Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
4
« Je ne suis qu’un étranger, un hôte de passage parmi vous. Accordez-moi la propriété d’un tombeau chez vous pour que je puisse y enterrer ma femme. »
8
quand il mourut. C’est donc après une longue et heureuse vieillesse qu’il rejoignit ses ancêtres dans la mort.
2
Isaac reprit : « Tu le vois, je suis vieux et je ne sais pas combien de temps j’ai encore à vivre.
3
Prends ton arc et tes flèches et va à la chasse. Tu me ramèneras du gibier,
4
tu me prépareras un de ces plats appétissants, comme je les aime, et tu me l’apporteras. J’en mangerai, puis je te donnerai ma bénédiction avant de mourir. »
9
« Il y a cent trente ans que je vais d’un pays à l’autre comme un étranger, répondit Jacob. Ma vie a passé vite, et j’ai connu des années difficiles. Je n’ai pas atteint l’âge de mes ancêtres, qui menaient pourtant la même existence que moi. »
21
Il dit ensuite à Joseph : « Je vais bientôt mourir, mais Dieu sera avec vous et il vous ramènera dans le pays de vos ancêtres.
10
Le sceptre royal demeurera dans la famille de Juda, le bâton des chefs restera aux mains de ses descendants, jusqu’à ce que vienne son vrai possesseur, celui à qui les peuples seront soumis.
18
Seigneur, j’espère que tu me sauveras !
28
A eux tous ils forment les douze tribus d’Israël. Telles sont les paroles que leur adressa leur père, quand il les bénit. A chacun il accorda une bénédiction particulière.
33
Quand Jacob eut fait ses dernières recommandations à ses fils, il se recoucha, puis il rejoignit ses ancêtres dans la mort.
24
Un jour Joseph dit à ses frères : « Je vais bientôt mourir. Mais Dieu vous viendra certainement en aide. Il vous fera quitter l’Égypte pour vous conduire dans le pays qu’il a promis à Abraham, Isaac et Jacob.
17
Je vois ce qui arrivera, mais ce n’est pas pour aujourd’hui, je discerne un événement, mais il se produira plus tard : Un astre apparaît parmi les descendants de Jacob, un souverain surgit au milieu du peuple d’Israël ; de son sceptre, il frappe les Moabites à la tempe, les nomades du pays sur la tête.
14
Je ne suis rien, mon peuple n’est rien, ce n’est pas par nous-mêmes que nous avons le pouvoir de t’offrir ces dons. Nous avons tout reçu de toi, et nous ne pouvons t’offrir que ce qui nous vient de toi.
15
Devant toi nous n’avons pas plus de droits que des étrangers ou des hôtes de passage, comme tous nos ancêtres. Notre vie sur terre, aussi éphémère qu’une ombre, s’écoule sans sécurité.
25
Je sais bien, moi, que j’ai un défenseur vivant, et qu’il se dressera enfin sur cette terre.
12
Tu corriges l’homme en punissant ses fautes ; comme un ver dans le fruit, tu ronges ce qu’il aime. L’homme : du vent, rien de plus. Pause
19
Je ne suis qu’un étranger sur terre, ne me cache pas tes commandements.
17
Je vous le déclare, c’est la vérité : beaucoup de prophètes et de gens fidèles à Dieu ont désiré voir ce que vous voyez, mais ne l’ont pas vu, et entendre ce que vous entendez, mais ne l’ont pas entendu. »
56
Abraham, votre père, s’est réjoui à la pensée de voir mon jour ; il l’a vu et en a été heureux. »
41
Ésaïe a dit cela parce qu’il avait vu la gloire de Jésus et qu’il parlait de lui.
21
Il était absolument certain que Dieu a le pouvoir d’accomplir ce qu’il a promis.
24
Car nous avons été sauvés, mais en espérance seulement. Si l’on voit ce que l’on espère, ce n’est plus de l’espérance : qui donc espérerait encore ce qu’il voit ?
