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Matthieu 28.20

leur enseignant à garder toutes les choses que je vous ai commandées. Et voici, moi je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la consommation du siÚcle.

et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je vous ai prescrit. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. »
leur enseignant à garder toutes les choses que je vous ai commandées. Et voici, moi je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la consommation du siÚcle.
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      GenĂšse 39

      Exode 3

      Deutéronome 5

      Deutéronome 12

      Josué 1

      5 JosuĂ© compte bien utiliser la Loi, comme rĂšgle de vie. Il est chargĂ© par Dieu de la mĂ©diter jour et nuit, afin de « prendre garde Ă  faire selon tout ce qui est Ă©crit ». Quelles que soient les affaires que nous avons Ă  traiter en ce monde, nous ne devons pas nĂ©gliger cette lecture de la Parole, si utile. Tous les ordres et tous les jugements que JosuĂ© allait donner, devaient s'appuyer sur la Loi. MĂȘme le patriarche y Ă©tait lui-mĂȘme soumis ; aucune dignitĂ© humaine, aucune domination ne peut se placer au dessus de la Parole de Dieu.

      JosuĂ© devait s'encourager par les Promesses et par la PrĂ©sence divines. Le patriarche ne devait pas ĂȘtre dĂ©couragĂ© par le constat d'Ă©ventuelles faiblesses personnelles ; Dieu est tout suffisant ! C'est Lui-mĂȘme qui a appelĂ© JosuĂ©, pour lui commander d'accomplir cette tĂąche, Ă©tant sĂ»r qu'il Ă©tait capable d'en supporter les difficultĂ©s. Quand nous accomplissons notre devoir, nous avons de bonnes raisons d'ĂȘtre forts et trĂšs audacieux. Notre Seigneur JĂ©sus, comme JosuĂ© dans le cas prĂ©sent, est nĂ© dans la perspective de subir plus tard la souffrance, par la volontĂ© et l'ordre de Dieu, Son PĂšre.

      1 Rois 1

      1 Chroniques 16

      Psaumes 46

      Psaumes 72

      EsaĂŻe 8

      9 Le prophĂšte dĂ©fie les ennemis des juifs : leurs efforts seront vains, et eux-mĂȘmes rĂ©duits en piĂšces !

      Il nous incombe, quand nous traversons l'épreuve, de veiller à ne pas emprunter des voies douteuses, en vue de rester en sécurité. La crainte fervente de Dieu, préserve de l'inquiétude que nous pourrions éprouver devant l'agressivité des hommes. Si nous savions évaluer à sa juste mesure, la Grandeur et la Gloire de Dieu, nous pourrions voir toute la puissance de nos ennemis s'anéantir. Le Seigneur est un véritable « sanctuaire spirituel » pour ceux qui Lui font confiance, qui Le craignent, et qui placent leur espérance en Lui, mais Il est aussi une pierre d'achoppement pour Ses ennemis. Si nous nous heurtons à la Parole de Dieu, cette derniÚre sera pour nous une occasion de chute. L'apÎtre Pierre rappelle cette pensée à tous ceux qui persistent dans leur incrédulité vis-à-vis de l'évangile de Christ, 1Pierre 2:8.

      « L'Emmanuel crucifié », qui était une Pierre d'achoppement et un Rocher de chute pour les juifs incrédules, l'est également pour les milliers de personnes qui se disent « Chrétiens », alors que la prédication de la croix est pour eux, une folie ; les doctrines et les préceptes divins les scandalisent !

      EsaĂŻe 41

      10 Dieu s'exprime ici avec tendresse : « ne crains rien, car je suis avec toi ». Il s'agit non seulement d'un encouragement, mais aussi d'une promesse de Sa prĂ©sence : « es-tu faible ? Je te donnerai de la force. DĂ©sires-tu ĂȘtre Ă©paulĂ© par un Ami ? Je t'aiderai, quand tu seras dans le besoin. Es-tu sur le point de tomber ? Je te soutiendrai de Ma main droite, Celle de la Justice, Celle qui, Ă  la fois, rĂ©compense ou punit ».

      Certains s'acharnent contre les enfants de Dieu, ne recherchant que leur ruine. En de tels cas, ces derniers ne doivent pas vouloir se venger, mais savoir attendre « l'heure » que Dieu a prévue.

