Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Galates 2.16

Cependant, nous avons compris que l’on est déclaré juste devant Dieu, non parce que l’on accomplit les œuvres que commande la *Loi, mais uniquement par la foi en Jésus-Christ. C’est pourquoi nous avons, nous aussi, placé notre *confiance en Jésus-Christ pour être déclarés justes par la foi et non parce que nous aurions accompli ce qu’ordonne la Loi. Car, comme le dit l’Ecriture : Personne ne sera déclaré juste devant Dieu parce qu’il aura accompli ce qu’ordonne la Loi.
Sachant que l'homme est justifié non par les oeuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ, nous avons nous-mêmes cru en Jésus-Christ, afin d'être justifiés par la foi en Christ, et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Job 9

      Job 25

      Psaumes 130

      Psaumes 143

      Luc 10

      25 Si nous parlons d’une manière insouciante, de la vie éternelle, et du chemin qui y conduit, nous prenons le nom de Dieu en vain. Personne n'aimera jamais Dieu et son prochain du moindre amour véritable et spirituel, s'il n'est pas devenu « participant de la Grâce », Celle qui amène à la conversion. Hélas, le cœur de l'orgueilleux est fermement opposé à ces principes...

      Christ, dans cette parabole, a cité l'exemple d'un pauvre Juif en détresse, soulagé par un Samaritain bienveillant. Ce pauvre homme, attaqué et blessé par des voleurs, gisait presque mourant. Ceux qui auraient dû être ses amis, l’ont laissé abandonné, alors qu’il a été pris en charge par un étranger : un Samaritain, d’une nation que les Juifs méprisaient et détestaient, et avec qui ils n'entretenaient aucune relation.

      Il est lamentable de voir à quel point l'égoïsme gouverne à tous niveaux : combien sont nombreuses les excuses que se donnent les hommes, pour éviter tout dérangement ou toute dépense pour soulager les autres. Le véritable chrétien, quant à lui, est dirigé par l’amour, véritable « loi », écrite en son cœur. L'Esprit de Christ demeure en lui ; l'image de Christ est renouvelée en son âme !

      Cette parabole est une belle application du commandement d'aimer notre prochain comme nous-mêmes, sans distinction de nation, de parti, ou de toute autre considération. Ce texte souligne également la prévenance et l'Amour que Dieu, par notre Sauveur, manifeste envers les hommes coupables et misérables.

      Nous étions à l’origine, comme ce pauvre voyageur affligé. Satan, notre ennemi, nous a volés, et blessés : tel est le mal que nous occasionne le péché. Mais notre Sauveur béni a eu compassion de nous. Le croyant considère que Jésus l'a aimé, et a donné Sa vie pour lui, alors qu’il n’était qu’un ennemi et un rebelle ; ce Sauveur ayant montré Sa Miséricorde, offre à ce racheté d'en faire autant.

      Il est du devoir de chacun de nous, là où nous sommes, et selon nos capacités, de secourir, d'aider, et soulager tous ceux qui sont dans la détresse et la nécessité.

      Jean 6

      Jean 20

      Actes 4

      Actes 13

      38 Que tous ceux qui entendent l'Évangile de Christ soient bien conscients des deux points suivants : - Au travers de cet « Homme », qui est mort et ressuscité, vous est prêché le pardon des péchés. Ces derniers, bien que graves et nombreux, peuvent être pardonnés, sans que Dieu en reste offensé : Il les oubliera complètement, ce qui L'honore. - C'est par Christ, qu’uniquement ceux qui croient en lui, sont justifiés de toutes leurs fautes ; ils sont lavés de toute la culpabilité et de toute souillure du péché, ce qui ne pouvait être opéré par la loi de Moïse.

      La grande inquiétude des pécheurs convaincus de leur état, est de trouver la justification, d'être acquittés de toute leur culpabilité, et considérés comme « vertueux » aux yeux de Dieu : si la moindre charge subsiste sur l’homme inique, tout est fini pour lui. Par Jésus-Christ nous obtenons une justification complète ! Il a totalement expié notre péché. Il nous a justifiés, non seulement en tant que Juge, mais en tant que Seigneur de Justice. Ce que la loi n’a pu faire pour nous, et qui révèle son insuffisance, l'évangile de Christ l’a accompli !

