance divine. Sachons, par une foi vivante, saisir cette force spirituelle : elle s'adresse à l'indigent, à celui qui croit qu'il n'y a aucun autre Nom par lequel nous pouvons être sauvés, à l'homme qui, à la dérive et en perdition, s'accroche désespérément à une branche spirituelle. C'est le seul moyen, le plus sûr, par lequel nous pouvons être sauvés.

      Dieu est toujours disposé à se réconcilier avec nous !

      Esaïe 34

      Esaïe 51

      9 Ceux qui ont été rachetés par le sang de Christ, par Sa Puissance, sauront trouver une merveilleuse délivrance, quand leurs ennemis les attaqueront. Celui qui a éprouvé tant d'Amour et de compassion à notre égard, ne saurait-il pas nous secourir au temps voulu ? En ce monde de changements, ce qui sépare la joie de la douleur est bien mince; les épreuves sont d'ailleurs bien imprévisibles !

      Les enfants d'Israël prièrent l'Éternel pour qu'Il leur dispense sa Puissance ; ce Dernier leur répondit par les consolations qu'offre Sa Grâce.

      Si nous cherchons à éviter de commettre le péché, nous ne craindrons pas les menaces que pourraient proférer les hommes. à notre intention. Heureux celui qui craint Dieu en permanence ! L'église de Christ saura toujours apprécier la sécurité trouvée dans la Puissance et la Providence du Tout-Puissant !

      Esaïe 65

      Esaïe 66

      Jérémie 47

      Jérémie 51

      Ezéchiel 29

      Ezéchiel 32

      Apocalypse 2

      Apocalypse 12

      7 Les tentatives du « dragon » contre l’Église se sont avérées vaines et lui furent fatales. Cette guerre s’est tenue dans le ciel ; dans l'Église de Christ, le « royaume des cieux » se situe ici-bas.

      Lors de ce combat, les parties en présence étaient : d’un côté, Christ, le grand Ange de l'alliance, avec Ses fidèles partisans, et de l’autre, Satan et ses serviteurs. Toute la force de l'Église réside en Jésus, le « Capitaine de son salut ».

      L'idolâtrie païenne, consistant en l'adoration des démons, a été chassée par le déploiement du Christianisme. Le salut et la force de l'Église ne sont imputés qu’au « Roi des rois », qui en est la Tête. L'ennemi conquis (Satan), déteste la présence divine, cependant il est disposé à paraître dans les cieux, pour accuser les enfants de Dieu. Prenons garde à ne donner à Satan, aucun motif d’accusation, en ce qui nous concerne ; lorsque nous avons péché, allons devant le Seigneur et soumettre notre cause à Christ, notre Avocat.

      Les serviteurs de Dieu ont vaincu Satan par le sang de l'Agneau. Grâce à leur témoignage et à la Puissance divine, la prédication de l'Évangile est suffisante, pour faire tomber les mauvaises influences. Par leur courage, leur patience et leurs souffrances, ces serviteurs ont consacré leur vie, à la cause de Christ. Ils ont été les « guerriers armés » par lesquels le Christianisme a renversé le pouvoir de l'idolâtrie païenne ; si les chrétiens actuels avaient continué à lutter avec ces armes, leurs victoires sur le mal auraient été plus nombreuses et plus glorieuses, avec des effets plus durables.

      Les rachetés ont vaincu « l’ennemi » par une simple confiance dans le sang de Christ, le seul Fondement de leur espérance. Sachons les imiter, sans jamais céder à toute faiblesse envers cet ennemi !

      12 L'Église et tous ses fidèles pourraient bien être appelés à implorer Dieu pour qu’Il les délivre de la persécution païenne, et des épreuves qui peuvent les attendre.

      Le désert est un lieu de désolation, rempli de serpents et de scorpions, un endroit inhospitalier, dépourvu de vivres ; c’est cependant un lieu où l’on peut trouver une certaine sécurité, tant que l’on reste isolé. Mais la fuite de la femme, mentionnée dans ce texte, n'a pas pu la protéger. Le fleuve sortant de la bouche du serpent est interprété par beaucoup de lecteurs comme l’image des diverses invasions barbares, qui ont accablé l'Occident ; en effet, les païens encourageaient ces attaques, dans l'espoir de détruire le Christianisme... Mais en fait les impies, motivés par leurs divers intérêts ici-bas, protégeaient l'Église de ces différents tumultes, si bien que le renversement de ces empires n'a pas favorisé l’idolâtrie.

