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Il répondit : Qui t’a établi chef et juge sur nous ? Parles-tu pour me tuer, comme tu as tué l’Égyptien ? Moïse eut peur et se dit : Sûrement l’affaire est connue.
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Classes des fils d’Aaron : Fils d’Aaron : Nadab, Abihou, Éléazar et Itamar.
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Nadab et Abihou moururent avant leur père, sans avoir de fils ; Éléazar et Itamar exercèrent le sacerdoce.
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David, ainsi que Tsadoq parmi les fils d’Éléazar et Ahimélek parmi les fils d’Itamar, classa les fils d’Aaron selon les charges de leur service.
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Il se trouva parmi les fils d’Éléazar plus de chefs que parmi les fils d’Itamar, et on les classa, de sorte que les fils d’Éléazar avaient seize chefs de maisons patriarcales, et les fils d’Itamar huit chefs de maisons patriarcales.
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On les classa par le sort, les uns avec les autres, car les ministres du lieu-saint et les ministres de Dieu étaient des fils d’Éléazar et des fils d’Itamar.
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Le secrétaire Chemaeya, fils de Netaneél, de (la tribu de) Lévi, les inscrivit devant le roi et les ministres, devant le sacrificateur Tsadoq, devant Ahimélek, fils d’Abiatar, et devant les chefs des familles des sacrificateurs et des Lévites. On prenait une maison patriarcale pour Éléazar et on en prenait une autre pour Itamar.
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Le premier sort échut à Yehoyarib ; le second à Yedaeya ;
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le troisième, à Harim ; le quatrième, à Seorim ;
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le cinquième, à Malkiya ; le sixième, à Miyamîn ;
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le septième, à Haqqots ; le huitième, à Abiya ;
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le neuvième, à Josué ; le dixième, à Chekaniahou ;
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le onzième, à Éliachib ; le douzième, à Yaqim ;
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le treizième, à Houppa ; le quatorzième, à Yéchébeam ;
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le quinzième, à Bilga ; le seizième, à Immer ;
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le dix-septième, à Hézir ; le dix-huitième, à Happitsets ;
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le dix-neuvième, à Petahya ; le vingtième, à Ézéchiel ;
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le vingt et unième, à Yakîn ; le vingt-deuxième, à Gamoul ;
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le vingt-troisième, à Delayahou, le vingt-quatrième, à Maaziahou.
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C’est ainsi qu’ils furent chargés de leur service, pour entrer dans la maison de l’Éternel selon la règle établie par l’intermédiaire de leur père Aaron, comme (le) lui avait ordonné l’Éternel, le Dieu d’Israël.
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Jésus se rendit dans le temple, et pendant qu’il enseignait, les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple vinrent lui dire : Par quelle autorité fais-tu cela, et qui t’a donné cette autorité ? Jésus leur répondit :
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A ce moment, Jésus dit à la foule : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi. J’étais tous les jours assis dans le temple, j’enseignais et vous ne vous êtes pas saisis de moi.
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Ils se rendirent de nouveau à Jérusalem, et pendant que Jésus se promenait dans le temple, les principaux sacrificateurs, les scribes et les anciens vinrent à lui
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et lui dirent : Par quelle autorité fais-tu cela, et qui t’a donné l’autorité pour le faire ?
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Jésus leur répondit : Je vous poserai une seule question ; répondez-moi, et je vous dirai par quelle autorité je fais cela.
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Le baptême de Jean venait-il du ciel ou des hommes ? Répondez-moi.
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Mais ils raisonnèrent ainsi entre eux : Si nous répondons : Du ciel, il dira : Pourquoi n’avez-vous donc pas cru en lui ?
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Et si nous répondons : Des hommes... Ils craignaient le peuple, car tous tenaient Jean pour un véritable prophète.
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Alors ils répondirent à Jésus : Nous ne savons pas. Et Jésus leur dit : Moi non plus, je ne vous dis pas par quelle autorité je fais cela.
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Il enseignait tous les jours dans le temple. Et les principaux sacrificateurs, les scribes et les chefs du peuple cherchaient à le faire périr ;
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mais ils ne savaient comment faire car tout le peuple était suspendu à ses lèvres.
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Un de ces jours-là, comme Jésus enseignait le peuple dans le temple et qu’il annonçait la bonne nouvelle, les principaux sacrificateurs et les scribes, avec les anciens, survinrent
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et lui dirent : Dis-nous par quelle autorité tu fais cela, ou qui est celui qui t’a donné cette autorité.
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Il leur répondit : Je vous poserai, moi aussi, une question.
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Dites-moi, le baptême de Jean venait-il du ciel ou des hommes ?
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Mais ils firent en eux-mêmes cette réflexion : Si nous répondons : Du ciel, il dira : Pourquoi n’avez-vous pas cru en lui ?
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Et si nous répondons : Des hommes, tout le peuple nous lapidera, car il est persuadé que Jean était un prophète.
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Alors ils répondirent qu’ils ne savaient pas d’où (venait ce baptême).
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Et Jésus leur dit : Moi non plus, je ne vous dis pas en vertu de quelle autorité je fais cela.
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Ils firent comparaître au milieu d’eux Pierre et Jean, et demandèrent : Par quelle puissance ou par quel nom avez-vous fait cela ?
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Mais celui qui maltraitait son prochain le repoussa et dit : Qui t’a établi chef et juge sur nous ?
- La grande lutte dans le temple entre Jésus et ses adversaires commence. Le peuple en suit les péripéties avec intérêt. Sa faveur met momentanément Jésus à l'abri des entreprises de ses ennemis. Le but de ceux-ci, dans les questions qu'ils lui posent, est de l'amener à des affirmations qui lui aliéneront la sympathie de la foule et pourront aussi servir de motifs de condamnation.
- Les principaux sacrificateurs et les anciens faisaient partie du sanhédrin, le conseil souverain, qui avait la plus haute autorité en matière civile et religieuse. Ils viennent à Jésus comme députation officielle.
Leur double question est très précise : Quelle est ton autorité ? et de qui la tiens-tu ? Nous, semblent-ils dire, nous ne t'avons point donné d'autorité : es-tu donc un envoyé direct de Dieu ?
- Mais qu'entendent-ils par ces choses que Jésus faisait et qui les offusquent ? Etait-ce son enseignement, dans lequel ils viennent l'interrompre, ou toute son action à Jérusalem depuis son entrée royale dans cette ville, ou enfin et surtout la purification du temple ? (verset 12 et suivants)
Les interprètes se divisent sur ce point, mais il n'y a pas de doute que ce dernier acte d'autorité ne fût le principal grief des membres du sanhédrin. Ils espéraient que Jésus déclarerait qu'il avait le droit de faire la police dans le temple, parce qu'il s'y trouvait dans la maison de son Père, (Luc 2.49) étant le Fils de Dieu. Ils savaient quelle répugnance le peuple avait toujours montrée à accepter de Jésus une affirmation catégorique de sa divinité. (Jean 5.18 ; 8.59 ; 10.31,39)
En la lui arrachant à ce moment, ils pensaient ébranler, ruiner peut-être du coup sa popularité.
Beaucoup n’éprouvent aucune honte à mentir, voulant en fait masquer le péché qu’ils ont commis : ils n’ont aucun scrupule à dissimuler les erreurs, relatives à leurs propres pensées, leurs affections personnelles, leurs intentions, ou leurs mauvais souvenirs.
Dans ce texte, notre Seigneur refusa de répondre aux questions que lui posaient les sacrificateurs et les anciens. Il est bon de fuir les vaines et inutiles polémiques avec les pécheurs, opposés totalement à toute piété.