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Exode 9.13

L'Eternel dit Ă  MoĂŻse : « LĂšve-toi de bon matin et prĂ©sente-toi devant le pharaon. Tu lui annonceras : ‘Voici ce que dit l'Eternel, le Dieu des HĂ©breux : Laisse partir mon peuple afin qu'il me serve.
MoĂŻse reçoit l'ordre d'aller porter Ă  Pharaon un terrible message. La Providence divine a bien dictĂ© au patriarche ce que doit ĂȘtre son attitude : rester ferme et rĂ©solu dans sa demande Ă  Pharaon ; tous les Ă©lĂ©ments de ce texte rĂ©vĂšlent la Puissance de Dieu, destinĂ©e Ă  humilier et Ă  terrasser le plus arrogant de Ses ennemis.

Quand la Justice divine menace d'envoyer un homme Ă  la ruine, Sa GrĂące, en mĂȘme temps, montre le chemin du salut ! Dieu n'a pas fait seulement la diffĂ©rence entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites, mais aussi au sein des Égyptiens. Pharaon, en ne voulant pas se soumettre, attira en fait la jugement divin sur lui-mĂȘme ; cependant, certains de ses sujets, prirent peur et se mirent Ă  l'abri : ils crurent aux paroles annoncĂ©es par le patriarche. Ils mirent Ă  l'abri leurs serviteurs et leur bĂ©tail et firent ainsi preuve d'une grande sagesse. MĂȘme dans l'entourage de Pharaon, on craignit la Parole de Dieu. Est-ce que tous les enfants d'IsraĂ«l eurent la mĂȘme attitude ? Le texte nous rapporte que ceux qui furent incrĂ©dules, laissĂšrent leurs troupeaux dans les champs. Ils s'obstinĂšrent et restĂšrent sourds aux avertissements les plus pressants et aux conseils les plus sages, Ă©tant ainsi redevables du sang de ceux qui pĂ©rirent par leur faute.

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      Exode 7

      Exode 8

      20 TÎt le matin, Pharaon était occupé à ses vaines dévotions, prÚs du fleuve. Qu'en est-il, pour notre part, de nos occupations matinales ? Sommes-nous encore endormis, alors qu'il y a tant à faire pour le Seigneur ?

      Les Égyptiens et les HĂ©breux auraient dĂ» thĂ©oriquement subir, tous ensemble, la plaie des mouches venimeuses.

      Le Seigneur veut montrer que dans ce monde, et certainement dans l'au delĂ , Il a mis Son peuple Ă  part. Pharaon, involontairement, s'engagea par une sorte de traitĂ©, avec MoĂŻse et Aaron : il accepterait de laisser les HĂ©breux offrir des sacrifices Ă  leur Dieu, Ă  condition qu'ils restent en Égypte. Mais cela serait une abomination Ă  Dieu qu'on Lui offre de tels holocaustes, d'origine Ă©gyptienne ; c'eĂ»t Ă©tĂ© aussi une autre abomination pour les Égyptiens de sacrifier Ă  Dieu leurs veaux et leurs bƓufs.

      Ceux qui offrent de réels sacrifices à Dieu, doivent se séparer des méchants et des profanes. Ils doivent, en quelque sorte, s'isoler du monde.

      Il Ă©tait impossible aux IsraĂ©lites de louer le Seigneur au milieu des fours Ă  briques, en des lieux de servitude au pays d'Égypte. Ils devaient offrir ces sacrifices selon l'ordonnance des commandements divins, pas autrement. MalgrĂ© le fait que les enfants d'IsraĂ«l Ă©taient esclaves de Pharaon, ils devaient premiĂšrement obĂ©ir aux commandements de Dieu. Pharaon consentit Ă  laisser aller le peuple dans le dĂ©sert, en stipulant qu'il ne devait pas trop s'Ă©loigner, afin de pouvoir aller le rechercher.

      De mĂȘme, certains pĂ©cheurs, hĂ©sitant entre leurs pĂ©chĂ©s et la repentance, sont rĂ©ticents Ă  s'Ă©loigner du mal ; mais une fois cette incertitude passĂ©e, ils reviennent alors de nouveau vers les choses du monde.

      Moïse a promis de faire cesser la plaie. Mais Pharaon avait un cƓur trompeur.

      N'Ă©prouvez aucune dĂ©ception, en lisant ce texte : on ne se moque pas de Dieu. Si nous pensons Le tromper avec une fausse repentance et une fausse soumission devant Lui, nous exposons alors nos Ăąmes Ă  une tricherie fatale. Pharaon endurcit son cƓur. Les convoitises font rompre les engagements les plus solides et font faire aux hommes des promesses qu'ils ne peuvent tenir. Beaucoup laissent paraĂźtre un cĂŽtĂ© sĂ©rieux, alors qu'en fait, ils sont sujets Ă  des penchants et Ă  des pĂ©chĂ©s secrets. Ils ne veulent pas admettre qu'ils courent un danger : la perdition Ă©ternelle. Ils n'ont aucune retenue dans la pratique du pĂ©ché ; ils s'investissent beaucoup, donnent sans restriction et mĂȘme s'astreignent Ă  des buts difficiles ! Ils sont tellement occupĂ©s qu'ils peuvent mĂȘme en arriver Ă  s'Ă©loigner, pour un temps, de leur pĂ©ché ! Ils sont par contre incapables de tourner leur esprit vers Christ, de porter Sa croix. Au lieu de trouver la sĂ©curitĂ© spirituelle, ils prĂ©fĂšrent prendre des risques. Ils sont en fait, dans un triste Ă©tat : ils s'Ă©cartent de Christ, dĂ©terminĂ©s Ă  ne s'occuper que des choses du monde prĂ©sent, voire du futur proche, alors qu'ils peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un salut absolument gratuit ! Mais, Ă  la longue, le pauvre pĂ©cheur est enlisĂ© dans les voies de la perversion, et dĂ©laissĂ©, sans espĂ©rance d'Ă©chapper aux consĂ©quences de sa folie.