      Ce « fleuve » peut être aussi interprété comme une « inondation » d'erreurs, risquant de submerger et de chasser l'Église. Le diable, contrecarré dans ses mauvais desseins envers l'Église, manifesta sa rage contre ses « résidus » (verset dix-sept*).

      Restons fidèles à Dieu et à Christ, quant à la doctrine de la Parole, l'adoration et l’exercice de la piété : tout est exposé à la rage de Satan ; appliquons-nous dans cette tâche jusqu'à ce que le dernier ennemi soit détruit !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Apocalypse 13

      1

      Une bête sauvage monte de la mer, le dragon lui donne son autorité. (Apocalypse 13:1-10)
      Une autre bête à deux cornes surgit, telle un agneau, mais parlant comme un dragon. (Apocalypse 13:11-15)
      Elle oblige toutes les personnes qui lui sont consacrées à adorer son image et à recevoir sa marque. (Apocalypse 13:16-18)

      L'apôtre Jean, se tenant sur le rivage, vit une bête sauvage sortir de la mer ; elle possédait un pouvoir tyrannique, idolâtre et persécuteur, occasionnant différents troubles.

      Cette bête était un monstre effroyable ! Elle semble représenter une domination oppressante du monde, qui, durant de longues périodes, même du temps de la captivité babylonienne, avait été hostile à la piété.

      Cette première bête commença à opprimer et à persécuter les saints, au nom de la justice : cette fois, ils souffrirent davantage que ceux qui subirent les sévices de la quatrième bête de Daniel, (l'Empire romain), qui les affligea par de nombreuses et cruelles persécutions.

      L’autorité de cette bête provenait du dragon. Elle était instaurée par le diable, qui la soutenait. Sa blessure à la tête peut représenter l'abolition de l'idolâtrie païenne, et sa guérison, l’introduction de la vénération du pape : il s’agissait du même type d’idolâtrie, mais, sous un nouvel aspect, répondant efficacement aux différents desseins du diable.

      Le monde entier admirait le pouvoir, la politique et le succès de cette bête. Tous lui rendaient honneur, se soumettant au diable et à ses anges. Elle exerçait un pouvoir infernal et une politique d’adoration des hommes, adoration qui ne peut être rendue qu’à Dieu seul. Cependant le pouvoir et le succès du diable s’avérèrent limités...

      Christ possède un « reste », parmi Son peuple persécuté : des âmes préservées, rachetées par Son sang, enregistrées dans Son « livre de vie » et scellées par Son Esprit ; bien que le diable et l'antéchrist puissent vaincre le corps et enlever la vie ici-bas, ils ne peuvent pas conquérir l'âme, ni forcer les véritables croyants à abandonner leur Sauveur, pour rejoindre Ses ennemis.

      La persévérance dans la foi à l'Évangile et dans la véritable adoration de Dieu, à cette grande heure d'épreuve et de tentation, qui trouble l’ensemble du monde, sauf les élus, est la caractéristique de ceux qui sont enregistrés dans le « livre de vie ».

      Cette ferme détermination à la sainteté et cet encouragement à la constance, représentent le grand dessein de tout le livre de l'Apocalypse !

      11 Ceux qui considèrent que la première bête représente un pouvoir mondial, pensent également que la seconde est un pouvoir persécuteur, agissant sous le couvert de la religion, et de la charité déployée envers les hommes.

      Il s’agit d’une autorité spirituelle, qui professe venir de Christ ; elle s'est d'abord manifestée avec douceur, mais rapidement, elle a parlé comme le dragon. Sa parole l'a trahie : elle annonce ses fausses doctrines et ses décrets cruels, qui montrent bien qu'elle appartient au dragon, et non à l'Agneau.

      Elle exerce tous les pouvoirs de la première bête. Elle poursuit le même dessein : amener les hommes à ne pas adorer le Dieu véritable, et soumettre les âmes à la volonté et au contrôle politique du monde.

      Cette deuxième bête poursuit son but, persuadant les hommes de continuer à adorer la première bête, dans sa nouvelle forme, ou son image, prônant sa puissance par de prétendues merveilles et des miracles trompeurs, le tout, sous un contrôle sévère de l’humanité.

      De plus, elle interdit à ceux qui n'adoreront pas la bête, (ou son image païenne), de pouvoir jouir de leurs droits civils : Ils ne pourront ni acheter, ni vendre, ni faire du commerce ; ils n’auront aucun pouvoir, à moins qu’ils ne reçoivent la marque de l'autorité de la bête.

