Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Luc 18.18

Alors un des principaux du lieu demanda à Jésus : Bon Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ?

  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Ezéchiel 33

      Malachie 1

      6 Nous pouvons prendre personnellement compte, de ce dont les prêtres sont accusés dans ce texte

      Notre relation avec Dieu, notre Père et notre Maître, nous incite véritablement à Le craindre et à L'honorer. Les enfants d’Israël étaient vraiment méprisants à l’égard des avertissements divins, et se moquaient des réprimandes de l’Éternel. Les pécheurs courent à leur ruine en tentant de se disculper par tous les moyens possibles, face à leur condamnation.

      Ceux qui vivent sans mettre en pratique leur piété, sans craindre le Seigneur et qui L’abandonnent graduellement sans s’inquiéter, ceux là semblent annoncer que « la table de l'Éternel est méprisable. »

      Les enfants d’Israël, par leurs diverses pratiques, méprisaient le Nom de Dieu. Il est évident qu'ils ne comprenaient pas réellement la signification des sacrifices, en tant « qu’image » de la venue de l'Agneau de Dieu, sans défaut, qui devait venir ici-bas pour être sacrifié sur la croix ; ils lésinaient sur les dépenses relatives à ces sacrifices, qu'ils pensaient inutiles, puisqu'elles ne leur rapportaient aucun profit !

      Si nous simulons notre adoration pour Dieu, sans en éprouver réellement toute la profondeur, nous apportons « une bête aveugle » pour être sacrifiée (verset huit ;) si nous adorons le Seigneur avec négligence, si nous sommes froids de cœur ou sans ferveur, nous offrons « une bête boiteuse et malade » (verset huit ;) si nous laissons de vaines pensées nous distraire, nous offrons au Seigneur ce qui est dérobé. Toutes ces offrandes ont vaines. N'est-ce pas un grand affront que nous adressons à Dieu, et un grand tort que nous faisons à notre âme ? Pour que nos offrandes spirituelles soient agréées auprès de Dieu, il ne suffit pas de tenter pratiquer le bien, mais de le faire convenablement, « pour le Seigneur, », dans un but louable. Les bénédictions constantes de Dieu risquent parfois de nous « endormir spirituellement », ou de nous rendre paresseux vis à vis de Son service.

      Notre adoration spirituelle doit être fervente. Notre « encens », qui représente la prière et la louange, doit être offert au Nom du Seigneur Cela doit être une « offrande » pure. « Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, » (Jean 4:23)*.

      Nous pouvons dépendre de la Miséricorde divine pour le pardon de nos iniquités, mais pas de l'indulgence du Seigneur, quant à nos péchés à venir. Si nous manifestons un esprit de bonne volonté pour nous rapprocher du Seigneur, nous serons acceptés, même si nous sommes encore imparfaits ; mais si nous nous approchons de Lui, avec un esprit hypocrite et trompeur, nous servons en fait Satan et toutes ses convoitises : attendons-nous, en conséquence, à subir toutes sortes de malédictions...

      De nos jours, beaucoup de personnes hélas, profanent, de différentes façons, le Nom du Seigneur : elles polluent « Sa table » et montrent un réel mépris envers l’adoration qu’elles sont censées Lui apporter...

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 19

      16 Christ savait que la cupidité était le péché qui assaillait vraiment ce jeune homme ; ce dernier avait obtenu honnêtement tous ses biens, et ne pouvait donc se résoudre à s'en séparer de gaieté de cœur : cette attitude, compte tenu de ses paroles, démontrait une certaine hypocrisie...

      Les promesses de Christ facilitent l’obéissance à Ses préceptes, et rendent Son joug agréable à supporter ; cependant la promesse faite dans ce texte était comme beaucoup d’autres, une véritable épreuve de foi pour ce jeune homme : elle encourageait son exercice à la charité, en même temps que son mépris du monde.

      Le fait de suivre Christ, exige que nous appliquions dûment Ses ordonnances, que nous suivions strictement Son exemple, et que nous nous soumettions avec joie à Ses directives : ceci par amour pour Lui, et dans une complète dépendance de Sa Personne.