      De cette bénédiction, qui est un passage nécessaire pour accéder au salut, découlent toutes les autres. Les menaces annoncées dans la Parole sont en fait des avertissements : elles frapperont les pécheurs impénitents pour engendrer de la crainte en leur cœur. Beaucoup, en méprisant la piété, courent à la ruine. Ceux qui ne veulent pas se laisser interpeler par l’évangile et bénéficier ainsi du salut, finiront par périr...

      Romains 1

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.
      21 L'homme coupable doit-il rester indéfiniment sous le coup de la colère divine ? La « blessure » de ses péchés est-elle incurable ? Non ! Béni soit Dieu, une autre voie a été ouverte pour lui, par la Justice divine ! Dieu a décrété cette Justice, qu’Il accorde au pécheur, par la foi en Jésus-Christ ; ce Nom signifie « Sauveur oint ».

      La foi qui justifie, désigne Christ en tant que Sauveur, dans Ses trois fonctions : Prophète, Sacrificateur, et Roi ; cette Justification nait de la confiance en Jésus, en l'acceptant, et en s'attachant à Lui : les Juifs, comme les Gentils, sont les bienvenus devant Dieu, par le biais de Christ. Il n'y a pas de différence entre eux : cette Justice s’adresse à tous ceux qui croient ; Elle leur est non seulement offerte, mais Elle est « posée » sur eux, telle une couronne, ou une robe. Il s’agit de la Grâce, elle est gratuite, simplement par miséricorde ; rien en nous ne peut nous faire mériter cette faveur divine !

      Si nous pouvons disposer gratuitement de la Grâce, Christ l'a toutefois acquise, Il en a payé le prix. La foi considère spécialement le sang de Christ, car c'est ce sang qui procure l'expiation de nos fautes. Dans ces états de faits, Dieu déclare Sa Justice. Il est clair qu'Il abhorre le péché, car seul le sang de Christ pouvait Le satisfaire. Sa justice ne serait pas parfaite s’Il voulait réclamer la dette de nos fautes, alors que le Garant (Christ) l'a payée ; Dieu a accepté ce « paiement » en toute satisfaction !

      27 Dieu accomplira Sa grande œuvre de la justification et du salut des pécheurs : elle sera opérée pour tous sans exception, de telle façon que sera supprimé tout orgueil de la part des hommes.

      Si nous étions sauvés par nos propres œuvres, nous pourrions éventuellement nous en glorifier. En fait, le chemin de la justification par la foi supprime à jamais toute vanité. Cependant les croyants ne sont pas laissés sans loi ; la foi est en quelque sorte une loi, c'est une grâce qui agit, en tout lieu ; elle est conforme à la Vérité. Par la foi, (non par un simple acte d'obéissance, ou une bonne œuvre), en créant une relation entre Christ et le pécheur croyant, ce dernier est rendu apte à être pardonné et justifié par les soins du Sauveur ; l'incrédule, qui ne désire pas s’approcher de Christ, pour entrer en relation spirituelle avec Lui, reste sous la condamnation céleste.

      La loi est encore utile pour nous convaincre des erreurs commises dans le passé, et pour nous diriger dans notre cheminement dans le futur. Bien que nous ne puissions être sauvés par la loi, telle une « alliance spirituelle » avec Dieu, nous pouvons cependant la consulter et nous soumettre à elle : elle est une règle de vie, accordée par Dieu et notre Médiateur (Christ).

      Romains 4

      13 La promesse que Dieu fit à Abraham, au sujet de sa postérité, fut faite au patriarche longtemps avant l’établissement de la loi. Cette promesse « pointe » sur Christ, de manière prophétique, elle se réfère au texte de Ge 12:3 : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

      La colère divine est corollaire à la loi, puisque cette dernière montre que chaque transgresseur est exposé au mécontentement divin. Dieu ayant voulu donner aux hommes l'accès aux bénédictions promises, a déterminé que ce serait seulement pour les croyants, par pure Grâce, afin que cette promesse soit certaine pour tous ceux qui avaient la même foi qu'Abraham, qu'ils soient Juifs ou Gentils, en tous temps.

