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28
» Tu ne tarderas pas à m'offrir la part qui me revient de ta moisson et de ta vendange. Tu me donneras le premier-né de tes fils.
26
Il n'est pas bon de condamner le juste à une amende, ni de frapper les hommes généreux à cause de leur droiture.
3
Alors Paul lui dit : « C’est toi que Dieu va frapper, muraille blanchie ! Tu sièges pour me juger conformément à la loi et tu violes la loi en ordonnant qu'on me frappe ! »
5
Paul répondit : « Frères, je ne savais pas que c'était le grand-prêtre. En effet, il est écrit : Tu ne parleras pas mal du chef de ton peuple. »
7
Rendez à chacun ce qui lui est dû : l'impôt à qui vous devez l'impôt, la taxe à qui vous devez la taxe, le respect à qui vous devez le respect, l'honneur à qui vous devez l'honneur.
17
Respectez chacun, aimez les frères et sœurs, craignez Dieu, honorez le roi.
10
C’est le cas notamment de ceux qui, dans un désir d’impureté, courent après les plaisirs de la chair et méprisent toute autorité. Présomptueux et arrogants, ils ne craignent pas d'insulter les êtres glorieux,
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Malgré cela, ces hommes adoptent une attitude semblable : entraînés par leurs rêveries, ils souillent leur corps, rejettent toute autorité et insultent les êtres glorieux.
18 et 19 Si déjà l'on est coupable quand on médit des dignitaires humains, combien plus quand on accuse d'injustice un Dieu qui est tellement élevé au-dessus de tous, qu'il n'a aucune raison de faire acception des personnes !
D'autres, avec un léger changement au premier mot du verset 18 : haomer (lui qui dit) au lieu de haamor (dit-on ?), entendent : Dieu qui, à l'occasion, reprend un grand de la terre aussi vivement qu'un petit, pourquoi pervertirait-il le droit ?