      Vendre nos biens et tout donner aux pauvres ne sert à rien, quant à l’acquisition de notre salut, par contre c’est conforme à la voie que nous demande de suivre Christ.

      L'évangile est le seul remède pour les pécheurs perdus. Beaucoup s'abstiennent de céder à des vices pernicieux, sans toutefois s'occuper de leurs obligations spirituelles envers Dieu.

      Des milliers d'exemples de désobéissance, qu’il s’agisse de mauvaises pensées, de paroles, et d’actions, sont cités dans la Parole de Dieu. Beaucoup abandonnent ainsi Christ, préférant le monde présent ; ils ressentent certaines convictions et désirs de s’approcher du Seigneur, mais ils repartent tout tristes, peut-être désabusés.

      Il convient de nous examiner quant à notre obéissance aux principes enseignés dans ce texte : le Seigneur nous demandera des comptes...

      23 Bien que Christ ait ici parlé avec autorité, peu de personnes, parmi les gens aisés, ne plaçaient pas leur confiance en leurs richesses.

      Bien rares sont les pauvres qui n’envient pas la fortune ! Toute l’énergie que les hommes dépensent, en vue d’être riches, ne contribue en fait qu’à les éloigner du ciel, eux et leurs enfants.

      Quelle satisfaction, pour ceux qui sont de condition modeste, de ne pas être exposés aux tentations que peut susciter une position élevée et prospère ! S'ils vivent plus difficilement que les riches ici-bas, et s’ils aspirent volontiers à un monde meilleur, ils n'ont en fait aucune raison de se plaindre : les paroles de Jésus, dans ce texte, annoncent qu'il est difficile pour un riche, d'être un bon chrétien et d'être sauvé.

      Le chemin du ciel est pour chacun, un chemin étroit ; la porte qui y conduit l’est également, en particulier pour les gens riches. Pour ces derniers, différents devoirs les attendent, ils sont de plus facilement tentés par de nombreux péchés. Il est difficile de ne pas être séduit par ce monde et par son attrait trompeur.

      Les gens riches ont beaucoup à faire pour se réconcilier avec ceux qu’ils ont pu escroquer ! Il est vraiment impossible pour celui qui se confie entièrement en sa richesse, de parvenir au ciel : Christ utilisa à ce sujet, l’image du chameau, tentant d’entrer par le trou d’une aiguille, dénotant ainsi cette difficulté totalement insurmontable par l'homme. Seule la Grâce toute-puissante de Dieu permettra à un homme riche de franchir cette difficulté.

      En fait, qui peut être sauvé ? Si la fortune est une entrave au salut des riches, ne risque-t-on pas de trouver une certaine fierté, voire une convoitise coupable, chez les plus démunis, avec tout le danger que cela peut comporter ? « Qui donc, peut être sauvé » ? Demandèrent les disciples. Personne, répondit Jésus, par aucun pouvoir ici-bas. Le début, la progression, et l’accomplissement de l'œuvre du salut, dépendent entièrement du Dieu Tout-Puissant, à qui toutes choses sont possibles. Les gens riches ne peuvent pas être sauvés au sein de leur mondanité, ils doivent, par contre, être sauvés de l’emprise de ce monde.

      Pierre s’exclama : « nous avons tout quitté ». En fait, ce « tout » ne représentait que peu de choses : quelques bateaux munis de filets ! Nous pouvons observer cependant, que l’apôtre souligne indirectement la très grande importance qu’ont pour lui ces éléments. Nous sommes trop prompts à faire valoir aux yeux du Seigneur, nos services, nos épreuves, nos dépenses et nos pertes éventuelles. Christ, cependant, ne fit aucun reproche aux disciples ; bien que ce qu'ils avaient abandonné ne représentait que peu de choses, c'était quand même tout leur bien : c’était donc aussi cher, à leurs yeux, qu’un trésor ! Christ considéra avec bonté qu'ils ont en fait laissé tout leur « matériel » pour Le suivre ; Jésus accepte l’homme tel qu’il est...