      La justification et le salut des pécheurs, accordés aux Gentils, qui ne formaient pas en fait un « peuple élu », sont des manifestations pleines de Grâce, « qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles l’étaient », Genèse 4:17*. En constatant une existence aux choses qui n'étaient pas, nous avons là une preuve du Pouvoir tout-puissant de Dieu.

      Ce texte nous rappelle la nature et la puissance de la foi d'Abraham. Il a cru au témoignage de Dieu, et a cherché la réalisation de Sa promesse, espérant fermement alors que tout paraissait impossible. La faiblesse de la foi fait trébucher l’homme devant les difficultés d’accomplissement d'une promesse. Abraham prit l’engagement divin à la lettre, engagement qui n'admettait ni discussion, ni débat.

      L'incrédulité est à la base de tous nos doutes, face aux promesses divines. La force de la foi se manifeste dans sa victoire sur les craintes. Dieu honore la foi, cette dernière L’honorant !

      La foi a été imputée à justice à Abraham. C’est une grâce qui rend plus que tout, gloire à Dieu. Elle est clairement le moyen par lequel nous recevons la Justice divine et la rédemption en Jésus-Christ ; elle est « l'instrument » par lequel nous prenons ou nous recevons spirituellement, elle n’est pas un don.

      La foi d'Abraham ne l'a pas justifié devant Dieu suivant son propre mérite ou sa valeur, mais en lui donnant une « part » en Jésus-Christ.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 5

      1

      Les heureux effets de la justification, par le biais de la foi en la Justice de Christ. (Romains 5:1-5)
      Nous sommes réconciliés par Son sang. (Romains 5:6-11)
      La chute d'Adam a conduit toute l'espèce humaine dans le péché et la mort. (Romains 5:12-14)
      La Grâce de Dieu, à travers la Justice de Christ, est capable d’apporter le salut, plus que le péché d'Adam ne l’était pour apporter la misère, (Romains 5:15-19)
      La Grâce a surabondé. (Romains 5:20,21)

      Un changement béni prend place dans le cœur du pécheur, au moment où il devient un véritable croyant, quel que soit son passé. Étant justifié par la foi il a la paix avec Dieu. Ce Dieu saint, vertueux, ne peut pas être en paix avec un pécheur, qui demeure sous la culpabilité du péché. La Justification par notre Seigneur Jésus-Christ enlève toute notre culpabilité, et ouvre donc la voie de la paix du cœur. Il est le grand Pacificateur, le Médiateur entre Dieu et l'homme.

      Heureux les saints qui se trouvent justifiés par la Grâce ! Le fait de devenir des « Justifiés », nous apprend que nous n’étions pas ainsi, lors de notre naissance. Nous ne pouvons pas être justifiés par nous-mêmes, mais quand nous sommes bénéficiaires du salut, nos offenses sont pardonnées. Cette situation de « rachetés » dénote la persévérance : nous tenons fermes, en sécurité, étant soutenus par la Puissance divine, ayant un fondement spirituel solide, résistant au pouvoir de l'ennemi de notre âme.

      Et ceux qui espèrent en la Gloire de Dieu, ont suffisamment de quoi se réjouir, dés maintenant ! La tribulation forge la patience, par la Grâce de Dieu toute puissante et agissante. Ceux qui souffrent avec patience reçoivent des consolations divines, qui surabondent lorsque les détresses abondent.

      Les épreuves sont pour nous une expérience nécessaire. Notre espérance ne sera jamais déçue, car elle est « scellée » par le Saint-Esprit, par l’Amour divin. La Grâce et l'Esprit béni répandent l'Amour de Dieu dans le cœur de tous les saints. Une perception correcte de cet Amour ne nous fera jamais éprouver de honte, quant à notre espérance, ou notre éventuelle souffrance, à cause de Son Nom !

