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Si vos enfants vous demandent ce qu’elle signifie,
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Lorsque, dans l’avenir, vos enfants vous demanderont : « Pourquoi le Seigneur notre Dieu vous a-t-il donné ces instructions, ces lois et ces règles ? »,
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Ces pierres vous rappelleront ce qui s’est passé ici. Lorsque, dans l’avenir, vos enfants vous demanderont ce qu’elles signifient pour vous,
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Puis il dit aux Israélites : « Lorsque, dans l’avenir, vos enfants vous demanderont ce que signifient ces pierres,
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A cette époque-là, l’armée babylonienne, commandée par les officiers du roi Nabucodonosor, vint assiéger Jérusalem.
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Pendant le siège, Nabucodonosor vint lui-même sur place.
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Alors le roi Joakin sortit de la ville avec sa mère, ses officiers, ses hauts fonctionnaires et ses hommes de confiance, et il se rendit au roi de Babylone. Celui-ci les fit prisonniers. C’était la huitième année du règne de Nabucodonosor.
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Conformément à ce que le Seigneur avait annoncé, Nabucodonosor emporta tous les trésors du temple et du palais, et mit en pièces tous les ustensiles d’or que le roi Salomon avait fait fabriquer pour le culte du temple.
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Il déporta la population de Jérusalem, les hauts fonctionnaires, les personnages importants, en tout dix mille personnes, sans compter les artisans et les serruriers. Il ne laissa sur place que les habitants les plus pauvres.
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Il déporta à Babylone le roi Joakin, sa mère, ses épouses et ses hommes de confiance, avec les chefs de Juda.
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Il emmena donc à Babylone tous les personnages importants, soit sept mille hommes, ainsi que les artisans et serruriers, soit mille hommes, car tous ces gens étaient aptes au service militaire.
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Joakin avait huit ans lorsqu’il devint roi ; il ne régna que trois mois et dix jours à Jérusalem et fit ce qui déplaît au Seigneur.
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Au début du printemps, Nabucodonosor le fit amener à Babylone, avec des objets précieux du temple du Seigneur, et il désigna Sédécias, un proche parent de Joakin, comme roi de Jérusalem et de Juda.
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Ciel, écoute, terre, prête attention, c’est le Seigneur qui parle : « J’ai élevé des enfants pour en faire des adultes, mais ils se sont révoltés contre moi.
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On emmènera même certains de tes descendants pour en faire des eunuques au service du roi dans le palais de Babylone.” »
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« Tu diras à Konia, fils de Joaquim et roi de Juda : “Même si tu étais pour moi comme le cachet personnel qu’on porte à la main droite, déclare le Seigneur, je t’arracherais de mon doigt. J’en fais le serment par ma vie :
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Je te livre au pouvoir de ceux qui veulent ta mort, ces gens dont tu as si peur, Nabucodonosor le roi de Babylone et ses troupes.
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Je vous chasserai, toi et ta mère, dans un pays qui n’a rien de commun avec celui où tu es né ; c’est là-bas que vous mourrez, elle et toi.
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Vous aurez beau désirer ardemment revenir dans votre pays, vous n’y parviendrez pas.” »
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On demande : « Cet homme, Konia, est-il un pot ébréché dont on ne veut plus, un objet sans intérêt ? Pourquoi a-t-il été expulsé avec ses enfants, chassé dans un pays qui ne représente rien pour lui ? »
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Trente-sept ans après la déportation du roi Joakin de Juda, Évil-Mérodak devint roi de Babylone. Le vingt-cinquième jour du douzième mois de cette année-là, il accorda sa grâce à Joakin et le fit sortir de prison.
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Il lui parla avec bonté et lui attribua un rang supérieur à celui des rois qui se trouvaient avec lui à Babylone.
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Joakin fut autorisé à ne plus porter la tenue des prisonniers, et désormais il prit toujours ses repas à la table du roi de Babylone.
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C’est ainsi que chaque jour jusqu’à sa mort, Joakin reçut du roi de Babylone ce qui était nécessaire à son entretien.
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C’était la cinquième année depuis que le roi Joakin avait été déporté.
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« Toi qui n’es qu’un homme, dit-il, je t’envoie auprès des Israélites, cette bande de rebelles qui se sont révoltés contre moi. Tout comme leurs ancêtres, ils n’ont jamais cessé de rejeter mon autorité.
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C’est vers ces gens à la tête dure et au caractère obstiné que je t’envoie. Tu t’adresseras à eux en disant : “Voici ce que déclare le Seigneur Dieu”.
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Alors, qu’ils t’écoutent ou qu’ils refusent de le faire parce qu’ils sont un peuple récalcitrant, ils sauront qu’il y a un prophète parmi eux.
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« Quant à toi, l’homme, ne te montre pas aussi récalcitrant qu’eux, écoute ce que j’ai à te dire. Ouvre la bouche et mange ce que je vais te donner. »
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Je te rendrai résistant comme le diamant, plus solide que le roc. Par conséquent n’aie pas peur d’eux et ne sois pas effrayé par l’attitude de ce peuple récalcitrant. »
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« Toi, l’homme, n’as-tu pas entendu les Israélites, ce peuple récalcitrant, te demander ce que tu faisais là ?
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Réponds-leur donc : “Le Seigneur Dieu vous déclare que ceci est un message pour le prince qui règne à Jérusalem et pour tous les Israélites qui y habitent.”
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Dis-leur que tu as agi ainsi en signe d’avertissement, car ils iront en déportation, en exil.
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Dis-leur que c’est moi, le Seigneur Dieu, qui la leur adresse. La voici : “Il y avait un aigle gigantesque, aux ailes immenses, aux longues plumes, abondantes et de couleurs variées. Il vola jusqu’aux montagnes du Liban. Il y brisa la cime d’un cèdre,
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Les gens me demandèrent de leur expliquer la signification de mon comportement.
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« Avez-vous compris tout cela ? » leur demanda Jésus. « Oui », répondirent-ils.
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Jésus dit : « Êtes-vous encore, vous aussi, sans intelligence ?
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Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans la bouche de quelqu’un passe dans son ventre et sort ensuite de son corps ?
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Comment ne comprenez-vous pas que je ne vous parlais pas de pain quand je vous disais : Gardez-vous du levain des Pharisiens et des Sadducéens ? »
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Puis Jésus leur dit : « Vous ne comprenez pas cette parabole ? Alors comment comprendrez-vous toutes les autres paraboles ?
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Mais ils ne comprenaient pas cette parole : son sens leur avait été caché afin qu’ils ne puissent pas le comprendre, et ils avaient peur d’interroger Jésus à ce sujet.
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Philippe s’en approcha en courant et entendit l’Éthiopien qui lisait le livre du prophète Ésaïe. Il lui demanda : « Comprends-tu ce que tu lis ? »