      « Faire une image à la bête », (verset quatorze*), dont la blessure mortelle a été guérie, semble signifier « donner forme et pouvoir à son adoration », ou « exiger l'obéissance à ses ordres ». Le fait, d’adorer l'image de la bête, implique d’être partisan de tout ce qui renforce son caractère, et sa représentation.

      Le « nombre de la bête » nous est donné dans ce texte : il semble souligner la Sagesse infinie de Dieu, comparée à celle des hommes. Ce nombre est un « nombre d'homme », calculé selon les principes de ce monde : six cent soixante six. En fait, cette valeur reste un mystère. Bien souvent, lors des discussions religieuses, ce nombre a été mentionné... On peut penser raisonnablement que sa signification n'a toujours pas été découverte.

      Mais celui qui a de la sagesse et de l’intelligence, verra que tous les ennemis de Dieu sont comptés et « marqués », pour leur destruction ; le terme de leur pouvoir expirera bientôt, et toutes les nations se soumettront à notre Roi de justice et de paix !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Apocalypse 16

      Apocalypse 17

      1

      Un des anges, qui avait les coupes, donne la signification de la vision précédente : la bête, ennemie des chrétiens, allait régner mille deux cent soixante ans, pour être finalement détruite. (Apocalypse 17:1-6)
      L’ange interprète le mystère de la femme, et de la bête qui avait sept têtes et dix cornes. (Apocalypse 17:7-18)

      Il apparaît que Rome soit clairement désignée dans ce chapitre : la Rome païenne, subjuguée et gouvernée par un pouvoir militaire, et non par l'art et les brillantes manifestations. Cette ville a généralement laissé aux nations conquises, leurs aniciens usages et leurs cultes. Mais il est bien connu que par une gestion et une politique astucieuses, avec toutes sortes de supercheries et de perversités, la Rome papale a acquis et conservé son emprise sur les rois et sur les nations.

      On retrouve là, la séduction et les honneurs du monde : la richesse, le faste et l’arrogance, attributs convenant parfaitement aux esprits charnels et mondains. En effet, la prospérité, l’éclat et la splendeur alimentent la fierté et la convoitise du cœur humain, par contre ils n’offrent aucune sécurité à l’encontre de la vengeance divine.

      La coupe d'or, verset Apocalypse 17:4*, représente la séduction et les folies, par laquelle cette Babylone mystique a obtenu et conservé son influence, tout en séduisant son entourage pour que les hommes se joignent à ses abominations. Elle est nommée, à cause de ses pratiques infâmes, « la grande prostituée », ce qui a pour effet d’entraîner les âmes vers l'idolâtrie et toutes sortes de méchancetés. Elle est remplie avec le sang des saints et des martyrs de Jésus. Elle s'est enivrée de ce sang ; cela lui paraissait si agréable qu'elle n’en n'était jamais satisfaite...

      Nous ne pouvons qu’être étonnés, par ces océans de sang « chrétien », versé par des hommes se disant eux-mêmes soldats de Christ ; cependant, quand nous considérons ces prophéties, ces actes odieux témoignent de la vérité de l'évangile.

      Méfions-nous d'une religiosité merveilleuse, flatteuse, ou à la mode. Évitons les mystères de l'iniquité, et étudions avec soin le grand mystère de la piété, pour que nous puissions apprendre l'humilité et la gratitude de l'exemple de Christ. Plus nous chercherons à Lui ressembler, moins nous serons susceptibles d'être trompés par l'antéchrist !

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      15 Dieu a ainsi « dirigé » le cœur de ces rois, par Sa Puissance et Sa Providence, pour qu'ils accomplissent Sa Volonté, sans qu’ils en aient réellement l'intention, selon Ses desseins et Ses prophéties.

      Ces rois constateront leur folie, comment ils ont été ensorcelés et asservis par la « prostituée », devenant ainsi les instruments de sa destruction. Quand Jean reçut cette vision, cette femme était cette grande ville, qui régnait sur les rois de la terre : dans cette description, chacun reconnaît Rome !

      Quand les « méchants » seront détruits, de la manière la plus affreuse qui soit, les croyants seront reçus dans la Gloire du Seigneur ; ce rassemblement des pécheurs, sera animé par la haine et la colère : ils assisteront frénétiquement à leur tourment mutuel.

      Mais « la part » du Seigneur est Son peuple : Son Conseil se tiendra, et accomplira tout Ses désirs, à Sa Gloire, pour le bonheur de tous Ses serviteurs !

      Apocalypse 19

      Apocalypse 20

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