      Romains 8

      32 Toutes choses, quelles qu'elles soient, dans le ciel, comme ici-bas, ne peuvent exposer la grandeur de l'Amour gratuit de Dieu, manifesté par le don de Son Fils, Celui qui a expié le péché de l'homme sur la croix ; en fait, tout dépend de notre relation spirituelle avec Lui, et de l'intérêt que nous Lui portons.« Toutes choses », concourent au bien réel du chrétien fidèle. Christ, Celui qui nous a préparé une couronne et un royaume, nous donnera ce dont nous avons besoin, dans le chemin qui y conduit.

      Les hommes se justifient vainement de toutes les accusations du ciel, relatives à leurs péchés ; mais si c'est Dieu qui justifie, cela répond à tout. Par Christ, nous sommes « en sécurité ». Par le mérite de Sa mort il a payé notre dette. Il est ensuite ressuscité. Ceci satisfait, de manière claire et évidente la Justice divine ! Nous avons un tel Ami qui est assis à la droite de Dieu ! Tout pouvoir Lui est donné et Il intercède pour nous.

      Croyant, que ton âme puisse s’exprimer ainsi : « Christ est mon Sauveur, et je Lui appartiens ! Je dois Lui plaire et vivre pour lui » ! Quand vous êtes convaincus de votre impiété, il ne faut pas vous torturer l’esprit et vous embarrasser de vaines pensées, ni de doutes infructueux, sans fin : croyez en Celui qui justifie l'impie ! Vous êtes condamnés, mais cependant, Christ est mort et ressuscité pour votre délivrance. Allez vers Lui tel que vous êtes. Dieu, ayant manifesté Son Amour, en donnant Son propre Fils pour nous, pouvons-nous penser que quelque chose puisse nous détourner ou nous éloigner de ce Dernier ? Ni trouble, ni cause quelconque ne peuvent démontrer une faiblesse de cet Amour. Quelles que soient les épreuves des croyants, ceux-ci ne peuvent être séparés de cet Amour. Personne ne peut éloigner Christ du croyant : c’est impossible ! Toutes les épreuves que ce dernier pourrait subir sont incapables de le séparer de cet Amour !

      Hélas, pauvres pécheurs, même si vous vivez dans les richesses en ce monde, combien sont-elles vaines ! Pouvez-vous leur dire : « qui pourra nous séparer » ? Vous pouvez perdre à tout instant vos somptueuses demeures, vos amis et vos propriétés. Un jour vous devrez partir, car vous devez mourir. Il faudra alors dire adieu à tout ce monde ici-bas, avec ce qu'il compte de plus précieux. Que laisseras-tu, pauvre âme qui ne possède pas Christ ? Tu renoncerais avec plaisir à la culpabilité de tes péchés, mais tu en es incapable ! Par contre, l'âme qui est en Christ, à la veille de la mort, alors qu’il faut tout quitter, s'attache à son Sauveur : la séparation d’avec les biens terrestres ne l’affecte guère !

      Oui, quand la mort survient, elle brise tous les liens ici-bas, ceux de l'âme et du corps ; elle transporte l'âme du croyant dans l'union la plus étroite avec son bien-aimé Seigneur Jésus, dans la plénitude de la joie en Lui, pour toujours !

      Romains 9

      30 Les païens (les Gentils) ne connaissaient pas leur culpabilité et leur misère, relative à leurs péchés, ils ne se préoccupaient donc pas d'y apporter un quelconque remède. Ils ont cependant été justifiés par la foi. Non pas en devenant des prosélytes de la religion juive, en se soumettant à la loi, mais en acceptant Christ, en croyant en Lui, et en obéissant à l'Évangile.

      Les Juifs parlaient beaucoup de « justification » et de « sainteté », ils paraissaient être très fiers d'être le « peuple élu » de Dieu. Ils recherchaient Dieu d’une mauvaise manière, ils empruntaient le mauvais chemin, pas celui de l’humilité. Ils ne recherchaient pas la foi, ni l’acceptation de Christ, ni dépendance, ni soumission à l'Évangile. Ils s’attendaient à être justifiés en observant seulement les préceptes et les cérémonies de la loi de Moïse.

      Les Juifs incrédules disposaient d’une offre magnifique de justice, de vie et de salut, qui leur était proposée par l'Évangile : ils ne l'ont pas aimé, ni accepté.

