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5
Je t’ai confessé ma faute, je n’ai plus caché mes torts,
J’ai dit : « J’avouerai à Dieu les péchés que j’ai commis ».
Alors, tu as effacé la peine de mon péché.
15
Alors, tu pourras m’invoquer au jour de la détresse,
Je te tirerai du danger, et tu me rendras gloire. »
15
Est-ce que, par hasard, je n’aurais pas le droit de faire de mon bien ce que je veux ? Ou bien, me regardes-tu de travers parce que je suis bon ? Ma générosité te rendrait-elle jaloux ?
16
Voilà comment les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers.
4
Si l’un de vous possède cent brebis, et que l’une d’elles vienne à s’égarer, n’abandonnera-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres au pâturage pour aller à la recherche de celle qui s’est perdue ? Ne cherchera-t-il pas jusqu’à ce qu’il l’ait découverte ?
5
Et quand il l’a retrouvée, avec quelle joie il la charge sur ses épaules pour la ramener !
20
Il se met donc en route pour se rendre chez son père. Comme il se trouve encore à une bonne distance de la maison, son père l’aperçoit. Il est pris d’une profonde pitié pour lui. Il court à la rencontre de son enfant, se jette à son cou et l’embrasse longuement.
21
Le fils lui dit : — Mon père, j’ai péché envers Dieu et envers toi, je ne mérite plus d’être considéré comme ton fils.
22
Mais le père dit à ses serviteurs : — Allez vite chercher un habit, le meilleur que vous trouverez, et mettez-le-lui. Passez-lui une bague au doigt et chaussez-le de sandales.
23
Amenez le veau que nous avons engraissé et tuez-le. Nous allons faire un grand festin et nous réjouir,
24
car voici, pour moi, mon fils était mort, et voilà qu’il est revenu à la vie ; il était perdu, et voici, je l’ai retrouvé. Et ils commencent à se réjouir et à festoyer.
10
Car le Fils de l’homme est venu pour chercher et amener au salut ce qui était perdu.
43
Et Jésus lui répondit : — Vraiment, je te l’assure : aujourd’hui même, tu seras avec moi dans le paradis.
3
Lorsque je vous aurai préparé cette demeure, je reviendrai et je vous prendrai avec moi, si bien que vous serez, vous aussi, là où je serai.
24
Ô Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, car c’est toi qui me l’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
20
Pourquoi alors la loi ? Elle est intervenue afin de démasquer le péché et de mettre en évidence sa puissance. Mais là où le péché s’est multiplié, la grâce a surabondé ; oui, au lieu même où il s’est manifesté dans toute son horreur, la grâce divine a atteint sa plénitude.
21
Ainsi, de même que le péché a exercé sa domination, menant les hommes à la mort, de même, sur la base de l’acquittement gratuit, la grâce étend son règne de justice et nous conduit, par Jésus-Christ notre Seigneur, à la vie éternelle.
8
Nous avançons cependant sans crainte ; nos cœurs sont remplis de confiance et d’assurance. Si nous avions à choisir, nous préférerions même quitter ce corps pour aller rejoindre notre vraie patrie auprès du Seigneur.
3
Je sais seulement que cet homme fut enlevé au paradis
4
et qu’il entendit des choses ineffables qu’aucune lèvre humaine ne saurait redire. Je le répète : je ne sais si c’est corporellement ou dans l’extase qu’il fut ravi. Dieu seul le sait.
23
Je suis tiraillé entre deux désirs opposés : d’un côté, j’aimerais bien quitter cette vie pour être avec le Christ. Ce serait la solution la meilleure.
15
Ah ! comme elle est vraie cette parole, comme elle est importante et digne d’être acceptée sans réserve par tous les hommes : « Le Christ Jésus est venu dans ce monde pour sauver des pécheurs » ! Je suis, pour ma part, le premier d’entre eux, et c’est bien pour cela qu’il a eu pitié de moi.
16
En offrant ainsi sa miséricorde au plus grand des pécheurs, Jésus-Christ a voulu montrer jusqu’où pouvait aller son pardon. Je devais illustrer toute l’étendue de sa patience et fournir la preuve de l’immensité de sa bonté. Mon exemple était destiné à encourager ceux qui croiraient en lui et à leur montrer quels hommes peuvent accéder à la vie éternelle par la foi.
25
Voilà pourquoi il est toujours en mesure de sauver parfaitement et à jamais ceux qui s’approchent de Dieu par son intermédiaire. Parce qu’il vit éternellement, il peut toujours intervenir en leur faveur auprès de Dieu.
7
Que celui qui est capable d’écouter prête attention à ce que l’Esprit dit aux Églises. Au vainqueur, je donnerai à manger du fruit de l’arbre de vie placé dans le paradis de Dieu.
Jésus promettait cette suprême consolation à ses propres disciples attristés au moment de la séparation. (Jean 14.3 ; comparez 17 : 24.)
C'est dépouiller cette magnifique promesse de sa richesse et de sa beauté que de faire du paradis une partie du hadès (lieu invisible, séjour des morts) où l'esprit de Jésus se serait rendu dans sa prétendue descente aux enfers, pendant l'intervalle qui sépara sa mort de sa résurrection. La belle consolation pour ce mourant qu'un tel rendez-vous dans le royaume des ombres ! (Esaïe 14.9,10 ; 38.18)
Le mot paradis signifie parc. On le trouve dans ce sens littéral Ecclésiaste 2.5 ; Cantique 4.13. Les Septante désignent par ce mot le jardin d'Eden. (Genèse 2.8) Il est ainsi devenu synonyme du ciel, étant appliqué au séjour de l'homme sauvé.
Dans 2Corinthiens 12.4, Paul raconte qu'il "fut ravi dans le paradis, où il entendit des paroles ineffables, qu'il n'est pas permis à l'homme d'exprimer." Immédiatement avant, il avait rendu la même idée en disant qu'il "fut ravi jusqu'au troisième ciel." Comparer 2Corinthiens 12.4, 1re note.
Les deux termes sont donc synonymes.
Dans Apocalypse 2.7, le Seigneur promet "à celui qui vaincra de lui donner à manger de l'arbre de vie qui est dans le paradis de mon Dieu," nommant ainsi l'Eden retrouvé, le séjour de la félicité éternelle, qui est celui de Dieu même. Il nous parait inadmissible de donner au mot paradis un sens différent dans notre passage.
Une variante qui se lit dans B et dans quelques copies de l'Itala, au verset 42, porte : quand tu entreras dans ton règne. Si cette leçon que Westcott et Hort adoptent, présente le texte original, Jésus désigne du nom de paradis le royaume dans lequel il va entrer.
Le paradis n'est donc pas une division du hadès, car celui-ci n'appartient pas au royaume de Christ.