      « Ne crains-pas, vermisseau de Jacob », (verset Esaïe 41:14*) ; le peuple d'Israël était alors peu représentatif, bien faible, dédaigné et méprisé par tous. Les véritables enfants de Dieu sont comme ces « vermisseaux », animés d'humbles pensées, constatant le mépris que leur témoignent leurs ennemis ; par cette image, on ne doit pas les assimiler à ces derniers, qui ne sont que des « vipÚres », de la famille du serpent !

      La Parole de Dieu, dans son ensemble, vise Ă  abaisser l'orgueil de l'homme, elle tend Ă  diminuer ce dernier Ă  ses propres yeux.

      L'Éternel aidera Son peuple, Il est son RĂ©dempteur ! Il incitera Jacob Ă  devenir « l'instrument zĂ©lé », qui tĂ©moignera de l'existence de Sa Personne. Dieu lui donnera les capacitĂ©s d'accomplir cette tĂąche, avec un esprit nouveau, actif. Tout cela sera manifestĂ© par l'accomplissement du triomphe de l'Ă©vangile de Christ, avec tous Ses fidĂšles serviteurs, luttant contre la puissance des tĂ©nĂšbres.

      Dieu a accordé tout Son soutien aux enfants d'Israël, Il a répondu à toutes leurs priÚres. Notre cheminement vers le ciel passe par le désert de ce monde. L'ùme de l'homme est en perpétuelle recherche de satisfaction : en fait elle se lasse de ne rien trouver de valable ici-bas, rien qui ne puisse vraiment la contenter. Il existe pourtant une source sûre, capable de « restaurer » cette ùme : « celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein », nous annonce Christ, mentionnant l'Esprit, Jean 7:38,39.

      Quand Dieu établit son église ici-bas, dans le « désert », parmi les « Gentils », il y eut un changement remarquable : les épines et les ronces se transformÚrent en cÚdres, en sapins, et en myrtes ! Toutes ces bénédictions s'adressent aux « pauvres en esprit », à tous ceux qui désirent humblement et ardemment la LumiÚre, le pardon et la sainteté célestes.

      Dieu, dans Sa Grùce et par Son Esprit, transforme l'ùme stérile : il la rend vivante et fructueuse, afin, qu'en retour, elle puisse Le glorifier !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 1

      Matthieu 6

      Matthieu 7

      Matthieu 13

      Matthieu 18

      Matthieu 24

      Matthieu 28

      Marc 16

      Jean 14

      18 Dans ce texte, Christ promet qu'Il continuera à prendre soin de Ses disciples : « Je ne vous laisserai pas orphelins » ; « bien que je vous quitte, je vous laisse cependant avec cette espérance : « je viens vers vous. Je viendrai rapidement, dÚs ma résurrection. Je viendrai quotidiennement, en Esprit, avec les manifestations de mon Amour, et ma Grùce. Je viendrai vous chercher à la fin des temps ».

      Seuls ceux qui discernent Christ par la foi, pourront Le voir Ă©ternellement ; le monde ne le verra plus avant Sa seconde venue ; Ses disciples sont en communion avec Lui, mĂȘme durant Son absence. Tous ces mystĂšres seront pleinement clairs dans les lieux cĂ©lestes. Par la GrĂące, les enfants de Dieu peuvent dĂ©jĂ  en avoir avoir une prĂ© connaissance, avec tout l’encouragement spirituel qui en dĂ©coule !

      Nous devons garder et mettre en pratique les commandements de Christ. Rien ne peut mieux tĂ©moigner de notre amour pour Christ que notre obĂ©issance Ă  Ses ordonnances. Les manifestations spirituelles de l’amour de Christ sont donnĂ©es Ă  tous les croyants. Dans le cƓur oĂč l’on trouve un amour sincĂšre pour le Seigneur, se trouve aussi l’obĂ©issance. L'amour est en fait un commandement, pas toujours facile Ă  mettre en Ɠuvre mais lĂ  oĂč il se trouve, l’enfant de Dieu est enclin, par gratitude envers Son Sauveur, Ă  accomplir son devoir.

      Non seulement Dieu aime les croyants obĂ©issants, mais Il prend plaisir en cet Amour ! Il « demeure » spirituellement en eux. Ces diffĂ©rents privilĂšges sont rĂ©servĂ©s Ă  ceux qui vivent par la foi, qui Ɠuvrent pour le Seigneur par amour, et qui gardent ses commandements. Telles sont les joies de ceux qui partagent la GrĂące du Saint-Esprit, une GrĂące qui rĂ©gĂ©nĂšre le cƓur !