      Exode 9

      1

      La peste attaque le bétail. (Exode 9:1-7)
      La plaie de la poussiĂšre et des ulcĂšres. (Exode 9:8-12)
      La menace de la grĂȘle. (Exode 9:13-21)
      La plaie de la grĂȘle est infligĂ©e. (Exode 9:22-35)

      Dieu veut qu'IsraĂ«l soit dĂ©livrĂ©, Pharaon s'y oppose : Tel est l'objet de ce conflit qui n'en finit pas. La main du Seigneur attaque alors les troupeaux : beaucoup de bĂȘtes succombent, victimes de cette plaie particuliĂšre. Ce dut ĂȘtre une grande perte pour les propriĂ©taires Ă©gyptiens ; ils voulaient rĂ©duire IsraĂ«l Ă  la pauvretĂ©, mais maintenant Dieu se charge de les anĂ©antir personnellement !

      La main de Dieu doit ĂȘtre discernĂ©e en toutes circonstances, mĂȘme dans l'affliction de voir du bĂ©tail mourir par la maladie ; car pas un passereau ne tombe Ă  terre sans le consentement de notre PĂšre.

      Aucune bĂȘte des enfants d'IsraĂ«l ne pĂ©rit ; le Seigneur a fait la sĂ©lection. Le bĂ©tail des Égyptiens, quant Ă  lui, mourut ; c'Ă©tait pour ce peuple un objet d'adoration. Il est normal que Dieu nous retire nos idoles. Ce tyran orgueilleux, ce cruel oppresseur mĂ©ritait un chĂątiment infligĂ© par le grand Juge de l'univers. Quiconque subissant une punition mĂ©ritĂ©e, n'a aucun prĂ©texte de pouvoir se plaindre. La duretĂ© du cƓur dĂ©note un Ă©tat d'esprit qu'aucune menace, ni jugement, ni misĂ©ricorde ne peuvent Ă©branler sĂ©rieusement. Nantis d'une conscience Ă©touffĂ©e, d'un cƓur rempli d'orgueil et de prĂ©jugĂ©s, ces personnes persistent dans l'incrĂ©dulitĂ© et la dĂ©sobĂ©issance. On dit souvent qu'elles ont un cƓur de pierre ! Par contre, un cƓur meurtri et contrit, est bien diffĂ©rent. Les pĂ©cheurs ne peuvent s'en prendre qu'Ă  eux-mĂȘmes car leur orgueil et leur impiĂ©tĂ© ne font qu'abuser de la bontĂ© et de la patience divines. Quand parfois, le Seigneur endurcit le cƓur des hommes, c'est toujours Ă  cause de leurs pĂ©chĂ©s, commis prĂ©alablement.

      13 MoĂŻse reçoit l'ordre d'aller porter Ă  Pharaon un terrible message. La Providence divine a bien dictĂ© au patriarche ce que doit ĂȘtre son attitude : rester ferme et rĂ©solu dans sa demande Ă  Pharaon ; tous les Ă©lĂ©ments de ce texte rĂ©vĂšlent la Puissance de Dieu, destinĂ©e Ă  humilier et Ă  terrasser le plus arrogant de Ses ennemis.

      Quand la Justice divine menace d'envoyer un homme Ă  la ruine, Sa GrĂące, en mĂȘme temps, montre le chemin du salut ! Dieu n'a pas fait seulement la diffĂ©rence entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites, mais aussi au sein des Égyptiens. Pharaon, en ne voulant pas se soumettre, attira en fait la jugement divin sur lui-mĂȘme ; cependant, certains de ses sujets, prirent peur et se mirent Ă  l'abri : ils crurent aux paroles annoncĂ©es par le patriarche. Ils mirent Ă  l'abri leurs serviteurs et leur bĂ©tail et firent ainsi preuve d'une grande sagesse. MĂȘme dans l'entourage de Pharaon, on craignit la Parole de Dieu. Est-ce que tous les enfants d'IsraĂ«l eurent la mĂȘme attitude ? Le texte nous rapporte que ceux qui furent incrĂ©dules, laissĂšrent leurs troupeaux dans les champs. Ils s'obstinĂšrent et restĂšrent sourds aux avertissements les plus pressants et aux conseils les plus sages, Ă©tant ainsi redevables du sang de ceux qui pĂ©rirent par leur faute.

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