      Avons-nous cherché à savoir comment être justifiés devant Dieu, en désirant la bénédiction, comme il est indiqué dans ce texte, par la foi en Christ, le Seigneur, notre Justice ? Dans l’affirmative, nous ne serons pas honteux au jour terrible, du Jugement, quand tous les « refuges » des mensonges seront balayés, et que la colère divine s’étendra jusqu’aux confins de tout lieu caché ; tous périront, sauf ceux que Dieu aura sauvés, par le sacrifice de Son propre Fils !

      1 Corinthiens 6

      2 Corinthiens 5

      Galates 2

      20 L'apôtre décrit dans ce texte la vie spirituelle (ou cachée) d'un croyant. Le « vieil homme » est crucifié, Romains 6:6, alors que le « nouvel homme » est vivant ; le péché est mortifié et la Grâce est vivifiée.

      Paul dispose du réconfort et de la puissance victorieuse de la Grâce ; cette Grâce n'émane pas de sa personne, mais d’une autre source : Christ !

      Les croyants sont pleinement conscients de vivre dans un état de dépendance envers Christ. Ceci provient de ce que, bien qu’ils soient charnels, ils ne vivent pas cependant DE la chair. Ceux qui possèdent une véritable foi, vivent selon celle-ci, celle qui est attachée à Christ, Celui qui s'est donné Lui-même en rançon pour nous. Il m'a aimé, et s'est donné Lui-même pour moi. C'est un peu comme si l'apôtre s’exprimait ainsi : « Le Seigneur m'a vu m'éloigner de Lui de plus en plus. J’étais animé d’une telle méchanceté et d’une telle ignorance spirituelle, que j’étais convaincu qu'il était impossible que je puisse être sauvé, même par une rançon d’une très grande valeur ».

      Considérons bien le prix d’un tel salut ! Remarquons au passage la piètre foi de beaucoup de personnes ; on peut en voir, par leur témoignage, les tristes conséquences : elles ont la forme de la piété sans en avoir la puissance... Elles estiment être dans la Vérité, spirituellement, alors qu’elles sont en fait complètement dans l’erreur.

      Pour croire en Christ, il n'est pas suffisant de penser qu'Il a été crucifié, mais je dois croire également que je le suis AVEC Lui. C'est cela « connaître Christ crucifié ». De là, nous apprenons ce qu'est la nature de la Grâce. La Grâce de Dieu, ne peut dépendre du mérite de l'homme. Elle n’existe plus, en tant que telle, si Elle n'est pas donnée librement, dans tous les cas.

      Plus le croyant compte en toute simplicité sur Christ, pour chaque détail de sa vie, plus il marche en Sa compagnie avec dévotion, dans toutes Ses ordonnances et selon Ses commandements. Christ vit et règne alors en son âme : le racheté vit ici-bas, par la foi dans le Fils de Dieu, Celui qui agit par amour, crée l'obéissance et opère les changements en son âme, selon sa sainte image. Ainsi, la Grâce de Dieu prend toute sa valeur, elle n'est pas rendue vaine !

      Galates 3

      23 La loi n'a pas enseigné une connaissance conduisant directement à la vie spirituelle et au salut ; mais, par ses rites et ses cérémonies, en particulier les sacrifices, elle « pointait » vers Christ, afin que tous puissent être justifiés par la foi en Lui.

      Elle était ainsi, comme son étymologie l’indique, un « service » qui mène à Christ, comme des enfants conduits à l'école par une personne qui en a la responsabilité, afin qu'ils puissent être totalement instruits par Celui qui est le véritable chemin de la justification et du salut, par la foi. Ce texte nous révèle le grand avantage de l’Évangile, grâce auquel nous jouissons d'une découverte plus claire de la Miséricorde divine, que les Juifs d'antan ne pouvaient avoir. La plupart des hommes continuent à être enfermés dans un sombre « cachot », se complaisant dans leurs péchés, étant aveuglés, bercés et endormis par Satan, dans les plaisirs de ce monde, ses intérêts et ses vaines poursuites...