      Actes 2

      42 Dans ce texte, nous voyons les dĂ©buts de la vĂ©ritable Ă©glise primitive : elle Ă©tait certes dans son Ă©tat originel, mais dans la plus grande innocence. Ces premiers chrĂ©tiens respectaient scrupuleusement les saintes ordonnances, ils abondaient dans la piĂ©tĂ© et la dĂ©votion ; lorsque nous reconnaissons la puissance d’une telle vie, « en Christ », ce Dernier dispose notre Ăąme Ă  la communion avec Dieu, quel que soit le chemin dans lequel Il a dĂ©cidĂ© de nous rencontrer, selon Sa promesse.

      L’importance des Ă©vĂ©nements relatĂ©s dans ce texte a Ă©levĂ© ces Ăąmes « au-dessus » de ce monde, le Saint-Esprit les a remplies d'un amour qui leur faisait voir leur prochain comme eux-mĂȘmes, leur permettant ainsi de faire toutes choses en commun ; ces frĂšres en Christ n’ont pas dĂ©truit leurs biens, mais, pour Ă©carter tout Ă©goĂŻsme, ils mirent en pratique la charitĂ©. Dieu, Celui qui les a amenĂ©s Ă  un tel Ă©tat d’esprit, savait de toute façon qu'ils seraient, par la persĂ©cution, rapidement dĂ©possĂ©dĂ©s de leurs biens en JudĂ©e...

      Le Seigneur, de jour en jour, prĂ©dispose les cƓurs Ă  accepter l'Ă©vangile ; non pas pour professer ce dernier, mais pour ĂȘtre d’abord vraiment amenĂ©s Ă  ĂȘtre acceptĂ©s par Dieu, Ă©tant faits « participants de la GrĂące qui rĂ©gĂ©nĂšre ». Ceux que Dieu a admis pour le salut Ă©ternel seront amenĂ©s Ă  Christ, jusqu'Ă  ce que la terre soit remplie de la connaissance de Sa gloire !

      Actes 18

      Actes 20

      1 Corinthiens 11

      2 Dans ce texte, jusqu’au chapitre 1Co 14, nous dĂ©couvrons les dĂ©tails relatifs Ă  la tenue et Ă  la conduite que l’on doit avoir dans l’assemblĂ©e.

      Parmi l'abondance de dons spirituels octroyĂ©s aux Corinthiens, quelques abus Ă©taient nĂ©anmoins remarquables ; de mĂȘme que Christ accomplissait la volontĂ© de Dieu, tout en Le glorifiant, le chrĂ©tien doit reconnaĂźtre sa soumission Ă  Christ, faire Sa volontĂ© et rechercher Sa gloire.

      Nous devons, dans notre tenue vestimentaire, comme dans nos habitudes, Ă©viter tout ce qui pourrait dĂ©shonorer Christ. La femme a Ă©tĂ© assujettie Ă  l'homme, pour l'aider et le rĂ©conforter. Elle ne doit rien faire, dans l’assemblĂ©e, qui puisse ressembler Ă  une revendication de l'Ă©galitĂ© des sexes. Elle doit porter une « marque de l'autorité », un voile sur sa tĂȘte, Ă  cause des anges, (verset 1 Corinthiens 11:10*) : leur prĂ©sence doit prĂ©server les chrĂ©tiens de tout mauvais pas, durant le culte d'adoration Ă  Dieu.

      L'homme et la femme ont Ă©tĂ© faits l'un pour l'autre. Ils devaient se rĂ©conforter et s’entraider mutuellement, sans ĂȘtre l’esclave, ni le tyran de l’autre. Dieu a instituĂ© ces prĂ©ceptes, Ă  la fois dans le domaine de la Providence et celui de la GrĂące, pour que l'autoritĂ© ou la soumission de chacun puisse ĂȘtre une aide Ă  son conjoint.

      Il Ă©tait d’usage dans les Ă©glises, que les femmes se montrent voilĂ©es en public, pour se joindre au culte d'adoration ; Paul estime que c’est tout Ă  fait convenable. La religion chrĂ©tienne est en accord avec les usages d’un pays, lĂ  oĂč ceux-ci ne sont pas opposĂ©s aux grands principes de vĂ©ritĂ© et de saintetĂ© enseignĂ©s par la Parole ; toute dĂ©viation ou singularitĂ© quant au respect des ordonnances de la Bible, doit ĂȘtre Ă©vitĂ©e.