      Notre Seigneur fit ensuite une promesse aux apôtres : lorsque le Fils de l'homme s'assiéra sur le trône de Sa Gloire, Il fera toutes choses nouvelles, et les disciples s'assiéront avec Lui, afin d’exprimer leur jugement sur ceux qui auront imposé leur doctrine ici-bas. Cette parole de Jésus définit l'honneur, la dignité, l'autorité de la fonction et du ministère de Ses disciples.

      Notre Seigneur ajouta que tous ceux qui abandonnent ce qu’ils possédaient (leur confort), pour Sa cause et celle de l'évangile, seront finalement récompensés.

      Puisse Dieu nous donner la foi de placer notre espérance sur Ses Promesses ; alors nous serons prêts pour tout service ou sacrifice spirituels.

      Notre Sauveur, dans le dernier verset de ce texte, souligne une erreur fréquemment commise par quelques-uns : l'héritage céleste n'est pas donné comme celui qui l’est ici-bas ; il est octroyé selon la volonté de Dieu !

      Ne jugeons pas sur des apparences trompeuses ou des affirmations flatteuses : plusieurs peuvent, autant que nous sachions, devenir des « grands » dans la foi et dans la sainteté !

      Marc 10

      17 Ce jeune homme riche montra un grand intérêt pour le domaine spirituel. Il demanda à Jésus ce qu'il devait faire pour connaître la félicité éternelle. La plupart des hommes aspirent aux biens de ce monde, quels qu’ils soient, Psaume 4:6.

      Le jeune homme demanda quelle attitude pratiquer ici-bas, afin de pouvoir jouir dans le ciel d’une grande récompense. Christ encouragea cette démarche, en le félicitant pour sa foi, et en lui dictant une ligne de conduite. Mais un problème surgit au cours de l’échange entre Jésus et ce jeune homme : ce dernier Lui demandant ce qu'il devait faire en plus, pour obtenir la vie éternelle, Christ voulut alors vérifier les bonnes intentions de cette demande : le jeune homme avait-il la volonté de supporter sa « croix » pour le présent, dans l'attente d'une « couronne » dans le ciel ?

      Cet homme était désolé de ne pas pouvoir devenir facilement un disciple de Christ : il ne pouvait pas obtenir la vie éternelle et garder en même temps ce qu'il possédait ici-bas. Il partit donc, attristé.

      Voir Matthieu 6:24 : « vous ne pouvez servir Dieu et Mammon ».

      23 Christ profite du précédent dialogue avec le jeune homme riche, pour montrer à Ses disciples la difficulté d’obtention du salut, pour ceux qui vivent dans l'abondance ici-bas.

      De telles personnes, avides des richesses de ce monde, ne pourront jamais vraiment « s’approcher spirituellement » de Christ et de Sa Grâce. Elles ne pourront réellement saisir l'importance du salut, et ne pourront comprendre ceux qui n'ont que peu ici-bas et qui néanmoins, abandonnent tout pour Christ.

      Quand un homme bienveillant est appelé par Jésus, sa plus grande épreuve de fidélité consiste à abandonner ses amis et ses parents pour Lui. Lorsqu’une personne est « gagnée » par Christ, elle doit s'attendre à souffrir pour Lui, jusqu'à son arrivée dans les cieux.

      Apprenons le contentement dans la simplicité, restons vigilants envers la convoitise des richesses. Prions, afin d’être capables de partager ce que nous avons avec tous, si possible, dans le cadre du service pour Christ ; utilisons tout ce qui nous est accordé en ce monde, pour rester fidèles à Son service.

      Luc 6

      Luc 10

      25 Si nous parlons d’une manière insouciante, de la vie éternelle, et du chemin qui y conduit, nous prenons le nom de Dieu en vain. Personne n'aimera jamais Dieu et son prochain du moindre amour véritable et spirituel, s'il n'est pas devenu « participant de la Grâce », Celle qui amène à la conversion. Hélas, le cœur de l'orgueilleux est fermement opposé à ces principes...

