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Matthieu 26.63

But Jesus held his peace. The high priest answered him, "I adjure you by the living God, that you tell us whether you are the Christ, the Son of God."
Mais Jésus se taisait. Le grand-prêtre lui dit alors : « Au nom du Dieu vivant, je te demande de nous répondre sous serment : es-tu le Messie, le Fils de Dieu ? »
Jésus garda le silence. Et le souverain sacrificateur, prenant la parole, lui dit : Je t'adjure, par le Dieu vivant, de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu.
Mais Jésus garda le silence. Et le souverain sacrificateur, répondant, lui dit : Je t'adjure, par le Dieu vivant, que tu nous dises si toi, tu es le Christ, le Fils de Dieu.
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      Lévitique 5

      1

      Au sujet des diverses offenses. (Lévitique 5:1-13)
      Au sujet des offenses à l'encontre de l'Éternel. (Lévitique 5:14-19)

      Les offenses mentionnées dans ce texte sont les suivantes :

      - Un homme ayant caché des faits, alors qu'il était témoin, sous serment, et devait dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité ; si, dans un tel cas, par crainte, un homme a offensé un de ses amis, ou peut-être même son ennemi, en ne révélant qu'une partie de la vérité, il commet un péché. C'est en fait une faute grave qui, si elle n'est pas avouée, peut faire sombrer un homme vers l'enfer. Que ceux qui sont appelés à témoigner, puissent penser à cette loi : qu'ils se sentent libres d'annoncer ouvertement la véracité des choses, tout en prenant bien soin de ne pas laisser s'établir d'équivoque. Un serment fait devant l'Éternel est une chose sacrée, avec laquelle on ne plaisante pas.

      - Un homme ayant touché quelque chose d'impur. Malgré le fait que d'avoir déjà touché cette chose le salisse, si de plus, par mépris de la loi, il néglige de se laver, cela représente une faute morale. Dès que Dieu, par Son Esprit, convainc notre conscience, de péché ou de manque au devoir, nous devons nous soumettre à cette condition et ne pas avoir honte d'avouer notre faute.

      - Les Israélites ne devaient pas prêter serment, inconsidérément. Cette règle s'appliquait aussi à ceux qui faisaient de faux témoignages. La sagesse et la vigilance préalables devaient éviter ce genre de situation difficile. Si tel était le cas, le coupable devait confesser son péché et apporter son offrande ; cette dernière ne pouvait être acceptée que si elle était accompagnée d'une reconnaissance des faits et d'une humble prière, en vue d'implorer le pardon divin. Cette confession était particulière : elle devait bien montrer que son auteur avait péché par faux témoignage. Les tromperies ne sont finalement que des mensonges ; tous ceux qui ont commis ce délit doivent le reconnaître ; ces péchés engendrent d'ailleurs souvent une chaîne de dissimulations successives. Le seul chemin qui assure le pardon et qui puisse prévenir toute rechute, est la confession de l'exacte vérité. Si quelqu'un était vraiment pauvre, il avait la possibilité d'offrir de la farine, cela était accepté. Une telle dépense pour l'offrande relative à ce péché était modeste : cela montrait que la pauvreté d'un individu n'était pas un obstacle au pardon. Si le pécheur apportait deux colombes, l'une devait être offerte à titre d'offrande pour le péché, l'autre devait l'être pour l'offrande brûlée. Il faut d'abord bien comprendre que nous devons d'abord être « en règle » avec Dieu, et qu'ensuite, nous pourrons seulement espérer qu'Il pourra agréer nos services, pour Sa gloire. Pour bien montrer l'horreur du péché, la farine offerte ne devait pas être aromatisée avec de l'huile ou de l'encens. Dieu, par ces sacrifices, réconfortait l'âme de ceux qui L'avaient offensé, de façon à ce qu'ils ne sombrent pas dans l'abattement, dû à leurs péchés. Cela devait inciter le peuple à ne pas lancer inconsidérément de faux témoignages, sachant le prix qu'il fallait payer pour que ces péchés soient expiés.

      Nombres 5

      1 Samuel 14

      24 Cet ordre impératif de Saül manquait vraiment de sagesse ; s'il voulait que le peuple d'Israël gagne du temps sur l'ennemi, ce ne pouvait être qu'au détriment de la force nécessaire à la poursuite de ce dernier.