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      23 L'apÎtre décrit l'ordonnance sacrée de la cÚne, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cÚne sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apÎtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invitĂ© tous Ses disciples Ă  boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait ĂȘtre privĂ© de la coupe. Ces Ă©lĂ©ments, le pain et le vin, reprĂ©sentent le corps brisĂ© et le sang versĂ© de Christ, avec tous les bienfaits qui dĂ©coulent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grĂąces et prĂ©senta ces Ă©lĂ©ments Ă  Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mĂ©moire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne reprĂ©sentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considĂ©rer JĂ©sus en tant que Seigneur et MaĂźtre de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici dĂ©crits, les buts de cette ordonnance.

      La cĂšne doit ĂȘtre prise en mĂ©moire de Christ, pour que nous gardions Ă  l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercĂšde pour nous, en vertu de Sa mort, Ă  la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son Ɠuvre et de toutes Ses souffrances, mais de cĂ©lĂ©brer Ă©galement Sa GrĂące, nĂ©cessaire Ă  notre rĂ©demption.

      Nous dĂ©clarons par ce repas que la mort du Seigneur est Ă  la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos rĂ©conforts et de notre espĂ©rance. Dans une telle dĂ©claration, nous glorifions Christ et tĂ©moignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos pĂ©chĂ©s.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance Ă©pisodique, il doit ĂȘtre pratiquĂ© rĂ©guliĂšrement. L'apĂŽtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de maniĂšre inconsidĂ©rĂ©e, ou en Ă©tant dans une situation de pĂ©chĂ©, tout en dĂ©clarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilitĂ©, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas dĂ©courager les croyants « timides » de participer Ă  cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les vĂ©ritables chrĂ©tiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadĂ©s.

      L'apĂŽtre s'adressait aux chrĂ©tiens, les avertissant de se mĂ©fier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgrĂ© ces chĂątiments, Dieu rappelle Sa MisĂ©ricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutĂŽt que d'ĂȘtre spirituellement misĂ©rable, Ă  jamais...

      L'apĂŽtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement Ă  cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mĂȘmes tous nos manquements, pour les confesser Ă  Dieu, nous pourrons ainsi Ă©viter Ses jugements.

      L'apĂŽtre termine par une mise en garde relative aux irrĂ©gularitĂ©s dont les Corinthiens Ă©taient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considĂ©rer cet avertissement, de façon Ă  ne pas venir prĂ©senter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sĂ©vĂšre.

      1 Corinthiens 14

      Ephésiens 4

      17 L'apĂŽtre exhorte les chrĂ©tiens d’ÉphĂšse, au Nom et par l'autoritĂ© du Seigneur, Ă  ne pas continuer Ă  vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous cÎtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au pĂ©chĂ© ne possĂšdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les tĂ©nĂšbres, les prĂ©fĂ©rant Ă  la lumiĂšre. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne reprĂ©sente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette saintetĂ© est aussi la ressemblance Ă  Dieu Lui-mĂȘme, dans Sa puretĂ©, Sa justice, Sa vĂ©ritĂ© et Sa bontĂ©.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composĂ©e de divers Ă©lĂ©ments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les dĂ©sirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misĂ©rable ; ils conduisent Ă  la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiĂ©s. Ces mauvais penchants doivent ĂȘtre abandonnĂ©s, tels de vieux vĂȘtements souillĂ©s ; ils doivent ĂȘtre Ă©radiquĂ©s.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons Ă©galement possĂ©der les principes de la GrĂące. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle crĂ©ature », dirigĂ©e par un nouveau principe : la GrĂące qui rĂ©gĂ©nĂšre, incitant le rachetĂ© Ă  mener une nouvelle vie, de justice et de saintetĂ©. Toute cette « marche spirituelle » est gĂ©nĂ©rĂ©e par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      25 Notons dans ce texte les dĂ©tails qui doivent orner notre vie chrĂ©tienne : - Veiller Ă  fuir tout ce qui est contraire Ă  la vĂ©ritĂ©. - Éviter la tendance qui consiste Ă  flatter ou Ă  tromper les autres.

      Les enfants de Dieu ne trichent pas, ils n'osent mĂȘme pas mentir, d’ailleurs, ils dĂ©testent le mensonge. Prenons garde Ă  ne pas cĂ©der ni Ă  la colĂšre, ni aux passions de ce monde. Si Ă©ventuellement nous devons exprimer notre dĂ©saccord, voire blĂąmer notre prochain, veillons Ă  ce que ce soit fait avec douceur.