      Christ, dans cette parabole, a cité l'exemple d'un pauvre Juif en détresse, soulagé par un Samaritain bienveillant. Ce pauvre homme, attaqué et blessé par des voleurs, gisait presque mourant. Ceux qui auraient dû être ses amis, l’ont laissé abandonné, alors qu’il a été pris en charge par un étranger : un Samaritain, d’une nation que les Juifs méprisaient et détestaient, et avec qui ils n'entretenaient aucune relation.

      Il est lamentable de voir à quel point l'égoïsme gouverne à tous niveaux : combien sont nombreuses les excuses que se donnent les hommes, pour éviter tout dérangement ou toute dépense pour soulager les autres. Le véritable chrétien, quant à lui, est dirigé par l’amour, véritable « loi », écrite en son cœur. L'Esprit de Christ demeure en lui ; l'image de Christ est renouvelée en son âme !

      Cette parabole est une belle application du commandement d'aimer notre prochain comme nous-mêmes, sans distinction de nation, de parti, ou de toute autre considération. Ce texte souligne également la prévenance et l'Amour que Dieu, par notre Sauveur, manifeste envers les hommes coupables et misérables.

      Nous étions à l’origine, comme ce pauvre voyageur affligé. Satan, notre ennemi, nous a volés, et blessés : tel est le mal que nous occasionne le péché. Mais notre Sauveur béni a eu compassion de nous. Le croyant considère que Jésus l'a aimé, et a donné Sa vie pour lui, alors qu’il n’était qu’un ennemi et un rebelle ; ce Sauveur ayant montré Sa Miséricorde, offre à ce racheté d'en faire autant.

      Il est du devoir de chacun de nous, là où nous sommes, et selon nos capacités, de secourir, d'aider, et soulager tous ceux qui sont dans la détresse et la nécessité.

      Jean 13

      Actes 2

      37 Dès la première prédication de Pierre, poussé par le Saint-Esprit, la puissance divine se manifesta ; des milliers d’âmes furent amenées à la foi.

      Ni les paroles de Pierre, ni le miracle dont tous furent témoins, n'auraient pu produire de tels effets, si le Saint-Esprit n'avait pas été présent.

      Lorsque les « yeux spirituels » des pécheurs sont ouverts, ces derniers ont dès lors le cœur meurtri par leur iniquité, ils ne peuvent ressentir qu'un véritable malaise. L'apôtre exhorta ses auditeurs à se repentir de leurs péchés, et à témoigner ouvertement de leur foi en Jésus, le Messie, en se faisant baptiser en Son Nom. Professant ainsi leur obéissance envers Lui, ces âmes recevront alors la rémission de leurs péchés, et deviendront participantes des dons et grâces du Saint-Esprit.

      En se séparant des méchants, on échappe à leur emprise. Ceux qui se repentent de leurs péchés, et qui « s'abandonnent » à Jésus-Christ, doivent prouver la véracité de cette repentance en rompant tout lien avec le mal. Nous devons nous écarter des méchants, et nous efforcer, avec une sainte peur, de les éviter.

      Par la grâce de Dieu trois mille personnes acceptèrent le message de l'évangile. Il ne fait aucun doute que le don du Saint-Esprit, reçu par tous, (aucun véritable croyant ne sera oublié), était bien cet Esprit d'adoption et cette Grâce qui convertit, qui dirige, qui sanctifie, qui est donnée à tous les membres de la « famille spirituelle » de notre Père céleste. La repentance et la rémission des fautes sont toujours prêchées aux pécheurs, au Nom du Rédempteur ; le Saint-Esprit scelle Sa bénédiction dans le cœur du croyant repentant ; de nombreuses promesses spirituelles lui sont alors adressées, ainsi qu’à ses enfants ; des bénédictions sont ensuite accordées à tous ceux qui s’éloignent du mal !

      Actes 16

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.