      Mais le pécheur qui est « interpelé », découvre cette épouvantable condition. Il découvre que la Miséricorde et la Grâce de Dieu constituent alors son seul espoir. Les terreurs décrites dans la loi sont souvent utilisées par l'Esprit, qui sait convaincre le pécheur, quant à son besoin de s’adresser à Christ, pour le conduire pour s'appuyer sur Ses souffrances et Ses mérites, afin qu'il puisse être justifié par la foi.

      La loi, par l'enseignement du Saint-Esprit, devient alors sa ligne de conduite, dans l’accomplissement de son devoir ; elle sert de référence pour son examen de conscience journalier. Par une telle pratique, le pécheur repentant apprend à dépendre plus simplement de son Sauveur !

      Galates 4

      Galates 5

      Philippiens 3

      Hébreux 7

      1 Pierre 1

      1 Pierre 2

      1 Pierre 3

      2 Pierre 1

      1

      Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.

      L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.

      * Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)

      2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.

      En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !

      Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.

      À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.

      En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.

      Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !

      1 Jean 1

      1 Jean 2

      1

      L'apôtre exhorte le croyant à évoquer l'expiation de Christ, pour être aidé, après avoir péché. (1 Jean 2:1,2)
      Les effets de la connaissance « à salut » qui produit l'obéissance et l'amour pour les frères. (1 Jean 2:3-11)
      Les chrétiens sont considérés comme des petits enfants, de jeunes hommes, puis des pères. (1 Jean 2:12-14)
      Tous sont mis en garde contre l'amour de ce monde et contre les erreurs doctrinales. (1 Jean 2:15-23)
      Tous sont encouragés à tenir fermes dans la foi et la sainteté. (1 Jean 2:24-29)

      Nous avons en Jésus-Christ, un Avocat auprès du Père ; Christ est en effet entièrement capable de plaider en faveur de ceux qui implorent le pardon et le salut, en Son Nom, et de plaider en faveur de ceux de qui dépend Son intercession.

      Jésus est le Sauveur, le Christ, le Messie, l'Oint. Il est « le Juste », Celui qui a préservé de tout péché, Sa nature pure ; Il est notre Garant, Celui qui a parfaitement obéi à la loi de Dieu, donc accompli toute justice.

      Les hommes de tous les pays et de toutes générations, sont invités à s’approcher de Dieu, grâce à cette expiation, « chemin » nouveau et vivant entièrement suffisant.

      Quand l'Évangile est correctement compris et accepté, Il dispose le cœur à l’encontre de tout péché, et à arrêter toute pratique de ce dernier ; Il accorde en même temps un soulagement béni aux consciences blessées de ceux qui ont chuté dans l’iniquité.

      Apocalypse 7

      9 Les premiers chrétiens, véritables « fruits » de l’évangile proclamé par Christ, ayant déjà parcouru le chemin qui mène à la rédemption, furent suivis plus tard par les « Gentils », qui remercient pour leur salut, Dieu et le Rédempteur, par des louanges triomphales.

      Dans notre adoration religieuse, nous nous approchons de Dieu, et ce, par le biais de Christ ; les pécheurs ne peuvent pas s’approcher du trône de Dieu, sans la présence de ce Médiateur.

      Les personnes formant cette grande foule étaient vêtues de robes blanches, représentant la justification, la sainteté, et la victoire ; elles avaient des palmes en leurs mains, tels des conquérants triomphants.

      Une telle apparition glorieuse, des fidèles serviteurs de Dieu, se produit après qu'ils aient mené le bon combat de la foi, et terminé leur course. (2Tim 4:7)*

      Avec une voix puissante, ils offraient à Dieu et à l'Agneau, la louange inhérente à leur salut merveilleux. Ceux qui bénéficient du bonheur éternel, doivent bénir à la fois le Père et le Fils ; ils le feront publiquement, avec ferveur ! Nous voyons que ce sera notre « occupation » dans les cieux, et nous devons commencer dès maintenant à préparer nos cœurs à cet effet, et désirer habiter ce lieu, où nos louanges, comme notre félicité, seront parfaits !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte ;

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.