      Quand les premiÚres manifestations du péché nous laissent insensibles, nous donnons alors le champ libre au diable ; quand nous succombons à la tentation, de maniÚre répétitive, nous consentons à accepter ouvertement le péché...

      Ces réflexions nous montrent que « céder au péché » est similaire à laisser entrer le diable en nous : nous devons alors résister et nous garder de toute pratique du mal.

      L'oisivetĂ© fait le voleur : ceux qui ne travaillent pas, s'exposent Ă  la tentation de voler. Les hommes doivent travailler, afin de pouvoir pratiquer le bien, et d’ĂȘtre gardĂ©s de la tentation. Ils doivent travailler, non seulement pour pouvoir vivre, mais Ă©galement dans le but d’aider les autres.

      Que devons-nous penser de ceux qui, soi-disant chrĂ©tiens, s’enrichissent par la fraude, l'oppression, et les pratiques douteuses ! Les aumĂŽnes, pour ĂȘtre acceptĂ©es de Dieu, ne doivent pas provenir de la perversitĂ© ni du vol, mais de l'honnĂȘtetĂ© et du travail.

      Dieu déteste que les holocaustes qui Lui sont offerts, soient le produit du vol...

      29 Les mauvaises paroles proviennent de la corruption du cƓur, de plus, elles dĂ©gradent l’esprit et la conduite de ceux qui les entendent : les chrĂ©tiens doivent prendre garde Ă  ne pas tenir de tels discours.

      Chaque enfant de Dieu a le devoir de chercher, sous le regard du Seigneur, Ă  amener chacun Ă  songer sĂ©rieusement Ă  son Ă©ternitĂ©, et Ă  l’encourager par de sains propos.

      « Soyez bons les uns envers les autres », nous dit ce texte. Ceci implique la prĂ©sence et la manifestation de l'amour dans le cƓur, suivi d’un comportement humble et courtois. Remarquons comment le pardon divin nous pousse Ă  pardonner nous-mĂȘmes ! Dieu nous pardonne, alors que nous lui avons dĂ©sobĂ©i, par notre pĂ©chĂ©. Nous devons pardonner, comme Lui nous a pardonnĂ©s.

      Tout mensonge, toute corruption qui Ă©veille les mauvais dĂ©sirs et les convoitises, chagrine le Saint-Esprit. Les vaines passions, celles qui produisent l'amertume, la colĂšre, les mauvaises paroles et la malveillance, chagrinent le Saint-Esprit. Ne provoquons pas l'Esprit qui, en de tels cas, s’éloignerait de nous, nous privant ainsi de Son influence, pleine de GrĂące. Le corps sera « arraché » du pouvoir de la tombe, au jour de la rĂ©surrection.

      OĂč que puisse demeurer le Saint-Esprit, Il accorde Sa bĂ©nĂ©diction et la sanctification ; Il est Ă  l’origine de toutes les joies spirituelles, en particulier, quand nous bĂ©nĂ©ficions de la rĂ©demption offerte par Christ ; si Dieu retire de nous Son Esprit, nous courrons Ă  notre perte...

      Colossiens 1

      1 Thessaloniciens 4

      1

      Exhortations à la pureté et la sainteté. (1 Thessaloniciens 4:1-8)
      À l'amour fraternel, Ă  une conduite pacifique et Ă  la diligence dans la piĂ©tĂ©. (1 Thessaloniciens 4:9-12)
      Ne pas ĂȘtre affligĂ© par la disparition des frĂšres dans la foi, compte tenu de la rĂ©surrection glorieuse de leurs corps, lors de la seconde venue de Christ. (1 Thessaloniciens 4:13-18)

      Le fait de suivre la doctrine de l'Évangile n'est pas suffisant, nous devons en plus, progresser dans la foi. C’est pour chacun une rĂšgle, qui consiste Ă  marcher et agir selon les commandements donnĂ©s par le Seigneur JĂ©sus-Christ.

      La sanctification dans le renouvellement spirituel des Thessaloniciens, sous l’influence du Saint-Esprit, et dans le respect de leurs devoirs attitrĂ©s, reprĂ©sentait vraiment la VolontĂ© divine, Ă  leur Ă©gard. En aspirant Ă  ce renouvellement de l'Ăąme, dans la saintetĂ©, une stricte retenue doit ĂȘtre appliquĂ©e envers nos mauvais penchants charnels et nos vaines pensĂ©es, qui ne peuvent nous conduire qu’à mal utiliser nos dons.

