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Luc 9.18

Et il arriva, comme il priait à l'écart, que ses disciples étaient avec lui. Et il les interrogea, disant : Qui disent les foules que je suis ?
Un jour, Jésus prie dans un endroit isolé et ses disciples sont avec lui. Jésus leur demande : « Pour les foules, qui suis-je ? »
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      Matthieu 16

      13 Pierre et ses frères, dirent au Seigneur qu'ils étaient certains qu’Il était bien le Messie promis, le Fils du Dieu vivant. Cette parole montrait qu'ils croyaient que Jésus était bien plus qu'un homme ! Notre Seigneur déclara alors à Pierre qu’il était béni : l'enseignement divin le rendait différent de ses concitoyens incrédules.

      Christ ajouta qu'Il le nommait Pierre, faisant ainsi allusion à sa constance et sa fermeté, à professer la Vérité. Le terme traduit par « roc » (ou pierre dans certaines traductions*), n'est pas le même mot que Pierre, mais il a une signification semblable. Il est complètement faux de supposer que Christ signifiait par là, que la personne de Pierre était « le » roc. Sans aucun doute, Christ Lui-même est ce Roc, le seul, le véritable Fondement de l'église ; et malheur à celui qui tente d'en imposer un autre ! La confession de Pierre est ce roc, en tant que doctrine. Si certains prétendent que Jésus n'est pas le Christ, ils tentent d’affirmer par là, que celui qui Le possède n’est alors aucunement participant de la véritable Église : ils ne cherchent qu’à fourvoyer les autres.

      Notre Seigneur annonça ensuite l'autorité dont Pierre allait être investi. Jésus indiqua que l’apôtre allait être le premier « élément » qui allait constituer l’église, avec toute la fraternité qui allait ensuite en découler, parmi ses membres. Il manquait encore aux disciples une certaine aptitude à discerner le « fond » du cœur humain, risquant de ce fait, par leur attitude, de commettre toujours des erreurs, voire certains péchés ; ils furent cependant gardés de tout égarement dans l’annonce de la voie qui mène au salut, à l’obéissance, au comportement du croyant, et celle de la ruine finale qui attend les impies et les hypocrites. Leurs connaissances et leur compétence sur de tels sujets étaient correctes, en accord avec l’enseignement céleste.

      Toutes les « solutions personnelles » auxquelles peut prétendre un homme, quel qu'il soit, pour absoudre ou pour prévenir les péchés des hommes, ne sont que blasphèmes et absurdités. Nul autre que Dieu ne peut pardonner l’iniquité.

      Les verbes « lier et délier », (verset Matthieu 16:19*) dans le langage commun des Juifs, signifiaient interdire, permettre, ou enseigner ce qui était légal ou illicite.

      * Parenthèses ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 26

      36 Christ, Celui qui a été fait « expiation pour les péchés de l'humanité », s'est soumis Lui-même à la volonté divine, dans un jardin de souffrance, (Gethsémané*) ; l'homme, de son côté, s'était révolté contre Lui, dans un jardin de plaisir (Éden*). En cet endroit, à Gethsémané, où Il a souffert Son agonie, Jésus prit avec lui uniquement ceux qui avaient été témoins de Sa transfiguration.

      Ceux qui sont le mieux préparés à « souffrir avec Christ », sont ceux qui, par la foi, ont vu Sa gloire. Les mots utilisés dans ce texte expriment les sentiments ressentis par le Seigneur : le découragement le plus total, l'effroi, l'angoisse et même l'horreur ; tel est l'état de celui qui est en proie aux diverses peines, accablé de tristesse, et envahi par la terreur et la détresse. Jésus commença ici à être vraiment affligé, et Il allait rester dans cet état jusqu'à ce qu’Il s’écrie : « tout est accompli ».

      Il pria, s’il était possible, que cette « coupe » puisse passer loin de Lui. Mais Il montra Son acceptation à porter la charge de Ses souffrances infinies ; Il était disposé à Se soumettre à tout, pour notre rédemption et notre salut.

      Selon cet exemple de Christ, nous devons « boire la coupe » la plus amère que Dieu place entre nos mains ; bien que notre nature lutte pour tenter d’éviter l’épreuve, elle doit se soumettre. Nous devrions davantage tenter de suivre le sentier de la sanctification, malgré les peines possibles encourues, avec toute la satisfaction qui en découle dans notre cœur, plutôt que celui de la facilité, qui consiste à éviter toute épreuve. Il est bon de savoir que notre salut se trouve dans la main de Celui qui « ne sommeille ni ne dort ».

      Nous devons vraiment craindre d’être soumis à la tentation, bien que ce soit le sort de tous. Pour être assurés de ne pas tomber en tel cas, nous devons veiller et prier, et continuellement regarder au Seigneur, pour qu'Il nous garde et qu’Il nous écarte du danger.

      Indubitablement notre Seigneur avait une vue claire et complète des souffrances qu'Il allait devoir endurer ; Il mentionna cependant cette épreuve avec une grande dignité. Christ a été le « Garant » de notre âme, Il s’est volontairement tenu comme responsable de nos iniquités. En conséquence Il a été fait « péché » pour nous, et a souffert pour nos fautes, Lui, le Juste pour les injustes ; l'Écriture impute Ses souffrances terribles à la main divine. Jésus avait une pleine connaissance du mal infini du péché, et de l'ampleur immense de la culpabilité qu’Il devait expier à notre place ; aucun esprit, aucune langue ne peuvent concevoir ni exprimer une telle vision, de la Justice et de la Sainteté divines, provoquant la punition inhérente aux péchés des hommes.