19
Par conséquent, vous les non-Juifs, vous n’êtes plus des étrangers, des gens venus d’ailleurs ; mais vous êtes maintenant concitoyens des membres du peuple de Dieu, vous appartenez à la famille de Dieu.
13
C’est dans la foi que tous ces hommes sont morts. Ils n’ont pas reçu les biens que Dieu avait promis, mais ils les ont vus et salués de loin. Ils ont ouvertement reconnu qu’ils étaient des étrangers et des exilés sur la terre.
27
Par la foi, Moïse quitta l’Égypte, sans craindre la colère du roi ; il demeura ferme, comme s’il voyait le Dieu invisible.
39
Ils ont tous été approuvés par Dieu à cause de leur foi ; pourtant, ils n’ont pas obtenu ce que Dieu avait promis.
10
Les prophètes ont fait des recherches et des investigations au sujet de ce salut, et ils ont prophétisé à propos du don que Dieu vous destinait.
11
Ils s’efforçaient de découvrir à quelle époque et à quelles circonstances se rapportaient les indications données par l’Esprit du Christ ; car cet Esprit, présent en eux, annonçait d’avance les souffrances que le Christ devait subir et la gloire qui serait la sienne ensuite.
12
Dieu révéla aux prophètes que le message dont ils étaient chargés n’était pas pour eux-mêmes, mais pour vous. Ce message vous a été communiqué maintenant par les prédicateurs de la Bonne Nouvelle, qui en ont parlé avec la puissance du Saint-Esprit envoyé du ciel. Et les anges eux-mêmes désirent le connaître.
17
Dans vos prières, vous donnez le nom de Père à Dieu qui juge tous les hommes avec impartialité, selon ce que chacun a fait ; c’est pourquoi, durant le temps qu’il vous reste à passer sur la terre, que votre conduite témoigne du respect que vous avez pour lui.
11
Je vous le demande, mes chers amis, vous qui êtes étrangers et exilés sur la terre : gardez-vous des passions humaines qui font la guerre à votre être.
19
Voilà comment nous saurons que nous appartenons à la vérité. Voilà comment notre cœur pourra se sentir rassuré devant Dieu.
Jésus-Christ a rendu à la foi d'Abraham un semblable témoignage. (Jean 8.56)
"Dieu exerce la foi des siens jusqu'à la mort, pour la couronner d'une immortalité plus glorieuse. Les plus grands des saints sentent bien qu'ils n'ont pas encore reçu les biens que Dieu leur a promis. Citoyens du ciel, mais étrangers et voyageurs sur la terre, ils voient de loin leur patrie par la foi, ils la saluent par l'espérance d'y arriver bientôt, ils y tendent et y courent par les désirs, les mouvements et les œuvres de leur charité." Quesnel.
Voir sur le sens de cette profession Hébreux 11.10, note, et comparer Genèse 23.4 ; 47.9 ; 1Chroniques 29.15 ; 1Pierre 2.11.
Comparer Hébreux 11.10, note. Leur profession d'être étrangers sur la terre de la promesse montre clairement qu'ils cherchent leur vraie patrie ; (Hébreux 11.14) car, s'il s'agissait pour eux d'une patrie terrestre, s'ils se souvenaient de celle d'où ils étaient sortis, s'ils voulaient parler du pays de leur origine, ils auraient le temps ou l'occasion d'y retourner ; mais (grec mais maintenant, particule qui oppose le fait réel au fait supposé : s'ils se souvenaient), il est évident que leurs désirs et leur foi tendaient plus haut. (Hébreux 11.15,16)
"Tout est prophétique dans les patriarches, et surtout l'oubli de leur pays et des biens de la terre." Quesnel.
Le verbe : ils se souvenaient est à l'imparfait, parce que l'auteur sous-entend : en parlant ainsi. (Hébreux 11.15)
Une variante de Sin., D, admise par Tischendorf, a ce verbe au présent : ils se souviennent. Cette leçon est rejetée par la plupart des éditeurs.