      Le Seigneur n'appelle personne dans « Sa famille », pour vivre une vie profane ; Il dĂ©sire au contraire voir les Siens garder Son enseignement, afin qu’ils marchent dans la saintetĂ©.

      Certains ne perçoivent que les « lueurs » des prĂ©ceptes de cette saintetĂ©, parce qu'ils n’entendent que l’enseignement des hommes ; mais ils doivent en fait suivre les commandements de Dieu ; les contourner, c'est mĂ©priser Dieu...

      2 Thessaloniciens 3

      6 Ceux qui ont reçu l'Évangile dans leur cƓur, doivent vivre selon Ses prĂ©ceptes.

      Ceux qui sont aptes à travailler et qui refusent de le faire, ne doivent pas cependant rester inactifs. Le christianisme n'approuve pas la paresse, car cela découragerait toute bonne volonté, tout soutien aux malades et aux affligés. Le travail est un devoir, exigé par notre vocation de chrétiens.

      Certains, parmi les Thessaloniciens, prĂ©tendaient pouvoir rester inactifs, ce qui rĂ©vĂ©lait leur tempĂ©rament vaniteux et leurs vaines recherches philosophiques. Ils se mĂȘlaient des divers problĂšmes des autres, gĂ©nĂ©rant ainsi beaucoup de mal.

      Quelle erreur que de se servir de la piĂ©tĂ© pour couvrir diffĂ©rents abus, inactions ou tout autre pĂ©ché ! Le serviteur qui, le cƓur en paix, attend la venue de son maĂźtre, doit travailler comme le Seigneur le recommande. Si nous restons oisifs, le diable et notre cƓur corrompu trouveront bien vite de quoi nous occuper ! L'esprit de l'homme ne reste pas inactif ; s'il n'est pas consacrĂ© Ă  la pratique du bien, il se tournera vers le mal. Il est excellent de rester actif dans notre travail, tout en restant en paix avec ceux notre entourage !

      Si, parmi les Thessaloniciens, quelqu'un refusait de travailler, il devait ĂȘtre censurĂ© et se sĂ©parer de son groupe, aprĂšs avoir cependant subi diffĂ©rents avertissements (amicaux.)

      Le Seigneur vous soutient lorsque vous ĂȘtes en communion avec Lui. Il veille sur vos voies, et ce, jusqu'Ă  la fin de votre pĂ©riple ici-bas. Ne nous lassons jamais d’effectuer notre travail, nous aurons assez de temps pour nous reposer, lorsque nous serons dans les cieux !

      1 Timothée 6

      1

      Le devoir des chrétiens envers leurs maßtres, croyants ou non. (1 Timothée 6:1-5)
      L'avantage du contentement dans la piété. (1 Timothée 6:6-10)
      Une exhortation solennelle Ă  TimothĂ©e, d'ĂȘtre fidĂšle. (1 TimothĂ©e 6:11-16)
      L'apÎtre répÚte son avertissement envers les riches ; il termine par une bénédiction pour tous. (1 Timothée 6:17-21)

      Les chrĂ©tiens mentionnĂ©s dans cette Ă©pitre ne devaient pas estimer que leur connaissance des Écritures ou leurs bĂ©nĂ©dictions spirituelles leurs donnaient le moindre droit de mĂ©priser leurs maĂźtres paĂŻens ; ils ne devaient pas supposer qu’il soit possible de dĂ©sobĂ©ir Ă  leurs ordres, ni de les dĂ©nigrer, en soulignant leurs manquements Ă©ventuels.

      Les chrĂ©tiens de l’époque de Paul, ayant le privilĂšge de servir des maĂźtres croyants, ne devaient pas se permettre de les priver du respect qui leur Ă©tait dĂ», mĂȘme s'ils Ă©taient sur un pied d’égalitĂ© vis-Ă -vis de leurs privilĂšges religieux. Ils devaient toutefois les servir avec une grande assiduitĂ©, avec bonne humeur, Ă  cause de leur foi en Christ, et en tant que « participants » de Son salut gratuit.