      Durant cet instant, Christ souffrait de la tentation : il est probable que d’horribles pensées Lui furent suggérées par Satan, ce qui était très dur à supporter, face à Sa Sainteté parfaite. Fallait-il que le poids de cette culpabilité imputée soit lourd, pour abattre l'âme de Celui dont il est dit : « Il soutenait toutes choses par Sa Parole puissante » ? Heb 1:3.

      Dans quelle misère doivent se trouver ceux qui restent avec leurs péchés non pardonnés ! Comment échapperont ceux qui négligent un si grand salut ?

      * Parenthèse ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Marc 8

      27 Ces évènements sont écrits, afin que nous croyions véritablement que Jésus est le Christ, le fils de Dieu ! Les miracles de notre Seigneur nous assurent qu'Il ne fut pas vaincu, mais au contraire, Vainqueur !

      Les disciples sont dès lors convaincus que Jésus est le Christ ; ils sont capables de supporter de l'entendre parler de Ses souffrances : en effet Jésus, dans ce texte, commence à les instruire à ce sujet.

      Le Seigneur voit ce qui ne va pas, dans ce que nous disons ou faisons, ce dont nous sommes parfois incapable de vraiment nous rendre compte : Il connait notre état d’âme. La sagesse de l'homme n’est que folie, lorsqu’elle prétend que les ordonnances divines ont des limites.

      Dans ce texte, nous voyons que Pierre ne comprit pas exactement la véritable nature du Royaume de Christ.

      Luc 9

      18 Le fait de savoir que notre Seigneur Jésus soit « l'Oint de Dieu » procure un incomparable réconfort : ceci signifie qu'Il était à la fois désigné pour être le Messie, et qualifié pour l'être !

      Jésus conversa avec Ses disciples, au sujet de Ses futures souffrances et de Sa mort. Ces derniers ne pensaient en fait qu’à la manière de Lui éviter Ses afflictions, sans se préparer à celles qu’ils allaient devoir endurer eux-mêmes.

      Nous rencontrons souvent des « croix spirituelles » sur le chemin du devoir ; et bien que nous ne devions pas les « porter » à proprement parler, elles sont néanmoins bien présentes et nous devons les accepter, et les supporter, comme Christ l'a fait.

      Il en est de nos corps comme de nos âmes : le corps ne peut être épanoui, si l'âme est misérable ; mais l'âme peut être heureuse, même si le corps est grandement affligé et opprimé ici-bas. Nous ne devrions jamais éprouver de honte au sujet de Christ et de l’Évangile.

      Luc 11

      1

      Les disciples apprennent à prier. (Luc 11:1-4)
      Christ encourage à être réfléchi dans la prière. (Luc 11:5-13)
      Christ chasse un démon. Le blasphème des pharisiens. (Luc 11:14-26)
      Le véritable bonheur. (Luc 11:27,28)
      Christ blâme les Juifs. (Luc 11:29-36)
      Il blâme les pharisiens. (Luc 11:37-54)

      « Seigneur, enseigne-nous à prier » ; ceci est une prière excellente et nécessaire : seul Jésus-Christ, en effet, peut nous enseigner à prier, par Sa Parole et Son Esprit.

      « Seigneur, enseigne-moi comment prier ; incite, éveille mon âme à ce sujet ; Seigneur, dirige-moi dans ma prière : révèle-moi les paroles que je dois formuler ».

      Christ apprit à Ses disciples la prière mentionnée dans ce texte, prière en de nombreux points semblable aux paroles qu'Il avait prononcées un peu plus tôt, lors de Son sermon sur la montagne. On peut remarquer quelques différences, quant au contenu de la prière du Seigneur, retracée dans l’évangile de Matthieu, par rapport à celle de Luc : en fait elles sont peu significatives.

      Dans nos requêtes, à la fois pour les autres comme pour nous-mêmes, approchons-nous de notre Père céleste, confiants en Sa Puissance et Sa Bonté !

      Luc 22

      39 La description que donne chaque évangéliste sur l'état d'esprit dans lequel notre Seigneur est entré dans ce moment d’agonie, au pied du Mont des Oliviers, prouve la terrible nature de l'attaque qu’Il subit, ainsi que la prescience parfaite des terreurs qu’Il allait devoir supporter, malgré le fait qu’Il soit doux et humble de cœur.

      Il y a dans ce texte trois éléments que nous ne trouvons pas dans le récit des autres évangélistes : - Lorsque Christ était à l’agonie, un « ange du ciel » Lui apparut, pour le fortifier. Cela révélait bien Son état d’humiliation : Jésus devait alors être fortifié par un esprit céleste. - Étant à l’agonie, Christ a prié avec davantage de ferveur. La prière, bien que jamais inutile, est particulièrement recommandable lorsque nous sommes à l’agonie. - Durant cette épreuve, Sa sueur était semblable à de grosses gouttes de sang qui coulaient à terre. Cela révèle particulièrement les douleurs qu’éprouvait Son être...

      Nous devons prier, nous aussi, afin d'être capables de résister au péché, « jusqu’au sang » Heb 12:3-4*, lors de la tentation. Si, passé cette épreuve, vous songiez éventuellement aux joies qu’auraient pu vous procurer votre « péché favori », pensez à ses conséquences redoutables, telles qu’on peut les apercevoir ici, dans ce texte : quelle angoisse peut-on voir en ce jardin de Gethsémané... Avec l'aide de Dieu, puissiez-vous haïr et abandonner cet « ennemi » : c'est pour la rançon des pécheurs que le Rédempteur a prié, qu’Il est entré en agonie, et a versé Son sang.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

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