      Il en est de même dans notre vie : notre travail journalier ne peut s'accomplir sans le pain quotidien que nous accorde, dans Sa Grâce, notre Père céleste. Saül, qui se détournait de Dieu, commençait maintenant à Lui construire un autel ! Il manifestait avec zèle, comme le font certaines personnes, une fausse piété, tout en reniant la Puissance divine.

      1 Rois 22

      2 Chroniques 18

      Psaumes 2

      7 Le royaume du Messie est fondé par un décret éternel établi par Dieu le Père. Ceci fait directement référence à notre Seigneur Jésus ou à son gouvernement. Dieu a dit à son sujet : « Tu es mon Fils » ; partant de là, chacun de nous peut lui dire : « Tu es mon Seigneur, mon Souverain ». Le Fils, voulant recevoir les païens en héritage, désire toute leur plénitude en Lui-même ; Il plaide ainsi en leur faveur, Il se consacre en permanence à cette tâche ; Il est capable de sauver l'impie, et il y en aura, parmi les multitudes, certains qui seront réellement disposés à répondre à l'appel. Les chrétiens sont la propriété du Seigneur Jésus ; leur appellation en découle et ils prient en son nom. Dieu le Père les lui donne, lorsque, par son Esprit et par sa Grâce, Il œuvre en eux pour les amener au Seigneur Jésus.

      Psaumes 38

      12 Les méchants haïssent la bonté, même quand ils en tirent bénéfice. Par les souffrances que ses ennemis lui ont occasionnées, David représente une image de Christ. En réalité nos ennemis ne nous font réellement du tort que lorsqu'ils nous éloignent de Dieu et de notre devoir. Les problèmes réels du croyant sont en fait, d'une certaine manière, utiles ; ils lui apprennent à s'attendre à une délivrance de Dieu plutôt qu'à une aide personnelle ou du monde. Moins nous serons affectés par les méchancetés et les injures du monde, plus nous serons sereins et en paix. Les problèmes de David étaient en quelque sorte à la fois un châtiment et la conséquence de ses transgressions, alors que les souffrances de Christ étaient dues à nos péchés et aux nôtres uniquement.

      De quel droit un pécheur peut-il céder à l'impatience ou à la colère quand la miséricorde divine peut pardonner ses péchés ? David était très affecté par son péché. Les hommes pieux, en regardant constamment leurs douleurs sont bien près du précipice ; mais en plaçant toujours Dieu devant eux, ils se gardent de toute chute. Si nous sommes vraiment sensibles à l'action néfaste du péché, nous aurons réellement de la patience lors de l'épreuve.

      Rien n'est plus terrible pour le cœur d'un croyant que d'avoir l'impression, au moment de l'affliction, d'être loin de Dieu ; en d'autres termes, rien ne peut davantage meurtrir la sensibilité d'un cœur que cette prière « Mon Dieu ! Ne t'éloigne pas de moi ».

      Le Seigneur est apte à secourir ceux qui lui manifestent leur entière confiance pour leur salut.

      Proverbes 29

      Esaïe 9

      Esaïe 53

      Daniel 3

      Matthieu 16

      Matthieu 26

      Matthieu 27

      Marc 14

      Luc 22

      Jean 1

      Jean 3

      18 Qu’il est grand ce péché d’incrédulité ! Celui qui a été envoyé par Dieu pour nous sauver, Christ, Lui était le plus cher ; qu’en est-il pour nous ?

      Qu’elle est grande la misère des non-croyants ! Ils sont déjà condamnés, de manière certaine. Le courroux de Dieu est dès lors sur eux, leur propre cœur les condamne. Il y a aussi une condamnation fondée sur leur culpabilité antérieure ; ils sont exposés aux rigueurs de la loi, à cause de leurs péchés, parce qu'ils n’ont pas accepté le pardon de l'Évangile.

      L'incrédulité est un péché : elle jaillit de l'inimitié du cœur de l'homme, envers Dieu, elle découle en quelque sorte, de l'amour du péché. Nous pouvons constater le sort malheureux réservé à ceux qui ne veulent pas connaître Christ. Les œuvres coupables proviennent des ténèbres. Le monde de la méchanceté se tient aussi loin qu'il peut de la Lumière céleste, de peur que ses actes soient réprouvés.

      Christ est haï à cause de l’amour du péché. Si les pécheurs n'avaient pas tant repoussé la possibilité de salut en Christ, ils ne se complairaient pas ainsi dans cette ignorance volontaire qui en fait, les condamne.

