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14
Vous demandez pourquoi il n’en veut plus. Eh bien, vous vous étiez engagés devant le Seigneur envers la femme épousée dans votre jeunesse. C’était votre compagne, vous vous étiez liés à elle, et pourtant vous l’avez trahie.
15
Le Seigneur n’a-t-il pas fait de vous un seul être avec elle, par le corps et l’esprit ? Et que souhaite ce seul être ? N’est-ce pas d’avoir des enfants accordés par Dieu ? Prenez donc garde à vous-mêmes, ne trahissez pas la femme épousée dans votre jeunesse.
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“Je hais la répudiation et celui qui se rend coupable de violence, dit le Seigneur, le Dieu d’Israël et de l’univers. Prenez donc garde à vous-mêmes et ne trahissez pas vos engagements.” »
31
« Il a été dit aussi : “Celui qui renvoie sa femme doit lui donner une attestation de divorce.”
32
Eh bien, moi je vous déclare : tout homme qui renvoie sa femme, alors qu’elle n’a pas été infidèle, lui fait commettre un adultère si elle se remarie ; et celui qui épouse une femme renvoyée par un autre commet aussi un adultère. »
1
Les Pharisiens et les Sadducéens s’approchèrent de Jésus pour lui tendre un piège. Ils lui demandèrent de leur montrer par un signe miraculeux qu’il venait de la part de Dieu.
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Quelques Pharisiens s’approchèrent de lui pour lui tendre un piège. Ils lui demandèrent : « Notre loi permet-elle à un homme de renvoyer sa femme pour n’importe quelle raison ? »
16
Ils envoyèrent ensuite quelques-uns de leurs disciples et quelques membres du parti d’Hérode dire à Jésus : « Maître, nous savons que tu dis la vérité : tu enseignes la vérité sur la conduite que Dieu demande ; tu n’as pas peur de ce que pensent les autres et tu ne tiens pas compte de l’apparence des gens.
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Dis-nous donc ce que tu penses de ceci : notre loi permet-elle ou non de payer des impôts à l’empereur romain ? »
18
Mais Jésus connaissait leurs mauvaises intentions ; il leur dit alors : « Hypocrites, pourquoi me tendez-vous un piège ?
35
Et l’un d’eux, un maître de la loi, voulut lui tendre un piège ; il lui demanda :
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Quelques Pharisiens s’approchèrent de lui pour lui tendre un piège. Ils lui demandèrent : « Notre loi permet-elle à un homme de renvoyer sa femme ? »
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On envoya auprès de Jésus quelques Pharisiens et quelques membres du parti d’Hérode pour le prendre au piège par une question.
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Mais Jésus savait qu’ils cachaient leur véritable pensée ; il leur dit alors : « Pourquoi me tendez-vous un piège ? Apportez-moi une pièce d’argent, je voudrais la voir. »
53
Quand Jésus fut sorti de cette maison, les maîtres de la loi et les Pharisiens se mirent à lui manifester une violente fureur et à lui poser des questions sur toutes sortes de sujets :
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ils lui tendaient des pièges pour essayer de surprendre quelque chose de faux dans ses paroles.
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Ils disaient cela pour lui tendre un piège, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus se baissa et se mit à écrire avec le doigt sur le sol.
9
Là vos ancêtres m’ont défié et mis à l’épreuve, dit Dieu, même après avoir vu tout ce que j’avais fait
Des pharisiens (voir sur ce parti Matthieu 3.7, note) la lui posent ici pour le tenter. Ce qui en faisait une question captieuse, c'est qu'elle était alors vivement débattue entre deux écoles juives, celle de Hillel et celle de Schamaï, le premier très relâché, le second plus sévère sur le divorce.
En outre, l'exemple donné par Hérode Antipas, qui régnait sur la Pérée, et la fin de Jean-Baptiste qui l'avait repris, (Matthieu 14.1 et suivants) rendaient assez dangereuse une solution rigoureuse de la question, tandis qu'une solution plus libre aurait mis Jésus en contradiction avec le précurseur.
- Pour quelque sujet (ou cause) que ce soit, c'est-à-dire pour tout sujet de plainte que le mari aurait contre sa femme. Telle était la fausse opinion de Hillel, qu'il croyait fondée sur Deutéronome 24.1.
Et c'est surtout dans ce mot que se trouve la tentation, le piège tendu à Jésus par ses adversaires.
Les cas épineux, relatifs au mariage, étaient nombreux, et parfois difficiles à traiter ; cet état de fait était dû, non pas à la complexité de la loi divine, mais aux convoitises et à la folie des hommes : souvent d’ailleurs, le peuple déterminait quelle conduite tenir, sans demander un quelconque conseil.
Jésus répondit en demandant aux pharisiens s'ils n'avaient pas lu dans la Genèse, le récit de la création, et le premier exemple de mariage, indiquant ainsi que tout écart sur ce point était une faute. La meilleure condition pour nous, celle qui doit être choisie et gardée en conséquence, est celle qui est la meilleure pour nos âmes, qui tend le plus à nous préparer pour le royaume céleste, et qui nous préserve pour cette destinée.
Quand la doctrine de l'évangile est vraiment suivie, les hommes deviennent alors des parents bienveillants et de fidèles amis ; elle leur enseigne à porter le fardeau et les infirmités de ceux qui les entourent, à considérer la paix et le bonheur de leur prochain comme prioritaires sur leur bien personnel.
Il est normal que les impies soient « gérés » par des lois, pour que la paix de la société ne soit pas brisée. Ce texte nous enseigne qu'il faut considérer le mariage avec un grand sérieux, par le biais d’une prière fervente.