      Nous devons rester prudents, face aux diverses insanitĂ©s de ce monde, accordons par contre toute notre confiance en la Parole de notre Seigneur JĂ©sus-Christ ; sachons Lui accorder notre adhĂ©sion totale. D'une façon gĂ©nĂ©rale, ce sont les prĂ©tentieux qui possĂšdent le moins de connaissances, en fait, ils se surestiment eux-mĂȘmes !

      De l’orgueil proviennent les convoitises, les conflits, les railleries, les mauvais soupçons, les diffĂ©rends, avec toutes sortes de vaines subtilitĂ©s ; ces personnes orgueilleuses, aux esprits corrompus et charnels, ignorent tout de la VĂ©ritĂ© divine et du pouvoir de la RĂ©demption du Seigneur. Ces Ăąmes ne recherchent en fait que les plaisirs et les privilĂšges de ce monde...

      2 Timothée 4

      Tite 2

      1 Les devoirs qui traduisent la saine doctrine. (Tite 2:1-8) Les hommes pieux doivent ĂȘtre obĂ©issants. (Tite 2:9-10) Tout Ă©mane du parfait dessein de l'Évangile, lequel concerne tous les croyants. (Tite 2:11-15).

      Tite 2:1-8 Les disciples que Jésus-Christ aime, doivent se conduire en tous points, conformément à la doctrine chrétienne.

      Que les personnes ĂągĂ©es soient sobres, ne s'imaginant pas que leur dĂ©clin physique puisse justifier de quelconques excĂšs de conduite ; elles doivent rechercher le bĂ©nĂ©fice d’une communion plus Ă©troite avec Dieu, n'accordant aucune indulgence Ă  la pratique du pĂ©chĂ©. Leur foi doit ĂȘtre active et doit se dĂ©montrer dans l'amour qu’elles Ă©prouvent, d’abord pour Dieu, mais aussi pour les hommes. Les personnes ĂągĂ©es sont parfois susceptibles, irritables et tristes : elles doivent donc, Ă  ce sujet, se tenir sur leurs gardes.

      Bien qu'on ne puisse trouver dans l’Écriture aucune recommandation prĂ©cise pour chaque Ă©cart de parole ou d’attitude spĂ©cifique, il existe nĂ©anmoins de nombreuses ordonnances, auxquelles chacun doit se conformer.

      Les jeunes femmes doivent ĂȘtre sobres et discrĂštes, (pouvant ĂȘtre, Ă©tant donnĂ© leur Ăąge, exposĂ©es Ă  dĂ©river vers de fatales tentations). La raison d’une telle conduite est donnĂ©e dans ce texte : que la Parole de Dieu ne soit pas blasphĂ©mĂ©e.

      Les dĂ©faillances dans nos divers devoirs constituent un grand blĂąme pour la chrĂ©tientĂ©. Les jeunes gens sont parfois ardents, mais nĂ©anmoins Ă©tourdis : il sont donc priĂ©s instamment d'ĂȘtre sobres Ă  tous points de vue. On trouve davantage de jeunes ruinĂ©s par l'orgueil que par n'importe quel autre pĂ©chĂ©.

      Tout effort de l'homme pieux doit concourir à faire taire ses adversaires. Que ta conscience soit en phase avec ta droiture. Quelle gloire pour un chrétien, de pouvoir constater que ses adversaires, ne peuvent trouver aucun mal à lui reprocher !

      9 Les serviteurs doivent connaĂźtre et accomplir leur devoir Ă  l'Ă©gard de leurs maĂźtres, ici-bas, mettant ainsi Ă  l’honneur leur MaĂźtre CĂ©leste.

      Quand un serviteur sert son maßtre, conformément à la volonté de Christ, il sert en fait ce Dernier, et bénéficiera des récompenses promises. Le serviteur ne doit pas tenir un langage irrespectueux ni provoquant, mais doit savoir accepter toute remarque et réprimande en silence, sans formuler de répliques impertinentes.

      Lorsque l'on est conscient d'avoir commis une faute, le fait de vouloir l'excuser ou la justifier ne fait que l’amplifier.

      Un serviteur ne doit jamais mettre Ă  profit ce qui appartient Ă  son maĂźtre, ni gaspiller les biens dont on il a la responsabilitĂ©. Il doit ĂȘtre fidĂšle, faire prospĂ©rer les biens de son maĂźtre, veiller Ă  sa prospĂ©ritĂ©.