      Des leur côté, les cœurs renouvelés accueillent cette Lumière, (Christ). Un homme de bien agit toujours avec vérité et sincérité. Il désire connaître la volonté de Dieu et « dialoguer » avec ce Dernier, même si cela va à l’encontre de son propre intérêt dans le monde. Un réel changement est opéré dans la conduite et le caractère d’un tel homme. L'Amour de Dieu est répandu dans son cœur, par le Saint-Esprit ; cet Amour est devenu le principe directeur de ses actes.

      Aussi longtemps qu'une personne demeure sous le poids d'une culpabilité non pardonnée, elle ne peut avoir qu'une crainte servile de Dieu ; mais quand ses doutes sont balayés, quand elle voit le juste fondement sur lequel ce pardon est construit, elle s’appuie dessus et l’adopte : elle est alors unie à Dieu, d’un amour sincère !

      Nos œuvres sont bonnes quand la volonté de Dieu en est le fil directeur et que Sa Gloire en est le but, quand elles sont accomplies par Sa force et pour son Nom, pour Lui et non pour les hommes.

      La régénération, ou la « nouvelle naissance », est un sujet auquel le monde est très opposé ; elle est, cependant, la plus grande des actions célestes, en comparaison avec les futilités de ce monde.

      À quoi cela servirait-il, d'avoir de la nourriture en abondance et une grande variété de vêtements, sans être né de nouveau ? Quelle tristesse serait la nôtre, si après quelque temps passé dans une gaieté insensée, le plaisir charnel ou des querelles, nous finissions par mourir dans nos péchés dans le malheur éternel ? À quoi bon, d’avoir réussi dans la vie, en divers domaines, si à la fin nous entendons le Juge Suprême nous annoncer : « Retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité » Luc 13:27* ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 5

      24 Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorité, en annonçant qu’Il était véritablement le Messie. Le temps était venu où les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre !

      Notre Seigneur fait référence pour la première fois à Sa résurrection, pour ceux qui étaient « morts » dans le péché et qui allaient connaître une nouveauté de vie en la puissance de l'Esprit ; Il mentionne aussi la future résurrection des morts.

      La fonction de Juge de l’humanité ne peut être exercée que par Celui qui possède toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son témoignage ! Notre foi et notre espérance seront alors établies en Dieu, et nous ne serons pas condamnés par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le cœur de ceux qui sont morts dans l’iniquité ; qu'ils puissent accomplir des œuvres dignes de la repentance et se préparer pour le jour solennel du retour du Seigneur !

      Jean 6

      Jean 8

      Jean 10

      Jean 18

      Jean 19

      Jean 20

      Actes 8

      1 Pierre 2

      1 Jean 5

      13 D’après toutes les évidences de ce texte, il est clair qu’il n’y a rien de plus profitable que de croire au Nom du Fils de Dieu.

      Aujourd’hui, sous la Nouvelle Alliance de l'Évangile, les croyants bénéficient de la vie éternelle. Recevons donc avec reconnaissance ce que nous enseigne l'Écriture. Nous devons toujours abonder dans l'œuvre du Seigneur, sachant que cette tâche ne sera jamais vaine !

      Le Seigneur Jésus-Christ nous invite à nous approcher de Lui, en toutes circonstances, avec nos supplications et nos requêtes, malgré le péché qui peut nous obséder. Nos prières doivent toujours être offertes à Dieu, en toute soumission à Sa volonté. Si dans certains cas elles sont rapidement exaucées, dans d'autres, elles sont satisfaites de la meilleure manière, même si cela ne correspond pas tout à fait à ce que nous avons demandé. Nous devons intercéder pour les autres, comme pour nous-même.

      Il y a des péchés qui pratiquent une « guerre spirituelle » à l'âme. Nous ne pouvons pas prier pour que les péchés de l'impénitent et de l'incrédule invétéré leur soient pardonnés, ni que la Miséricorde divine leur soit accordée, s’ils continuent délibérément à suivre leurs mauvaises voies. Mais nous pouvons toutefois prier pour leur repentir, pour qu'ils soient enrichis dans leur foi en Christ et dans toute Sa Miséricorde bénéfique.

      Nous devons intercéder pour les autres, aussi bien que pour nous-même, suppliant le Seigneur de pardonner, de relever et de soulager celui qui a chuté, qui est tenté, voire affligé. Soyons vraiment reconnaissants du fait qu'aucun des péchés, de l’homme qui se repent réellement, ne mène à la mort.

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