      Si vous n'avez pas été fidÚle dans la gestion des biens des autres, qui vous récompensera ? Luc 16:12

      La véritable piété est un honneur pour ceux qui la professent ; ils doivent la mettre en valeur dans toutes leurs tùches !

      1 Pierre 2

      11 MĂȘme les meilleurs des hommes pieux, « la gĂ©nĂ©ration choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'ĂȘtre exhortĂ©s pour se garder des pires iniquitĂ©s. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'Ăąme. Un Jugement fĂącheux les attend...

      Dieu s’approche des Ăąmes, pour les appeler Ă  la repentance, par Sa Parole et par Sa GrĂące ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la saintetĂ©, connaĂźtra un heureux changement !

      13 Une conduite chrĂ©tienne doit ĂȘtre synonyme d’honnĂȘteté ; ceci ne peut prendre effet, sans une considĂ©ration prudente de tous nos devoirs civiques ici-bas : l'apĂŽtre traite clairement ce sujet dans ce texte.

      Bien considérer ces devoirs est conforme à la Volonté divine ; la sainte conduite du chrétien consiste par conséquent, à faire taire les calomnies des gens ignorants et des insensés. Les chrétiens doivent s'efforcer, dans tout leur entourage, de tenir une conduite pleine de droiture et de ne pas faire de leur liberté, un prétexte de négligence de leur devoir ; ils doivent se souvenir qu'en fait, ils sont « serviteurs de Dieu ».

      18 À l’époque de la rĂ©daction de cette lettre, les serviteurs, Ă©taient gĂ©nĂ©ralement des esclaves, sous l’autoritĂ© souvent cruelle de maĂźtres paĂŻens ; l'apĂŽtre Pierre, exhorte cependant ces serviteurs, Ă  ĂȘtre soumis Ă  leurs maĂźtres, placĂ©s au dessus d’eux par la Providence, dans le soucis de ne pas dĂ©shonorer, ni d'offenser Dieu.

      Ces serviteurs devaient rester soumis, non seulement envers les maßtres qui manifestaient une autorité raisonnable, mais également envers ceux qui étaient durs et sévÚres, se fùchant injustement.

      La sĂ©vĂ©ritĂ© coupable d'un maĂźtre, vis-Ă -vis de son serviteur, ne justifie pas un mauvais comportement de la part de ce dernier ; un serviteur est destinĂ© Ă  accomplir son devoir, mĂȘme si le maĂźtre est « pointilleux » et pervers. De leur cĂŽtĂ©, les maĂźtres doivent ĂȘtre bons et doux envers leurs domestiques et leurs subordonnĂ©s.

      Quelle gloire, ou quelle distinction y a-t-il, pour ceux qui professent ĂȘtre chrĂ©tiens, d'ĂȘtre patients quand ils sont corrigĂ©s pour leurs fautes ? Mais lorsqu'ils se sont bien conduits, tout en ayant Ă©tĂ© maltraitĂ©s par des maĂźtres paĂŻens orgueilleux et emportĂ©s, ayant tout supportĂ©, sans plaintes, ni pensĂ©es de vengeance, tout en persĂ©vĂ©rant dans leur devoir, ceci sera acceptĂ© favorablement par Dieu, dans Sa GrĂące.

      La mort de Christ a été considérée par Dieu, non seulement comme un exemple de patience et de souffrance, mais par elle, Il a porté nos péchés ; Il en a subi le chùtiment, et a de cette façon, satisfait la Justice divine. Par cet acte, Christ a « effacé » nos fautes. Les « fruits » des souffrances de Christ sont la mort au péché, et une nouvelle vie, dans la sainteté et la justice ; ces deux derniers éléments témoignent de la puissance de la mort et la résurrection de Christ, pour notre justification ; Christ a été meurtri et crucifié pour nos péchés ; par les marques des coups de fouet, lors de Son arrestation, les maladies de notre ùme ont été guéries !

      L’homme, dans son pĂ©chĂ© et sa misĂšre, avance dĂ©libĂ©rĂ©ment vers l'Ă©garement ; il erre, loin du pĂąturage, du Berger, et du troupeau, s'exposant Ă  des dangers sans nombre. La conversion lui permet de retrouver le bon chemin et de bĂ©nĂ©ficier de la GrĂące divine. Le pĂ©cheur repenti retourne ainsi Ă  vers le bon Berger, vers Christ. Les impies, avant leur conversion, sont Ă©garĂ©s en permanence ; leur vie est une constante erreur.

      2 Pierre 1

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